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magouille et compagnie - Page 1753

  • Jean-Frédéric Poisson victime du lobby-qui-n’existe-pas

    Hier, nous nous inquiétons de la liberté d’expression qui se réduit tous les jours un peu plus, et la judiciarisation toujours plus pesante du débat public. Hélas, chaque jour qui passe vient nous apporter de nouvelles preuves. Cette fois-ci, c’est un candidat à la primaire Les Républicains, parti consensuel s’il en est, qui en a fait les frais. Pourtant, vous allez le voir, il n’y a pas de quoi fouetter un chat, mais les bâilloneurs sont très susceptibles et il en faut très peu pour les faire sortir de leurs gonds.

    Ainsi, dans une interview dans le cadre de la primaire des Républicains, Frédéric Poisson était invité à donner son opinion sur les élections américaines. Poisson a émis des réserves au sujet d’Hillary Clinton, jusque là, rien que de très normal, mais là où certains voient un scandale, c’est à cause des raisons qu’a fournies Poisson : En effet, ce dernier a jugé «dangereuses pour l’Europe et la France » la « proximité » de la candidate démocrate « avec les super-financiers de Wall Street » et sa « soumission aux lobbies sionistes ».

    Il n’en a pas dit plus, mais c’en est trop pour certains. Plutôt que de réfuter les dires de Poisson avec des arguments et ainsi opposer arguments contre arguments comme cela devrait être dans un débat qui cherche la vérité, un certain lobby a sonné l’hallali : Le CRIF a publié un communiqué jugeant que ces « propos abjects » et « nauséabonds » méritent une « sanction exemplaire » et une « condamnation ferme » de la part de la commission d’organisation de la primaire de la droite et du centre. Pas moins.

    On devrait penser que le parti Les Républicains viendrait en aide à l’un de ses candidats, bassement attaqué par un lobby que l’on n’a pas le droit de nommer car, paraît il, ce lobby n’existe pas. Eh bien, c’est exactement l’inverse qui s’est passé, ce parti se couchant littéralement devant le diktat du lobby-qui-n’existe-pas. Ainsi, Thierry Solère, président de ladite commission, a donné raison au Crif dans la foulée, faisant fi de la neutralité dont il est supposé être. « En tant que député de Boulogne/Boulogne-Billancourt, je condamne avec la plus grande force les propos de Jean-Frédéric Poisson », affirme-t-il, ajoutant que l’expression «lobby sioniste (…) nourrit les thèses conspirationnistes et a un caractère insidieusement antisémite. » Soyons sûrs que les autres candidats à la primaire partagent l’avis de Solère.

    Quant à Poisson, s’il a arrondi les angles (jugeant maladroite la formulation), il n’a pas renié le fond de sa pensée, ce qui est à son honneur.

    http://www.contre-info.com/

  • Le vent tourne (Blowin’ in the wind)

    Difficile de ne pas y voir la volonté des racailles de rééditer  le modus operandi de la récente attaque qui a grièvement brûlé des policiers  dans le quartier de à la Grande Borne (Essonne) il y a deux semaines, et une agression similaire il y a quelques jours au Val-Fourré (Yvelines). Une voiture de la BAC a de nouveau été attaquée au cocktail Molotov dans une cité sensible de Vénissieux  (Rhône) mercredi soir, au cours d’un véritable guet-apens. Une volonté de cramer du flic, de sacrifier du poulet  comme le chantait les rappeurs de Ministère Amer, qui ne manque pas d’inquiéter  sur le degré de haine des bandes, a fortiori  au vu de la faiblesse de la réponse des autorités devant ce défi jeté au visage de l’Etat par les « sauvageons » de Bernard Cazeneuve. Les policiers  étant au contact, au plus près, de la réalité  de la délicieuse et irénique France multiculturelle,« la France d’après » comme disait l’autre, projet global des partis du Système, est-il étonnant que le vote FN  progresse sensiblement dans leurs rangs ? Selon une étude du Cevipof, 57% des policiers seraient prêts à voter Marine Le Pen à la présidentielle de 2017, (contre 30% en 2012). Décidément jamais avare quand il s’agit de refourguer   aux médias ses grosses ficelles propagandistes de trotskiste fatigué  Le Premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a dénoncé il y a deux jours, la « patte » du Front National dans les manifestations de policiers, qu’il a qualifiées d’hors la loi ». Un affolement qui sent vraiment la fin de règne chez les apparatchiks socialistes qui sont en train de lâcher à François Hollande et au gouvernement Valls.

