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magouille et compagnie - Page 1750

  • Les Wallons ne lâchent rien sur l’accord avec le Canada

    Malgré les efforts déployés lors du sommet européen de Bruxelles, aucune solution n’a été trouvée.

    Tout ça pour ça. Au terme d’une longue soirée, les Européens se sont séparés, dans la nuit de jeudi à vendredi, sans réelle percée sur les deux principaux sujets qui occupaient les esprits. S’ils ont pu afficher un communiqué relativement consensuel au sujet des migrants, c’est au prix de renoncements : peu d’annonces nouvelles et une note de bas de page ménageant, une fois de plus, les susceptibilités des pays opposés à l’idée d’être obligés d’accueillir sur leur sol des réfugiés.

    Au sujet de la Russie, ils ont certes dégagé une ligne commune, faisant montre de fermeté en demandant l’arrêt des bombardements sur Alep , la prolongation de la trêve et l’acheminement d’une aide humanitaire. Mais à ce stade, pas la moindre mention d’éventuelles sanctions – le Premier ministre italien, Matteo Renzi, s’étant farouchement opposé à cette idée. Malgré tout, a averti François Hollande devant les médias, « si se perpétuaient de nouvelles atrocités, toutes les options seraient envisagées « .

    Efforts diplomatiques

    Mais c’est au sujet de l’accord de libre-échange avec le Canada (CETA) que la déception était palpable. En dépit des efforts des diplomates et des chefs d’Etat , aucune issue n’a été trouvée au blocage de la Wallonie, bien décidée à ne pas signer ce texte qu’elle juge contraire à ses intérêts.

    Pour conjurer le scénario d’un échec, une rencontre s’était déroulée, avant l’ouverture du sommet, entre le président du Conseil européen, Donald Tusk, et le Premier ministre belge, Charles Michel. Celui-ci affirmait que le « moment de vérité est proche ».

    A vingt heures, les ambassadeurs de tous les Etats se réunissaient pour chercher une solution. Plus tard dans la soirée, on apprenait que le Parlement wallon allait être réuni, ce vendredi matin, pour se prononcer à nouveau sur la déclaration politique qui accompagne le texte, laquelle avait subi de substantielles modifications. Mais en fin de soirée, le ministre président de la Wallonie, Paul Magnette, rejetait la nouvelle version du texte. « Il y a des améliorations mais le texte est encore clairement insuffisant », lâchait-il.

    Vers un fiasco définitif ?
    Pour autant, le scénario d’un fiasco définitif ne semble pas encore écrit. Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, est censé venir signer le traité jeudi 27 octobre, à Bruxelles. Pour d’élémentaires raisons de courtoisie, les Européens considèrent que si ce voyage doit être annulé, cela ne pourra pas se faire au-delà de lundi. Le week-end pourrait donc être intense, d’autant que dès ce vendredi matin, Paul Magnette devrait rencontrer directement la ministre canadienne du Commerce.

    Pour certains observateurs, ce dernier n’aurait aucun intérêt politique à lâcher prise durant le sommet, car cela permettrait au Premier ministre belge, un adversaire politique, d’empocher un succès diplomatique. Pour autant, s’il obtient de réelles concessions, il pourrait céder dans les tout prochains jours, et emporter par la même occasion une belle victoire politique.

    Angoisse des responsables européens

    Si cette épée de Damoclès était levée, ce serait un soulagement majeur pour les Européens. Donald Tusk, le président du Conseil européen, connu pour ne pas cacher son pessimisme, avait donné le ton, à l’ouverture du sommet, prévenant que si l’Union européenne se révélait incapable de signer le CETA, cela signifierait que celui-ci « pourrait être notre dernier accord de libre-échange ».

    De fait, l’angoisse de tous les responsables européens est que le sacrifice d’un accord dans son ultime ligne droite, alors que celui-ci a donné lieu à cinq années d’intenses négociations, envoie au monde entier un signal déplorable, démontrant que la Commission européenne n’a plus les moyens de son action en la matière. L’Union ne serait plus, dès lors, un partenaire fiable, ni même une entité capable d’agir collectivement. Ce dont Paul Magnette, professeur de sciences politiques et spécialiste des questions européennes, se dit conscient.

