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magouille et compagnie - Page 1750

  • Ils font leur cinéma

    « Les théoriciens du déclin français qui prophétisent des choses sombres en sont pour leurs frais. Le génie français se porte bien ! » affirme  Michel Denisot, directeur de la rédaction de l’intellectuellement très indigente adaptation française du magazine américain Vanity Fair.  Un étalage de platitudes conformistes  truffé de pages de pub.  M. Denisot  réagissait  au classement  des  50 Français les plus influents dans le monde publié dans ce même magazine, tous domaines confondus, dans lequel on retrouve le lot habituel de sportifs, stylistes et capitaines d’industrie dont tous ne sont pas dépourvus de talents, voire de génie. Certes, cette année, la première marche du podium  (!) est attribuée à  la chanteuse Christine And The Queens, 28 ans, «au charisme de démon en passe de devenir une icône mondiale»;  Emmanuel Macron, seule personnalité politique de ce classement avec Anne Hidalgo, pointe à la sixième  place, tous deux environnés parfois d’artistes et écrivains dont les mérites exceptionnels ne sautent pas non plus aux yeux des Français… et même de ceux qui les connaissent.

    Ce qui est certain en tout cas, c’est qu‘il ne faut avoir rien compris à l’air du temps, au ras-le-bol de nos compatriotes, pour susciter encore des listes de soutien à tel ou tel candidat, composées de membres du showbiz hors sol, de donneurs de leçons et autre privilégiés,  tous ces modèles emblématiques de cette Caste coupée du réel, vivant dans l’entre soi, les mêmes qui aux Etats-Unis hurl(ai)ent avec souvent une rare vulgarité leur haine de Donald Trump et leur  soutien à Hillary Clinton

    Le JDD a ainsi publié dans son dernier numéro une tribune d‘artistes, d’intellectuels, appelant à arrêter le Hollande Bashing, à soutenir l’actuel chef de l’Etat… aujourd’hui visé par une enquête pour violation du Secret défense. En l’espèce pour avoir révélé un dossier classé Confidentiel défense (la renonciation à d’éventuelles frappes sur la Syrie), dans le cadre de son livre d’entretien avec Gérard Davet et Patrick Lhomme, le très bien intitulé  Un président ne devrait pas dire ça.  Mais nos vedettes le disent dans le JDD, «ce dénigrement permanent met à mal toutes les institutions de la République et la fonction présidentielle. Il perdure encore aujourd’hui malgré la stature d’homme d’État que François Hollande a parfaitement incarnée, tant dans les crises internationales que lors des épouvantables tragédies que notre pays a traversées».

    Au nombre des premiers signataires de ce texte vantant les réalisations merveilleuses du quinquennat Hollande, on retrouve notamment  sans trop de surprise, Laure Adler, Benjamin Biolay, Jean-Michel Ribes, Mazarine Pingeot, Patrick Pelloux et le petit monde du cinéma: Catherine Deneuve, Juliette Binoche, Denis Podalydès, Irène Jacob, Sylvie Testud, Patrick Chesnais, Gérard Darmon ou encore Christian Zerbib. 

    Un microcosme où la consanguinité est de mise, où le politiquement correct socialo-progresssiste règne en maître. Et ce n’est pas l’actuelle présidente du Centre national de la cinématographie (CNC), la Young Leader membre de l’American French Foundation , Frédérique Bredin,  ancienne député et ministre socialiste, ex du  Cabinet Jack Lang, qui nous dira le contraire. Un CNC  au budget conséquent (plus de 665 millions d’euros, assuré par la quote-part de 10%  prélevée sur les places de cinéma, mais aussi par des taxes sur les éditeurs et  distributeurs  de la télévision),  que le producteur Thomas Langmann critiqua vertement  il y a quelques années.

