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magouille et compagnie - Page 1756

  • Paris bleu blanc rose - Pari gagné pour La Manif Pour Tous !

    Communiqué de La Manif Pour Tous :

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    "Plus de 200.000 manifestants ont répondu ce dimanche à l'appel de La Manif Pour Tous. « Notre mouvement social fait une entrée en campagne fracassante pour la famille »se réjouit Ludovine de La Rochère. « Nous sommes la première force militante de France. Aucun parti ni candidat ne réussit à mobiliser autant » poursuit-elle.

    Pendant 3 heures et demi, les manifestants ont défilé dans le calme avec enthousiasme et détermination pour demander à François Hollande de stopper la déconstruction de la famille et de la filiation. N'en déplaise à certains détracteurs, 4 ans après les débats sur le mariage et l'adoption pour tous, le mouvement social de La Manif Pour Tous est toujours vivant, et bien vivant. Avec la mobilisation de ce dimanche, les familles entendent pousser le Président de la République à faire appel de la condamnation de la France par la CEDH pour refus de transcription à l'état civil d'enfants nés de GPA à l'étranger. Le délai expire le 21 octobre...

    PMA « sans père », scandale de la GPA, diffusion du genre à l'école... les familles ont envoyé un message clair et net au gouvernement, mais aussi à l'opposition. Alors que s'ouvre une année riche en échéances électorales, il faudra bel et bien compter avec les familles. De nombreux élus étaient présents pour afficher leurs ambitions en matière de politique familiale et de reconstruction de la famille. Parlementaires et élus locaux ont battu le pavé parisien aux côté des familles Jean-Frédéric Poisson, Bruno Retailleau, Philippe Gosselin, Henri Guaino, Hervé Mariton, Marion Maréchal Le Pen, Guillaume Peltier, Nicolas Dupont-Aignan, Karim Ouchikh, Jean-Christophe Fromentin, Valérie Boyer, Louis Aliot... pour n'en citer que quelques uns. En déplacement au Maroc, François Fillon a de son côté apporté son soutien aux manifestants par voie de communiqué, tout comme Bruno Nestor Azérot qui a tweeté « Pensées pour les militants de @LaManifPourTous depuis la Martinique ! Une telle mobilisation dans la durée ne peut que susciter le respect... » 

    Plusieurs élus ont pris la parole sur le podium. L'organisation a veillé à l'équilibre de l'expression de toutes les sensibilités. Faire parler sur un même podium les élus centristes, LR, PCD, Debout La France, SIEL et FN est un événement politique majeur. Seule la famille est capable de rassembler largement, toutes sensibilités confondues comme en témoigne le soutien du parlementaire socialiste Bruno Nestor Azérot.

    Seul bémol dans cette journée de la famille, le dispositif était malheureusement légèrement sous-dimensionné. La zone d'arrivée était saturée et des dizaines de milliers de manifestants n'ont pas pu rejoindre la Place du Trocadéro. La fermeture des itinéraires de délestage pour des raisons de sécurité a amplifié ces difficultés. « Nous présentons nos excuses aux familles qui sont restées bloquées sur l'avenue Georges Mandel, au-delà du métro rue de la Pompe ainsi que sur les avenues adjacentes de la Place du Trocadéro » déclare Albéric Dumont, Coordinateur général de La Manif Pour Tous.

    Confortée par ce retour en force sur le pavé parisien, La Manif Pour Tous va continuer à peser dans le débat public pour défendre la famille et l'intérêt supérieur de l'enfant. Albéric Dumont a d'ailleurs interrogé la foule pour lui demander si elle est prête à revenir manifester. La réponse fut unanime et répétée : OUI ! La Manif Pour Tous est donc prête à organiser de nouvelles mobilisations jusqu'à obtenir satisfaction sur ses revendications."

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    Selon un sondage opinionway rendu public aujourd'hui, près de 8 Français sur 10 (79%) se déclare favorable à ce que l'Etat garantisse à chaque orphelin le droit à être adopté par un père et une mère. « Le mariage pour tous implique le droit à adopter pour les couples homosexuels » rappelle Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. « Les Français affichent leur attachement à la filiation Père-Mère-Enfant qui est remise en cause par la loi Taubira. En autorisant le mariage et l'adoption pour les personnes de même sexe, la loi Taubira a créé un droit à l'enfant, ouvrant la porte à moyen terme à la PMA « sans père » et à la GPA » poursuit-elle.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/10/paris-bleu-blanc-rose-pari-gagn%C3%A9-pour-la-manif-pour-tous-.html

  • Critiquer l’avortement sera puni. Voici pourquoi – Par Guillaume Faye

    (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    Le 17 septembre, Mme Laurence Rossignol, ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes (1) a prévenu que mettre en garde contre le recours à l’avortement et, de fait, critiquer l’IVG allait devenir un délit, en particulier pour les sites Internet. Un nouveau pas restreignant la liberté d’expression vient d’être franchi. Quelle raison ? Le droit des femmes ? La protection de la ”maîtrise de leur corps” ? Nullement. Il s’agit d’une nouvelle arme dans l’arsenal ethnocidaire étatique. L’objectif dissimulé

    ici, pas forcément inconscient, est de favoriser l’avortement des Françaises autochtones ; et ce, en interdisant de divulguer à l’intention de celles qui hésitent à avorter des informations sur les dangers et les conséquences de cet acte.