    Les Echos

    http://www.voxnr.com/4850/les-wallons-ne-lachent-rien-sur-laccord-avec-le-canada

  • Policiers en colère : « Viry, c’était prévisible »

    Après une semaine de manifestation nocturnes suite à la violente agression au coktail molotov dont ont étés victimes leurs collègues à Viry-Châtillon il y a quinze jours, une centaine de policiers se sont rassemblés devant la mairie d’Evry, accompagnés pour certains de leur familles afin de montrer qu’il y a « des hommes derrière l’uniforme ».

    http://fr.novopress.info/

  • Cachez cette personne homosexuelle qui ne pense pas comme le lobby LGBT

    6a00d83451619c69e201b8d22ff182970c-800wi.jpgUltra média­tisé après sa parti­ci­pa­tion à la Ferme Célé­bri­tés, au début des années 2000, on ne voyait que lui sur les plateaux de télé­vi­sion. Vincent McDoom fut le premier trans­genre-star catho­dique. Mais il a disparu des écrans. Lors de la loi Taubira, son avis n'a pas été sollicité par les médias. Trans­genre, homme effé­miné aimant les hommes, comme les femmes, pas « raboté » comme il dit, faisant réfé­rence au fait qu'il ne désire aucu­ne­ment se faire opérer pour chan­ger de sexe, il explique :

    "J'ai peur de Dieu, je pense qu'on doit lui rendre des comptes et comme il m'a fait naître homme, je ne veux pas arri­ver devant lui avec des seins !«

    »Bien sûr je suis pour que les couples homo­sexuels aient exactement les mêmes droits que les autres, mais le mariage, pour moi, c'est sacré, parce que c'est un serment devant Dieu. »

    Michel Janva

  • Cazeneuve a préféré protéger une bouffe privée de Hollande que les Niçois : 86 morts !

    4216898475.jpg

    Paul Le Poulpe Riposte laïque cliquez ici

    C’est seulement maintenant que nous prenons connaissance de l’audition de la directrice de l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN), Marie-France Moneger-Guyomarc’h, le 6 septembre dernier, par une mission parlementaire présidée par Eric Ciotti. On sent que ce dernier, impitoyable, cherche à comprendre pourquoi les Niçois n’ont pas profité de la protection de forces mobiles, comme les années précédentes. Il rappelle que cette ville est la cinquième de France, que nous étions en plein état d’urgence, et qu’il y a plus de 500 fichés S dans le département.

    La directrice bafouille lorsqu’elle est prise, les doigts dans le pot de confiture du mensonge, à imaginer un prétexte bidon pour justifier le fait que ses services ont préféré mentir par omission afin de ne pas avouer que des forces mobiles avaient été utilisées pour assurer la sécurité du soi-disant président de la République en déplacement privé au Festival d’Avignon (on ne peut rien refuser à Julie Gayet), plutôt qu’à Nice, pour le feu d’artifice du 14 Juillet (à partir de 3 mn sur la vidéo), avec les conséquences que l’on connaît.

    Cazeneuve et ses sbires ont donc pensé que la sécurité d’un repas privé de Hollande à Avignon, avec des artistes du système, était plus importante que la sécurité des Niçois. Conséquence : 86 morts et des centaines de blessés mutilés à jamais.

    Et le pire est que, en outre, Cazeneuve, comme d’ailleurs Estrosi, a grossièrement menti aux Français, par la suite, comme le démontre notre contributeur Jacques Chassaing.

    Attentat de Nice : Cazeneuve et Estrosi ont menti cliquez ici

    Ils ont voulu cacher aux Français que l’assassin musulman a pu rouler pendant 2 kilomètres avant de caler, et seulement abattu à ce moment là. Il a fallu 4 minutes et 17 secondes pour tuer le conducteur. 4 minutes et 17 secondes, vous vous rendez compte. Des gens écrasés par centaines, et personne pour intervenir ! Comme le disait Jacques, en Israël ou aux Etats-Unis, le camion n’aurait pas fait cent mètres. Et nous étions en plein état d’urgence ! Mais il faut respecter l’Etat de Droit, et protéger les repas privés du président avec ses amis artistes…

    Dans n’importe quel pays au monde, après une telle incompétence, le ministre de l’Intérieur aurait été viré sur le champ, après les troisième attentat musulman de masse ! En France, il a fallu attendre un mois et demi pour avoir connaissance de ces images accablantes.

    Cet homme, qui ose se dire ministre de l’Intérieur, est en fait le ministre de l’Invasion. Il organise, avec des méthodes dignes d’une dictature, s’appuyant sur des préfets aux ordres, la mise à mort de nos villages, à qui il impose la présence des clandestins de Calais par dizaines, voire parfois par centaines. Il ose interdire aux maires de voter.

    Il méprise tellement ses policiers que, quand ils se font griller dans leur voiture par des racailles, il minimise la gravité des faits, et les laisse aller au massacre quotidiennement.

    Ce plus mauvais ministre de l’Intérieur que l’Histoire ait connu – mais aussi le plus arrogant – est responsable de deux crises majeures, celle des migrants et celle de la police, peut-il rester à son poste ? Comme tous ses complices socialistes, il a sur les mains le sang de 250 victimes de l’islam, à cause de sa politique migratoire et de la fermeture de nos frontières, comme le dit Philippe de Villiers.