    M. Langmann, pourtant membre du sérail, soutien  et ami de Nicolas Sarkozy, dénonça l’opacité  du  mode d’attribution de  l’aide sélective, autrement appelé  avance sur recettes, parlant degestion « honteuse ». «Le système d’avance sur recette du CNC, symbole de l’exception culturelle française, (est)  devenu un comité de copinage. Formé de trois collèges, les choix de l’avance sur recettes restent entièrement à la discrétion de ces commissions »  indiquait-il au  Figaro en  janvier 2013.

    En mai 2015 un article du magazine Capital s’interrogeait pareillement: «magie du cinéma ou copinage avec les producteurs ? En tout cas, quand il s’agit de biberonner l’industrie du film tricolore, les pouvoirs publics ont souvent tendance à oublier la rigueur (…). En décembre (2014), l’Assemblée nationale a encore renforcé l’une des nombreuses niches fiscales dédiées au grand écran. A partir de 2016, donc, le taux du crédit d’impôt accordé aux investisseurs passera de 20 à 30% pour tous les films de moins de 7 millions d’euros de budget. Et pour les œuvres d’animation, il sera porté à 25%. Bah, ça ne fera jamais qu’un coup de pouce de plus aux salles obscures ! Il y en a tellement que certains producteurs passent aujourd’hui plus de temps à ratisser les aides qu’à peaufiner les scénarios ». Mais «le plus gênant, c’est que ces fonds servent pour une bonne part à payer les cachets plantureux de certaines stars», parfois jusquà  «près de la moitié des subventions perçues !».  Mais soyez rassurés  bonnes gens, « le CNC vient de décider de limiter les cachets à 900.000 euros »…

    Quant au site de contribuables associés qui s’étonnait en septembre 2012  que même des films étrangers, comme celui du cinéaste algérien Merzak Allouache (Le temps de la concorde ) puissent être financées par le CNC, il relevait aussi  cette grande vérité, à savoir que  le  Centre national de la cinématographie « a oublié la grande règle de Molière, qui est de plaire. Il veut encourager la production du plus grand nombre possible de films, quelle que soit leur qualité. Pour cela il distingue arbitrairement les films d’ auteur, considérés comme supérieurs aux films  commerciaux . En réalité, il facilite la production de films médiocres».

    Guillaume Faye voyait assez juste quand il notait dans L’archéofuturisme que «les Français et les Européens ont perdu le sens de l’épopée et de l’imagination» et que le recouvrer dans le septième art (et en littérature)  n’est pas affaire stricto sensu  d’argent et de financement. «C’est trahir Molière que de penser implicitement  qu’une création populaire  est de qualité inférieure» «à des œuvres snobs,  ennuyeuses, aux préoccupations microscopiques». La solution, financièrement rentable,  si nous voulons contrer le rouleau compresseur cinématographique hollywoodien  existe:«réaliser des œuvres à forte dramaturgie populaire et pourvues de scénarios culturellement haut de gamme. Nos romanciers du XIXème siècle savaient le faire».

    Autant dire affirme Bruno Gollnisch, qu’un gouvernement, un Etat dirigé par des patriotes dignes de ce nom  (pas plus le calamiteux radical mou Chirac que le petit faiseu bling bling Sarkozy ne s’y sont risqués) s’attaquerait à la remise à plat de ce qu’il est convenu d’appeler l’industrie cinématographique. La chasse gardée d’une  gauche pseudo artistique souvent décadente, francophobe, avachie, névrosée et vulgaire;  le terrain de jeu des courtisans, des fils et des filles de, des fratries engraissées avec l’argent d’un populo qu’ils méprisent la plus souvent. Un gouvernement digne de ce nom  mettrait fin à cette gabegie indigne, au nom de son souci de défendre à la fois le contribuable et le rayonnement d’une culture française qui, n’en déplaisent à M. Denisot et à ses amis pétitionnaires ou non, ne brille plus au firmament. Dans ce domaine là aussi, il faudra  faire souffler un grand  vent de liberté, d’audace, débrider les énergies et les talents.

