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magouille et compagnie - Page 1637

  • Sauvons nos espèces ! par Georges FELTIN-TRACOL

    Chers Amis de Radio-Libertés,

    Depuis plusieurs mois, la presse tant quotidienne qu’hebdomadaire évoque de plus en plus fréquemment une inquiétante évolution venue une nouvelle fois de la Suède. Quand les historiens du futur étudieront notre époque, ils insisteront sur le rôle délétère de ce dépotoir anthropologique.

    Terre d’égalitarisme social-démocrate le plus repoussant, le royaume d’opérette suédois n’a jamais cessé de contaminer l’Europe de législations les plus démentes les unes des autres : interdiction de la fessée administrée aux enfants, pénalisation des clients de prostituées, féminisme enragé, incitation d’uriner pour les hommes assis, ouverture suicidaire à l’immigration extra-européenne, éloge forcenée du multiculturalisme libéral, persécution des dissidents tels Julian Assange, déclarations belliqueuses contre la Russie et le Bélarus… Maintenant, Stockholm (Cockholm serait une appellation plus judicieuse) veut abandonner toute monnaie liquide (pièces et billets de banque) et n’accepter que l’argent électronique. Certes, la Corée du Sud prend la même direction, mais c’est en Extrême-Orient. L’État suédois, les syndicats et les grandes chaînes commerciales sont les plus favorables à cette fâcheuse innovation qui, selon le prétexte officiel, tarirait enfin le travail au noir et le crime organisé. La liberté n’y gagnera en fait rien !

    En effet, la disparition des espèces monétaires placera chaque habitant sous la dépendance de sa banque. Or, on le sait bien, en démocratie bourgeoise, la finance exerce une puissance prédominante sur les autres pouvoirs. Dans un avenir proche, le banquier pourra exiger de son client la justification précise de ses dépenses. « Pourquoi faîtes-vous un don au Groupe Libertés ? », « Pour quelle raison êtes-vous abonné à Réfléchir & Agir ? », « Allez-vous encore acquérir des livres papier de Julius Evola et de Michel Drac ? » Et si le client joue au mauvais esprit, son banquier le sanctionnera facilement en lui restreignant ses facilités de paiement virtuel.

    Cette menace plane sur la France. Le paiement en liquide est dès à présent limité à 1 000 € ! À la Poste, les changeurs de monnaie ont été supprimés pour des motifs fallacieux tandis que les machines qui délivrent les timbres n’acceptent qu’une vingtaine de pièces. Il faut arrêter de suite cette sinistre tendance et payer le plus possible en liquide ! Notre liberté a un coût et passe par une guerre totale à la tyrannie cosmopolite de la transparence.

    Bonjour chez vous !

    Georges Feltin-Tracol

    « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 29, diffusée sur Radio-Libertés, le 14 avril 2017.

    http://www.europemaxima.com/sauvons-nos-especes-par-georges-feltin-tracol/

  • L’extrême gauche va t elle continuer ses exactions en toute impunité ?

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    (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
    La question est relancée par la tentative d’incendie criminelle contre le quartier général de campagne de Marine Le Pen visiblement orchestrée par un groupuscule d’extrême gauche.

    Mais qui sont ces groupuscules ?

    On peut en effet se poser la question… alors que le Front National est accusé de collusion avec les vichystes, il serait bon de rappeler ce que sont ces milices d’extrême gauche : les héritières du Parti communiste français.

    Mais cela n’a pas l’air de déranger le gouvernement

    Alors que les groupuscules d’extrême droite sont dissouts pour des raisons d’ordre public, ces milices continuent d’agir sans aucune intervention du ministère de l’Intérieur. Ces personnes, qui affrontent et provoquent presque quotidiennement la police ; qui dégradent les hôpitaux comme l’hôpital des enfants malades de Paris, ainsi que les Banques et les magasins ; qui attaquent les rassemblements du Front National, ainsi que les militants de ce parti ; perturbent les conseils municipaux comme ce fut le cas à Metz et tentent maintenant de bruler le quartier général de campagne d’une candidate à la présidentielle…
    Là en revanche, le gouvernement actuel, comme le précédent dont un certain François Fillon était le chef, ne trouve rien à redire…

    Une telle tolérance est elle justifiable ?

    Si l’on considère l’affaire d’un point de vue juridique, et que l’on se réfère aux principes fondamentaux régissant les lois de la république, force est de constater que c’est ici le principe d’égalité défini par nos gouvernants par l’article 1 de la définition des droits de l’homme et du citoyen qui est bafoué. Ce qui signifie que les règles doivent être les mêmes pour tout le monde, et que la suspicion de deux poids deux mesures ne doit pas être possible.