    Rappelons ces chiffres inquiétants : il y a 220.000 avortements par an en France, dont 15.000 mineures ; et 35% des femmes ont eu recours au moins une fois à un avortement. Voilà qui entame sérieusement la natalité des Françaises.

    Stratégie anti-nataliste et pro–avortement

    Les sites ivg.net, sosgrossesse.net, sosbebe.org, accusés de ”propagande” par le gouvernement, proposent des solutions alternatives à l’avortement. Ils sont menacés par la ministre d’interdiction et de sanctions pénales. Du jamais vu. On se rapproche doucement des méthodes soviétiques. Le « délit d’entrave numérique à l’IVG » préparé par le gouvernement est pour beaucoup de politologues, dont le Pr. Dominique Reynié, une menace gravissime contre la liberté d’expression, qui ne cesse en France, de reculer. Sauf, à mon sens, pour le racisme anti-Français et anti-Blancs et sauf aussi pour la propagande islamique pro-terroriste, antisémite, christianophobe qui se déversent librement sur le web et ailleurs.

    « Fournir des raisons de ne pas avorter est donc en train de devenir un délit », écrit l’auteur précité dans un article intitulé « IVG : Laurence Rossignol veut transformer l’appel à la réflexion en délit » (Le Figaro, 27/09/2016). Il ajoute : « loin des précieux enjeux de santé, loin du légitime droit des femmes, le projet de créer un délit d’entrave numérique n’est que l’expression d’une radicalisation idéologique. C’est une nouvelle menace pour la liberté de penser ». Ce nouveau délit sera puni de trois ans de prison et 30.000 euros d’amende.

    Le « délit d’entrave numérique à l’interruption volontaire de grossesse » qui vise les sites Internet, mais pas seulement, s’inscrit dans une stratégie plus large, anti-nataliste et secrètement ciblée contre les femmes d’origine européenne. L’idéologie est : critiquer l’avortement doit devenir un délit réprimé au même titre que le ”racisme”, l’homophobie”, etc.

    Mensonges d’État sur l’avortement

    Mensonger et cynique, le site gouvernemental officiel (ivg.gouv.fr) parle des « soi–disant complications et traumatismes liés à l’IVG » évoqués par les sites incriminés qui informent des femmes tentées par une IVG ou forcées à le faire (souvent par les hommes qui ne veulent pas reconnaître un enfant) des dangers psychologiques et physiques ; ces sites, accusés de ”propagande” (terme stalinien) sont désormais menacés de poursuites judiciaires.

    Ce qui veut dire que l’avortement ne comporterait aucun risque. Mensonge éhonté. Un gynécologue d’opérette est mobilisé sur le site étatique pour affirmer que l’avortement se passe généralement comme une lettre à la poste. Totalement faux. Chacun sait, n’est-ce pas, qu’un avortement n’est pas plus traumatisant que l’extraction d’une dent cariée ? Quant au meurtre pur et simple que constitue l’élimination d’un fœtus, silence radio. Le délit puni sera donc, dans la loi, d’inciter à ne pas commettre ce meurtre. Cas unique au monde : il est interdit de dissuader les femmes de ne pas tuer, en avortant, les enfants qu’elles portent.

    Or un avortement peut avoir des conséquences dramatiques, comme le cas de la jeune Priscilla, amputée des quatre membres suite à une IVG qui s’est mal passée (cf. Le Figaro, rubrique ”Sciences”, 07/09/2016).

    Le sens de l’idéologie abortive

    Le but dissimulé de l’État n’est donc pas du tout la défense des ”droits des femmes”, ni du féminisme. Dans un premier temps, on autorise l’avortement pour simple convenance ; dans un deuxième temps, il est libre et gratuit ou remboursé, puis autorisé en 2001 jusqu’à douze semaines de grossesse au lieu de dix et, dans un troisième temps, il est interdit et puni d’avertir les femmes des risques de l’avortement et de le critiquer. Être anti-avortement sera donc puni comme être ”raciste” (sauf racistes anti-Blancs évidemment), ”islamophobe” (malgré les attentats musulmans), ”homophobe” ou, peut-être bientôt gauchophobe ou écolophobe ? La logique totalitaire est bien installée en France. L’ombre de Robespierre veille.

    L’interdiction de la critique de l’avortement fait partie d’une politique globale répressive visant, depuis assez longtemps, à décourager la fécondité des Françaises de souche. L’idéologie abortive utilise évidemment le ” féminisme”, comme faux nez. Mais ce féminisme fallacieux est cyniquement instrumentalisé comme un prétexte grossier, d’autant plus que l’idéologie dominante flatte l’islam, qui est fondamentalement misogyne, homophobe et contre l’avortement. Mais, eux, ils en ont le droit, vous comprenez, il ne faut pas les stigmatiser. Contradiction ridicule et insurmontable.

    Ethnophobie anti– française et anti –européenne

    La maternité, voilà l’ennemie, essentiellement celle des Françaises de souche, si possible provinciales et catholiques. Tout est fait pour la décourager par une sorte d’ethnophobie symbolique. En revanche, la maternité prolifique des immigrées extra-européennes est la bienvenue. C’est l’encouragement au ”remplacement de population”, souhaité par les idéologues de gauche collaborateurs de l’islamisation. Et si cette maternité se passe dans le cadre d’une famille nombreuse hétérosexuelle catholique pratiquante (style La Manif pour Tous), on est soupçonné d’un comportement subversif.