    http://gollnisch.com/2016/11/22/ils-font-leur-cinema/

  • Éducation nationale : la « réserve citoyenne » au service des clandestins

    Réserve-citoyenne-migrants-Chard.jpg

    Dès sa présentation aux médias et avant même son lancement en mai 2015, nous savions que cette fameuse « réserve citoyenne » de l’Education nationale serait du grand n’importe quoi. Or nous en avons eu la confirmation lundi, avec l’annonce officielle par le ministre de l’Education que ladite réserve servira principalement à accompagner les clandestins, à leur apprendre le Français ainsi que les « valeurs » dites républicaines.

    L’invasion des clandestins mineurs

    Une décision qui est loin de surprendre puisque, invitée sur France Info en septembre 2015, Najat Vallaud-Belkacem, tout en affirmant que son ministère savait « prendre en charge des enfants qui ne parlent pas le français », avait quand même ajouté que, si l’afflux était particulièrement important, elle pourrait alors faire appel à la réserve citoyenne. Estimant à l’époque à « 4 500 le nombre de mineurs qui seront accueillis par an », le ministre avait alors déclaré : « S’il y a un service public qui est relativement bien armé pour faire face à l’arrivée des réfugiés, c’est l’Education nationale. » Et on la croyait sans difficulté, tant les effectifs du Mammouth sont pléthoriques… Sauf que le nombre de mineurs étrangers accueillis par notre pays a, depuis, littéralement explosé. Au point que, début octobre, débordé par l’afflux de mineurs clandestins dans son département (+ 45 % par rapport à 2015), le président du conseil départemental de la Côte-d’Or, François Sauvadet, a tenté d’alerter les pouvoirs publics en déposant une plainte contre X pour « suspiscions de réseaux organisés de passeurs implantés sur le territoire côte-d’orien et hors de ce territoire » ! Et la Côte-d’Or n’est, bien évidemment, pas le seul département concerné.

    « Mobilisation nationale pour les migrants »

    Alors que, face à un tel déferlement, le premier devoir de l’Etat devrait être de mettre fin à cet afflux et d’expulser systématiquement ces mineurs, bien souvent victimes de réseaux de passeurs, Najat Vallaud-Belkacem a au contraire annoncé lundi sur Twitter sa décision « d’amplifier la participation de l’Education à l’effort de la France pour l’accompagnement linguistique des migrants » et a invité « les 6 000 membres de la réserve citoyenne à contribuer à l’accompagnement linguistique des migrants ». Une décision qui revient à annoncer l’accueil définitif de ces gens sur notre sol.

    L'Éducation nationale mobilise ses partenaires et l'expertise de ses réseaux pour apprendre le français aux migrants http://po.st/MobilisationEN-migrants  pic.twitter.com/1wbWeBHFvs

    J'invite aussi les 6000 membres de la Réserve Citoyenne à contribuer à l'accompagnement linguistique des migrants >> http://po.st/MobilisationEN-migrants  pic.twitter.com/E5HMJIPTHy

    Cxzb-YRXcAA5nrr.jpg

    Et N.V.B. d’expliquer, dans un communiqué publié sur le site de son ministère : « Ce sont les valeurs de la République qui constituent le moteur de l’effort national pour l’accueil des populations de migrants auquel les services de l’Etat, les collectivités, les acteurs associatifs mais aussi les citoyens sont appelés à contribuer. Un travail de structuration et de renforcement de l’accompagnement linguistique des migrants déjà mené par les acteurs associatifs est en cours sur l’ensemble du territoire national. Par son expertise en matière de formation en français langue étrangère à destination des publics allophones, l’Education nationale a vocation à y contribuer pleinement. Dans ce cadre, chacun d’entre vous est appelé à participer à cette mobilisation. »

    Franck Deletraz

    Article et dessin parus dans Présent daté du 23 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/201908/education-nationale-la-reserve-citoyenne-au-service-des-clandestins/