  • Racisme anti blanc : La Sud-Africaine Charlize Theron ne parle pas du massacre des fermiers blancs

    Depuis 1994, date de l’arrivée de l’ANC au pouvoir, 70.000 Blancs ont été tués, dont plus de 4.000 fermiers.

    Il y a une semaine, Gilles Bouleau, dans le journal de TF1, avait invité Charlize Theron, une des stars actuelles d’Hollywood, pour la sortie en France de son nouveau film : Fast and Furious 8. À cette occasion, il demanda à l’actrice ce qu’elle pensait de Trump. Sa réponse se résuma en ces quelques mots : « Le plus grand mal » et « Il me faudrait plus de temps pour en parler ».

    Charlize a, en effet, participé à la marche des femmes contre Trump la veille de son investiture. Elle est aussi un soutien indéfectible du mariage homosexuel aux USA et du mouvement « Black Lives Matter ». Vous me direz que Charlize Theron n’est qu’une vedette de plus de Hollywood qui s’oppose au président américain. Exact, sauf qu’elle n’a acquis la nationalité américaine qu’en 2008, car sa nationalité d’origine est sud-africaine. Elle est née à Benoni, une cité minière du Transvaal, située à 25 kilomètres de Johannesburg. C’est une pure Afrikaner ; elle est même apparentée au chef militaire boer Daniel Johannes Theron (son arrière-grand-oncle). Couvée par sa mère, elle est témoin d’un drame familial en 1991.

    Sa génitrice tue son père qui, ivre et armé, avait essayé de pénétrer dans sa chambre. Aucune poursuite judiciaire ne fut engagée contre celle-ci. Par la suite, sa mère l’encouragera à développer ses talents artistiques. Ceux-ci, quelque temps plus tard, furent reconnus aux États-Unis et, aujourd’hui, elle est une grande vedette incontestée.

    Si on peut se réjouir des changements qui ont transformé positivement son existence, il est douloureux de voir que Charlize n’a aucun mot pour le massacre de ses compatriotes en République sud-africaine. Elle, dont les racines familiales centenaires plongent dans cette terre du Transvaal, soutient le mouvement « Black Lives Matter » et fulmine justement chaque fois qu’un Noir est tué par la police en Amérique, mais n’a aucun mot pour le véritable génocide qui touche, dans la nation arc-en-ciel, les Afrikaners.

    Depuis 1994, date de l’arrivée de l’ANC (African National Congress/Congrès national africain) au pouvoir, 70.000 Blancs ont été tués, dont plus de 4.000 fermiers. Rien que pour l’année 2016, l’organisation de défense des droits civiques AfriForum évaluait le nombre d’attaques de fermes à 345 (soit près d’une par jour). Actuellement, le taux de meurtres sur 100.000 habitants est de 54 en RSA, il est de 138/100.000 pour les fermiers blancs (pour exemple, il est, en France, de 2,5/ 100.000). Du 1er janvier au 31 mars 2017, en trois mois, 65 ruraux blancs ont été assassinés.

    Julius Malema, le chef des Combattants pour la liberté économique de l’Afrique du Sud (mouvement communiste noir anti-blanc), clame sans pudeur : « Le fermier blanc doit être exproprié sans compensation. » Ajoutant, « magnanime » : « Nous ne demandons pas l’abattage des Blancs… au moins pour l’instant. »

    Quant au président d’Afrique du Sud Jacob Zuma, il a souhaité, il y a un mois, voir le Parlement modifier la Constitution afin de pouvoir exproprier les propriétaires blancs de leurs terres sans aucun dédommagement.

    « Nous devons reconnaître le fait que ceux qui siègent au Parlement, notamment les partis « noirs », doivent s’unir car il nous faut deux tiers des voix pour apporter des amendements à la Constitution » (propos rapportés par The Telegraph).

    Le plus choquant est que ces paroles ont été largement censurées par les médias occidentaux. Le plus choquant est que Miss Theron n’a pas mis le poids de sa notoriété pour souligner la barbarie et les menaces qui frappent le peuple boer dont elle est issue.

    Pour ces bien-pensants, les Blancs d’Afrique du Sud comme ceux du Zimbabwe doivent mourir en silence.

    http://www.bvoltaire.fr/sud-africaine-charlize-theron-ne-parle-massacre-fermiers-blancs/

  • Macron dévisse et son plan B, c’est Mohamed Saou !

