
Lu dans Les 4 Vérités :
Y aurait-il une coïncidence entre cette démission forcée et la venue de la jeune Greta Thunberg pour parler d’écologie à l’Assemblée ?
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Lu dans Les 4 Vérités :
Y aurait-il une coïncidence entre cette démission forcée et la venue de la jeune Greta Thunberg pour parler d’écologie à l’Assemblée ?
Le 19 juillet c’est le jour de la libération fiscale pour les Français qui travaillent et le jour à partir duquel ils travaillent pour eux, et non plus pour abonder les caisses de notre Etat fort dispendieux s’il en est.
Il faut dire que le homard, cela coûte cher, fort cher, de même que les normes auto-inventées et auto-imposées, qui rendent par exemple, obligataire la fermeture de piscines municipales qui fonctionnent très bien depuis des décennies sans provoquer d’hécatombe chez les nageurs mais que l’ARS se croît dans l’obligation de fermer pour cause de non respect des normes actuelles.
L’Institut Molinari s’est donc livré à une estimation comparée entre les différents pays européens sur … le jour de libération fiscale.
Il n’y a pas à dire.
En France, nous n’avons pas de pétrole, mais nous avons beaucoup d’impôts !!!
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Greta et en même temps le CETA
Les députés ont voté en faveur de l’accord commercial CETA… un texte très controversé soumis au vote alors même que la majorité exhibait la mascotte mineure de l’écologie Greta Thunberg devant la représentation nationale.
La jeune garde macroniste au pouvoir
Deux ans après l’arrivée aux manettes d’Emmanuel Macron, la jeune garde qui a participé à sa victoire est bien intégrée aux arcanes du pouvoir. Une équipe en rang serré et qui pèse considérablement dans le dispositif En Marche.
Carburants : coup de chaud à la pompe
Nouvelle flambée des prix à la pompe. En cette période de départs en vacances, les prix des carburants dans les stations françaises ont enregistré une nouvelle hausse. Une mauvaise nouvelle pour le portefeuille des vacanciers.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/greta-et-en-meme-temps-le-ceta-journal-du-mercredi-24-juin-2019
N’imaginez pas que donner de bonnes notes soit « égalitaire ».
C’est de la démagogie à l’état pur, et comme toute démagogie à l’état pure, comme toute « facilité » cela mène toujours au résultat inverse à celui qui était recherché.
Donner le BAC avec mention à tout le monde, supprimer les concours d’entrée à Science-Po ce n’est ni du progrès ni de l’égalité.
La réalité, à un moment, rattrape tous les mensonges.
A force de mauvais choix les situations ne sont plus rattrapables.
La sélection naturelle est naturelle.
Dans un processus politique, l’action publique cherche à rendre la sélection naturelle moins « définitive » et à laisser sa chance à tous.
C’est le rôle de l’instruction.
D’ailleurs notez la différence sémantique entre instruction et éducation. Instruire c’est donner les outils de la connaissance ou d’accès à celle-ci. Éduquer, c’est élever, et cela implique par définition une ingérence dans la vie des enfants.
Le constat du niveau en France est alarmant. On cache derrière des taux de réussite « soviétiques », une réalité dramatique avec des gamins qui ne savent plus lire ni écrire, qui ne savent plus réfléchir ni penser.
Donner de bonnes notes est ce qu’il y a de plus inégalitaire, cela peut même faire croire à certains parents que tout « va bien », que le gamin a le niveau, alors qu’il est d’une nullité crasse, plus personne n’est en mesure de comprendre ce qu’il lui arrive le jour où la sélection fait son oeuvre.
Les bonnes notes à tous, c’est comme les taux 0 en économie. Cela biaise totalement la perception de la réalité des agents économiques, cela fait prendre les mauvaises décisions basées sur de mauvais indicateurs.
Les bonnes notes à tous, c’est faire croire que l’éducation est bonne pour tout le monde, alors que les plus aisés bénéficient d’une bien meilleure instruction et d’une préparation à la maison et pas les gamins issus des classes les plus populaires.
