
magouille et compagnie - Page 1087
-
La République des coquins

-
La défaite en chantant

La crise qui se dessine risque d'être pour la France un pas de plus vers la perte de ses capacités productrices. Analyse de Natacha Polony sur ce qui s'est réellement passé à Bruxelles lors de la négociation de la dette. L'Allemagne, comme d'habitude s'en tire bien. Les Pays-Bas n'en parlons pas. Pour ce qui concerne la France, Emmanuel Macron est un joueur aux petits pieds.
Lire la suite ICI
-
L’insécurité en France n’est pas qu’un sentiment, c’est une réalité !

Une gendarme écrasée par une voiture conduite par un récidiviste, un jeune poignardé par un toxicomane, un conducteur de bus battu à mort par des marginaux, une jeune femme trainée au sol par une voiture pendant plus de 800 mètres… Au début du mois de juillet, des agressions d’une rare sauvagerie à Aiguillon, Bayonne et Sarcelles ont de nouveau mis en lumière l’existence d’une autre France. Une France que le journaliste Laurent Obertone appelle « la France Orange mécanique ». Ces faits divers tragiques s’inscrivent dans un contexte plus général marqué par l’augmentation de la délinquance et le laxisme des autorités. L’analyse des informations disponibles à ce sujet conduit à un constat évident : le gouvernement assure de moins en moins la sécurité des citoyens.
Cela devient une habitude : à chaque fois que des leaders politiques dits « populistes » commentent un attentat terroriste ou une agression sauvage, les belles âmes de gauche et du centre crient à la tentative de « récupération » pour glaner des électeurs. Les agressions à Sarcelles, Aiguillon et Bayonne n’ont pas échappé à la règle. Pourtant, les faits divers qui émaillent l’actualité sont révélateurs d’une réalité cruelle : notre pays est de moins en moins sûr. Les réponses qu’apportent les autorités à la délinquance ne sont pas à la hauteur. Les chiffres que nous présentons en témoignent.
-
La France de Macron dindon de la farce bruxelloise

Sur tous les médias, télés, journaux, radios, c’est le soulagement. Cocorico ! Macron a arraché, avec Merkel, un accord à Bruxelles à propos du plan de relance européen. Les journalistes annoncent la nouvelle un sourire aux lèvres, alléluia, nous sommes sauvés.
En réalité, derrière les congratulations unanimes des observateurs autorisés se cache une réalité bien plus inquiétante pour la France. Ce plan de relance européen est, en effet, historique : c’est la première fois que l’Union mutualise des prêts et subventions à son niveau. Un peu comme avait réussi à le faire Hamilton, au XIXe siècle, achevant ainsi de fédéraliser les États-Unis, jusqu’alors en ordre dispersé. Sur les 750 milliards du plan de relance, dont 390 milliards de subventions et 360 milliards de prêts, précise LCI, certains vont beaucoup recevoir, d’autres peu ou pas du tout, mais tout le monde finira par payer.
-
Les réformes c'est bon pour les autres
Ce 22 juillet, Jean-Yves Le Drian, chef de la diplomatie française, était attendu à Beyrouth. Sa venue s'inscrit dans une situation particulièrement dramatique pour ce pays autrefois charmant, héritier des Phéniciens de l'Antiquité, et dont la refondation comme État moderne remonte au mandat français de 1920.
Les lecteurs de L'Orient Le Jour, excellent journal francophone, y reçoivent quotidiennement le message selon lequel Paris, non seulement va chercher à sauver les établissements d'enseignement où l'on dispense encore, chose devenue rare dans le monde actuel, la précieuse langue de Molière, mais également, semble-t-il, le pacte pluricommunautaire sur lequel est fondée cette nation elle-même.
Or l'amitié, supposée indéfectible, que la France porte au Liban en tant que tel, se trouve instrumentalisée au travers du message global et des discours précis attribués à notre cher ministre des Affaires étrangères. Celui-ci ne manque pas d'être étiqueté comme ex-socialiste, et comme très laïc, il fait partie, avec la ministre des Armées Florence Parly, des rares membres du gouvernement qui ne passent pas pour ridicules, en dépit de leur provenance.
-
Barbarie, massacre, lynchage : Macron a parlé d' "incivilités", et... ça ne passe pas !
Il est absolument impossible de reprendre l'intégralité du raz-de-marée d'indignation et de révolte suscité par le scandaleux "incivilités" macronien pour parler de la mise à mort quasi quotidienne, dans des circonstances de plus en plus souvent atroces, d'honnêtes citoyens français. Demain, ce sera nous ! Par la folie migratoire criminelle du Système, qui laisse entrer en France n'importe qui depuis près de cinquante ans, nous sommes 66 millions de condamnés potentiels, en danger vingt quatre heures sur vingt quatre, sept jours sur sept et trois cent soixante cinq jours par an !
Voici cependant quelques uns des messages postés depuis ce scandaleux "incivilités"...
-
Pour un Conseil de Défense sécuritaire.
Emmanuel Macron réunira vendredi un énième Conseil de Défense afin d'étudier la mise en place de mesures supplémentaires en cas d'aggravation de la crise sanitaire, demain, après demain ou à la Saint Glinglin...En revanche, pas de Conseil de Défense pour traiter en urgence de l'ensauvagement d'une France livrée à la violence de la racaille. Pas de Conseil de Défense pour prendre les mesures qui s'imposeraient pour enrayer la montée fulgurante de la barbarie qui ensanglante le pays. Pas de Conseil de Défense pour mettre au pas ceux qui crachent leur haine de la France et des Francais. Pas de Conseil de Défense pour en finir avec les trafics des maîtres allogènes des cités. Pas de Conseil de Défense pour extirper des caves des banlieues où elles sont entreposées les armes de guerre qui demain tueront les nôtres. Pas de Conseil de Défense pour préparer la riposte la plus sévère à l'explosion des banlieues qui approche. Pas de Conseil de Défense pour rétablir l'ordre public. Pas de Conseil de Défense pour définir les conditions d'un arrêt total de l'immigration et organiser le retour de ceux qui ne doivent plus rester sur notre territoire national.Le coronavirus circule, c'est entendu... On le dit en tout cas. Mais le crime, la violence brute, la volonté de détruire, de brûler, de blesser et de tuer, galopent et se répandent dans les rues de nos villes et nos campagnes. Sans masques. -
Incendie de la cathédrale de Nantes : le message lamentable de la Ligue de défense noire africaine