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    On savait que, chez Macron, la com’ c’était du creux, mais visiblement, l’éthique, c’est du toc.

    Les signes ne trompent pas. À une semaine du premier tour, le camp Macron panique. La com’ creuse tourne à vide, pilotée par une blondasse stupide chantant « En Marche ! » en lâchant le volant de sa voiture. Au QG, même Le Monde a bien vu que ça commençait à sentir le roussi. Les confidences pessimistes des députés PS macronistes fusent :

    « On est passé en quelques jours du “On peut gagner” à “On peut perdre”, il y a beaucoup de tension. »

    « Il faudrait que le scrutin ait lieu dimanche. Il y a une semaine de trop ! »​‌

    Et c’est vrai qu’il y a de quoi s’inquiéter sérieusement pour tous ces « marchiens » car, selon le sondeur Jérôme Sainte-Marie, « Emmanuel Macron a perdu trois points en une dizaine de jours, soit environ un million de voix ».

    Ce n’est pas rien, quand la tendance est celle-ci… Donc, encore une semaine et M. Macron sera 4e. Et ce ne sera que justice : il endossera le bilan de Hollande et de ce centre libéral-libertaire qui nous a conduits là où nous en sommes. En fait, il a perdu et il ne tient qu’à nous tous, à droite comme à gauche, de bien le lui signifier le 23 avril.

    Il découvre, le naïf, qu’une stratégie d’extrême centre renvoyant gauche et droite dos à dos peut violemment se retourner contre vous et faire monter, à l’heure du choix, et la gauche et la droite : une gauche qui veut vraiment un candidat de gauche (Mélenchon) et une droite qui rejoint calmement la droite sérieuse de Fillon.

    Il est donc intéressant de voir comment notre jeune homme pressé à qui tout a réussi, ce petit génie (ou cet enfant gâté) devant qui toutes les portes les plus difficiles à pousser – chez Rothschild, à l’Élysée, à Bercy – se sont ouvertes comme par enchantement, réagit devant ce qui commence à ressembler à de l’adversité. Pour Fillon, nous avons vu. Et sa résistance n’est pas pour rien dans sa remontée.

    Chez Macron, panique à bord. Les mêmes parlementaires qui se sont confiés au Monde le disent : « Macron affiche l’image du candidat serein, mais je ne crois pas que ce soit le cas, il est noué de l’intérieur. » Noué, crispé… Va-t-il monter davantage dans les aigus pour les derniers meetings ? Nous sortir la grosse artillerie : Mélenchon en dictateur sud-américain ? Marine Le Pen en Enver Hodja ? Et lui-même en Jeanne d’Arc boboïsée ?

    Non, ce vendredi, il a fait plus grossier encore : il est allé sur Beur FM, ce qui est déjà tout un programme, mais (pire), il a lâché, en off bien sûr, « à l’insu de son plein gré », selon l’expression consacrée, un éloge de son référent Mohamed Saou, compromis pour ses accointances avec l’islam radical :

    « C’est un type bien. C’est un type très bien, Mohamed. Et c’est pour ça que je ne l’ai pas viré. […] Il a fait un ou deux trucs un peu plus radicaux, c’est ça qui est compliqué. »

    Mais c’est bien en direct que M. Macron a dit toute son admiration pour ce Mohamed qui s’est signalé par des messages complaisants pour les islamistes :

    « Mohamed Saou est un citoyen plein et entier. C’est un responsable plein et entier. Je le respecte. J’admire le travail qu’il a fait. »

    Et il a renvoyé au « comité d’éthique » de son mouvement le soin de statuer sur le sort de ce responsable contestable et sulfureux ! On savait que, chez Macron, la com’ c’était du creux, mais visiblement, l’éthique, c’est du toc.

    http://www.bvoltaire.fr/macron-devisse-plan-b-cest-mohamed-saou/

  • La quinzaine de la haine commence avant le 1er tour cette année

    On retrouve Gérard Larcher et NKM, soutiens de François Fillon, aux côtés des LGBT Caroline Mécary et Caroline Fourest, de Jean-Christophe Cambadélis, soutien de Benoît Hamon, et l'inénarrable BHL, qui vient d'annoncer son soutien à Emmanuel Macron

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Stratégie de l’attention et stratégie de la tension : les médias, les juges et l’extrême gauche à la manœuvre pour la présidentielle de 2017

    Pour l’élection présidentielle française de 2017 l’oligarchie met en œuvre deux stratégies parallèles mais convergentes : la stratégie de l’attention et la stratégie de la tension. Au service d’une seule ambition : faire en sorte qu’au second tour, Emmanuel Macron se retrouve face à Marine Le Pen.