    Fin de règne  de cette génération progressiste post soixante-huitarde encore au pouvoir, qui s’auto-congratule et se berce de nostalgie de manière bien caricaturale, comme l’atteste le prix Nobel de Littérature attribué au songwriter Robert Zimmerman (75 ans), plus connu sous le nom de Bob Dylan. (Un peu) popularisé en France par les reprises de ses chansons par Hugues Aufray, Dylan est incontestablement une icône mondiale de la musique folk, qui a accédé à une notoriété mondiale dans les années soixante avec ses chansons pacifistes, son engagement contre la guerre du Vietnam. Bien que converti au christianisme en 1979, le Jérusalem Post le classait en 2011 au nombre des 50 juifs les plus influents du monde, derrière les Français Bernard Kouchner, DSK, Simone Veil et BHL. Bob Dylan  avait  été décoré de la Légion d’honneur par le  ministre de la « Culture », Aurélie Filippetti en 2013, s’attirant les foudres du général Jean-Louis Georgelin, Grand chancelier de l’ordre de la Légion d’honneur.

    Un prix qui n’a pas fait l'unanimité, même chez les esprits éclairés. France Culture s’en est fait écho en rappelant que « ce Nobel ne fait que retarder la consécration de grands auteurs comme Haruki Murakami ou Philip Roth, (mais) quand on connaît le travail de Dylan et quand on sait combien il a inspiré de générations d’auteurs-compositeurs, la qualité de sa prose ne fait aucun doute (…).  Un grand dylanologue, Ron Rosenbaum , se pâme »:  « Dylan, dit-il, mine et sape le langage. Il a d’ailleurs exercé une subtile influence sur sur la façon dont nous parlons, ce côté contrefait et pince-sans-rire. » Et puis, « La secrétaire permanente de l’Académie suédoise a répondu d’avance aux critiques qui ont estimé qu’un auteur de chansons ne pouvait pas être considéré comme un poète. Les textes d’Homère comme de Sappho, a dit Sara Danius, étaient eux aussi destinés à être déclamés ou probablement chantés en public. Pareil pour ceux de Dylan ».

    La prose de Dylan implicitement comparée aux vers au  génial poète Homère ? Sera-t-il  encore écouté, enseigné (?), étudié (?) dans vingt-huit siècles comme l’est l’auteur de l’Iliade et l’Odyssée ? Sur le site du  Point, Marc Lambron, de l’académie française, ne se prononce pas mais explique que « ceux qui s’étonnent qu’on couronne un chanteur, je dirais que Dylan, c’est Shakespeare avec une guitare Fender. » Songe creux d’une nuit d’automne ?

    Dans Le Point, toujours le psychanalyste, énarque, musicologue et écrivain Michel Schneider balaye ses commentaires laudateurs, mais il est vrai qu’il est déjà accusé d’être un fieffé réactionnaire, et même  de » misogynie », de « transphobie » et d' »homophobie » par le lobby LGBT, coupable de s’être opposé au mariage et à adoption pour les couples de même sexe. Dans la liste des possibles cette année » relevait M. Schneider  » il y avait trois écrivains américains de premier plan : Philip Roth, Don De Lillo et Joyce Carol Oates. Le scandale de certains choix précédents n’était pas que Modiano, Tranströmer ou Aleksievitch soient lauréats, mais que des titans littéraires depuis des décennies ne l’aient pas été, simplement parce qu’Américains. » Aussi le couronnement de M. Dylan s’explique par le fait « qu’on croit qu’il chante contre l’Amérique ». D’ailleurs, pour preuve, le jury des Nobel  » a pardonné à Alice Munro d’être anglophone parce qu’elle n’était pas américaine mais canadienne. Le dernier auteur américain nobélisé fut Toni Morrison en 1993, peut-être parce que, noire et femme, elle n’était pas l’écrivain, homme et blanc tant honni par les Suédois progressistes et tiers-mondistes. »

    L’écrivain, psychanalyste, féministe et femme de gauche Julia Kristeva confirmait implicitement l’analyse de Michel Schneider, en confiant pour sa part sur France Culture que le Nobel attribué à Bob Dylan devait se comprendre comme une volonté de « désintégrer les frontières entre les genres, la musique et la littérature ».

    Une obsession de la désintégration que l’on retrouve dans la cabale dont est victime le sympathique et talentueux Lorànt Deutsch , dont les livres de vulgarisation (c’est tout sauf un gros mot) historique, Métronome et sa suite ont remporté un succès populaire bien mérité. Il se  trouve dans le collimateur de la gauche depuis sa réussite en librairie, et force est de constater que sa participation au   documentaire sur Céline réalisé par Guillaume Laidet (texte et scénario de Patrick Buisson) diffusé sur la chaîne Histoire dirigée par M. Buisson n’a pas arrangé sa réputation.

