Le 17 décembre, la Cour de justice de l’UE (CJUE) condamnait une nouvelle fois la Hongrie à propos de ses centres de rétention pour demandeurs d’asile et de ses procédures d’asile. Cette nouvelle condamnation faisait écho à celle de mai dernier, quand la CJUE, saisie par un tribunal hongrois, jugeait contraires au droit européen les centres de rétention à la frontière avec la Serbie, qualifiés par Budapest de « zones de transit ». L’arrêt du 17 décembre est une réponse à une saisine par la Commission européenne qui se bat depuis la grande crise migratoire de 2015 contre les politiques strictes et efficaces de Viktor Orbán pour stopper l’immigration illégale.
lobby - Page 559
-
La Commission européenne et la CJUE veulent ouvrir les frontières de l’Europe
-
Autriche : la Cour suprême juge illégal le port du masque obligatoire à l’école
Le port obligatoire du masque à l’école et l’enseignement en alternance, deux mesures prises par le gouvernement autrichien au printemps afin de tenter d’endiguer la pandémie de coronavirus, sont des dispositions « illégales« , a estimé mercredi la Cour constitutionnelle.
« Pour faire face aux conséquences de la COVID-19 dans le système scolaire, un décret publié par le ministre de l’éducation en mai 2020 a ordonné que les classes soient divisées en deux groupes et enseignées alternativement à l’école« , a écrit la Cour dans un communiqué.
(…) RTBF
-
Le Conseil d’Etat interdit l’utilisation de drones pour la surveillance des manifestations en France
Le Conseil d’État a suspendu, mardi, l’usage de drones par la préfecture de police de Paris lors des manifestations, jugeant qu’il portait atteinte aux libertés individuelles. […]
-
Hydroxychloroquine, Laurent Joffrin est mal informé, par Olivier Perceval.
A l’instar de la superstructure médicale et pharmaceutique, Laurent Joffrin semble ignorer l’existence d’études en faveur de l’Hydroxychloroquine. Je suis tombé de ma chaise, lorsque j’ai entendu sur CNews, dimanche dernier, le cuistre Joffrin affirmer qu’aucune étude n’avait été publiée dans ce sens et que les personnes présentes, y compris Guillaume Bigot, sont restées coites devant un tel mensonge ou pire encore devant une telle manifestation d’ignorance.
Lien permanent Catégories : actualité, lobby, magouille et compagnie, santé et médecine 0 commentaire -
Le racisme anti-blanc en mode mineur dans les médias
Le traitement journalistique d’un récent fait-divers vient de nous le rappeler, le racisme anti-blanc est un angle mort des médias de grand chemin. La réaction de Laurence Ferrari face à un déchainement de violence à Rezé contre un « blanc », désigné comme tel, en dit long sur leur embarras à ce sujet.
Lynchage à Rezé : what else ? (mais encore ?)
-
"Privilège blanc" ? Où ça ?
L'avis de Jean-François TouzéJamais en reste quand il s'agit d'importer en France un concept progressiste américanoïde pour en faire un objet de développement polémique, de débat intellectuel et, au bout du compte, d'affrontement, Emmanuel Macron, dans un entretien-fleuve publié par l'hebdomadaire L'Express paru ce mardi évoque l'idée de "privilège blanc" supposé favoriser l'accession de ceux qui en bénéficient à la réussite sociale, au logement, à l'éducation et à la culture.En ces temps de "discrimination positive" pratiquée en toute matière et en tout lieu, on chercherait pourtant bien en vain ce soit-disant privilège.Le "privilège blanc", c'est de se taire et de raser les murs dans certains quartiers de nos villes.Le "privilège blanc", c'est de risquer à toute heure du jour et de la nuit l'agression, le viol ou l'égorgement.Le "privilège blanc", c'est le couvre-feu de fait établi bien avant la crise sanitaire qui interdit aux femmes de sortir dans la rue dès le soir tombé.Le "privilège blanc" c'est de recevoir des crachats sur un terrain de football.Le "privilège blanc" c'est de devoir s'agenouiller en signe de repentance.Le "privilège blanc" c'est de voir les traditions, les valeurs, les principes qui ont fait notre civilisation bafouées et traînées dans la boue.Le "privilège blanc", c'est de se retrouver en exil et sous surveillance dans son propre pays. -
Piqûre de rigueur – Une obligation de vaccination qui ne dit pas son nom, par Etienne Lafage
L’idée vient tout droit d’Israël et a été importée en France par plusieurs députés de l’UDI. Mettre en place un passeport sanitaire pour permettre aux futurs vaccinés « d’avoir le droit de vivre normalement ». L’idée fait son chemin.
-
Retour du projet de loi IVG au Sénat le 20 janvier : même en pleine crise sanitaire, rien n’arrête l’idéologie humanicide!
Alors que la France fait face à l’une des pires crises sanitaires de son histoire, La Marche pour la Vie s’indigne du retour précipité du projet de loi visant à l’extension du délai d’avortement ainsi que la suppression de la clause de conscience du personnel soignant .
-
Twitter fait reculer le projet d’Etat d’urgence sanitaire
Le projet de loi du premier ministre Castex, la voix de son (ou ses) maître, que le gouvernement voulait faire voter en procédure accélérée pour pérenniser l’état d’urgence sanitaire et transformer ainsi les non vaccinés en citoyens de seconde zone a du plomb dans l’aile, et ce grâce à la contestation populaire via Twitter.
-
Les médias : « Il faut que tout change pour que rien ne change » (article de 2017)
Possédés par de grands groupes administrés par des journalistes aux nuances idéologique voisines, en perte de crédibilité dans l’opinion. Les médias apparaissent gagnés par la crise.
Qui possède les médias, et qui servent-ils ? De nombreux groupes financiers, industriels, de luxe, de télécommunications sont actionnaires médias (Bolloré, Lagardère, LVMH, Dassault, Bouygues, PPR, Pierre Berge, Xavier Niel, Matthieu Pigasse. ).