    Monopoliser l’attention pour promouvoir la marque Macron

    La stratégie de l’attention vise à promouvoir la candidature d’Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle. Elle consiste à mettre en scène en permanence le candidat surgi de nulle part et son mouvement prétendu, En Marche !, par le truchement des médias et des instituts de sondage. La stratégie de l’attention a correspondu au matraquage publicitaire du produit Macron.

    Les médias ont rendu Macron omniprésent pour diffuser dans l’opinion la conviction qu’il serait présent au second tour de l’élection présidentielle, ce qui ne va pourtant pas de soi.

    Les médias ont scénarisé ses moindres faits et gestes comme ses meetings préfabriqués. Ainsi, par exemple en février, BFMTV a diffusé au total autant de minutes de meetings du fondateur d’En Marche… que de l’ensemble de ses quatre principaux concurrents réunis ! Comme d’habitude, d’ailleurs, puisque depuis sa déclaration de candidature à l’élection présidentielle, tous les meetings d’Emmanuel Macron sont diffusés en intégralité sur la première chaîne d’information en continu. Ce qui est bien loin d’être le cas pour les autres candidats (1).

    Tout comme ils ont scénarisé les ralliements successifs dont Emmanuel Macron bénéficiait, afin de suggérer l’idée d’une dynamique politique à son profit.

    Les sondages ont fermé la boucle promotionnelle

    Les instituts de sondages ont ensuite donné la réplique aux campagnes médiatiques en faisant apparaître les bons scores du candidat : les commanditaires étant les mêmes (2), la machine promotionnelle fonctionnait donc en boucle !

    Elle a donc permis d’enfermer les électeurs dans une bulle médiatique, destinée à leur faire croire ce qu’on leur disait : les sondages paraissant confirmer les dires des journalistes et ces derniers commentant les résultats qui allaient dans le bon sens… CQFD.

    Favoriser les outsiders, mais au profit de Macron

    La stratégie de l’attention a aussi concerné, dans un second temps, les « petits » candidats.

    Tant qu’il s’agissait de promouvoir le produit Macron on les a réduits au silence médiatique. Mais cela a changé à partir du débat télévisé à 11 du 4 avril 2017. En effet, pour exister, les petits candidats, en majorité plutôt à droite, ont tenu à marquer leurs différences critiques vis-à-vis de François Fillon et Marine Le Pen : ils sont donc susceptibles de leur ôter des voix au premier tour et c’est pourquoi on s’efforce aussi de les encourager.

    La stratégie de l’attention assure maintenant la promotion de Jean-Luc Mélenchon. Il s’agit de faire croire que l’intéressé talonnerait dans les intentions de vote François Fillon, afin de suggérer l’absence de dynamique au profit du candidat de la droite et du centre. Ce qui serait pour le moins étrange compte tenu de l’état de l’opinion et de la réalité du terrain. Mais le produit Mélenchon a aussi pour fonction de marginaliser un peu plus le candidat du PS, Benoit Hamon, pour présenter le moment venu Emmanuel Macron comme l’ultime recours de la gauche face à la droite ou à « l’extrême droite ».

    L’extrême gauche en renfort du Système

    Si la stratégie de l’attention bénéficie avant tout à la gauche, la stratégie de la tension vise, elle, prioritairement François Fillon au premier tour. Elle visera, bien sûr, encore plus Marine Le Pen si celle-ci se qualifie au second tour. La tension incombe principalement au service action de l’oligarchie : l’extrême gauche.

    L’extrême gauche concentre en effet ses attaques sur ces deux candidats, comme on l’a bien vu lors du débat télévisé du 4 avril 2017. Emmanuel Macron, pourtant le candidat de l’oligarchie financière, du libre-échangisme et du patronat, n’a quasiment pas été attaqué par Philippe Poutou et Nathalie Arthaud !

    Comme à son habitude, l’extrême gauche démontre ainsi une nouvelle fois son rôle de brise-glace au service du néo-capitalisme libéral et libertaire, car elle ne combat concrètement en Europe que ceux qui s’opposent à l’avancée de celui-ci : les nationaux, les patriotes et les identitaires, bien sûr au nom de l’antifascisme !