    Une logique cohérente s’est mise en place avec ce gouvernement socialiste ; la pénalisation des critiques de l’avortement est associée à d’autres mesures qui forment un projet d’ensemble : la baisse des allocations familiales pour les classes moyennes de souche – qui a logiquement abouti à un recul des naissances –, le matraquage fiscal pour ces mêmes populations, les hausses de charges pour les aides familiales à domicile. La figure de la mère de famille autochtone au foyer est dévaluée et culpabilisée.

    Laurence Rossignol, qui est tout sauf respectueuse de la vraie laïcité, met en garde contre « le retour des intégrismes religieux », en désignant, comme sa collègue ministre Najet Valllaud–Belkacem, non pas le salafisme meurtrier (ce serait islamophobe) mais le catholicisme (!), celui de la Manif pour Tous contre le mariage homosexuel et l’officialisation à l’école de la délirante et calamiteuse ”théorie du genre”– niée officiellement mais bien réelle. La propagande et la déconstruction sociale opérées auprès des enfants (déviriliser les garçons, déféminiser les filles, dénaturer et déculturer tout le monde) s’inscrivent dans le même projet que la nouvelle restriction de la liberté d’expression précitée.

    Nouveaux projets de l’État contre la Nation

    Ce recul de la liberté d’expression – pour les Français de souche – ne cesse de s’aggraver en France, comme ont le voit avec le projet de loi « égalité et citoyenneté » actuellement en discussion, qui vise à renforcer – encore une fois !– tout l’arsenal répressif ”antiraciste”, ”islamophobe”, ”homophobe”, etc. et d’abolir pratiquement la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Ce projet, qui supprime le délai de prescription pour les textes publiés sur Internet, vise aussi à accroître les punitions pour les communes qui ne respectent pas les quotas de ”logements sociaux” – c’est à dire réservés aux immigrés non Européens, comme le rappelle le géographe Christophe Guilluy – imposés aux populations autochtones. La « mixité sociale » signifie en réalité ”mixité ethnique” imposée aux Français de souche, coupables de vouloir ”rester entre eux” et ne pas cohabiter avec certaines populations. Cette stratégie s’inscrit dans le même projet : miner, harceler, désespérer, déraciner le peuple français (européen) de souche, décourager les familles et leur reproduction.

    Concernant l’avortement, ma position n’est évidemment pas de l’interdire dans tous les cas, mais reprend celle que prône Marta Kaczynska, juriste et fille de l’ancien président Lech Kaczynski, dans une interview au JDD (09/10/2016) : « l’interdiction totale de l’avortement est illusoire et parfois dangereuse pour la femme. Il n’y a aucune situation dans laquelle les femmes ne devraient pas avoir le choix. Elles doivent pouvoir décider si elles gardent ou non l’enfant ». Les seuls trois cas où, selon elle, l’IVG doit être autorisée sont : un danger pour la vie de la mère, le diagnostic d’un futur enfant lourdement handicapé et peu viable et une grossesse suite à un viol.

    (1) La qualification ”ministre des Familles” vise à affirmer que la famille hétérosexuelle traditionnelle est remplacée, pour l’État, par les familles ”recomposées”, les couples homosexuels, les familles monoparentales, voire (tolérance scandaleuse envers les musulmans) les familles polygames. Bref, le but est la destruction, même symbolique, de la famille française. Aucun pays au monde n’accepterait cela.

    http://fr.novopress.info/201070/critiquer-lavortement-sera-puni-voici-pourquoi-par-guillaume-faye/#more-201070

  • Le délit d'entrave numérique

    La liberté d'expression est en danger en France. Le gouvernement socialiste s'en prend ouvertement à ceux qui défendent l'intégrité catholique et combattent l'avortement. Le rouleau compresseur gouvernemental prétend faire taire ceux qui s'oppose au crime que constitue l'avortement des enfants à naître, comme le rappellent régulièrement les papes.

    La nouvelle invention du gouvernement¹, c'est la création d'un délit d'entrave numérique dont l'objectif est de faire taire le mouvement mouvement pro-vie. On admirera l'usage de la novlangue (entrave numérique?!?) propre aux socialistes pour cacher cette nouvelle atteinte à la liberté d’expression.
    ¹ A travers la ministre des Familles, de l’Enfance et du Droit des femmes, Laurence Rossignol.

    De fait les vieilles féministes soixante-huitardes du Planning familial, qui ne sont plus que l'ombre d'elles-mêmes, sont sévèrement contestées sur le terrain des questions sociétales par la montée de la dissidence catholique. Parmi les sites pro-vie attaqués, on retrouve ceux offrant une alternative à l’avortement comme ivg.net (Marie Philippe), AfterBaiz (Émile Duport), SOS Bébé d’Alliance Vita, les Survivants, et bien sûr la Fondation Lejeune.

    Actualité catholique dissidente

    Selon le délire totalitaire du gouvernement, les sites pro-vie diffuseraient des informations fallacieuses pour nuire aux femmes qui veulent avorter. En réalité les catholiques du Net (voir quelques exemples sur mon Twitter) sont des jeunes rompus aux pratiques de l'Internet et dominant ses codes, qui militent pour la liberté d'informer et aider les femmes actuellement poussées à utiliser l'IVG comme un contraceptif. En s'en prenant à la militance catholique, les socialistes agissent de façon pernicieuse.