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Invasion migratoire : les migrants de Calais dispersés partout en France !

    L’évacuation totale de la « Jungle » de Calais va donc débuter lundi 24 octobre à 8H00. Une opération qui devrait durer une semaine. Alors que la logique aurait été de tous les expulser, le gouvernement a donc décidé de disperser plus de 7 000 migrants dans des centres d’accueil et d’orientation (CAO) répartis sur tout le territoire.

    60 cars prendront la route lundi, 45 mardi et 40 mercredi. Au total, ce sont près de 145 autocars qui devraient embarquer jusqu’à 50 migrants et avec deux accompagnateurs à bord.

    Une fois arrivés dans ces centres, les migrants seront appelés à « réfléchir à leur projet personnel » (sic).

    Dès lundi, une soixantaine de bus vont disperser des de Calais vers 454 centres d'accueil à travers toute la France.

    Lisez cet article, il démontre à quel point l'immigration incontrôlée est un fardeau pour la France et les Françaishttp://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/jungle-de-calais-comment-va-se-derouler-le-demantelement-du-24-octobre-7785398779 

    Photo published for 7 jours, 1.250 policiers... L'évacuation hors-norme de la "Jungle" de Calais

    7 jours, 1.250 policiers... L'évacuation hors-norme de la "Jungle" de Calais

    ÉCLAIRAGE - Le gouvernement a annoncé que l'opération, supervisée par 1.250 policiers et gendarmes, devrait durer sept jours.

    rtl.fr 
  • L’oligarchie US va-t-elle suspendre l’élection de Donald Trump en accusant la Russie de “truquer les élections” ?

    Quelque chose semble se tramer au USA et ce quelque chose sent la conjuration. Elle vise Donald Trump et, plus largement, les forces qu’il a mis en mouvement, consciemment ou inconsciemment. Je veux en parler maintenant, alors que la presse hexagonale est encore muette sur la question, pour démontrer précisément toute le sérieux de mon propos.

    Contrairement à l’énorme campagne de désinformation des deux côtés de l’Atlantique, Donald Trump n’est pas distancé. Pas davantage que les partisans du Brexit ne l’étaient ou que les 98% des votants lors du référendum hongrois n’ont vu leur décision “invalidée”.

    Le premier front : le front militaire

    Nous voyons cette conjuration agir sur au moins trois fronts. Le premier front est militaire et implique, principalement, le Pentagone et la CIA en Syrie.

    Ceux-ci ont adopté depuis deux semaines un ton particulièrement violent et agressif à l’endroit de la Russie. L’ancien Vice-commandant de l’Otan, le général Richard Shirreff, a appelé avant-hier l’armée britannique à intervenir au sol en Syrie et à lancer une opération aérienne contre l’aviation russe dans ce pays (source).

    Un autre officier britannique, le général Richard Barrons, a quant à lui assuré que la Russie pourrait envahir et vaincre l’Otan en “48 heures”, appelant à un réarmement massif de la Grande-Bretagne (source).

    Aux USA, Mark Milley, le chef de l’État-major de l’Armée de Terre, a menacé en des termes clairs la Russie d’une guerre hautement destructrice, jurant que les USA “battraient” ses ennemis comme “jamais ils n’ont été” (source). Il est à relever que son discours se déroulait devant l’Association de l’US Army (armée de terre américaine, NDLR) à Washington, une réunion très formelle qui rassemble l’élite de cette arme.

    Un peu partout, à Londres et à Washington, des appels répétés à mettre en oeuvre une “zone d’exclusion aérienne” en Syrie se sont faits entendre, y compris au Sénat américain où l’actuel chef d’Etat-Major des Forces Armées des USA, Joseph Dunford, a du indiquer, fin septembre, que toute opération de ce genre revenait à entrer en guerre contre la Russie : 

    Ces appels et menaces ne sont pas fortuits : un effort concerté, décidé au moins entre militaires américains et britanniques, s’inscrit dans un timing bien précis.

    Il est connu qu’aucune administration américaine arrivée en fin de deuxième mandat n’entame de grandes manoeuvres diplomatiques et militaires engageant les USA de manière fondamentale. Ceci encore moins à quelques semaines des élections à proprement parler.

    Le deuxième front : le front diplomatique

    Nous avons pourtant vu un deuxième front entrer en mouvement, portant au plan international, le discours des militaires précités : le front diplomatique.

