magouille et compagnie - Page 1633
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Le nombre de banquiers millionnaires en nette hausse en France
Les quatre grandes banques françaises comptent 102 banquiers gagnant plus de 1 million d’euros dans l’Hexagone. Un chiffre en hausse de 24 % par rapport à l’année 2015.En 2016, les grandes banques françaises se sont révélées beaucoup plus généreuses envers leurs banquiers millionnaires... installés en France. Dans l'Hexagone, 102 collaborateurs de BNP Paribas, de Société Générale, du Crédit Agricole et de Natixis se sont vu attribuer plus de 1 million d'euros chacun l'an dernier. Un chiffre en hausse de 24 % par rapport à 2015. Des quatre grands groupes, la banque de la Défense est celle qui en compte le plus sur le territoire (42 banquiers millionnaires).Partout ailleurs en revanche, le cercle de ces bénéficiaires s'est restreint, en particulier en Grande-Bretagne, où se concentre le gros de ces troupes. A la Société Générale, la part des banquiers millionnaires à l'étranger est passée de 72 % à 52 % entre 2015 et 2016. Chez Natixis, celle-ci a reculé de 62 % à 52 %, après avoir grimpé de 20 points entre 2014 et 2015.Chez BNP Paribas, on note également une légère baisse en Asie (avec 39 banquiers millionnaires en 2016, contre 44 l'année précédente) et au Royaume-Uni (68 contre 71). Ainsi, à l'échelle des quatre groupes bancaires, ce sont au final quelque 40 financiers à l'étranger qui ont perdu le statut de banquier millionnaire.Une raison inattendueLes raisons de ce recentrage sur l'Hexagone sont multiples. « Cette augmentation s'explique notamment par le fort développement de nos activités de banque de grande clientèle », indique Natixis, évoquant ses résultats en banque d'affaires. Un autre établissement souligne aussi un net redressement de ses performances dans certains métiers en France, comme les taux.Avec le déclenchement du Brexit , les grands groupes français ont aussi pu vouloir relâcher leurs efforts de rémunération en Grande-Bretagne, la visibilité manquant et la concurrence des talents se relâchant. Leur priorité était d'organiser d'éventuels transferts. Une banque explique d'ailleurs la hausse du nombre de ses banquiers millionnaires en France par le retour d'expatriés de l'étranger. Cette tendance pourrait se confirmer en 2017. Les banques du continent européen commencent en effet à menacer de quitter la City, car Londres veut renchérir leurs coûts d'exercice .Un dernier facteur, plus inattendu, tend cependant à montrer que cet excès apparent de générosité des banques françaises vis-à-vis de leurs financiers de l'Hexagone pourrait ne pas durer, car il tient aussi à... des réductions d'effectifs en France . « Ces chiffres tiennent compte des indemnités de départ, souligne une banque. et nous avons enregistré plus de départs en 2016 qu'en 2015. » Dans ces situations, un salarié peut ainsi voir subitement son salaire doubler et acquérir très momentanément le statut de millionnaire dans les statistiques de la banque...Source -
La France périphérique va t-elle exploser ? Christophe Guilluy
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Il faut beaucoup d'optimisme pour applaudir
En dehors de Daniel Cohn-Bendit, fidèle soutien d’Emmanuel Macron, qui n'hésite pas à saluer ce qu'il considère comme un "coup de génie", peu nombreux semblaient en cette après-midi retardataire les enthousiastes du nouveau gouvernement.
Certes l'équipage ne se compose pas uniquement de gens irrespirables. On répétait depuis plusieurs années, par exemple, et à l'envi, que Le Drian connaissait une solide popularité en milieu militaire. Ceci justifiait, pouvait-on penser, qu'il soit maintenu en poste. Eh bien, non : il ne le désirait pas, dit-on, et sa vision de la défense s'écarte de celle du président, le voici donc aux Affaires étrangères.