    L’Afp le rapporte deux enseignants d’histoire-géographie et militants du Front de Gauche de Trappes dans les Yvelines, « ont décidé ne pas assister à l’intervention de Lorànt Deutsch prévue devant les élèves de 4e et de 3e de la ville le 4 novembre prochain. Face à ce boycott, (M. Deutsch)  a préféré renoncer. »

    « Devant nos élèves ? Ce sera sans nous, ont écrit les deux professeurs dans une tribune publiée sur le blog Aggiornamento Histoire-Géo. « Sa venue à Trappes n’est que la conséquence de l’idée selon laquelle les élèves des quartiers populaires du département, d’ascendance immigrée récente, ne seraient pas assez attachés à la République; L’urgence serait de leur faire aimer la France et la République, et le seul moyen pour y parvenir serait de les divertir et de les émouvoir dans une Histoire présentée sous la forme d’un roman national. Nous refusons d’être associés à une démarche qui va à l’encontre du métier que nous exerçons : l’Histoire n’a pas pour but de faire aimer la France, c’est une science qui permet de comprendre le passé par une étude critique et dépassionnée; Notre fonction est d’amener nos élèves vers la connaissance, pas de diffuser auprès d’eux des images d’Épinal qu’habituellement on épargne (sic)  aux autres élèves de France ».

    « À une main tendue, on m’a proposé un poing fermé », a réagi Lorànt Deutsch. Du côté des organisateurs de l’événement, la stupéfaction domine : C’est une situation irréelle, souligne le président du salon Histoire de lire, Étienne de Montety. Lorànt Deutsch est un passeur, un homme qui transmet. Je croyais que l’on vivait dans un pays où règne la liberté d’expression »…

    M. de Montéty est (faussement?) naïf, la liberté d’expression est bien évidemment à géométrie variable  constate Bruno Gollnisch,  pour les petits  Robespierre (lequel dans sa monstruosité n’était  lui pas exempt d’une certaine grandeur et rectitude) qui veillent aux grains  de l’historiquement correct  et traquent les déviants qui osent rappeler que la France n’est pas réductible à 1789, à la république, mais une réalité charnelle, indissociable de la spiritualité  chrétienne. Toutes choses que n’importe quel  républicain agnostique ou athée honnête ne peut que reconnaître.

    Porte-parole  de Jean-Paul Mélenchon, dont il est le  chargé des argumentaires contre le FN, Alexis Corbière est à la tête de cette chasse au Lorant Deutsch qu’il accuse de sympathies monarchistes et de populisme chrétien. Sur son blogue, M Corbière  dénonçait en 2013 une « école buissonnière de l’histoire », clamant son indignation au sujet d’un entretien accordé par M. Deutsch au Figaro dans lequel l’auteur de Métronome  désapprouvait  « une approche de l’Histoire purement laïque. Il veut, en parlant des grands hommes une transmission de l’Histoire qui nous oblige à lever la tête, donc à risquer d’apercevoir l’ombre de Dieu. Évidement, il insiste sur le fait que la République n’a que cent cinquante ans au compteur quand la monarchie en affiche mille cinq cents. Façon de dire, que la vérité de la France est plus dans la monarchie, que dans la république, présentée presque, en creux, comme un épisode secondaire de notre longue histoire. »

    Et M. Corbière de s’offusquer encore de cette constatation de Lorant Deutsch: « Je vois bien qu’on peine à être objectif pour évoquer la décolonisation, l’Occupation ou l’Holocauste, car il existe encore des personnes vivantes qui ont souffert dans leur chair à l’occasion de ces événements. Moi-même, comment pourrais-je parler de la Seconde Guerre mondiale de manière sereine et rationnelle en sachant que la famille de mon père a disparu à Treblinka (sa famille paternelle est juive hongroise, NDLR) ? Cela m’est impossible. J’invite chacun à méditer quelques instants sur ces propos et à en mesurer toute l’ambiguïté » affirme Alexis Corbière. L‘ambiguïté, la dégueulasserie,  elle réside évidemment  dans le procès sous-jacent qui est fait à Lorant Deutsch, dont la famille a payé au prix fort les totalitarismes du XXème siècle, à fui les persécutions communistes en Hongrie en 1956,  et qui a le front de clamer sa fierté d’être catholique comme sa maman.