    On relèvera que c’est la France qui, une nouvelle fois, a joué le rôle d’agitatrice sur cette question. Les USA se servent de Paris comme d’un écran de fumée. La Grande-Bretagne, épuisée par les guerres d’Afghanistan et d’Irak et déstabilisée par le Brexit, n’a pas la même capacité d’entraînement, au plan européen, que la France. L’Allemagne, entrée en crise par la faute d’Angela Merkel avec la catastrophe migratoire, est paralysée par sa situation intérieure et demeure militairement insignifiante.

    Jean-Marc Ayrault, ostensiblement soutenu par son prédécesseur au Quai d’Orsay Alain Juppé (source), a joué le rôle du provocateur en chef en se déplaçant à l’ONU où ila fait savoir que la France voulait voir la Russie condamnée pour “crimes de guerre” à Alep (source).

    Ce socialiste blanchi sous le harnais semble moins regardant sur la campagne de bombardement menée illégalement contre la Libye en 2011, faits identiques à ceux qui valurent aux dirigeants nationaux-socialistes d’être jugés et pendus à Nuremberg en 1946. Vous aurez également relevé que le même n’a jamais demandé de poursuites de ce genre au sujet des innombrables exactions commises par les islamistes soutenus par le Qatar, l’Arabie Saoudite, la Turquie, les USA et la France.

    Aujourd’hui, mercredi 11 octobre, Ayrault demandait à la Russie de “cesser de soutenir al-Assad”(source). Une proposition absurde dans la mesure où tous les acteurs savent que la Russie a une alliance militaire avec ce pays et que Moscou est engagée de manière fondamentale et irréversible en Syrie. Dès lors, pourquoi tenir de tels propos ?

    Afin de créer un climat d’hystérie suffisamment paroxystique pour donner l’illusion d’une crise appelant des décisions prises en catastrophe.

    Sur ces entrefaites, le Vice-Premier ministre turc, Numan Kurtulmus, met en garde contre un conflit global : “Laissez-moi être clair : si cette guerre par procuration continue, les USA et la Russie en viendront au point d’entrer en guerre […] Le conflit syrien est en train d’amener le monde au bord d’un grand conflit régional ou mondial” (source).

    Le troisième front : le front politique

    C’est le front le plus crucial : le front politique intérieur des USA. L’oligarchie américaine, financière ou militaire mais aussi politique, estime que les orientations protectionnistes de Donald Trump contredisent trop fortement leurs intérêts internationaux. Les USA sont en effet devenus un empire dont le coeur compte moins, pour nombre d’entre eux, que le contrôle de marchés étrangers ou de pays stratégiques.

    La famille Bush, durement étrillée par Donald Trump, est ainsi étroitement liée à l’aristocratie saoudienne qui est entrée dans une guerre d’extermination avec l’Iran chiite. Dans ces conditions, lorsque Trump affirme qu’il veut se désengager du Moyen-Orient et “s’entendre avec la Russie”, il remet en cause des alliances remontant au Pacte du Quincy, en 1945. L’argent des pétromonarchie a acheté trop d’hommes d’affaires, de médias, de militaires et de politiciens pour qu’à ce stade les USA puissent quitter cette région sans une forte opposition interne.

    Hillary Clinton, la candidate démocrate soutenue par l’ensemble de l’oligarchie occidentale – tant en Europe qu’aux USA – est elle-même une cliente de l’Arabie Saoudite (voir ici) et est proche des Frères Musulmans, actuellement en guerre en Syrie.

    Une victoire de Donald Trump n’est tout simplement pas acceptée par les forces qui dirigent les USA. Sa candidature arrive à un tournant de l’histoire des États-Unis, alors que le projet des néo-conservateurs au plan global s’effondre en Orient et que la Chine et la Russie sont désormais en mesure de leur résister.

    Malgré tous leurs efforts pour empêcher Trump de gagner, y compris la divulgation d’une vidéo sur des propos misogynes orchestrée par un des ténors du Parti Républicain (source), ce dernier demeure largement soutenu par les classes moyennes blanches américaines. Précisément celles qui ont été détruites par la politique migratoire et économique de l’oligarchie US qui joue depuis longtemps au plan global.

    La conjuration

    Et c’est là que se situe le nœud de la crise à venir, selon moi. Hillary Clinton, soutenue par la présidence américaine et désormais par le FBI, accuse la Russie d’avoir contribué à diffuser des informations sur les primaires du Parti Démocrate, primaires truquées à la faveur de la candidate (source). Il s’agit, en toute probabilité, de la première salve : d’autres accusations vont viser le processus électoral américain lui-même.

    Il suffit en effet pour Hillary Clinton, le gouvernement américain et l’oligarchie qu’ils défendent, d’accuser la Russie d’ingérence durant les élections à venir pour les annuler ou les retarder. Pour créer un climat susceptible d’entraîner l’adhésion du peuple américain face à ce qui serait la fin de la république telle que fondée par Georges Washington, un conflit extérieur serait la seule véritable solution. Et ce conflit devrait à l’évidence impliquer l’état que l’on accuserait du sabotage des élections : la Russie de Vladimir Poutine.

