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magouille et compagnie - Page 1194

  • Macron met le feu à La Réunion – Journal du 25 octobre 2019

     

    Macron met le feu à La Réunion

    En déplacement dans l’Océan Indien, le président de la République doit faire face à la réalité sur l’île de La Réunion ! De violents affrontements ont eu lieu lors de son passage et ses déclarations entre effets d’annonce et petites polémiques n’ont pas apaisé les esprits.

    La carte judiciaire, une arme électorale

    Nicole Belloubet chahutée par la révélation d’une note confidentielle. Alors que les élections municipales s’annoncent périlleuses pour la majorité, le garde des Sceaux envisagerait de différer les annonces de la réforme de la carte judiciaire en fonction des résultats. Une véritable instrumentalisation de l’appareil judiciaire à des fins électoralistes.

    Les Etats-Unis face au fentanyl

    Il est l’un des opiacés les plus dévastateurs aux Etats-Unis : le fentanyl. 40 fois plus puissante que l’héroïne, cette drogue tue plusieurs dizaines de milliers de personnes chaque année et les autorités ont bien du mal à endiguer le phénomène.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/macron-met-le-feu-a-la-reunion-journal-du-25-octobre-2019

  • Emmanuel Macron : «Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire»

    Le président Emmanuel Macron, interrogé par « Réunion la 1ère » et « Antenne Réunion », qui lui demandaient si le port du voile était souhaitable dans l’espace public, a répondu : «Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire. C’est ça la laïcité», en ajoutant que «Le port du voile dans les services publics, à l’école, quand on éduque nos enfants, c’est mon affaire. C’est ça la laïcité».

    Alors qu’il dénonçait « le débat qui consiste à ne stigmatiser qu’un seul signe religieux », le président a toutefois reconnu l’importance du devoir de neutralité des agents dans les espaces où le service public est rendu, avant de concédér que le communautarisme était le « cœur du problème » : «il y a aujourd’hui des femmes et des hommes, citoyens français, qui disent: “De par ma religion je n’adhère plus aux valeurs de la République”». «Je sors mon enfant de l’école pour le mettre peut-être à la maison ; je refuse qu’il aille se baigner avec d’autres, apprendre la musique… Et j’ai un projet de vie et de société qui n’est plus d’être ensemble dans la République mais, au nom de ma religion, de porter un autre projet politique».

    «Ça, c’est un problème pour moi. Ça, c’est un communautarisme. Et dans ce cas-là, j’ai un problème avec l’utilisation, la revendication, en quelque sorte, qui devient politique, de ce séparatisme. Si on confond les sujets, à ce moment-là on se met en situation de ne pas pouvoir véritablement régler le cœur du problème qu’à la République française, qui est le communautarisme», a-t-il conclu.

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/emmanuel-macron-le-port-du-voile-dans-lespace-public-nest-pas-mon-affaire

  • Nadia Remadna : “J’ai vu des élus négocier des voix avec des intégristes”

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    Nadia Memadna, fondatrice de l’association la “Brigade des mères” qui lutte contre la montée de l’intégrisme islamique dans les banlieues est l’invitée d’André Bercoff sur Sud Radio.

    Source: Sud Radio

    https://www.alterinfo.ch/2019/10/23/nadia-remadna-jai-vu-des-elus-negocier-des-voix-avec-des-integristes/

  • Une note lierait résultats électoraux et suppression de postes de juges d’instruction !

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    Une note des services de Mme Belloubet dévoilée, le 23 octobre par Le Canard enchaîné a provoqué, à jute titre, un tollé chez les syndicats de magistrats et crée un profond malaise dans l’opinion. Selon ce document, la chancellerie a sollicité une réunion avec l’un des conseillers du Premier ministre et des experts électoraux de LREM afin de déterminer les villes pouvant être gagnées par les fidèles de M. Macron et de différer, pour celles-ci, les annonces de suppression de postes de juges d’instruction. Il s’agirait de ne pas mécontenter l’opinion publique locale.

    En effet, la réforme de la carte judiciaire promulguée en mars permet de telles modifications dans les départements où plusieurs villes sont pourvues de juges d’instruction. Cette mesure peut se comprendre : est-ce utile de conserver dans une agglomération un poste de magistrat instructeur et tout son cabinet pour moins de cinquante dossiers par an ? Alors que notre pays étouffe sous l’hydre d’un déficit structurel, chercher à économiser sans trop nuire à l’administration de la  est logique et guère contestable.

    Mais le contenu de la note interne provoque avec raison la fureur des syndicats, car des postes de juges d’instruction seraient provisoirement sauvés pour permettre à un candidat LREM de s’imposer ! C’est le cas à Montluçon, où le magistrat instructeur a traité 22 dossiers en 2018 (deux par mois !) et qui serait maintenu, car la ville serait « gagnable », la population locale ayant voté plus que la moyenne pour M. Macron aux présidentielles. Apparemment, le juge d’instruction de Montluçon finira par sauter, mais sans doute dans une période de creux électoral, loin de toute échéance.