    Insupportable pour les commissaires politiques de la France hors sol, les grands prêtres du progressisme et autres fanatiques de la table rase? Une fois n’est pas coutume laissons la parole à Bob Dylan (Blowin’ in the wind): « Yes, ‘n’how many years can some people exist, before they’re allowed to be free ? The answer is blowin’ in the wind (Oui, et combien d’années doivent exister certains peuples, Avant qu’il leur soit permis d’être libres ? La réponse est soufflée dans le vent). Et le vent tourne messieurs les censeurs! 

    http://gollnisch.com/2016/10/21/le-vent-tourne-blowin-in-the-wind/

  • Juppé et Sarkozy ont la joie de vous annoncer leurs fiançailles avec la gauche

    Invité d’Europe 1 ce matin, Alain Juppé a dénoncé les tentatives des sarkozystes pour« dissuader les gens d’aller voter à la primaire ». Il se défend vigoureusement d’avoir « fait appel aux électeurs de gauche, qu’est-ce que c’est que cette histoire ? » Mais il ne crache pas non plus sur ces voix potentielles car, selon le dernier sondage Ipsos, 94 % des sympathisants de gauche qui sont certains d’aller voter choisiront Alain Juppé. Il lui faut donc, très logiquement, mobiliser le maximum d’électeurs de gauche pour cette primaire… de la droite et du centre.

    Pour se défendre de tout calcul électoraliste, le favori des sondages se drape dans une dignité patriotique qui ne trompe personne et prétend n’aspirer qu’à « rassembler notre pays dans une situation extrêmement difficile ». Mais la réalité est plus triviale : « Je ne vais tout de même pas dire à ceux qui veulent voter pour moi : “Allez vous faire voir”. » Quelle élégance, quelle distinction ! Mais, sur le fond, on le comprend : ce serait vraiment trop niais…

    D’ailleurs, poursuit-il, « les règles de la primaire c’est que tout le monde peut voter à condition de signer “la charte d’adhésion aux valeurs de la droite et du centre”.

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  • Pour les migrants presque 10 milliards d’euros en trois ans

    Pour mener en avant les politiques d’accueil, le gouvernement italien est en train de saigner le pays.

    Pour ses contributions à l’Union Européenne, l’Italie a déjà dépensé 2,6 milliards d’euros en 2015. Elle prévoit d’en dépenser 3,3 en 2016 et 3,8 en 2017. Le coût se montera au tour des 10 milliards. Un chiffre monstrueux qui non seulement n’a pas résolu le problème migratoire mais qui a en revanche accru les difficultés économiques de l’Italie.

    L’impact compressif sur le bilan de l’État italien concernant les dépenses pour les migrants est impressionnant. Ces chiffres ont été mis noir sur blanc par le ministre de l’Économie, Pier Carlo Padoan, et maintenant ils sont sur la table de l’Union Européenne.

    Le gouvernement italien se sert de cette somme pharamineuse pour obtenir de la part de Bruxelles plus de flexibilité.

    « L’Italie fait un énorme effort pour sauver des vies humaines, accueillir et gérer un énorme flux d’immigrés, explique Padoan en rappelant que beaucoup de pays de l’Union Européenne se refusent à le faire. « Les pactes valent sur tous les thèmes, pas seulement sur le déficit. »

    Les portes ouvertes aux migrants par Matteo Renzi, chef du gouvernent, et Angelo Alfano, ministre de l’Intérieur, sous la pression de la chancelière allemande Merkel, ont permis l’invasion de la botte par des milliers de clandestins et ont vidé les caisses de l’État. De l’argent qui vient soustrait aux Italiens.

    « L’Italie dépense chaque année, depuis 2014, entre deux et trois fois plus que la moyenne entre 2011-2013, avant que n’explose l’urgence humanitaire, lit-on dans le rapport. La dépense pour les migrants que l’Italie est en train de soutenir ne peut être évaluée seulement en termes de dépenses augmentées par l’urgence, qui est exclue des pactes de stabilité, mais devrait tenir compte de l’effort complexe engagé dans ce domaine, confronté avec une situation où il n’y a pas d’urgence humanitaire. »

    La révélation de la dépense astronomique allouée à l’immigration par l’Italie témoigne de l’échec total des politiques d’accueil qui appauvrissent considérablement les pays, qui comme l’Italie, sont soumis à l’invasion migratoire.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.secoloditalia.it/2016/10/per-i-migranti-10-miliardi-in-anni-salasso-firmato-renzi-alfano/

    http://www.ilgiornale.it/news/politica/manovra-spese-i-migranti-97-miliardi-euro-tre-anni-1320439.html

    http://www.medias-presse.info/pour-les-migrants-presque-10-milliards-deuros-en-trois-ans/62862

  • Journal du Jeudi 20 Octobre 2016 : Politique / Le bulletin de note des candidats à la primaire

  • IVG : non à la censure gouvernementale

    VISUEL8PETITION

    Le gouvernement s’est lancé dans une bataille pour museler et censurer les opposants à la banalisation de l’avortement en ciblant les sites qui informent les femmes sur les alternatives à l’IVG.

