magouille et compagnie - Page 1624
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La France vient de subir un coup d'état, ALORS Résiste !!!
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Certains candidats et responsables départementaux de En Marche ! sont liés aux islamistes
Joachim Veliocas, directeur de l'Observatoire de l'islamisation, a été interrogé sur Le Rouge et Le Noir. Extrait :
"Certains candidats et responsables départementaux de En Marche ! sont liés aux islamistes comme à Mulhouse, dans le Pas-de-Calais, Val d’Oise et Seine-Maritime (voir le dossier très précis de Mohamed Louizi), et ils ont déjà obtenu l’autorisation du voile à l’université et peut-être dans les entreprises si le nouveau président confirme ses propos tenus en meeting. Un parti musulman va présenter quelques candidats, l’Union des démocrates musulmans de France. Mais la stratégie généralement adoptée reste l’entrisme et le lobbying, comme dans les mairies de Beauvais, Aubervilliers, Strasbourg et Marseille où des conseillers municipaux de la majorité sont membres des associations pilotant la mosquée de la ville ou un « campus islamique » pour Strasbourg. A Argenteuil, on se souvient du « conseil des cultes » intégré à la mairie pour salarier deux militants musulmans ! Les cas sont nombreux. Cette dernière stratégie a prouvé son efficacité.
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Qui à Matignon ? Le casting a déjà commencé !
Bref, le grand chambardement dans la continuité, s’agissant de mettre en œuvre ce qu’un Alain Juppé, avant lui, avait naguère conceptualisé. Pas facile, l’affaire devant être bouclée avant ce lundi prochain. Les possibles prétendants, trop connus ou pas assez, sont aussi souvent trop vieux pour être assez jeunes et vice versa.
Emmanuel Macron laisse pourtant entendre : « J’ai plusieurs profils en tête, dont un profil masculin et un profil féminin. » Ce sera donc un homme ou une femme, mais qui devra avoir ceci de commun d’être une sorte de transgenre politique. Petit détail qui a toute son importance, « ce ne sera pas un collaborateur, ni le porteur d’un agenda personnel ». Ce qui signifie qu’Emmanuel Macron ne veut pas d’un autre éventuel Emmanuel Macron, que ce soit à Matignon ou dans son gouvernement.
Et le même de nous faire savoir : « Ce sera quelqu’un qui aura une expérience dans le champ politique, les compétences pour diriger une majorité parlementaire et les compétences pour animer un collectif gouvernemental qui sera profondément renouvelé. » Si l’on résume, quelqu’un de pas trop jeune, une fois de plus, mais pas trop vieux non plus. Avec une solide expérience de la politique politicienne, mais sans excès. Un homme – ou une femme, donc – d’expérience, mais qui aurait tout à apprendre, qui saurait sans savoir, qui saurait ménager la chèvre et le chou, qui serait de gauche tout en étant de droite. Soit une prostipute qui aurait su conserver sa virginité, ou une rosière susceptible d’arguer d’un sacré paquet d’heures de vol dans la culotte. Nous voilà bien avancés.
Après, les noms défilent déjà, tel qu’il se doit, entre les authentiques présélectionnés du casting et les autres qui s’y voient déjà alors que rien ne leur a été demandé. Et sont, dès lors, inscrits sur le carnet de bal :
Édouard Philippe, député-maire du Havre, ancien socialiste passé chez Les Républicains, tendance Alain Juppé tout en se réclamant de Michel Rocard.
Bien de sa personne, malgré un look assez Village People, et parfait inconnu du grand public.Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense et poids lourd du précédent gouvernement. Élu sans discontinuer depuis 1978. Dans le genre renouveau, on a vu mieux.
François Bayrou, qu’on ne présente plus, mais dont la cote en matière de fidélité politique n’est pas exactement au top. Lui, au moins, est connu de tous, et c’est peut-être bien ce que certains lui reprochent.
Jean-Louis Borloo, qu’on ne présente plus non plus, éternel vieux jeune homme à la mine toujours un peu chiffonnée. Il est prétendu que le courant passe mal entre les deux hommes, mais quelle idée, aussi, de lui mettre plus de glace que de whisky dans son verre…
Richard Ferrand, secrétaire général d’En Marche !, élu socialiste en 2012, il a été le rapporteur de la loi Macron à l’Assemblée et entretient les meilleures relations avec Renaud Dutreil, ancien ministre sarkozyste et fondateur du club La droite avec Macron. L’un des plus plausibles, malgré un indéniable charisme d’huître pas tout à fait fraîche.