    Pousser la droite à la faute

    Les médias mainstream se transforment également en procureurs dès qu’il s’agit d’interviewer François Fillon ou Marine Le Pen : car ces entretiens combatifs, autre composante de la stratégie de la tension, ont pour but de pousser ces candidats à la faute, alors que, bien sûr, on ne procède jamais ainsi avec Emmanuel Macron. Bien au contraire, on vole à son secours !

    La classe médiatique cherche en réalité à renouveler, 30 ans après, l’affaire du « détail », qui fut instrumentée contre Jean-Marie Le Pen en 1987.

    Mais la stratégie de la tension ne se limite pas à la propagande télévisée : elle se déroule aussi dans la rue, comme on l’a vu à Bordeaux ou à Nantes. Les groupes d’extrême gauche s’efforcent de perturber systématiquement les réunions des candidats : celles de François Fillon avec des casseroles et celles de Marine Le Pen avec des manifestations et des violences de la part des prétendus antifas.

    Les antifas : un ballet bien rodé

    Le scénario de ces opérations de guérilla politique et urbaine est désormais bien rodé :

    Les violences cherchent d’abord à intimider les soutiens des candidats pour les dissuader de se rendre à leurs réunions. Elles peuvent servir ensuite de prétexte à une interdiction des réunions au motif de « troubles à l’ordre public », par les élus ou les préfets bien-pensants. Elles suggèrent surtout qu’une victoire des candidats de droite ouvrirait la voie à l’affrontement civil et social.

    Les médias couvrent, en outre, systématiquement ces opérations d’obstruction, en particulier lorsque les perturbateurs sont expulsés, afin de suggérer que la violence se situe du côté des organisateurs de la réunion (3) et, donc, que les vrais extrémistes, ce sont eux. Le but inavoué et cynique de ces violences est aussi de fabriquer des martyrs antifas qui permettront d’enclencher de grandes manifestions émotionnelles « contre le racisme, la xénophobie et l’extrême droite » entre les deux tours pour remobiliser le peuple de gauche (4).

    Dans la majorité des cas, enfin, et bien que nous soyons sous un régime d’état d’urgence, l’action des groupes d’extrême gauche bénéficie d’une abstention bienveillante des pouvoirs publics, qui ressemble beaucoup à une complicité.

    Quoi de plus normal quand l’appareil d’Etat se mobilise en faveur du candidat officiel du Système : Emmanuel Macron !

    Quoi de plus normal, puisque l’extrême gauche fait, toujours, le jeu du pouvoir et qu’elle se compose, pour l’essentiel, des rejetons de l’oligarchie !

    Attention et tension marchent de concert

    Attention et tension se complètent. Attention au profit de la gauche, tension contre la droite.

    La stratégie de l’attention a, par exemple, permis de mettre le projecteur, dès le début de la campagne, sur les démêlés judiciaires prétendus du couple Fillon. L’attention a, en d’autres termes, été focalisée sur la tension créée par le pouvoir judiciaire contre le candidat de la droite et du centre, et a renforcé les effets de la manœuvre. Et l’attention focalisée sur ces affaires a permis de mettre sous tension la candidature de François Fillon, afin de suggérer qu’il n’était plus le bon candidat.

    Comme la médiatisation systématique des menées de l’extrême gauche renforce ses effets en lui donnant une dimension nationale qu’elle n’a pas.

    On fera évidemment de même contre Marine Le Pen, si nécessaire, le moment venu, et sans doute, en pire.

    Reste à savoir si ces belles machinations, qui restent avant tout des créations médiatiques et donc des artifices, réussiront à modifier en profondeur l’électorat. Réponse les 23 avril et 7 mai prochains.

    Michel Geoffroy 14/04/2017

    Notes :

    1. Marianne du 21 février 2017.
    2. L’IFOP a même publié, le 6 avril dernier, un sondage en oubliant… d’ôter le logo En Marche ! qu’il portait.
    3. Comme on l’a vu, par exemple, lors de la réunion de Marine Le Pen à Ajaccio.
    4. Cette expression est un oxymore puisque la gauche a abandonné le peuple et que le peuple vote désormais principalement à droite !

    https://www.polemia.com/strategie-de-lattention-et-strategie-de-la-tension-les-medias-les-juges-et-lextreme-gauche-a-la-manoeuvre-pour-la-presidentielle-de-2017/

  • Scandaleux : si Marine Le Pen est élue, Hollande séchera la passation de pouvoir !