    Un vétéran du camp démocrate, proche de Bill Clinton et de Barack Obama, a précisément fait cela, lors d’un vol entre Miami et New York alors qu’il aide Hillary Clinton lors de sa campagne présidentielle. Face aux nombreux documents impliquant Hillary Clinton actuellement publiés par Wikileaks (source), il a préféré insinuer la collusion entre le candidat républicain et Moscou : “Je dirais que l’interférence russe dans cette élection et leur tentative apparente de l’influencer en faveur de M. Trump devrait être grandement inquiéter tous les Américains” (source).

    Donald Trump a réagi à la publication de nombreux documents en ces termes : “Cette élection déterminera si nous pays demeurera un pays libre ou si nous deviendrons un république bananière corrompue contrôlée par de grands donateurs et des gouvernements étrangers […] L’élection de Hillary Clinton mènerait à la destruction de notre pays”.

    Le Washington Post, un journal néo-conservateur, ultra-belliciste et proche du Parti Démocrate, a déjà commencé à affirmer que les élections dans l’état crucial de l’Arizona “serait ciblé par les pirates russes” (source). CNBC a commencé hier à entretenir cette histoire dans l’opinion publique (source).

    Une fois que l’on assemble ces trois fronts – militaire, diplomatique et politique – on devine un vaste effort visant à légitimer une opération hors du commun dont le but serait d’invalider ou de repousser les élections américaines qui menacent si gravement l’oligarchie US et ses alliés. Le lien entre guerre internationale et révolution politique semble, une nouvelle fois, s’établir.

    Les oligarques iront-ils jusqu’au bout ? Difficile à dire. Mais la tentation est là, c’est indéniable.

    http://borislelay.com/

  • Terrorisme, islamisme, immigration ? (Elie Hatem)

  • Coup de gueule contre la République d’aujourd’hui.

    La triste actualité de la République peut apparaître comme une aubaine pour les monarchistes, mais je ne m’en réjouis pas, car c’est la France qui pâtit de cette situation déplorable : la colère des policiers qui envahit les rues ces nuits dernières n'est, provisoirement, que le dernier épisode du délitement de l'Etat et de son autorité. Et lorsque je vois le livre de « confidences » du président Hollande dans les mains de quelques consommateurs du café du coin, je ne peux que m'inquiéter de cette République qui ne fait même plus semblant d'être digne...

    Pendant ce temps, les librairies ferment dans les communes rurales ou les villes moyennes, comme j'ai pu le constater, en une année, à Houdan, Dreux, Montfort-L'Amaury et Rambouillet ; mais aussi les cafés, les boulangeries, les quincailleries, les boucheries traditionnelles ; les écoles, les bureaux de poste, les pharmacies, etc. Ce n'est pas seulement le déclin de la République qui provoque cela, mais celui de l'esprit public et de la « Res publica » au sens premier du terme ; c'est surtout la logique même de cette République qui se targue de grands principes mais n'est rien d'autre que le règne de plus en plus vulgaire des Fouquet jadis mis au pas par le Roi et ses « cardinaux » (Richelieu et Mazarin, entre autres), et que, livre après livre (et chaque semaine en amène son lot...), les plumes du pays évoquent, voire dénoncent, risquant alors l'accusation à leur encontre de « populisme ».

    J'en veux énormément à cette République qui a asséchée la France, l'a durcie en un béton grisâtre (et la formule n'est pas qu'une image) et, désormais, ne pense plus qu'en termes de mondialisation-libéralisation-métropolisation, oubliant ce qui fait l'âme d'un pays, négligeant ces liens immatériels et le patrimoine mémoriel qui en est la riche illustration, et préférant « l'ailleurs » au proche et à ses prochains.

    J'en veux à cette République qui abaisse la France dans le monde après l'avoir tant exploitée à l'intérieur, ruinant sa diplomatie dans un véritable asservissement aux Etats-Unis au lieu de jouer son rôle historique, celui que nombre de peuples attendent d'elle comme l'avait si bien montré le refus de 2003 de rejoindre la guerre du fils Bush, guerre qui a mis, jusqu'à aujourd'hui et pour encore longtemps, l'Orient à feu et à sang... 

    J'en veux à cette République d'abandonner toute politique sociale indépendante pour se conformer aux directives de Bruxelles et aux règles de « la concurrence libre et non faussée », véritable cheval de Troie de la sauvagerie économique libérale ; je lui en veux pour son bureaucratisme qui étouffe l'initiative et la responsabilité, et fait fuir les jeunes pousses françaises, notre matière grise, dans une émigration mortifère pour le dynamisme du pays. 