    On se souvient qu'il y a quelques années en arrière, les militants en faveur de la Vie menaient des opérations commando devant les avortoirs pour faire prendre conscience aux femmes de la gravité de leur geste. A l'époque avait été créer le délit d'entrave, pour empêcher ce travail de prise de conscience et laisser les femmes abandonnées à leur désarroi. L'Internet n'était pas encore ce qu'il était, et la militance catholique du Net encore moins.

    Actualité dissidente catholiquePrécisément à l'heure où le peuple de France est en train de se réveiller, ne cachons plus notre identité catholique et tenons tête face au pouvoir illégitime. J'invite les lecteurs du site à s'inscrire à la lettre de diffusion pour suivre l'actualité dissidente catholique.

    Désormais tout passe par l'Internet, ce qui a réorienté le mouvement pro-vie à y être très actif. La première chose que font les femmes en situation de détresse est de faire une recherche sur Google pour s'informer, et les premiers sites web qui ressortent sont précisément les pages pro-vie. Ce qui montrent bien la maîtrise que les jeunes catholiques ont du web. Pour contourner le respect de la liberté d'opinion, le texte prétend s'en prendre aux « allégations, indications ou présentations faussées et de nature à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif » avec à la clé 30 000 euros d’amende et deux ans de prison.

    Fin septembre, le Sénat a invalidé l’amendement de Laurence Rossignol. De toute façon s'il avait été adopté, le mouvement en faveur de la vie était prête à aller devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) pour le faire casser.

    Rappelons que le quinquennat de François Hollande a fait du tout-avortement une priorité absolue, alors que selon un sondage Alliance Vita/Ifop, 52 % des Français considère l'ampleur que prend l'IVG comme une « situation préoccupante » (actuellement 218 000 avortements pour 810 000 naissances). On se souvient que les notions de détresse et de délai de réflexion ont été supprimées de la loi sur l'avortement, comme si tuer un enfant à naître pouvait être un bien. Dorénavant la délivrance de produits abortifs est autorisée en milieu scolaire et hospitalier.

    Heureusement la fronde catholique sur le Net prend de l'ampleur, et ridiculise les piteuses tentatives du gouvernement et son site de propagande pro-IVG, payé sur fonds publics, y compris l'achat de publicité Google (AdWords) pour essayer de passer devant les sites d'informations. J'invite d'ailleurs toute la dissidence catholique à faire des liens Html vers les sites pro-vie, pour qu'ils continuent de caracoller en tête des résultats de recherche sur Google.

    http://chretien.mywebcommunity.org/entrave-numerique.html

  • Pologne et Russie : double peine pour Hollande

    En quelques jours et sur deux dossiers différents, la France a réussi le tour de force de se fâcher avec deux pays traditionnellement opposés l’un à l’autre. Sans précédent.

    Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a déclaré, lundi sur France Inter, que si Vladimir Poutine vient en France la semaine prochaine, ça ne sera pas pour des « mondanités » - l’inauguration de la cathédrale orthodoxe - mais pour parler de la crise syrienne et de la situation en Ukraine. Jean-Marc Ayrault a aussi confirmé que la France entendait saisir la cour pénale internationale sur les crimes de guerre commis, selon Paris, à Alep, où la Russie participe activement à l’offensive contre les quartiers rebelles.

    Se fâcher en même temps avec la Pologne et la Russie, les deux sœurs ennemies, « c’est un doublé sans précédent historique », soupire Georges-Henri Soutou, historien des relations internationales. La séquence diplomatique française de ces derniers jours restera sans doute dans les annales du Quai d’Orsay. « Une fin de cycle, sans ressort ni autorité », tranche un vieux routier de ces affaires.

    Les deux dossiers, polonais et russe, sont extrêmement différents, mais ils se soldent par le même résultat  : une forte montée de la tension dans les relations entre la France et chacun de ses deux pays, à la fois rivaux et importants pour la sécurité en Europe. « Dans l’Histoire, la France a toujours hésité et balancé entre la Pologne et la Russie  : aujourd’hui, elle est fâchée avec les deux », résume Arnaud Dubien, directeur de l’Observatoire franco-russe. [....]

    La suite sur Secret Défense

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pologne-et-Russie-double-peine

  • Ce que Poutine a dit à TF1 et ce que la chaîne a préféré taire

    Dans un entretien attendu à la chaîne TF1, le président russe Vladimir Poutine a donné franchement son avis sur plusieurs sujets, mais le choix des journalistes de la chaîne surprend, beaucoup de points chauds importants sur le plan international ayant été omis. Qu'est-ce que TF1 a passé sous silence ? Sputnik publie les parties qui manquent.

    Entretien de la chaîne TF1 avec le président russe Vladimir Poutine le 12 octobre 2016 : (la traduction en français est assurée après chaque réponse de Vladimir Poutine)

    Le nom du président russe Vladimir Poutine a été évoqué durant cette dernière semaine en France un nombre assez impressionnant de fois en raison de sa visite annulée à Paris et ce qui a précédé : le désaccord concernant la situation dans la ville syrienne d'Alep et la résolution française sur Alep qui s'est heurtée au veto russe. M. Poutine ne vient toujours pas en France, mais il accepte de parler aux journalistes français de TF1 et leur parle franchement et sans éviter les questions délicates.