    Mme Belloubet se défend mollement ; elle ne nie pas l’existence de cette note, juste son interprétation. Elle ne souhaite pas, évidemment, assumer le cynisme total que ce document implique.

    Dans le nouveau monde macronien, qui devait tant différer de l’ancien, recevra-t-on des avantages si on vote bien. En revanche, si on choisit des candidats d’opposition, sera-t-on sévèrement sanctionné ? Un des ténors de LREM n’avait-il pas annoncé que les maires qui seraient élus sans le soutien de M. Macron seraient considérés comme des ennemis ? Avons-nous l’illustration de ces propos qui ont fait scandale lorsqu’ils ont été émis ? En 1860, MM. Erckmann et Chatrian, les chantres de l’Alsace française, démontaient les mécanismes qui permettaient à Napoléon III de gagner, sans bourrer les urnes, les différents plébiscites qu’il soumettait aux Français : les villages qui votaient bien avaient droit à de menus avantages comme laisser paître leurs cochons dans les bois de l’État. Sommes-nous revenus à cette époque peu démocratique ? Peut-être.

    Le malaise est en tout cas profond. Les gouvernements précédents n’étaient pas plus vertueux, leurs pratiques s’approchaient de celles qui sont reprochées à Mme Belloubet. Mais elles n’étaient pas revendiquées et assumées sans complexes par un pouvoir qui se pose en modèle de vertu. La première mesure votée par la majorité de M. Macron ne portait-elle pas sur une illusoire moralisation de la vie politique ? Que reste-t-il, au bout de trois ans, de cette prétendue volonté ? Pas grand-chose 

    Christian de Moliner

    https://www.bvoltaire.fr/une-note-lierait-resultats-electoraux-et-suppression-de-postes-de-juges-dinstruction/

  • “Ce sont les immigrés eux-mêmes qui décident de la politique migratoire de la France”

    Extrait de 2mn17 du face à face sur CNews entre Eric Zemmour et le député François Pupponi, ancien maire de Sarcelles, ancien du PS et membre du GOF :

    https://www.lesalonbeige.fr/ce-sont-les-immigres-eux-memes-qui-decident-de-la-politique-migratoire-de-la-france/

  • MARTIN PELTIER : CE CHAOS N’EST PAS FORTUIT, IL A ÉTÉ VOULU ET ORGANISÉ

  • LA STRATÉGIE MACRON POUR RÉCUPÉRER L'ÉCOLOGIE (DÉCRYPTAGE)

  • La loi sur la PMA n’est pas encore votée que la propagande pro-GPA commence sur le service public

    La loi sur la PMA n’est pas encore votée que la propagande pro-GPA commence sur le service public

    Après l’irruption de la GPA dans le débat parlementaire avec l’adoption d’un amendement, vite rejeté suite à la contestation nationale ; après les décisions de justice favorables à la location d’utérus ; voilà la propagande pro-GPA sur le service public.

    Cela commence par un sondage (dont on ignore la question), qui estime que les Français se disent favorables à l’autorisation du recours à une mère porteuse à 68 % pour les couples hétérosexuels et à 53 % pour les homosexuels.

    Cela se poursuit avec des émissions orientées pour faire pleurer dans les chaumières, sur le thème de “c’est trop injuste”…

    Après, il y en a qui peuvent toujours se rassurer en se répétant que le gouvernement est totalement contre la GPA, que c’est la limite à ne pas franchir, etc, etc.

    Voir la fin

  • La révolution comme crime et comme déclassement

    6a00d8341c715453ef0240a4e2cc0a200b-320wi.jpgCe 16 octobre, lugubre anniversaire, on pouvait, on aurait dû, honorer le souvenir de la malheureuse reine de France Marie-Antoinette[1]. Elle ne fut pas seulement guillotinée en 1793 après un procès abject : son triste destin ternit encore, s'il en est besoin, le souvenir de la révolution française, pour ce qu'elle fut effectivement : une horreur.

    Si l'on entend construire un avenir de libertés, on ne saurait trop s'interroger peu plus au sujet de cette séquence de l'Histoire de France. Certains osent la tenir pour leur gloire fondatrice ; d'autres y voient au contraire le commencement de la fin. Elle n'est pas seulement entachée de ses crimes, telle Lady Macbeth : on doit comprendre qu'elle inaugure aussi l'ère du déclassement.

    Les périodes de déréliction, en effet, présentent un avantage paradoxal. Elles nous offrent l’occasion de nous poser la question "comment en sommes-nous arrivés là".

    Parmi les sujets d'affliction, hélas nombreux ces temps-ci, et soulignons-le : toutes proportions gardées, certains nostalgiques de la présence française dans le Proche-Orient ne manquent pas de s'interroger par exemple à propos du désastre de l'abandon des Kurdes de Syrie. On peut ainsi appliquer à nouveau cette remarque, désormais récurrente qui inspirait notre chronique[2] datée du 14 octobre : comment en est-on arrivé là?

    "Rarement dans l’histoire récente, nous n’avions vu une telle déconfiture française. La colère de Paris ne traduit que son impuissance. Pour la France, l’affaire syrienne aura été consternante de bout en bout." Observée de la sorte, par la très bourgeoise "Opinion", journal couramment favorable au pouvoir et au projet macroniens cette analyse de Jean-Dominique Merchet pèche sur un mot : l'adverbe "rarement".