  • FN : il semble que Nanterre ne prend plus la peine de voir ce qui se passe sur le terrain

    Conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine et conseillère municipale de Bègles, Nathalie Le Guen quitte le FN ainsi que le Collectif Racine dont elle était la responsable départementale pour la Gironde. Elle rejoint le SIEL de Karim Ouchikh et s’explique en exclusivité pour « Minute ». Extrait :

    "[...] « L’électeur, explique-t-elle, pense qu’il vote pour les idées qui étaient celles du “FN-Canal historique“. Or ce n’est pas le cas. Quand Marine Le Pen parle d’intégrer l’islam dans la République, ça ne correspond ni à ce que je pense, ni à ce qu’était le FN. » Et d’ajouter : « Il y a un décalage énorme entre ce que croit l’électorat et ce qu’est le parti. »

    Ce fossé, Nathalie Le Guen assure l’avoir rencontré de façon tout aussi prononcée au Collectif Racine, le « collectif d’enseignants patriotes » du Rassemblement Bleu Marine qui a récemment produit « 100 propositions pour l’école et pour l’université » présentées lors de la convention présidentielle de Marine Le Pen consacrée à l’éducation. Un jour qu’elle s’inquiétait du peu de cas fait par le collectif de l’enseignement privé, Alain Avello, son président, lui aurait répondu : « De toute façon, l’enseignement catholique, on s’en moque. Pour le moment, ce qui nous intéresse, c’est l’enseignement public. » Même si le propos original n’était pas exactement celui-ci, le fait est que, dans les propositions de ce collectif, l’enseignement libre n’y est mentionné que pour lui rappeler qu’il doit s’aligner sur les directives de l’Education nationale et que les parents doivent, là comme ailleurs, rester à la porte des établissements. [...] Et si « Marion Maréchal-Le Pen porte cette ligne politique », admet-elle, ce n’est pas elle qui préside le FN. Ce qu’elle semble regretter... Et puisqu’on parle de Marion, « à chaque fois que je l’ai rencontrée, j’ai eu de bons rapports avec elle. On a parlé, elle m’a écoutée ». Pas Marine ? « Je n’ai jamais eu le droit de discuter avec Marine Le Pen. Quand Diam’s a sorti une chanson sur elle, elle était prête à l’inviter pour conserver autour d’un café. Mais pour discuter avec ses élus... » [...]"

    6a00d83451619c69e201bb0955c5df970d-250wi.jpgMarie-Christine Gilliot avait été élue conseiller départemental de l’Aisne à 29 ans et au premier tour. Elle quitte aussi le FN :

    Le FN est tellement convaincu de sa supériorité et de l’appui du peuple qu’il n’écoute plus [...] Si Marine Le Pen n’est pas élue l’an prochain, assène-t-elle, le FN est fichu, c’est une question d’années. Ça ne durera pas. Viendra le moment où ce sera la chute libre et ça ira peut-être plus vite qu’on ne croie. » [...] Marie-Christine Gillot dit avoir vu les adhésions en chute libre et n’en être pas étonnée en raison de ce qu’elle a vu par ailleurs : une « absence de cohésion d’équipe, incompatible avec la politique que prône le parti », des « ambitions dévorantes », une « politique de l’autruche » du siège aux messages d’alerte de sa base et... des « problèmes d’éthique ». « Les gens, à force d’être pris pour des imbéciles, deviennent intelligents », glisse-t-elle... [...]

    « Au conseil départemental, c’est simple : une heure avant la séance, on nous explique comment on doit voter. Si on veut se réunir avant pour étudier les dossiers, comme [le président du groupe FN] n’est pas disponible et que nous n’avons pas le droit de nous réunir sans lui, on en est réduits à faire des réunions de travail secrètes ! » « En fait, ajoute-t-elle, il n’y a aucun travail sur les dossiers. Nous sommes là pour prendre des bastions et c’est tout. »

    [...] Et elle rappelle que, lors d’une émission de télévision, Marine Le Pen avait expliqué que si les hommes politiques ont perdu tout crédit, c’est « parce qu’ils ne prennent plus la peine de voir ce qui se passe au plus près du terrain »."