    Or, alors que l'intégralité de l'interview en russe se trouve sur le site de TF1, les journalistes de la chaîne ont choisi de diffuser, pour le journal de 20 heures, une sélection de sujets assez chaotique. Certes, ils n'ont pas négligé les thèmes tels que la visite du dirigeant russe annulée à Paris, sa réaction aux accusations de crimes de guerre et les bombardements à l'est d'Alep. Cependant, bien qu'il y ait bien d'autres questions à soulever, la chaîne a vite passé… à ce que Poutine pensait de Donald Trump.

    Donc, le reste de l'interview a-t-il paru moins important aux journalistes de TF1 ? Vladimir Poutine dit savoir qui a frappé le convoi humanitaire près d'Alep, et il dit que ce serait un groupe terroriste et que les États-Unis seraient au courant… Pas intéressant ! Il explique pourquoi la Russie n'est pas responsable de la crise migratoire que l'Europe a subie, en réponse à ces nouvelles idées circulant dans des médias occidentaux depuis quelques temps. Il dévoile une proposition extraordinaire qui a été faite à la Russie pour protéger la route avec des soldats russes ou le convoi humanitaire passera. Il revient sur le dernier cessez-le-feu en Syrie, il explique pourquoi et par qui, selon lui, il n'a pas été respecté. Intéressant ? Assez, si on a envie de connaître le point de vue du président russe sur une question sensible plutôt que savoir s'il aime bien Trump…
    Pour les curieux, Sputnik vous présente les extraits qui ne sont pas parus sur TF1 au journal de 20 heures.
  • Quand Manuel Valls quitte la mairie d'Evry, les caisses sont vides

    Quand Manuel Valls quitte la mairie, les caisses sont vides. Sa capacité d'autofinancement nette de remboursement a toujours été négative depuis 2001 et entre 2007 et 2012 l'endettement de la ville a progressé de 70%. Entre 2001 et 2012, la pression fiscale sur les ménages de la commune a explosé de 45, 7% et le montant moyen de l'impôt pris sur les foyers imposables frôle aujourd'hui les 2 100 euros annuels (ce qui fait partie des impôts les plus élevés de France pour des villes de taille comparable). Depuis 2007, l'ardoise de la dette de la mairie a pris 40%. Alors que dans une ville de 50 000 habitants, seul le directeur général des services est censé disposer d'une voiture de fonction, la commune a mis 26 véhicules de service. C'est en tout cas ce que notait la Cour des comptes en 2006. En faisant passer les chargés de mission (jusqu'à 50). Les dépenses en personnel ont représenté 791 euros par habitant (soit 50 euros de plus que dans ce type de ville), le recours à des prestataires extérieurs (416 euros par habitant, soit 55% de plus que la moyenne).
    Emmanuel Ratier, Le vrai visage de Manuel Valls

  • La Manif pour Tous beaucoup de monde...une victoire

    Discours de Ludovine de la Rochère : 

    Les 18 millions de famille en France, c'est le premier parti de France

    La deuxième chose est que la jurisprudence selon laquelle une loi sociétale ne s’abroge pas est une invention !

    La troisième chose est qu’en revenant sur la loi Taubira, vous ne perdrez pas une voix, pas une seule !

    17h 15 : Une première estimation à 200 000 participants, c'est une magnifique victoire!

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    Cortège 24 - 200 000 manifestants

    Et 24000 selon la police... !

    Il y eut aussi des appels au meurtre et à l'attentat contre des familles de France : 

    Voir la suite et la fin...?