    J'en veux à cette République de ne penser qu'à l'élection suivante quand il faudrait gouverner à long terme, pour l'avenir et non pour les carrières de quelques politiciens qui, souvent, privilégient leur ego et oublient le Bien commun.

    J'en veux à cette République de défaire ce que, en un tissage long et parfois douloureux, les rois ont fait, c'est-à-dire cette unité française qui faisait des Bretons, des Basques, des Alsaciens comme des Parisiens ou des Berrichons, des Français à part entière et à identités multiples.

    J'en veux à cette République parce que j'aime la France, tout simplement...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1349:coup-de-gueule-contre-la-republique-daujourdhui&catid=50:2016&Itemid=61

  • Les autorités camouflent les 250 clandestins installés à Lourdes

    Selon Olivier Monteil, conseiller Régional FN de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées et Secrétaire départemental du Front National des Hautes-Pyrénées :

    6a00d83451619c69e201bb09493ded970d-250wi.png"Qui informe la population sur le fait que ce sont désormais 250 « migrants », réfugiés douteux mais authentiques clandestins, qui sont logés dans Lourdes ? Sans parler de ceux répartis sur les communes voisines, comme Argelès-Gazost...

    Ce sont aujourd’hui plusieurs dizaines de sites qui accueillent gratuitement des « migrants » à Lourdes : 3 appartements au Turon de Gloire, 2 autres à l’Astazou (route de Bartrès), 1 autre à l’Ophite, 7 autres à Lannedarré, puis bien d’autres encore rue de Langelle, rue des Chalets, route du Stade, avenue Leclerc, rue Béni ou rue des Arrious, etc., etc...

    Qu’attendent la commune de Lourdes et la Préfecture pour communiquer sur ce sujet ? Comment sont assurés les contrôles et la sécurité ? Les Lourdais et les Bigourdans sont-ils donc indignes de savoir qui vient dans leur ville et où vont leurs impôts ? Car ce sont bien les contribuables qui payent ces logements réhabilités ou refaits à neuf pour loger les « migrants » que l’Etat nous impose !

    Plus scandaleux encore, comme l’indique une note d’information destinée aux agents de Police : il est demandé aux Policiers, en cas d’intervention sur un site d’hébergement de « migrants » à Lourdes, de se contenter de rédiger une simple « main courante d’événement » ! Pas de plainte donc ? Même en cas de « délit grave, que le demandeur d’asile soit auteur ou victime », l’administration n’enjoint aux Policiers que d’appeler...la directrice du CADA (Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile)! Jusqu’où ira cette volonté malsaine de cacher la vérité aux Lourdais?"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/10/les-autorit%C3%A9s-camouflent-les-250-clandestins-install%C3%A9s-%C3%A0-lourdes.html

  • Catastrophique immigration par Georges FELTIN-TRACOL

    immigration-que-faire-le-gallou-via-romana-192x300.jpgPrésident de Polémia, ancien élu au Parlement européen et au conseil régional d’Île-de-France, Jean-Yves Le Gallou est aujourd’hui le principal agitateur d’idées de la mouvance identitaire et patriotique. Ce remarquable critique du monde des médiats est aussi un spécialiste du fait migratoire. Co-auteur dès 1985 de La Préférence nationale : réponse à l’immigration, il a publié ce printemps un copieux essai sur cette calamité d’ampleur inégalée dans notre histoire qu’est le déferlement des extra-Européens. Immigration : la catastrophe. Que faire ? synthétise quarante ans de recherches, de travaux et de réflexions. L’auteur rappelle qu’« en 1976, alors jeune haut fonctionnaire au ministère de l’Intérieur (p. 469) », il rédigea un premier « Bilan économique de l’immigration ». Il produisit ensuite sur le même sujet de nombreuses études. Mais il le reconnaît volontiers : toutes ses conclusions étaient finalement modérées, car « la réalité a toujours dépassé les pires diagnostics et les pires prévisions. Si j’ai péché dans mes analyses, ce n’est pas par excès mais par défaut ! (p. 469) ».

    En effet, l’actuelle submersion migratoire dépasse tous les pronostics les plus sombres. Si aucune réaction énergique ne se déclenche avant la fin de ce premier quart de siècle, le continent européen changera définitivement de paysages, de coutumes, d’architecture et de… population ! Plus qu’un cri d’alarme, le nouveau livre de Jean-Yves Le Gallou sonne comme un ultime avertissement. Quelques esprits chagrins pourraient l’accuser de pratiquer un cas très particulier de réductionnisme puisqu’il considère l’immigration comme la matrice originelle de toutes les pathologies contemporaines dont nous souffrons parmi lesquelles l’islamisation qui, rappelons-le, n’est que la conséquence immédiate de ce phénomène.