    Sonia Colemyn, élue dans le canton du Nord-Médoc, en Gironde, a aussi envoyé sa démission au parti. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le second tour des primaires de la droite se jouera entre deux Bilderbergers

    Lu ici :

    "Sarkozy ayant été dégagé dès le premier tour (une fessée bien méritée), le second tour des primaires de la droite se jouera donc entre deux Bilderbergers: Alain Juppé qui a participé à la réunion de 2015 en Autriche et François Fillon qui a lui participé à celle de 2013 à Londres.

    Il est d'ailleurs intéressant de soulever la différence entre ce que Fillon pense du Bilderberg en public et en privé. Dans cet article du nouvelobs intitulé "Ces puissants et mystérieux messieurs du cercle Bilderberg", on apprend que le comité directeur du Bilderberg a été reçu à Matignon en 2011 dans le plus grand secret:

    Le dîner ne figure pas à l'agenda officiel. L'hôte et ses invités tiennent à cette discrétion. Début novembre 2011, alors que la crise de l'euro est à son comble, François Fillon prend le temps de recevoir à Matignon un groupe obscur d'une trentaine de personnes dont les noms sont presque tous inconnus du grand public, mais pas des initiés. Ce soir-là, le Premier ministre de Nicolas Sarkozy planche sur l'état de la France devant les membres d'un petit club qui ne fait jamais la une des journaux, mais fascine les obsédés du complot : le Bilderberg."

    François Fillon confiait à Philippe de Villiers "Les Bilderbergs, c'est eux qui nous gouvernent".

    Michel Janva

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  • Le gouvernement veut le prolonger jusqu'à la Présidentielle ...

    L'absurdité totale d'un « Etat d’urgence » qui devient la norme

    Le danger reste présent, il reste élevé, répète, en substance, Manuel Valls. Oui, bien sûr, le danger reste présent, et, par la faute du Système et de son action immigrationniste depuis 1975, l'ennemi est entré dans nos villes et dans nos quartiers ; il habite la maison d'en face ou celle d'à côté ; peut-être même l'étage au-dessus, ou la porte d'en face. Et il n'attend qu'un ordre (« On y va » pour le 13 novembre) pour passer à l'acte.

    Mais, à qui la faute, sinon à la Droite et à la Gauche d'un Pays légal si souvent unies dans des politiques folles, aux conséquences directement contraires à l'intérêt national et au Bien commun ?

    Certes, même si depuis 1975 aucun étranger n'était entré en France, il y aurait toujours des fanatiques, des dérangés ou des égarés pour se rallier à ces fous tout court qui se font appeler « fous de Dieu » ; mais il y en aurait beaucoup moins, et ils ne disposeraient pas de l'impressionnant vivier constitué au fil de quarante années d'immigration-invasion et de grand remplacement...

    Manuel Valls fait semblant de croire que l'Etat d'urgence nous protège : or, à quoi sert-il de faire patrouiller des militaires par groupe de trois ou quatre ? Ou de leur faire faire des gardes statiques devant des écoles ou des lieux déclarés sensibles ? Soyons sérieux : uniquement à tenter de rassurer l'opinion, en lui faisant croire que l'on s'occupe d'elle. Pire : ces groupes constitueront des cibles idéales le jour où la tactique des terroristes islamistes le décidera. On sait où ils se trouvent, où ils déambulent, où les « coincer » : cela permettra des massacres faciles, rapides, assurés.

    Evidemment, la vraie solution, et la seule, est « en amont », dans le renseignement.

    Elle est aussi d'arrêter les frais de ces policiers, gendarmes et soldats inutilement exposés, et de - mieux - dépenser les sommes très importantes que coûtent ces gesticulations en augmentant considérablement les dotations en hommes et en matériels performants des services de renseignement.