Quant aux armées, elles seront confiées à Mme Goulard dont on croyait savoir la compétence et l'engagement dans les institutions européennes mais, sans préjudice de sa réussite future, dont on ignorait l'intérêt et la compétence pour la chose militaire.
Finalement les responsables de droite sont restés chez eux, préférant sans doute la proposition hybride de Juppé : je me rallierai, mais après la victoire, et au camp qui l'aura emporté. En bonne chauve souris je trouverai d'excellents arguments prouvant que de toute éternité j'appartiens à cette catégorie politologique qui mérite de s'appeler la droite-gauche : "je suis oiseau voyez mes ailes, je suis souris vivent les rats."
L’absence d’un ministère dédié officiellement à la famille désole, par exemple, les cercles catholiques. Et elle ne peut pas être considérée comme absolument innocente. (1)⇓
Mais observons plutôt les ministères effectifs.
Leur caractère de combinaison typiquement technocratique, de gens, tous ou presque sortis du même moule, et dont les flatteurs vantent la compétence, ne peut échapper à personne.
Faut-il considérer à cet égard comme une heureuse exception le retour de François Bayrou dans les cercles de pouvoir qu'il avait quittés en 1997, il y a donc 20 ans, après 5 années d'immobilisme à l'Éducation nationale, sous Balladur puis Juppé ?
En dehors de son honnête désir de combattre les phénomènes de corruption et les "abus de pouvoir" (2)⇓ on peut se demander si la préoccupation actuelle des Français, en matière de politique pénale et pénitentiaire, dont il reçoit la charge, ne requiert pas d'abord un garde des sceaux enterrant radicalement l'ère Taubira.
Guillaume Tabard dont habituellement nous partageons les conclusions entomologistes relatives à la classe politique, ne nous convainc donc qu'à moitié, quand il écrit : "l'équipe mise en place autour d'Édouard Philippe tourne radicalement la page Hollande." (3)⇓
Tout dépend en effet de ce qu'on appelle la page François Hollande.
Pour l'instant par exemple on ne perçoit guère l'intention macronienne novatrice en matière de lutte contre le totalitarisme islamique.
Hélas, au contraire, dans la foulée de la campagne électorale, on perçoit la même volonté que sous Hollande : celle de ménager l'électorat communautariste, auquel furent vouées tant de déclarations du candidat Macron, parfait héritier sur ce point des pires aspects du hollandisme.
Oui, véritablement, il faut pas mal d'arrivisme pour se rallier, et beaucoup d'optimisme pour applaudir.
JG Malliarakis
Apostilles
(1) cf. "Après la nomination du gouvernement" par Tugdual Derville.
(2) Titre du virulent livre à charge qu'il publia en 2009 contre les années Sarkozy.
(3) La gauche tonne et la droite marmonne, développe-t-il dans Le Figaro. Et d'ajouter : Mélenchon est énervé et le Medef soulagé. Les réactions politiques à ce premier gouvernement Macron en montrent le centre de gravité idéologique. -
Ferrand l'argent : le renouvellement a (déjà) du plomb dans l'aile
Selon le Canard enchaîné, les Mutuelles bretonnes alors dirigées par Richard Ferrand, actuel ministre de la Cohésion territoriale, ont loué un bien dont la propriétaire n'était autre que... Sandrine Doucen, l'épouse de Richard Ferrand. En résulte un bénéfice de 586 000 € pour cette dernière.
Richard Ferrand, premier député PS à avoir rejoint les rangs d’En Marche, aurait profité de ses responsabilités à la tête des mutuelles de Bretagne en 2011 pour gonfler le patrimoine familial. Alors que l’organisation à but non lucratif qu’il dirige est à la recherche de nouveaux locaux à Brest, une offre parmi trois, retient l’attention du conseil d’administration. Celle d’une société civile immobilière du nom de Saca, bien qu’elle n’ait à cet instant ni existence légale, ni le titre de propriété du bien qu’elle propose. Et pour cause. Ce n’est qu’une fois le choix acté par les Mutuelles bretonnes, que la femme de Richard Ferrand a déposé à son nom les statuts de cette société en préfecture, puis acheté le bien immobilier 100% à crédit grâce à un emprunt au Crédit agricole du Finistère... Sans avancer un centime, la femme du conseiller régional de Bretagne s’est ainsi constituée un patrimoine de 402 000 euros, intégralement financé grâce aux loyers de la mutuelle de son mari. «Les lieux seront intégralement rénovés – et sans contrepartie – aux frais des Mutuelles, pour un montant de 184 000 euros», ajoute le Canard enchaîné. Un constat qui porte à 586 000 euros le bénéfice de l’opération pour la SCI familiale.