  • Auto électrique : la grande arnaque

    Alors qu’on appelle le contribuable à se serrer la ceinture pour combler les déficits publics, l’Etat va dépenser des dizaines de milliards d’euros pour développer la voiture électrique. Une obsession estampillée « transition énergétique » qui oublie totalement le coût financier et environnemental exorbitant de la voiture électrique, et qui vise simplement à maintenir le nucléaire. 
    « La Zoé coûte 21 000 euros, mais avec le bonus à l’achat, elle baisse à 15 000 euros, soit le prix d’une Clio ». L’argument est huilé, le calcul prêt à l’emploi. Vincent Carré, directeur commercial de la gamme électrique de Renault, qui l’expose à Reporterre, le répètera maintes fois lors du Mondial de l’automobile qui s’ouvre aujourd’hui à Paris. Zoé ? Le modèle électrique phare du groupe automobile. 
    Avec l’appui massif du gouvernement et du lobby nucléariste : la voiture électrique sera « La voiture de demain en France » selon le ministre de l’économie Emmanuel Macron. 
    Le ministre de l’économie a donné un nouveau coup d’accélérateur au dispositif : une prime de reconversion de 3.700 euros peut s’ajouter à la subvention existante de 6.300 euros, portant ainsi le total du bonus à 10.000 Euros. Et l’augmentation sensible des bornes de recharge électrique, avec un objectif de 16.000 en France d’ici la fin de l’année 2014, en vue d’atteindre les sept millions d’ici 2030. Aux frais de l’Etat, donc du contribuable, appelé par ailleurs à se serrer la ceinture pour combler les déficits publics. 
    La loi de transition énergétique : dites plutôt, la loi de l’auto électrique 
    Le projet est au cœur de la loi sur la transition énergétique, soumis actuellement au vote des députés, qui réjouit l’entreprise Renault, dont l’électrique est un pilier de la stratégie : « La confirmation des aides d’Etat et le niveau d’infrastructures appelées à être développées doivent nous permettre de sortir du marché de niche », dit Vincent Carré. Alors que le parc électrique français représente aujourd’hui 20 000 véhicules, Renault espère franchir rapidement le palier des 100 000 véhicules électriques par an. 
    Mais pour Lorelei Limousin, chargée de mission au Réseau Action Climat (RAC), « il y a une focalisation excessive sur la voiture électrique, alors même que le sujet n’a pas émergé dans le Débat National sur la Transition Energétique. Il n’était pas question de la voiture électrique dans les recommandations qui en sont issues ». 
    L’attention portée aux véhicules électriques tranche d’autant plus que le transport est totalement oublié par la loi, qui est muette sur le report modal ou les transports en commun. 
    En réalité, une première loi est passée dans le silence de l’été, le 4 août dernier : elle vise à faciliter « le déploiement d’un réseau d’infrastructures de recharge de véhicules électriques sur l’espace public » (Voir ici le texte de la loi n°2014-877). Celle-ci exempte de toute redevance l’Etat lors de l’installation des bornes. « C’est une loi d’exception pour favoriser au plus vite le développement de la voiture électrique » dénonce Stéphane Lhomme, directeur de l’Observatoire du nucléaire. 
    Un empressement qui fait d’ailleurs l’impasse sur les études d’impact : « Un amendement a été déposé pour demander l’évaluation des impacts de la voiture électrique, mais il a été refusé par Mme Royal au motif que le réseau n’était pas assez développé pour qu’on puisse les mesurer… On fonctionne complètement à l’envers », constate Lorelei Limousin. 
    « Un gouffre financier » 
    Il s’agit en fait d’un passage en force, juge Stéphane Lhomme : « Avec les sommes astronomiques mises en jeu, cela mériterait un grand débat de société ». Car le dispositif coûte cher : 42 milliards a minima. En juillet, Reporterre avait révélé les hésitations troublantes de la ministre de l’Écologie sur le coût de la mesure et son financement, en particulier celui de l’installation des bornes de recharge. Si la fourchette d’estimation reste large à défaut de clarification depuis – entre 5 000 et 20 000 euros la borne – le coût global pourrait s’alourdir au gré des évolutions techniques dans les prochaines années : « Le risque d’obsolescence est important sur ce genre de technologie », note M. Lhomme. 
    Rien ne semble par ailleurs garantir l’amortissement des investissements. Au début de l’été, un rapport de la Chambre régionale des Comptes d’Aquitaine révélait la mauvaise expérience du véhicule électrique en Poitou-Charente à la fin des années 2000, au moment où Ségolène Royale présidait le Conseil Régional. 
    Outre les critiques quant à une gestion opaque des aides, le rapport mettait en relief le « gouffre financier qu’a creusé le soutien ‘‘important et inconditionnel’’ de l’ancienne présidente du Poitou-Charentes », alors que son projet s’est soldé par la liquidation de la PME en mai 2012… 
    Mais côté constructeur, on défend le soutien de l’Etat dans une filière qui représente quatre milliards d’euros d’investissement au total, chez Renault : « C’est une technologie produite en France, qui sert donc l’économie nationale. Les aides publiques vont relancer le secteur industriel et créer de l’emploi », assure Vincent Carré. 
    L’augmentation de la consommation d’électricité ? 
    La facture pourrait encore s’alourdir si l’on en croit les derniers travaux sur le coût du nucléaire qui annoncent la hausse du prix de l’électricité : « Que ce soit à travers le grand carénage des centrales ou par l’introduction de l’EPR, il y aura un renchérissement du prix de l’électricité dans les prochaines années », estime Benjamin Dessus, ingénieur et économiste président de Global Chance. 