    Elle est encore de « vider » nos banlieues, cités et autres zones de non-droit de toute cette population qu'on y a entassée, dont une part croissante ne souhaite d'ailleurs nullement ni s'intégrer ni, encore moins, s'assimiler à nous.

    On l'a dit cent fois ici, et on le redira mille, dix mille fois si nécessaire, jusqu'à ce que cela soit fait : il faut crever l'abcès, la greffe de ces populations allogènes ne prend pas, et sur tout organisme, si la greffe d'un corps étranger ne prend pas, ce corps étranger est rejeté.

    Cette comparaison pour dire que toute personne, quel que soit son âge, qui, de près ou de loin, apporte la moindre aide aux assassins de l'armée ennemie doit être immédiatement déchue de la nationalité française et expulsée du territoire. Ou, si elle préfère, être traduite devant une Cour martiale, et être fusillée.

    Ce n'est qu'en asséchant le marigot que l'on pourra, non pas supprimer tout acte terroriste islamiste, mais en réduire considérablement le nombre, et les ramener à des proportions « gérables ». Toute autre politique (!) ne serait que gesticulation et non-assistance à Nation en danger... 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La machine à formater le monde de Georges Soros

    Revue brève et documentée de l'empire de la désinformation de Soros, proposée par Breizh-Info. Entrée en matière.

    Georges Soros se considérant lui-même comme un « chef d’État sans État », son intérêt pour les médias comme outil métapolitique n’est pas nouveau, il remonte même à sa prime jeunesse. Selon l’un de ses biographes, le journaliste du New York Times Michael T. Kaufman, auteur de « Soros: The Life and Times of a Messianic Billionaire », Georges Soros a toujours été fasciné par le journalisme et les médias. Jeune homme, ses centres d’intérêts principaux étaient principalement « l’histoire, le journalisme et certaines formes d’écriture ». Encore étudiant, il a ainsi été le rédacteur en chef, l’éditeur et le vendeur de son propre journal le « Lupa News » dans sa Hongrie natale.

    Jamais il ne se départira de cet intérêt pour le journalisme et sa capacité d’influence sur les sociétés. Dans les années 80, il appuiera ainsi les libéraux d’Europe de l’Est en faisant parvenir des photocopieuses aux cercles d’étudiants dissidents grâce à son « Open Society Foundations » (à l’époque « Open Society Institute »). Matériel leur permettant la publication de journaux clandestins et de samizdats grâce auxquels ils purent influer sur l’opinion publique des régimes communistes finissants. Il financera ainsi des fondations et des associations dans toute l’Europe centrale dans le but de former des étudiants et de leur permettre de faire de l’agitation idéologique dans les universités comme dans la société civile afin de diffuser une autre information que celle de l’État et du parti communiste. En leur distribuant des bourses pour leur formation il s’assurera une influence majeure auprès des élites libérales une fois ces étudiants en poste après la chute du communisme.

    À l’heure du numérique et de l’information en temps réel, sa méthodologie est restée la même mais adaptée aux outils de communication contemporains. Cela à une échelle bien plus vaste qu’au temps des régimes communistes. Régimes qui étaient devenus après 1945 des régimes nationaux-communistes et donc des adversaires de l’idéal politique de George Soros : une société planétaire intégrée, régie par la finance et par une société civile mondiale sans États.

    Pour appréhender l’influence que Georges Soros exerce sur le paysage médiatique américain, il faut sonder autant le champ des médias de masse que celui d’internet et des médias réticulaires qui foisonnent sur la toile mondiale. L’un des objectifs de la stratégie média de l’Open Society étant justement la formation et le soutien d’une myriade de journalistes présentés comme indépendants et aptes à créer un réseau d’influence médiatique informel partout où cela est nécessaire politiquement. À un niveau local certains journalistes de ces groupes étant même inconscients de leur rôle réel en tant que maillon d’une vaste chaîne transnational de relais d’influence.