Benjamin Griveaux, porte-parole de la République en marche, a parlé de "boules puantes"... Cela me rappelle quelqu'un...
A l'heure qu'il est, il semblerait que le parquet national financier ne se soit pas encore auto-saisi...
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Le parcours trouble du Premier ministre Edouard Philippe
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Le nouveau Premier ministre Edouard Philippe a un parcours plutôt trouble. En effet, suite à sa prise de poste en tant que nouveau Premier ministre d’Emmanuel Macron, plusieurs histoires ont ressurgi à son propos. Son parcours, à la fois en tant qu’élu et en tant qu’employé dans le privé, comporte des zones d’ombre.
Edouard Philippe est un compagnon de route d’Areva. Juppéiste convaincu, Edouard Philippe participera à sa demande à la fondation de l’UMP en 2002. Il devient par la suite conseiller régional de Haute‑Normandie jusqu’en 2008 et il rejoint Areva en tant que directeur de la communication et directeur des affaires publiques, en 2007, après le départ d’Alain Juppé du gouvernement Fillon. Ce poste est essentiellement un poste de lobbying pour le compte d’Areva qui l’amènera à développer des relations privilégiées avec des parlementaires sensibles aux questions atomiques.
Un travail qui l’amènera à travailler de près sur les questions africaines. C’est à ce moment-là qu’il entretient un contact rapproché avec le président du groupe d’amitié France‑Niger à l’Assemblée nationale. Au même moment, en janvier 2008, un accord est signé entre Areva et le gouvernement du Niger concernant l’exploitation de l’uranium. Cet accord est immédiatement contesté par les rebelles touaregs.
En effet, selon l’ONG l’Observatoire du nucléaire, citant des enquêtes deCharlie Hebdo et de Mediapart, l’uranium étant extrait de leurs zones de vie et serait supposément sous-payé par Areva grâce à ces accords et ne bénéficierait donc en rien aux populations locales, ce qui aurait contribué à la paupérisation des Touaregs, au développement du djihadisme et à la déstabilisation de la région. Toujours selon cette ONG, les entremises d’Edouard Philippe pour le compte d’Areva pourraient donc bien être responsables de la situation actuelle au Niger et au Mali.
Ce poste soulève également des questions de conflit d’intérêts . Entre 2007 et 2010, Edouard Philippe a cumulé sans aucun problème son poste chez Areva et son poste d’adjoint au maire du Havre. Il devient maire en 2010 suite à la démission de son prédécesseur. Ayant quitté Areva la même année, il reste un pont direct entre l’entreprise et la municipalité du Havre, où il s’empresse aussitôt d’approuver un projet d’usines éoliennes offshore piloté par Areva, projet qui n’aboutira jamais. S’il est intéressant de voir que le Premier ministre a été un acteur de la société civile et comprend les enjeux d’une entreprise stratégique comme Areva, la question des conflits d’intérêts potentiels reste entière.
Sa participation à la réunion du groupe Bilderberg en 2016 et son refus d’être transparent sur son patrimoine constituent également d’autres parts d’ombre importantes chez Edouard Philippe.