Gérard Collomb, le maire de Lyon, rallié de la première heure mais qui, à bientôt soixante-dix balais, n’a plus rien du perdreau de l’année.
Anne-Marie Idrac, proche de François Bayrou. Une femme, évidemment, ancien secrétaire d’État aux Transports dans le premier gouvernement chiraquien de 1995, mais un visage présentant l’insigne inconvénient d’être trop connu sans avoir jamais été célèbre.
Sylvie Goulard, encore une proche de François Bayrou. Même punition, même motif, quoiqu’en pire, sachant qu’elle n’a jamais été ni connue ni encore moins célèbre. Pour couronner le tout, elle a largement passé l’âge de se faire passer pour une jeune pousse.
Après, demeure toujours une possibilité jusque-là négligée. Le soir de son discours, place du Louvre, le 7 mai dernier, rappelez-vous le gros plein de soupe scotché derrière le tout nouveau Président en ce touchant cliché de famille nombreuse. Si, si, celui qui avait trouvé malin de se présenter à la cérémonie avec un tee-shirt de camionneur et une casquette de baseball, sorte de sosie quasi officiel du cinéaste américain Michael Moore. Eh oui, pourquoi pas lui ? Dans cette jolie foire d’empoigne qui s’annonce, nul doute qu’il présente une belle tête de vainqueur.
Nicolas Gauthier Journaliste, écrivain
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7 mai 1945 – 7 mai 2017 : l’effondrement du système américain en Europe
Avec la présence de Marine Le Pen au second tour des élections présidentielles, les Français se voient offrir une leçon de politique internationale de premier ordre. Les plus conscients n’apprendront rien, mais des millions d’entre eux goûtent déjà la potion préparée pour eux par la finance internationale new-yorkaise et londonienne.
Le “retour du fascisme”
Nombreux sont ceux qui, depuis des décennies, ont été nourris aux mythes pour enfants de la Seconde Guerre Mondiale, la fameuse “Croisade des démocraties” contre la bête fasciste. Une croisade qui, au passage, s’accommoda fort bien de la coopération du bolchevisme du haut de sa cohorte sanglante de dizaines de millions de morts ukrainiens, russes, polonais, etc.
Les Français n’ont jamais dévié, pour ainsi dire, de cette vision naïve de l’histoire et de la conclusion – temporaire – de 1945 qui n’est qu’un volet d’une guerre bien plus large : la guerre menée contre l’Europe continentale par la finance établie dans les îles anglo-américaines avec l’appui de la troisième république française.
C’est pourquoi, nombre d’entre eux découvrent, stupéfaits, que Marine Le Pen serait “fasciste”, “pétainiste” et “antisémite”, un “danger pour la démocratie”. Découverte que font également ceux qui, lassés par l’état de la situation, se rallient à la candidate du Front National.
L’inoffensif gaulliste Nicolas Dupont-Aignan fait lui aussi l’expérience de la diabolisation antifasciste. Peu importe ce qu’ils ont dit et fait, peu importe leur adhésion totale au gaullisme – lui-même antifasciste -, ils sont désormais irrémédiablement affiliés au fascisme.
Ils découvrent que les étiquettes revendiquées importent peu. Et ceci pour une bonne raison : seules les forces ayant triomphé entre 1914 et 1945 peuvent déterminer qui appartient, ou non, au camp de la “démocratie”. Au premier rang desquels se trouvent les USA et leurs maîtres. Quiconque cherche à s’émanciper de l’empire anglo-américain en Europe, quiconque entend émanciper le continent politiquement et financièrement, ou plus modestement son pays, perd les faveurs des “démocraties bienveillantes” coalisées.
Il n’y a pas de liberté ou d’indépendance dans ce fameux camp “démocratique” : uniquement le pillage le plus complet et la soumission la plus totale. Lorsqu’un chef de gouvernement tente, comme Viktor Orban, de contenir les menées des architectes de ce système, comme M. Soros, ils sont violemment pris à partie par les autres gouvernements qui s’organisent en cartel et menacent.
Peu importe que M. Orban soit démocratiquement élu ou non, sa résistance à la finance internationale et à ses projets n’est pas permise.
Les Français désirant rompre, même mollement, avec ce système sont donc placés dans le camp du fascisme, du “pétainisme” pour le cas français, quand bien sont-ils, pour l’essentiel, d’un légalisme républicain parfaitement banal.