    LES MILLIONS DE SOROS : MANNE INFINIE DES MÉDIAS GLOBALISTES

    Non content d’avoir appuyé le parti démocrate puis la candidate Hillary Clinton pour au moins 25 millions de dollars au cours des dernières années, George Soros a surtout injecté plus de 100 millions de dollars entre 2000 et 2014 dans des groupes médiatiques proches du parti démocrate, de son agenda et de ses objectifs politiques. Ces sommes sont à mettre en perspective avec la fortune personnelle de Soros estimée à 24 milliards de dollars selon le classement Forbes.

    Le seul budget officiel de l’Open Society Foundation pour l’année 2016 est de plus de 930 millions de dollars. Ses dépenses totales depuis sa création sont estimées à plus de 13 milliards de dollars pour ses 33 années d’activité. George Soros a aussi directement aidé des centaines de médias, d’associations, d’écoles de journalisme aux États-Unis et à l’étranger avec des dons allant de 5000 $ à 32 millions de dollars. Comme nous le verrons plus bas, certains de ces groupes comme « New America Media » ou le « Media Development Investment Fund » sont ainsi eux-mêmes constitués de centaines d’autres médias plus petits qui n’existeraient pas sans Soros.

    Sur ces 103 millions investis dans les médias libéraux-libertaires, 61 millions financent neuf groupes médiatiques qui ont soutenu directement la candidate Hillary Clinton. Voyons de plus près certains médias du camp démocrate que finance George Soros

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Preuve par l’image : des organisations musulmanes ont appelé discrètement à voter Juppé lors des primaires de la droite

    PRIMAIRE MAG

    Source

  • François Fillon, premier imam de France ?

    Malgré les postures de la dernière coqueluche des médias, rien ne changera sur le front du Grand Remplacement islamique.

    À l’époque, nos compatriotes étaient déjà tellement anesthésiés qu’ils n’ont guère réagi à l’inauguration, par le Premier ministre de la France, un certain… François Fillon, d’une mosquée à Argenteuil. C’était le 28 juin 2010. Il est vrai que nos médias complaisants n’avaient guère relayé plus que cela la fameuse nouvelle. Le site marocain atlasinfo.frs’en était alors ému en ces termes : « Jamais un Premier ministre ne s’était déplacé pour l’inauguration d’une mosquée, en banlieue dite “sensible” qui plus est. »

    Le scandale était pourtant là. Que la France, incarnée par le Premier ministre, se prosternât devant la future première religion du pays, ce, afin de promouvoir un lieu de culte (la mosquée Al Ihsan, d’une superficie de 3.000 m2, contrôlée par l’Algérie, qui y nomme l’imam), faisait l’effet d’un coup de tonnerre. À bas bruit, néanmoins.

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  • Elisabeth Lévy : "l'absence de pluralisme plombe le débat public"

     A l'occasion de la sortie du dernier numéro de Causeur, «France inter aux Français! », Elisabeth Lévy a accordé un entretien fleuve au FigaroVox. Elle revient également sur le traitement médiatique de la campagne de Donald Trump et des primaires. Extraits : 

    6a00d83451619c69e201b7c8b2101b970b-250wi.jpg"Le dernier numéro de Causeur s'intitule, «France Inter aux Français!» Vous aviez un compte personnel à régler avec la radio publique? Qu'est-ce qui vous énerve autant sur France Inter?