Mentir aux gens est ce qu’il y a de pire, après… les mensonges que l’on se fait à soi-même.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Dans une tribune, datée du lundi 22 juillet, la députée Agnès Thill, exclue de la République en Marche, tacle son ancien mouvement :
« En Marche est le PS de 1991 en pire. Avec Mignard à la tête, Touraine au sociétal, Schiappa, Chiche et Taché aux idées neuves, Avia et tous les autres, les heureux élus lèvent le doigt, ils avaient raison ceux qui nous traitaient de godillots : le 29 mai Aurore Bergé et Thomas Mesnier nous ont fait venir à la réunion de l’association des députés employeurs uniquement pour lever le doigt : refaire le vote afin de détrôner le président de l’association, Michel Larrive, démocratiquement élu. Mais voilà, ce n’est pas l’un de nous ! On doit être partout, tout contrôler, tout dominer, c’en est dangereux. L’avant-veille, le 26 on votait pour l’Europe, est-ce qu’on refait un vote lorsqu’il ne nous convient pas ? »
« Exclue il y a quelques semaines, j’ai quitté la violence, l’intimidation, la menace, le chantage, la haine, le mépris, l’humiliation, l’arrogance, le jugement, les insultes, l’intolérance, la caricature, l’irrespect, l’intérêt personnel, les combines anciennes, les certitudes, les ordres, les injonctions enrobées de la sauce affective, psychologique, le tout dans un cocktail d’effet de groupe ».
« Ceux qui restent dans le mouvement sur le terrain, ceux qui ont évincé les premiers et pris les places, sont aussi dangereux que leurs élus. Ils ont vu l’opportunité, ils sont là pour leurs places, commander, et cela marche, la sauce est liante et délictueuse ! »
L’ONG reprend la mer et son bateau est encore plus grand que ceux précédemment affrétés. Le fait que leur mission s’annonce très compliquée grâce à la politique déterminée de Salvini et au refus de plus en plus marqué de l’immigration par les Européens n’y change rien. Ce sont encore des centaines de milliers d’euros qui vont s’ajouter aux millions déjà engloutis par SOS Méditerranée dans leurs campagnes au large de la Libye. Comment expliquer cet acharnement ?
L’humanitaire détourné au profit de l’idéologie
Nombre de volontaires et de donateurs agissent et donnent certainement en toute bonne foi, pensant sauver des vies. Néanmoins, il y a tout de même en arrière-plan un désir, conscient ou pas, d’accueillir voire d’importer massivement des migrants en Europe quoi qu’il en coûte. Les morts en mer, causées par le trafic, et les dangers rencontrés sur la route ou dans les camps de migrants et de réfugiés sont évitables. Et c’est là où s’arrête l’humanisme des ONG : elles refusent de faire dans les pays d’origine un travail pour décourager l’immigration illégale. Cela leur demanderait pourtant pas plus d’efforts et de moyens que leurs « opérations » en mer.
Ils créent des problèmes mais n’en résolvent aucun
Tout le monde est d’accord pour dire que les migrants rêvent d’un Eldorado européen qui n’existe pas. Force est de constater que l’émigration massive d’Africains n’a résolu aucun problème de l’Afrique, tout en créant de nouveaux en Europe. Ceux qui partent sont de toute manière remplacés très rapidement par la natalité galopante de leur pays d’origine. Qui peut penser que nous sommes ici témoins d’une solution politique viable ? Et si certains ont pu réussir la traversée et sont accueillis par les pays européens, qu’est-ce qui moralement empêcherait tous les autres volontaires – très nombreux – de venir également ? Le chantage à la prétendue « urgence » du sauvetage prépare en réalité le terrain à une autoroute migratoire.
Il faut agir sur les lieux de départ de l’immigration
Un humanitaire conséquent agirait sur les lieux de départ. Des campagnes dans les principaux pays d’émigration qui informeraient sur la fermeture des routes migratoires, sur les dangers du voyage et sur la nature criminelle des réseaux de passeurs devraient être la priorité des ONG si vraiment elles cherchaient à sauver des vies. Au lieu de cela, elles préfèrent engloutir des millions d’euros en assurant le service après-vente des passeurs. La diversité à tout prix et le plus rapidement possible, voici ce qui semble être l’horizon indépassable des pseudo-humanitaires. Peu importe le prix que les Africains devront payer pour que leur rêve de société arc-en-ciel devienne réalité en en Europe.