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    Non seulement ce type est un pignouf de bas étage, mais à l’évidence Valérie Trierweiler disait vrai : il n’a que mépris pour le peuple.

    On le sait tous : si Marine Le Pen est au second tour de la présidentielle, on va basculer dans l’hystérie. Qu’on se souvienne un peu de l’entre-deux-tours 2002… Les lycées et collèges vidés de leurs élèves pour les conduire à la manif entre leurs profs, les « ménagères » emplissant leurs Caddie© par trouille du Grand Soir, tous les politiques faisant allégeance à un Jacques Chirac qu’ils vomissaient la veille, et le Président le plus inutile de la VeRépublique réélu avec un score de maréchal soviétique. Soyons donc sans illusion : si Marine Le Pen est au second tour, on va nous rejouer la même comédie.

    Déjà, d’ailleurs, on s’y prépare. Ce jeudi, les six responsables des diverses obédiences maçonniques donnaient ainsi une conférence de presse commune « sur la présidentielle ».

    Laurent Kupferman en fait un compte rendu hilarant dans 20 Minutes. Il y raconte les grands maîtres, à visage découvert (les Frères seraient-ils désormais pour la transparence ?), qui appellent à voter contre la candidate du Front national, « une décision mûrie depuis plusieurs mois ». Cela au nom du « pacte républicain ».

    Et c’est quoi, le pacte républicain ? Le grand mamamouchi du Grand Orient se lance. « On arrive au bout de trois siècles d’inspiration libérale que tout le monde nous présente comme une fatalité, alors que ce dogme du marché lamine tout sur son passage. On doit imaginer un monde centré sur la prospérité et la fraternité des peuples. On doit penser une nouvelle démocratie éclairée. Quand les électeurs ne font plus confiance à la démocratie française telle qu’elle existe, c’est qu’il faut revoir son mode de fonctionnement.

    Ça passe par se saisir de la question des institutions, ce qu’on appelle la VIe République chez certains, même si là on tombe dans la politique. »

    Conclusion : les frères la gratouille voteront Mélenchon ! D’ailleurs, c’est une coïncidence sans doute : Jean-Luc Mélenchonest le seul candidat à avoir déclaré son appartenance à la franc-maçonnerie. Et il appartient… au Grand Orient. Ah ! Ah ! Ah ! Kolossale finesse !

    Et tout cela, voyez-vous, n’est pas pour rassurer François Hollande, notre Président normal. Déjà qu’il trouve que cette campagne « sent mauvais »… Et sa crainte à lui, c’est de voir un second tour opposer Le Pen et Mélenchon. Il n’en dort plus, notre Flanby. Alors si les francs-macs s’y mettent… Il a pourtant essayé de les amadouer. Fin février, il s’est même rendu ès qualité à leur petite sauterie sur le thème « 300 ans de franc-maçonnerie, 300 ans d’émancipation ». Une première : reçu très officiellement au siège du Grand Orient, rue Cadet, François Hollande y a rencontré les représentants de dix-sept loges d’obédiences diverses.

    Et voilà, patatras, un coup de compas dans le dos. Et cette horrible perspective qui hante maintenant ses nuits : un duel Le Pen-Mélenchon. Et cette crainte qui lui fouaille les entrailles et lui coupe l’appétit (il a un peu maigri, non ?) : la victoire de la grande blonde !

    Alors, dans cette hypothèse funeste, acculé à cette fin de règne qu’il n’aurait jamais osé imaginer, le Président normal voudrait bien pouvoir sortir de la norme. Il se renseigne, pose des questions, consulte les grands sages du protocole.

    Vous avez deviné : dans le cas où Marine Le Pen gagnerait la présidentielle, François Hollande ne veut pas assurer la passation de pouvoir.

    On a déjà connu de ces grands démocrates, tel François Fillon, qui refusent toujours obstinément de serrer la main de la députée Marion Maréchal-Le Pen, mais Hollande franchit un cap : jamais on n’a vu dans notre histoire de ministre et, a fortiori, de chef de l’État refusant de transmettre les clés de la boutique à son successeur démocratiquement élu.

    Non seulement ce type est un grossier personnage, un pignouf de bas étage mais, à l’évidence, Valérie Trierweiler disait vrai : il n’a que mépris pour le peuple.

    http://www.bvoltaire.fr/scandaleux-marine-pen-elue-hollande-sechera-passation-de-pouvoir/

  • #LeVraiFillon : Fillon et les mosquées | Marine 2017