    Le développement du parc automobile électrique n’implique-t-il pas, à terme, une augmentation de la consommation d’électricité ? Chercheur à l’IDDRI, Andreas Rüdinger tempère : « Développer la voiture électrique ne va pas forcément mener à une électrification à outrance. En partant de la consommation actuelle d’une Renault Zoé (12 kWh/100km) et à raison d’une distance moyenne de 15 000 km par an, mettre dix millions de véhicules électriques sur les routes en France [soit environ un tiers de l’ensemble du parc automobile estimé à 35 millions de véhicules, ndlr] à l’horizon 2030, cela représenterait une consommation d’électricité de 18 TWh sur l’année. Soit, en volume, moins de 4 % de notre consommation totale d’électricité actuelle (500 TWh) ». 
    L’objectif politique affiché étant de deux millions de véhicules électriques d’ici 2020, l’effet reste donc marginal en termes de consommation d’électricité. L’impact, toutefois, serait beaucoup plus conséquent sur le réseau de distribution, « avec des risques de pointe qui pourraient considérablement perturber le réseau », selon Benjamin Dessus. 
    Le constructeur dénonce cette approche : « On joue souvent sur la sidération en imaginant des scénarios anxiogènes où toutes les voitures se brancheraient au même moment. L’enjeu, c’est la recharge nocturne, car la nuit, nous avons une disponibilité d’électricité colossale et le réseau électrique est largement capable de supporter la demande, affirme Vincent Carré. Et avec une autonomie d’au moins 150 kilomètres alors que 40 % des voitures en Europe font moins de 100 kilomètres par jour, on ne rechargera pas quotidiennement ». 
    La controverse reste ouverte. Avec des durées de rechargement à domicile de huit à dix heures, d’aucuns craignent des moments de pointe sur le réseau, à l’heure du retour du bureau ou le week-end. « A l’image de ce qui se passe déjà l’hiver avec le chauffage, compare Stéphane Lhomme. La solution serait alors la même : on rechargerait alors avec de l’électricité venue d’Allemagne et produite par… du charbon »
    Le mythe de la voiture propre 
    En plus d’alourdir la balance commerciale française, l’argument remet en cause celui que ressassent les industriels : « La voiture électrique est la seule solution en main pour réduire les émissions de CO2. Elle est rapide à mettre en œuvre, et même en période d’austérité, ce n’est pas à vous que je vais apprendre qu’il ne faut pas attendre pour s’attaquer à ce problème ! », nous assure à nouveau Vincent Carré. 
    L’idée d’une voiture neutre en CO2 a pourtant été battue en brèche. En novembre 2013, une étude de l’ADEME analyse les émissions de gaz à effet de serre sur l’ensemble du cycle de vie de la voiture électrique. Le résultat est marquant : une voiture électrique « rentabilise » son impact CO2 à partir de 50 000 km en France, et de 100 000 en Allemagne – une différence qui s’explique par l’alimentation électrique au charbon, à hauteur de 44 % outre-Rhin. 
    Nouveau calcul : « Cela revient à une moyenne de 15 kilomètre par jour, 365 jours par an, pendant 10 ans. En dessous, la voiture électrique est moins efficiente en CO2 qu’une voiture thermique », dit Stéphane Lhomme. Avec l’Observatoire du nucléaire, il a récemment obtenu du Jury de déontologie publicitaire le retrait des adjectifs « propres », « vert » ou « écologique » qu’utilisaient les constructeurs automobiles pour qualifier la voiture électrique. 
    Aucun plan de recharge électrique sur un réseau d’énergies renouvelables n’est pour l’heure prévu. Pourtant, comme le note France Nature Environnement dans une récente étude sur la voiture électrique, la clef de l’impact environnemental de la voiture électrique réside dans la production d’électricité. « Dès lors que tout est en place pour l’alimenter par le réseau ERDF, la voiture électrique est celle du nucléaire et donc comptable de toutes les pollutions associées à cette énergie », explique Stéphane Lhomme. 
    Mais pas seulement : la batterie, très consommatrice en lithium, participe du développement de la consommation de ce métal. Or, l’extraction de l’« or blanc » est la cause de nombreux ravages environnementaux et sociaux, tel que l’a récemment montré l’enquête de Reporterre, tandis qu’« on ne sait toujours pas comment on recycle le lithium, et qu’une usine-pilote vient seulement d’ouvrir en Allemagne, plus de vingt ans après le début de sa commercialisation en France », appuie Camille Lecomte des Amis de la Terre. 
    Pour Stéphane Lhomme, « on a simplement délocalisé la pollution. Mais on peut faire les mêmes critiques à la voiture électrique qu’aux voitures thermiques. On remplace la peste par le choléra ». 
    Une délocalisation qui renforce la fracture sociale : « Le riche qui possède sa voiture électrique ne pollue plus là où il conduit, essentiellement en milieu urbain, mais avant, là où il produit son électricité, chez les pauvres », dit Stéphane Madelaine, professeur en mécanique et engagé dans le Parti pour la Décroissance. 
    Un cheval de Troie du lobby nucléaire ? 
    « Une bêtise », pour la député EELV Barbara Pompili, « une affaire qui ne tient pas debout, on est hors du rationnel », pour Benjamin Dessus, la voiture électrique soulève l’opposition des écologistes de tous bords. Bernard Laponche y voit lui une « rouerie », qui consiste à entretenir savamment l’assimilation de la transition énergétique au seul enjeu de la réduction des émissions de gaz à effet de serre. 
    « En France, on a branché la transition énergétique uniquement sur l’idée de ‘‘civilisation bas-carbone’’. Pourtant, l’enjeu est plus large : il s’agit de sortir des fossiles, mais aussi du fissile », rappelle Benjamin Dessus. 
    Alors que la France observait ces dernières années une diminution de la consommation d’électricité, la voiture électrique apparaît comme un moyen de freiner cette diminution, voire de l’inverser. Pour Stéphane Madelaine, c’est « une filière qu’on développe de manière absurde afin de maintenir l’industrie nucléaire ».