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Selon que vous serez enseignante franc-maçonne ou enseignante catholique…
Le mercredi 31 mai, dans les locaux du Grand Orient de France rue Cadet, la franc-maçonnerie organise la 4ème journée de la jeunesse et de l’école sur le thème « Pour une culture humaniste, une école républicaine ». Sont notamment prévues des interventions de Florence SAUTEREAU, Professeure des écoles, École élémentaire, rue de Marseille, Paris 10e ; Sébastien CLERC, Professeur, Lycée professionnel Hélène Boucher Tremblay-en-France (93) ; Christiane FERRER, Principale, Collège Édouard Vaillant (REP) Gennevilliers (92) ; Sophie MAZET, Professeure au Lycée Auguste Blanqui Saint-Ouen (93), et Alain SEKSIG, Inspecteur de l’Éducation Nationale Académie de Paris.
Après cette brochette de l’éducation nationale, les conclusions seront prononcées par Philippe FOUSSIER, Grand Maître Adjoint du Grand Orient de France.
Que ces enseignants et cet inspecteur de l’éducation nationale interviennent au titre de leur activité professionnelle lors d’un colloque organisé par la secte maçonnique, voilà qui n’émeut aucun média du système.
Par contre, voilà déjà quinze jours que le canard boîteux Nord Littoral et l’extrême gauche locale se déchaînent quasi quotidiennement contre une enseignante nommée Marie-Jeanne VINCENT parce qu’elle est, à titre privé, candidate Civitas à Calais pour les élections législatives. Des ayatollahs de la laïcité ont même saisi – sans succès – le rectorat pour tenter de faire virer cette enseignante sous prétexte qu’elle serait candidate d’un parti « catho-intégriste ». Raté car elle est considérée comme une « enseignante exemplaire » s’abstenant de faire part de ses opinions politiques et religieuses devant ses élèves.
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Les Républicains En Marche ! | Législatives 2017
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Le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, arrache le micro d’une journaliste
On imagine le tollé si un membre du FN avait fait cela :
"Mécontent d’être suivi dans sa campagne électorale dans la 16e circonscription de Paris (une partie du 19e arrondissement), le premier secrétaire du Parti socialiste a arraché le micro siglé LCP – La chaîne parlementaire – des mains de la journaliste qui tentait de l’interviewer.
« Il fait un début de campagne loin des caméras, raconte la voix off du reportage. Alors quand on s’approche d’un peu trop près… » Le député de Paris, qui brigue un 5e mandat, sort les griffes, se jette sur le micro, annonce les dents serrées « Vous allez me fermer ça ! » et pose le micro sur le capot de sa voiture. « On a dit à votre chaîne qu’on ne voulait pas d’images. On a dit : “Non !”», martèle Jean-Christophe Cambadélis qui peine à contenir sa colère. Le journaliste lui répond que ses équipes lui ont dit où il était, boulevard Macdonald.
Député sortant, le premier secrétaire du PS a vu sa circonscription bouder Benoît Hamon à la présidentielle. Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron et François Fillon l’ont devancé le 23 avril. Et Jean-Christophe Cambadélis a 23 concurrents pour le poste de député dont des candidats EELV, France insoumise, PCF, LO ou La République en marche."
Sous pression dans le XIXe arrondissement, @jccambadelis perd ses nerfs https://t.co/E11UjRBfGM #Legislatives2017 #Circo7516@adevillaines pic.twitter.com/r2JGZcnmDv
— LCP (@LCP) 23 mai 2017http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Macron et Philippe feignent de découvrir le mauvais bilan laissé par… Macron
Le président Macron va découvrir la mauvaise gestion du conseiller et du ministre de l’Économie qu’il fut.
Parmi les petits jouets de sa panoplie « et de droite et de gauche », Macron cherche surtout, en cette campagne des législatives destinée à faire exploser la pauvre droite « baroiniste », des outils « de droite », ce qui veut dire, dans le langage de nos énarques, gestion sérieuse. D’où Philippe, Le Maire et Darmanin. Des ambitieux, sans grande réussite à leur actif, et qui auront l’immense avantage pour Macron de discréditer la droite deux fois : aujourd’hui donc, avec leur profil de carriéristes traîtres à leur camp, mais aussi dans quelques mois, quand leur échec sera patent et qu’ils serviront de fusibles au Président.