Jean-David Cattin
Un communiqué d'Yvan Benedetti
Le 25 avril dernier, j’étais convoqué en audition devant la Commission d’enquête parlementaire de lutte contre les groupuscules d’extrême-droite constituée à l’initiative de la France insoumise et présidée par Muriel Ressiguier. Celle que les Languedociens surnomment Miss Goulag n’a pas fait honneur au nom de son parti, en laissant cette instance parlementaire qui visait à étudier tous les mouvements identitaires et nationalistes – y compris les milices juives alliées de Marine Le Pen avec lesquelles les mélenchonistes avaient eu maille à partir – passer sous le contrôle des sionistes.
Je démontre comment l’homme de Nétanyahou en France, Meyer Habib, un des terroristes condamnés pour l’attaque – à coup de barre de fer – du cortège en l’honneur de Sainte Jeanne d’Arc de 1988, au cours de laquelle j’avais été blessé, s’est, conjointement avec le rapporteur Morenas et la député Fajgeles, emparé de la Commission, écartant de son « périmètre » d’investigation le néo-FN des ultra-sionistes Collard et Le Pen et même retournant celle-ci contre la France insoumise qui l’avait initiée et qui s’est finalement retrouvée, lors des débats, accusée à mots à peine couverts d’antisémitisme en raison de son soutien aux Palestiniens.
Je dévoile ensuite l’intégralité du compte-rendu sténographique de mon audition, publié furtivement sur le site de l’Assemblée avant d’être censuré à la demande du Crif… Mes propos, rapportés dans ce verbatim, bien que tenus dans une enceinte qui, normalement, couvre de son immunité les déclarations des personnes auditionnées, sont aujourd’hui visés – au prétexte d’une remise en cause des dogmes de la religion shoatique – par une enquête préliminaire du Parquet de Paris.
Les Français vont désormais pouvoir juger sur pièce si, lors de cette audition, mes propos étaient si abjects que la presse le prétend aujourd’hui en n’en citant que de courts passages…
J’ajoute, puisque mon agenda judiciaire est plutôt chargé et que mon procès en appel pour le maintien de l’œuvre française dissoute par Manuel Valls s’est déroulé à la même période, quelques textes concernant cette affaire.
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Greta Thunberg, jeune suédoise de 16 ans, est une militante pour le climat. Elle a notamment commencé la Skolstrejk för klimatet (« grève de l’école pour le climat ») et donné un discours à la conférence de Katowice de 2018 (COP24) sur les changements climatiques, concluant : « Notre biosphère est sacrifiée pour que les riches des pays comme le mien puissent vivre dans le luxe. Ce sont les souffrances du plus grand nombre qui paient pour le luxe du plus petit nombre. Et si les solutions au sein du système sont impossibles à trouver, nous devrions peut-être changer le système lui-même. »
Voilà qui est clair sur l’idéologie de l’enfant suédois.
Critiquée de tous côtés pour l’utilisation affectée de ses prétendues maladies (le syndrome d’Asperger, un trouble obsessionnel compulsif et un mutisme sélectif lui ont été diagnostiqués), son financement douteux, sa manipulation présumée, Greta Thunberg est reçue par le Pape François, proposée pour le Prix Nobel de la Paix, intervient au sommet de Davos, est invitée par Arnold Schwarzenegger, reçoit le prix « prestigieux » d’Ambassadeur de la Conscience par Amnesty International, etc. Pas mal à 16 ans…
La fulgurance de son irruption encensée et la mise en scène plus qu’ostentatoire de sa démarche par les médias laissent songeur… comme les attaques dont elle est l’objet.
Vegan, refusant d’utiliser l’avion, dressant un tableau apocalyptique de notre futur déjà présent, Greta Thunberg est invitée à l’Assemblée nationale par 162 députés ce mardi 22 juillet, reçue par son vice-président, et participe à un débat et aux questions au gouvernement.
Mieux que Jeanne d’Arc, elle n’entend pas la voix de Dieu qui l’appelle, elle est Dieu lui-même. On croit marcher sur la tête. Un mélange d’écologie politique radicale, d’ultragauchisme, de droits-de-l’hommisme extrême, de prophétisme de gourou, d’apocalypse imminente. Icône d’une jeunesse inculte et caution généreuse de politiques manipulateurs à mauvaise conscience.
L’écologie politique paroxystique sombre dans une pantalonnade dérisoire et inquiétante.