    La pertinence, depuis deux siècles, de l'action extérieure de l'État français, me semble en effet l'exception. La règle paraît plutôt celle de l'incohérence, de l'inconstance et de l'absurdité.

    Travaillant actuellement sur le centenaire oublié du traité de Versailles, et à sa ratification, désormais occultée, votée par la chambre des députés en octobre 1919, traité complété par non moins injustes et non moins ineptes traités de Saint-Germain-en-Laye (10 septembre/21 octobre), Neuilly (27 novembre), Trianon (4 juin 1920) et Sèvres (10 août 1920) votre chroniqueur ne peut hélas que retrouver la trace de cette accablante imbécillité revancharde et sectaire, d'où est sortie la seconde guerre mondiale.

    C’est à la même époque en effet, où l'on s'abandonnait déjà à l'illusion mondialiste, celle de la Société des Nations, qu'en même temps, à l'occasion des Jeux Olympiques d'Anvers de 1920, on consacra officiellement le chauvinisme sportif de masse : les athlètes concourent, de façon institutionnelle désormais, au titre de leur nationalité juridique. Pierre de Coubertin, connais pas.

    C'est d'ailleurs au même moment où l'armée française, victorieuse en 1918, semble la plus puissante du monde, que la langue française cesse d'être celle des relations internationales.

    La question reste donc, répétons-le : "Comment en est-on arrivé là" ?

    À une telle interrogation, toute l'œuvre d'Emmanuel Beau de Loménie tend à répondre autour d'une thèse devenue centrale, celle des "Responsabilités des dynasties bourgeoises[3], cette histoire non-conformiste de la France contemporaine écrite à partir du désastre de 1940, et publiée à partir de 1943.

    Pour faire plus simple, ces "dynasties" étant étudiées et définies comme les héritières des profiteurs de la Révolution de 1789, c'est-à-dire avant tout des acquéreurs de biens nationaux, c'est bien évidemment la révolution elle-même, dans son ensemble, qu'il convient de mettre en examen.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] à visiter : "une femme de l'ombre, celui de sa belle-soeur Marie-Joséphine" à la Chapelle expiatoire
    [2]cf. "Une découverte tardive : le danger Erdogan"
    [3] cf. article "Une caste : les dynasties bourgeoises" in Le Monde 10 janvier 1978

    6a00d8341c715453ef0240a4be1351200d-320wi.jpgAux origines du déclassement de ce pays Charles Freppel : La Révolution française"
    Injustement oublié de nos jours l‘auteur fut l'une des plus intéressantes figures de la droite monarchiste du XIXe siècle. Constructeur actif, et politique intelligent, cet évêque d'Angers fut à l'origine des universités libres catholiques. Cet Alsacien saura se faire élire, en pleine IIIe république, député royaliste de Brest. Adversaire lucide de l'héritage jacobin, il résume dans ce petit livre fort, écrit à l’occasion du Centenaire, toutes les entraves, toutes les idées fausses et toutes les nuisances que les plaies de la Révolution de 1789 ont projetées sur l'avenir de la France. Il reprend ici un par un tous les faux arguments que nous entendons seriner encore aujourd’hui, y compris par des gens sincères, qui se disent “patriotes”, et de droite.
    ••• Un livre de 160 pages au prix de 20 euros.
    • à commander sur la page catalogue des Éditions du Trident
    • ou par chèque en téléchargeant un bon de commande

     →Lire aussi la Chronique de L'Insolent du 17 juillet 2008 "De la révolution, du 14 juillet, du jacobinisme et de l'horreur qu'ils doivent nous inspirer." Petit hommage à Charles Freppel.

    https://www.insolent.fr/

  • « Big Fertility » : un reportage sur le business de la GPA aux USA

    Kelly a été mère porteuse à trois reprises, dans le Dakota, un État américain où la GPA est autorisée : « À ma troisième GPA, le couple commanditaire n’était plus du tout sûr de vouloir des enfants que je portais car j’étais enceinte de deux garçons alors qu’ils avaient payé un supplément pour avoir un garçon et une fille. J’avais donc été implantée avec un garçon et une fille, mais ce sont des choses qui arrivent : la petite fille a été expulsée et l’embryon garçon s’est dédoublé, formant des jumeaux. Bref, en tout cas je devais chercher un plan B car je ne savais pas du tout, et ce jusqu’au dernier moment, si les commanditaires prendraient les bébés, et à la naissance j’ai finalement passé pas mal de temps avec eux… Je me suis rendu compte à quel point ils reconnaissaient ma voix, mais aussi celle de mon mari car lorsqu’il était présent dans la pièce, ils réagissaient, alors qu’ils ne bougeaient pas du tout lorsque le père «adoptif» était là. J’ai donc compris que même si moi je me refuse à considérer ces enfants comme les miens, eux, bien sûr, ne peuvent pas comprendre que je ne suis pas leur vraie mère. »