Mais il emprunte aussi des dispositifs que la droite aurait mis en œuvre s’il y avait eu une véritable alternance après un quinquennat de gauche calamiteux sur tous les plans : l’audit des finances publiques, comme M. Philippe l’a annoncé dans son entretien au JDD.
L’audit est, d’abord et avant tout, un excellent outil de communication pour faire passer, chiffres catastrophiques à l’appui, des mesures douloureuses : hausses d’impôts, etc. Et l’on sait que M. Macron a prévu une augmentation de la CSG qui, comme son nom l’indique, est bien un impôt « généralisé » ! La pratique de l’audit est de bonne guerre en cas d’alternance véritable et de situation économique et financière dégradée.
Certes, la France laissée par M. Hollande coche bien la seconde condition. Mais la première ? M. Macron a réussi à être élu Président en faisant oublier qu’il était l’inspirateur de la politique économique de Hollande de 2012 à 2014, puis son ministre de l’Économie et des Finances jusqu’en août dernier. Certes, une campagne électorale est le moment de toutes les manipulations et de toutes les illusions. Un grand carnaval, cela est connu. Et celle-ci a été particulièrement réussie à ce niveau.
Mais un audit des finances publiques ? Celui-ci sera-t-il « et de droite et de gauche » ? Proposant aux Français une vision mi-chèvre mi-chou : oui, les déficits sont abyssaux, mais il y a eu quelques efforts ? Un nouveau rapport de la Cour des comptes ? Oublié dès que publié ?
En tout cas, le président Macron va découvrir la mauvaise gestion du conseiller et du ministre de l’Économie qu’il fut. Ou plutôt, ce sont ses ministres. Et, du coup, les cris d’horreur vont surgir « et de gauche et de droite » ! Ce serait cocasse, si cela n’était pas très grave.
Première à dégainer ? Muriel Pénicaud, nouveau ministre du Travail, qui hérite d’un chômage massif difficilement contenu par toutes sortes de rustines, de manipulations des chiffres (catégories A, B, C), et les incontournables « emplois aidés ».
Or, selon Le Monde, le nouveau ministre vient de découvrir qu’en quatre mois seulement, son prédécesseur avait déjà consommé plus de 60 % des crédits destinés à ces « emplois aidés » qui permettent de faire sortir artificiellement des dizaines de milliers de chômeurs des statistiques ! Et, si elle n’intervient pas rapidement, ce sont près de 62.000 « nouveaux » chômeurs qui vont venir, déjà, grever le bilan de Macron au second semestre 2017.
Vous me direz, il pourra toujours prétendre que c’est la faute de l’héritage Hollande.
http://www.bvoltaire.fr/macron-philippe-feignent-de-decouvrir-mauvais-bilan-laisse-macron/
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Un nouveau gouvernement fort peu nouveau, fort peu crédible : ceux qui ont voté Macron, ne venez pas vous plaindre !
De quoi accouche la montagne de « promesses Macron » ? De rien de bien spécial, de bien particulier, de bien nouveau. En fait, d'une minuscule et ridicule petite souris. D'un gouvernement improbable de dosage / équilibre / combinazione : tout ce dont les Français ne veulent plus et que Macron avait promis d'abolir !
- L'ingérable / imprévisible / intenable Hulot à l'écologie : la bonne nouvelle c'est qu'on est quasiment certain que Notre-Dame-des-Landes ne se fera pas !
- Incompréhensible : Le Drian seul vrai bon ministre de Hollande / seul vendeur de Rafales viré des Armées. L'efficacité à la Macron ? On tremble !
- Loufoque : le dernier des caïmans (Bayrou) et sa comparse Sarnez ministres ! Macron avait promis de renouveler et rajeunir : chapeau l'artiste !
Comme le disaient déjà les Romains : « Parturiunt montes : nascetur ridiculus mus ! »