Et pourtant, comme d’autres depuis peu, Greta Thunberg pose les bonnes questions, mais apporte des réponses ineptes dont on est en droit de se demander à qui elles profitent. La question de la décroissance est bien réelle et même incontournable et elle doit certainement être reconsidérée de manière radicale. Comme celle du système capitalisme financier mondialisé, obstacle fondamental à tout changement radical écologique. Nicolas Hulot les a déjà évoquées. Le grand journaliste objectif Jean-Michel Aphatie aussi, avec gêne. Mais aucun d’eux, y compris l’icône suédoise, ne propose de solutions satisfaisantes, au contraire, se contentant de psalmodier des incantations en appelant un progrès salvateur putatif autant qu’utopique et mortifère en réalité, ou de rêver d’une révolution systémique cosmopolite, genre hippies des années 68 puissance 10, comme Notre-Dame-de-la-Désolation.
Si notre Planète est en péril, c’est du fait de sa surpopulation humaine, au-delà des cycles naturels, par ailleurs, de réchauffement et de refroidissement alternatifs de la Terre. Or, cette surpopulation, mère de tous nos maux, y compris l’immigration, n’est jamais évoquée ni même envisagée comme la cause des nombreux dérèglements et pollutions catastrophiques, en effet, eux aussi. On lui préfère les bonnes vieilles solutions idéologiques de la gauche –comme de la droite moribonde d’ailleurs– nappées dans l’utopie d’une « race humaine » sacralisée au développement infini, qui détruit faune et flore allègrement avec tous les équilibres naturels, sans que cela fasse sourciller le moins du monde nos ayatollahs de l’écologie politique, Greta en tête aujourd’hui. L’Homme se développe non avec la Nature mais contre la Nature, éclairage que personne ne veut utiliser pour mener une véritable révolution naturaliste.
Nous voilà donc revenus aux « provos », « plutôt rouges que morts », et autres pacifistes béats des années 60 et 70 avec l’enfant-Dieu Greta Thunberg. Seuls les manipulateurs ont changé en modernisant un peu les thèmes mais avec les mêmes ressorts. On en finit par regretter l’ex-URSS et la Chine de Mao. Au moins, eux, on pouvait les identifier clairement.
Extrait d’une critique de l’IREF sur le rapport de Jean-Paul Delevoye (celui qui met 700 000 signatures à la poubelle), qui n’applique pas le principe de subsidiarité en venant encore renforcer le rôle de l’Etat omnipotent :
Le vice le plus fondamental est peut-être surtout dans la centralisation du nouveau système entre les mains de l’Etat. Une caisse unique des retraites universelles sera créée qui regroupera toutes les caisses et qui s’apprête sans doute ainsi à voler les réserves de 150 milliards d’euros des caisses complémentaires et indépendantes. Et l’Etat pilotera le tout. Certes, il est prévu d’associer les assurés et les professionnels au sein du conseil d’administration de cette structure et de lui adjoindre un « conseil citoyen », mais le budget sera préparé par l’Etat et inclus dans les lois de finances ! Et rien n’assure que les retraités seront représentés dans les instances mises en place.
Cette réforme est une pierre de plus dans la prise en charge « universelle » de la société par l’Etat avec en corollaire l’infantilisation croissante des individus. Il n’y a d’ailleurs aucun exemple étranger (pays riches et démocratiques) de système “universel” comme celui que veut mettre en place M. Macron.
Il reste une question sans réponse : comment et pourquoi M. Macron et son gouvernement peuvent-ils encore être critiqués pour leur libéralisme alors qu’une grande majorité des réformes engagées, et particulièrement celle des retraites, renforce le collectivisme dont est empreinte la politique de la France depuis des décennies ?
https://www.lesalonbeige.fr/reforme-des-retraites-un-nouveau-systeme-monopolistique/
«Il y a des similitudes […]. Pour François de Rugy, on parle d'une dizaine de dîners entre octobre 2017 et juin 2018 mais du côté d'Emmanuel Macron, c'était quasiment tous les soirs! C'était très très soutenu», a tenu à préciser Frédéric Says.
«La salle à manger peut accueillir les journalistes, les acteurs, les "people", les chefs d'entreprise, les chanteurs, le Tout-Paris et bien au-delà, accourus le plus souvent par l'entrée discrète située quai de Bercy», a-t-il souligné.