Dans les réactions faisant suite à l’incendie de la cathédrale de Nantes, l’unanimité dans les hommages a été brisée par le message lamentable publié sur les réseaux sociaux par la Ligue de défense noire africaine (LDNA).
« Oh ! Feu sur la cathédrale de Nantes ? La cathédrale payée par les négriers nantais par l’argent de la traite-esclavage ? Qu’a fait l’église catholique pour empêcher la déshumanisation de nos ancêtres ? Pas un sermon ni une bulle du pape François pour les Nègres ! Même si vos curés en Louisiane achetaient et revendaient nos ancêtres déshumanisés ! Pétris de votre négrophobie patristique, vous avez pas seulement gardé le silence mais vous avez participé à notre déshumanisation ! La seule voie honorable : le christianisme tout entier se dissolve de lui-même… »
-
Partout, en Occident, « l’antiracisme » fait rage…

Le Parisien du 18 juillet signalait l’arrestation d’une équipe de « passeurs » transportant, moyennant 5.500 euros, des clandestins de la Grèce à l’Italie au moyen de yachts acquis à cet effet. À la fin de l’article est signalée une vidéo, illustrée par une photo représentant deux hommes à la pigmentation dite « noire » et incluant la légende suivante : « Paroles de réfugiés : “On cherche une vie libre et digne”. » Corollaire : dans leur pays d’origine, leur vie est donc « non libre et indigne ».
Mais que cherchent donc tant de millions d’opprimés sur un continent européen où les nations – France en tête – sont « structurellement racistes » ? Ben, réfléchis ! Ils viennent s’abreuver à la liberté et la dignité que leur offrent des nations structurellement racistes : logique.
-
L’homme qui accuse Adama Traoré de l’avoir violé en prison a été indemnisé

Adama Traoré était visé par une plainte pour viol, deux mois avant son décès, déposée par son ancien codétenu de la prison d’Osny (95). Selon la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (CIVI), les faits seraient bien établis, l’ancien codétenu d’Adama Traoré ayant été indemnisé, rapporte notamment le Figaro:
« Le 6 septembre 2016, deux mois après la mort d’Adama Traoré, son codétenu à la prison d’Osny avait dénoncé des faits d’agression sexuelle. Il avait confié aux enquêteurs avoir été contraint, plusieurs fois par jour, de lui pratiquer des fellations, alors que ce dernier le menaçait à l’aide d’une fourchette. Le 28 décembre 2018, le jeune homme avait finalement saisi la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (Civi) de Pontoise pour obtenir l’indemnisation de son préjudice. Réunie en décembre 2019, la Civi a rendu sa décision le 12 mars 2020. Le codétenu d’Adama Traoré a été indemnisé, la Civi établissant les faits d’agression sexuelle. »