    Liste exhaustive des nuisances

    En quarante-huit chapitres relativement brefs et didactiques, regroupés en quatre grandes parties (« La catastrophe », « Les causes majeures », « La grande trahison » et « L’esprit de résistance »), il démontre en quoi la question migratoire affecte toute notre vie quotidienne. Cela devient si vrai que les petites communes rurales abandonnées par l’État central parisien qui approuve tacitement la fermeture successive de l’école primaire, du bureau de poste, du cabinet médical, de la seule épicerie et du dernier bistrot, sont contraintes d’accueillir des masses allogènes de jeunes adultes. Une colonisation des campagnes s’opère sous nos yeux.

    Très complet, ce livre n’évoque cependant pas cette autre immigration qu’est l’invasion linguistique. À l’islamisation notable des sociétés ouest-européennes s’ajoute une anglicisation/américanisation nettement perceptible dans l’absence de traduction française des titres de films, maintenant des livres, et d’enseignes commerciales. En France, soyons clairs, seules ont droit de cité la langue de François Villon et de Pierre Corneille et les langues vernaculaires (corse, breton, basque, néerlandais, alsacien, arpitan, etc.), sinon nous aurons sous peu une société halal in global english. Le phénomène commence déjà à se répandre. Combien de soi-disant restaurants « nefast food » proposent à tous leurs clients des hamburgers halal ? Le coca et la charia font bon ménage, collusion qu’on retrouve en géopolitique avec l’« Islamérique ».

    Dans Le Monde (des 16 et 17 octobre 2016), Antoine Reverchon revient dans un article significativement intitulé « Rejeter les migrants, c’est refuser l’avenir » sur un colloque annuel convenu, bien-pensant et consensuel d’historiens où intervinrent de supposés « experts ». « À Blois, écrit-il, les économistes ont répété que les migrants étaient un bénéfice pour le marché du travail comme pour les budgets publics des pays d’accueil. » Cette interprétation est bien sûr fallacieuse d’autant que la « science » économique n’est pas une science, mais une magnifique charlatanerie. Jean-Yves Le Gallou démonte point par point la fausseté de leur assertion. Il en éclaire même les contradictions. « C’est parce qu’on réduit certains immigrés en esclavage et qu’on en subventionne d’autres qu’on chasse de leur emploi et de leur logement les Français des métropoles (p. 43). » Existe donc une forte aporie entre les appels incessants à toujours plus d’immigrés et une ouverture libre-échangiste quasi-illimitée. La gauche radicale n’a jamais compris que les misérables politiques de rigueur et d’austérité sont des effets indirects de l’immigration, sauvage ou non. Le parti-pris du célèbre quotidien vespéral propage un immigrationnisme carabiné courant chez les journalistes. « La classe médiatique […] prend au sérieux son rôle dans la promotion de “ l’immigration-chance-pour-la-France ”. Toute la palette de la désinformation sera utilisée pour défendre le point de vue immigrationniste : manipulation des statistiques, déformation des faits, occultation de la réalité, diabolisation – intimidation des opposants, et le bon gros bobard fabriqué. […] La croisade de l’immigrationnisme est sans pitié pour les populations autochtones (p. 250). »

    La caste médiatique n’est pas la seule à encourager la submersion allogène de l’Europe. L’immonde publicité toujours en quête de parts de cerveau disponible y contribue aussi largement. C’est ce que Jean-Yves Le Gallou nomme l’« idéologie Benetton », car elle fait « la promotion d’un monde uniformément métissé (p. 269) » et ce, au moment où les dirigeants de la planète entérinent formellement la bio-diversité. Et l’ethno-diversité, alors ?

    Immigration contre nature

    Les Verts sont réputés pour être de zélés chantres des migrations. Or celles-ci contreviennent aux impératifs de l’écologie véritable. Les partis Verts sont aussi écologistes qu’Al Capone fut un policier infiltré au cœur de la pègre de Chicago. Jean-Yves Le Gallou souligne avec raison que « l’ouverture des frontières et l’immigration sont parfaitement contraires aux exigences écologiques (p. 87) ». L’écologiste radical finnois Penti Linkola l’admet fort bien, lui qui préconise depuis longtemps unesociété fermée décroissante intégrale et d’autodéfense. Dans les années 1990, un influent groupe écologiste californien, le Sierra Club, s’élevait contre les clandestins latinos.