Marine Le Pen et ses millions d’électeurs apprennent que leur appartenance au fascisme ne relève pas de leur choix mais des décisions prises à Washington et Londres, mais aussi à Bruxelles et à Paris. Ce sont ces forces internationales qui désignent leur ennemi et décident qui appartient, ou pas, au camp fasciste. C’est-à-dire, au camp ennemi d’une guerre qui continue.
C’est ce dont Marine Le Pen est en train de prendre la mesure, malgré sa volonté de normalisation. La ploutocratie internationale ne craint pas tant Marine Le Pen que son électorat, la sachant exposée à ses attentes, même minimales. Si Marine Le Pen décide de transiger, d’accommoder ses ennemis intérieurs et extérieurs, rien n’y fera : les forces qui animent son électorat la rendent définitivement suspecte.
72 ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale
Fait particulièrement frappant, le second tour des élections présidentielles françaises aura lieu 72 ans, jour pour jour, après la capitulation de l’Allemagne à Reims, le 7 mai 1945. C’est la durée du cycle du changement politique.
Il a fallu 72 ans pour que le communisme oriental s’effondre, entre la révolution russe (1917) et la chute du mur de Berlin (1989). C’est la même durée qui sépare la fondation de l’invasion de la Corée du Nord par l’URSS (août 1945) et la montée des tensions qui culminera cet été avec une possible chute de Kim Jong Un sur fond de course à l’armement nucléaire.
Le résultat des élections sera officiel le 8 mai. Il est probable que ce résultat soit de nature à remettre en cause la situation générale de l’Europe héritée de l’occupation alliée depuis 1945. Le début de l’effondrement du “Bloc de l’Ouest”, d’une certaine manière.
Ce changement implique au premier rang l’héritage de Bretton Woods et de l’établissement du dollar comme monnaie de réserve mondiale.
Après le 8 mai, il est en effet possible, sinon probable, que de sérieux coups seront donnés à l’Euro et aux dettes souveraines européennes, aboutissant à un flux de capitaux massifs vers les USA. Ce qui générerait l’envolée du dollar, contredisant ainsi les objectifs mercantilistes affichés de Donald Trump.
Devant choisir entre impératifs internationaux que dicte une monnaie établie comme monnaie de réserve mondiale et ses besoins domestiques, il est possible que la Federal Reserve décide d’augmenter ses taux d’intérêts. Avec comme effet le renchérissement massif des l’explosion des dettes contractées par les économies périphériques de la planète. Le dollar ne pourra plus être conservé comme monnaie de réserve mondiale.
Pour l’Europe, le démantèlement de l’Union Européenne devient possible à partir de 2022, soit 72 ans après la proposition de la création de la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier.
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Présidentielles 2017 : L'imposture républicaine
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LA HAUTE FINANCE INSTALLÉE À L’ELYSÉE : VIVE LA RIPOUBLIQUE !
Pierre Vial Président de Terre & peuple
Les gros malins friqués et les jobards ont désormais le Président qu’ils méritent et qu’ils ont voulu : ce produit type de la Haute Finance anonyme et vagabonde, comme disait Henry Coston.
Avec lui, pas d’erreur possible : les très riches seront encore plus riches, les très pauvres encore plus pauvres. En application d’un libéralisme pur et dur, qui sème sur sa route précarité, pauvreté, désespoir. Rassurez-vous : cela n’empêchera pas les bobos de dormir. Tout au moins jusqu’au jour où on ira les réveiller pour les pendre à l’arbre le plus proche…
Car nous entrons dans une nouvelle phase de l’Histoire dont les apprentis sorciers qui ont monté l’opération Macron s’imaginent qu’ils pourront la maîtriser, comme d’habitude. Or ils ont fabriqué et mis en place un Golem (rappelons à ceux qui ne sont pas familiarisés avec la tradition juive et la kabbale que le Golem est un puissant monstre anthropoïde, fabriqué par un rabbin avec de l’argile, destiné à servir inconditionnellement son créateur… mais qui peut lui échapper).
Bien sûr, le monde du fric roi est aux anges : la créature qu’il a fabriquée de toutes pièces et installée à l’Elysée va servir au mieux ses intérêts. Pendant cinq ans ? Les dieux en décideront. En inspirant peut-être à un peuple méprisé, bafoué, exploité une volonté de révolte aboutissant à la destruction du Golem.