    Non content de les menacer d’un « délit d’entrave numérique à l’IVG », il se permet, par son propre « site officiel », de faire dire à un prétendu expert qu’il n’y a pas de séquelles psychologiques à long terme après un avortement. Pire, nous avons la preuve que les répondants officiels de ce service orientent des femmes enceintes vers un avortement illégal à l’étranger jusqu’à 22 semaines (alors que le délai français est de 12 semaines !).

    Nous demandons à Madame la Ministre Laurence Rossignol :

    ♦ le retrait immédiat de la menace du « délit d’entrave numérique » qui pèse sur les associations qui proposent des solutions alternatives à l’IVG

    ♦ l’arrêt de toute propagande mensongère sur le site internet officiel du gouvernement et de toute complicité gouvernementale avec des filières d’avortement à l’étranger

    ♦ la diffusion des informations sur les aides financières et sociales aux femmes enceintes consultant en vue d’un avortement pour que l’avortement ne soit pas une fatalité et leur permettre de conduire leur grossesse jusqu’à son terme.

    Il est irresponsable de cacher la réalité d’un acte qui n’a rien d’anodin dans la mesure où c’est toujours le destin de vies humaines qui est en jeu.

    Ensemble, faisons reculer la fatalité de l’avortement.

    http://www.alliancevita.org/ivg-non-a-la-censure-gouvernementale/

  • La liberté d’expression plus que jamais menacée

    Alors que la France est en voie de décadence avancée, les autorités officielles, loin de s’attaquer aux causes de ce déclin, veulent au contraire s’en prendre à ceux qui les dénoncent, quand bien même ceux-ci n’ont pas de pouvoir et ne font qu’exprimer leurs points de vue. Bref, les autorités ne veulent pas d’un débat qui opposerait argument contre argument, mais la censure pure et simple de ceux qui ne pensent pas comme elles. Ainsi, par exemple, en matière d’avortement, le ministre Laurence Rossignol a voulu déposer un projet de loi pour réprimer ceux qui feraient un « délit d’entrave numérique » (sic). Serait susceptible d’être condamné pour cette entrave numérique quiconque aurait, sur internet, exposé des arguments qui ne siéraient pas à la doxa officielle du planning familial, car le ministre sait qu’un débat loyal lui ferait perdre la partie. Heureusement, ce délit d’entrave numérique n’est pas encore adopté mais une autre menace arrive, bien plus grave encore, car ce ne sont pas les seuls opposants à l’avortement qui sont visés mais quiconque émet un avis critique sur la société actuelle.

    Ainsi, deux sénateurs (l’un républicain, l’autre socialiste) ont déposé un rapport qui pourrait devenir proposition de loi, intitulé (sans rire) « égalité et citoyenneté » et qui vise à démanteler la loi 1881 sur la liberté de la presse, loi qui protège a minima la liberté d’expression. La charge est telle que même des feuilles bien pensantes, tel le quotidien le monde, s’en inquiètent, parlant de « texte dangereux ». Et en effet, si un tel projet était adopté, on ne pourra plus rien dire de politiquement incorrect sans risquer de devoir comparaître devant un tribunal. Du reste, ses auteurs reconnaissent explicitement qu’ils visent l’espace de liberté qu’est internet, comme quoi, si la liberté fait partie officiellement de la devise républicaine, ses principaux ennemis sont au plus haut sommet de l’État, quand bien même ces derniers, ne craignant pas le ridicule, se disent Charlie…

    http://www.contre-info.com/la-liberte-dexpression-plus-que-jamais-menacee

  • «Chaos» , «révolte» : la manifestation des policiers français vue de l’étranger

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    Suite à l’attaque au cocktail Molotov de Viry-Châtillon, des centaines de policiers ont décidé de manifester leur colère dans plusieurs villes en France. Un phénomène rare qui intrigue la presse étrangère.

    The Daily Mail n’a pas hésité à évoquer un «chaos» provoqué par les policiers sur les Champs Elysées tandis que les journalistes d’Il Nord Quotidiano vont jusqu’à parler de «révolte».

    http://fr.novopress.info/201127/chaos-revolte-la-manifestation-des-policiers-francais-vue-de-letranger/