    Favorables aux migrants, les différentes ministresses du Logement, Cécile Duflot, puis Emmanuelle Cosse, ont la ferme intention de construire de nombreux logements sociaux avec un accès prioritaire aux « migrants ». Elles planifient malgré la COP 21 et les accords du Grenelle de l’environnement la bétonnisation criminelle des fertiles terres de France. Outre d’être identitaire, l’écologiste conséquent est hostile à toute immigration. Mieux, « dans la logique de la vulgate climatique, qui veut que l’homme ait une responsabilité dans le réchauffement climatique, l’immigration massive est un concept impossible à défendre : chaque immigrant accélère en effet le processus de réchauffement climatique d’origine humaine (p. 89) ». Par ailleurs, à une échelle plus fine, à Calais, maints délinquants clandestins piétinent les champs de culture afin de rejoindre les grands axes routiers et dévastent les zones boisées pour ériger des barrages sur l’autoroute. Il faudrait traduire dans toutes les langues « Vivre et travailler au pays » et l’appliquer sur tous les continents. A contrario, cela implique la limitation du tourisme des catégories aisées vers les pays du Sud ainsi que l’abandon définitif du tourisme comme mono-activité économique au profit d’une vision économique plus autocentrée.

    Des complicités multiples

    Jean-Yves Le Gallou ne cible pas que les Verts, les « pubards » et les « médiacrates ». Il s’attaque aux « bons apôtres de Big Other (p. 233) » par allusion à la belle préface de Jean Raspail à l’édition 2011 de son célèbre et visionnaire Camp des Saints écrit en 1973. Provenant du christianisme, catholique et réformé, progressiste, le DAL, la Cimade, France Terre d’asile, le Gisti, Médecins du Monde (qui se fourvoya en 1993 par une infâme campagne de presse contre l’héroïque président serbe Slobodan Milosevic) reçoivent de copieuses subventions publiques pour conduire de grandes campagnes de culpabilisation ou d’exclusion à l’encontre des Français d’origine européenne les plus pauvres ! Pour ces officines, les Autres passeront toujours devant les nôtres… La propagande « anti-raciste », profondément criminogène, finance des campagnes de racisme albophobe et attise la haine des banlieues de l’immigration.

    L’auteur revient sur toutes ces complicités. « Entre 1995 et 2000, l’Église a pris des positions favorables à la régularisation des clandestins (p. 227). » Simple autorité qui rêve d’imposer à la VeRépublique le stupide gouvernement des juges, le corps judiciaire qu’il soit « européen » (Cour « européenne » des droits de l’homme), constitutionnel (Conseil constitutionnel), administratif (Conseil d’État) et pénal (Cour de Cassation), ont commis un véritable coup d’État migratoire. Leurs décisions iniques accablent les honnêtes Français, exonèrent les délinquants, voire les criminels d’origine étrangère, amoindrissent les pouvoirs exécutif et législatif et nuisent à la souveraineté nationale du peuple français.

    Le constat implacable de Jean-Yves Le Gallou est parfois bien sombre. Néanmoins, il ne verse jamais dans le pessimisme d’autant qu’il propose d’excellentes solutions (il omet cependant l’indispensable révision de l’ensemble des naturalisations depuis au moins cinquante ans avec rétroactivité). Il faut au préalable « briser les tabous […et] parler ouvertement de remigration (p. 378) ». L’histoire est par ailleurs riche de départs précipités et forcés. Qu’on pense en 1945 – 1946 aux Allemands des Sudètes et d’Europe orientale ! Qu’on pense aux Pieds-noirs d’Algérie en 1962 ! Au début du XVIIe siècle, les Morisques musulmans furent définitivement chassés d’Espagne. Si la renaissance française et européenne renoue avec la politique du retour obligatoire au pays, des États et les organismes supranationaux mondialistes s’en offusqueront. Leurs rétorsions ne seraient guère efficaces à la condition toutefois que la France puisse au plus vite se démondialiser, changer de paradigme économique, abandonner le libre échange mortifère et adopter une autarcie quasi complète (la France en a les moyens). Et puis, le cas échéant, la France dispose encore d’un atout majeur : sa force de frappe nucléaire.

    Le président de Polémia a donc raison de nous interpeller sur un sujet déterminant pour notre présent et notre avenir. Non seulement il faut le lire, mais il faut surtout le faire lire à tous nos proches, indécis ou qui nous jugent trop excessifs. Ces quelque cinq cents pages décrivent avec méthode notre naufrage en cours. Grâce à cette véritable somme, Jean-Yves Le Gallou montre qu’il est lui aussi un formidable « éveilleur de peuple », le peuple européen d’expression française.

    Georges Feltin-Tracol

    • Jean-Yves Le Gallou, Immigration : la catastrophe. Que faire ?, Via Romana, 2016, 482 p., 23 €.

    http://www.europemaxima.com/catastrophique-immigration-par-georges-feltin-tracol/