C’est à cette œuvre de libération qu’il nous faut maintenant travailler, en particulier sur le terrain social, économique et culturel, au plus près des réalités, à la base, au contact de toutes celles et de tous ceux qui vont souffrir de plus en plus de la casse à grande échelle organisée par des gens qui se croient désormais tout permis et veulent écraser toute résistance. Il faut entrer en sécession, rompre tous les ponts avec un Pays Légal qui doit devenir de plus en plus une carcasse vide. Que le Pays Réel organise son autodéfense et sa survie – et tout sera possible. Comme a dit un jour un grand soldat : « Courage, on les aura ! ».
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Lettre à Macron, nouveau président de la république. HS#6
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Manif sauvage à Paris
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Terres de Mission #31 : L’ Observatoire de la christianophobie TVLibertés TVLibertés
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Le peuple n’a pas encore assez souffert
Les Français, qui se croient un peuple politique, n’auront été qu’un troupeau manipulé.
Macron, dimanche soir, n’a pas été élu.
Il a été porté au pouvoir, nommé devrais-je dire, par la coalition et la collusion des puissances financières internationales, des médias qui leur appartiennent, des syndicats qu’ils ont su corrompre et d’un système politique à bout de souffle mais bien aidé par une justice sans honneur ni décence. Appelons cela les forces capitalistes dans ce que cette acception a de pire. Nous aurons vécu, à l’occasion de cette élection, un véritable coup d’État politico-médiatico-judiciaire.
Ce type de système politique a un nom, et la dictature de fait dans laquelle nous sommes entrés depuis l’adoption en Congrès du TCE, rejeté pourtant par référendum, sera de moins en moins soft. Les ordonnances nous feront même regretter le 49-3, moins sournois.
Les Français, qui se croient un peuple politique, n’auront été qu’un troupeau manipulé. Ce peuple, que l’on disait et que je croyais fier hier encore, s’est avachi sous les coups de boutoir de la pensée unique.
Nous sommes entrés dans le règne des imprécateurs.
Malgré les chômeurs et les pauvres, les SDF et les suicides des agriculteurs, les attentats, les morts et les blessés, et tant d’autres choses inacceptables, il n’a pas encore assez souffert pour se rebeller, mais ceux qui se croient encore à l’abri vont être, eux aussi, peu à peu touchés par la casse sociale que Macron leur réserve et vont rapidement déchanter : ça va commencer par la fin du CDI et ça se terminera avant la fin du mandat par la mort du SMIC. Nos oubliés d’aujourd’hui sont les abandonnés de demain.
Alors, seulement, ils se réveilleront ; espérons qu’il ne sera pas trop tard, parce que, pour moi, il reste encore un danger bien pire et que je redoute : la suppression, par un moyen ou un autre, de l’élection du Président au suffrage universel.
Le communautarisme prôné par Macron, la négation de la nation qu’il professe, l’abandon délibéré de notre culture, la mise en cause de nos arts, de nos traditions, de notre civilisation chrétienne, le dénigrement de nos inspirations philosophiques et politiques gréco-romaines, la repentance permanente qui lui fait courber l’échine devant le premier venu jusqu’à nous accuser collectivement de crime contre l’humanité (imprescriptible par définition) ne vont pas rester sans effet non plus. Les conséquences n’en seront pas seulement matérielles et, dans l’esprit des Français, cette nouvelle vision de notre pays va marquer les subconscients aussi sûrement que les roues des chariots l’ont fait sur la via Romana, en creusant des sillons à combler jusqu’au moment de devoir refaire la route.
Ce Président en kit fabriqué de toutes pièces par les tenants du Nouvel ordre mondial, Bilderberg inclus, qui nous l’envoient et dont Sarkozy vantait déjà les mérites retournera à son salaire de 300.000 € mensuels, agrémentés sûrement de primes exceptionnelles pour services rendus. Car je doute qu’après cinq ans de casse sociale sans résultats significatifs, de dégradation de la situation générale en matière de chômage, déficit, dette, balance commerciale, il puisse, à l’instar de son père spirituel, se représenter. Je pressens un mandat « one shot ».
Espérons cependant que, durant son mandat, nous n’aurons pas à subir un incident financier gravissime, par exemple le krach des banques italiennes ou de la Deutsche Bank, celui des prêts étudiants aux États-Unis, le défaut de la Grèce, qui seraient une redite en pire de la crise de 2008 dite des subprimes, et que les nouveaux terroristes qui vont affluer cet été sur nos côtes seront empêchés d’ajouter à nos malheurs.
Même si, hélas, je n’y crois pas trop