    Rien de personnel, rassurez-vous, même si pour des millions de gens quotidiennement ridiculisés, insultés ou caricaturés sur la radio qu'ils payent de leurs deniers, c'est finalement assez personnel. Se faire engueuler à ses frais, ça peut finir par énerver. Je sais, cela semble mesquin de rappeler que Radio France est financée par la redevance, cela suscite toujours chez ses dirigeants des réactions agacées, comme si on avait proféré une incongruité ou une chose vraiment vulgaire (pas d'argent entre nous). N'empêche, il y a là un véritable scandale et le plus scandaleux est qu'il n'y ait pas de scandale. Plus personne ne proteste contre ce que Fabrice Luchini avait appelé avec drôlerie l'idéologie francintérienne, que Stéphane Guillon avait parfaitement résumée dans sa dernière chronique, avant de se faire remercier: «France Inter est une radio de gauche qui se comporte comme une véritable entreprise de droite», avait-il pleurniché. Voilà la vision du monde que propage notre radio publique, en particulier dans ses tranches d'information mais pas seulement. D'un côté il y a les gentils, de l'autre les méchants. Les gentils lisent Mediapart, les méchants Valeurs actuelles, les gentils sont Mariage pour tous, les méchants Manif pour tous. Les gentils votent Mélenchon ou PS tendance frondeurs, les méchants Le Pen ou LR tendance Sarkozy. Les gentils aiment l'Autre, les méchants aiment les frontières. Les gentils aiment Nuit Debout, les méchants aiment Finkielkraut. Je vous laisse compléter…

    Ils sont de gauche, c'est ça le scandale? La belle affaire…

    Désolée, je ne vois vraiment pas pourquoi l'argent public financerait une radio aussi ouvertement idéologique. Et je serais tout aussi énervée si notre radio publique était Radio Réac, même si la qualité du français y serait peut-être meilleure. Moi je veux du choc des idées, de la bagarre, de l'affrontement à la loyale. Que des journalistes, humoristes, producteurs et animateurs de France Inter soient «de gauche», fort bien, de nos jours c'est très vintage et c'est bien leur droit, le problème est qu'ils le soient presque tous. Ce n'est pas pour rien que Montaigne recommandait de «frotter sa cervelle contre celle d'austruy»: la consanguinité intellectuelle ne vaut rien à l'espèce humaine en général et journalistique en particulier. Mais le plus fâcheux est qu'ils en soient arrivés à ne plus comprendre du tout que l'on puisse penser autrement qu'eux. Comment peut-on être Persan? Comment peut-on être catho? Comment peut-on être trumpiste? Pour un cerveau francintérien, ces questions ont deux réponses possibles: vous êtes un idiot ou un salaud. Je n'ai aucune affinité avec Ludovine de la Rochère et son enthousiasme pour la famille m'ennuie un peu mais quand ce n'est pas un journaliste qui dénonce ses idées nauséabondes, c'est un humoriste qui souhaite à voix haute qu'elle et ses semblables disparaissent. À la fin, je me dis que pour les énerver autant elle doit avoir des qualités. [...]

    Au-delà du cas France Inter, l'absence de pluralisme mine-t-elle les médias français?

    En tout cas, depuis l'élection américaine, tout le monde se pose des questions, tant mieux. Et l'autre jour, à France Inter, il y a eu un «Téléphone sonne» sur l'entre-soi journalistique. Bon, on parlait de l'entre-soi entre soi, mais il faut saluer l'effort. Alors oui, l'absence de pluralisme plombe le débat public. Encore faut-il s'entendre sur ce qu'est le pluralisme: ce n'est pas une arithmétique c'est un état d'esprit, une capacité à se disputer avec soi-même et à faire entrer les arguments de l'autre dans la discussion. Or, plus on est majoritaire, plus cette capacité a tendance à s'éroder. Pour le coup, le refus du pluralisme est loin d'être l'apanage de la gauche. Nous avons tous tendance à rechercher le confort et la réassurance de l'entre-soi. Cependant, attention, une rédaction, ce n'est pas le Parlement. Il n'est pas nécessaire d'être trumpiste ou lepéniste pour parler intelligemment des électeurs de Trump ou de Marine Le Pen, il suffit de descendre du petit piédestal intérieur sur lequel on est assuré de sa propre supériorité morale. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html