  • Le grand direct de la manif pour tous (actualisez votre page).

    (Cliquez sur les photos pour les agrandir)

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    14h15 : La famille, une cause qui dépasse les frontières : 

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    Des élus et des personnalités arrivent : 

    mise à jour ici

  • Vers une troisième guerre mondiale : Les piteuses rodomontades des vassaux de l’Empire

    Le président russe Vladimir Poutine "a décidé d'annuler" sa visite à Paris prévue le 19 octobre, a annoncé le Kremlin, mais il y rencontrera François Hollande quand son homologue français "se sentira à l'aise" pour cette entrevue. Le président a noté qu'il était prêt à se rendre à Paris à une date qui conviendra à (François) Hollande. 

    Le monde est au bord du chaos qui s’est emparé de la Syrie depuis que les dirigeants occidentaux surfant sur la vague des printemps arabes ont décidé de s’occuper de la Syrie comme ils l’ont fait pour l’Irak, l’Afghanistan. On trouve toujours à la manœuvre l’empire qui dicte a norme et les vassaux qui font assaut d’allégeance pour être dans les bons papiers de l’Empire. Ce qui arrive en Syrie est une tragédie. La Russie et la Chine échaudées par la résolution 1773 ayant amenée la mort de Kadhafi ne laissent plus rien passer. La Russie s’est résolument placée du côté de la légalité et intervient à la demande du président syrien pour mettre de l’ordre. Ou aurait cru que le dernier accord russo-américain allait permettre un peu de répit il n’en fut rien. Une bavure américaine a causé la mort de 80 soldats de l’armée syrienne et les convois furent attaqués. Le cessez le feu n’a pas tenu.

    La France donne l’impression de faire une faveur à la Russie et que si Poutine vient il doit rendre des comptes comme l’a déclaré Jean-Marc Ayrault, lundi 10 octobre, que, s’il était reçu par l’Elysée, le président russe ne viendrait pas pour des« mondanités » mais pour parler de la crise syrienne et de la situation en Ukraine.  « Soyons clair lit-on dans la contribution suivante : Poutine n’a aucun besoin de rencontrer François Hollande, et n’en n’a peut-être pas envie, pour la bonne et simple raison que Hollande n’a aucune décision sur rien, même pas en matière de politique intérieure. Si Poutine vient à Paris le 19 octobre, c’est pour un évènement beaucoup plus important qu’une rencontre vide avec un dirigeant qui va lui parler de choses qu’il ne maîtrise pas. Il vient perpétuer des liens autrement plus profonds entre la France et la Russie, et se place sur une sphère historique qui semble échapper à François Hollande. (1) 

    La comédie diplomatique qui repose sur du vent

     Caroline Galactéros, Docteur en Science politique dans une analyse sans concession fait le procès de la diplomatie de la France et ds rodomontades des dirigeants : «  la décision de Poutine de ne pas venir à Paris - suite aux atermoiements et au mépris de Hollande qui s’interrogeait dans une émission de variété s’il doit le reçoit ou pas - n'est que la suite logique d'un amateurisme complet de la France en Syrie et ailleurs dans le monde.. Elle écrit : « Accusant avec l'ONU le régime syrien et la Russie de crimes de guerre à Alep, elle a déposé en hâte un projet de résolution au Conseil de Sécurité des Nations Unies demandant l'arrêt des combats et des bombardements sur l'est de la ville (dont elle feint de croire qu'il n'est peuplé que de civils innocents qui resteraient là de leur propre gré et que la Russie et le régime pilonneraient par pure cruauté), l'acheminement de l'aide humanitaire et la reprise du processus de négociation. Que dire de cette initiative, à un moment où la tension russo-américaine monte dangereusement et peut faire craindre un dérapage militaire sur le terrain que certains, à Washington et à l'OTAN, appellent ouvertement de leurs vœux ?

    Caroline Galactéros Elle poursuit : « une gesticulation habile mais dangereuse qui n'a pour but, en prétendant débloquer la situation, que de jouer les utilités au profit de Washington en fossilisant un peu plus les positions des deux camps qui s'affrontent désormais ouvertement sur le corps exsangue de la nation syrienne ? (…) Ce cinéma diplomatique vient évidemment de se solder par un véto russe (…) L'évidence crève l'écran. « L'Occident » ne mène pas la guerre contre l'islamisme sunnite ou alors de façon très résiduelle : il le nourrit, le conseille, l'entraine. DAECH, dont la barbarie spectaculaire des modes d'action sert d'épouvantail opportun et de catalyseur de la vindicte occidentale, permet de juger par contraste « respectable » l'avalanche de djihadistes sunnites d'obédience wahhabite ou Frères musulmans qui ne combattent d'ailleurs pas plus que nous l'Etat islamique mais s'acharnent sur le régime syrien. Et l'Amérique comme la France cherchent avec une folle complaisance, dans ce magma ultraviolent, des interlocuteurs susceptibles d'être intronisés comme « légitimes » et capables de remplacer un autocrate indocile qui a le mauvais goût de résister à la marche de l'Histoire version occidentale et à la vague démocratique censée inonder de ses bienfaits un Moyen-Orient politiquement arriéré ».

    « Elle aborde ensuite la reconfiguration du monde et met en évidence les errements de la diplomatie française combattant les sunnites au Mali les aidant en Syrie : « (…) Dans ce Grand jeu explosif de reconfiguration de l'équilibre du monde et notamment du nouveau duel cardinal, celui de Washington avec Pékin (…) Comment justifier en effet notre combat au Mali contre les djihadistes sunnites, notre soutien en Irak aux chiites contre les sunnites, et en Syrie notre appui aux groupuscules sunnites les plus extrémistes contre Bachar el Assad...tout en prétendant profiter du marché iranien entre ouvert …. et vendre des armes aux Saoudiens et Qataris sunnites qui sont by the way les financiers du djihadisme mondial dont nous subissons la haine et la violence terroriste sur notre sol désormais à un rythme soutenu ? (…) L'exigence américaine - reprise à son compte par Paris - d'une cessation des bombardements aériens sur Alep-Est « pour raisons humanitaires » aurait permis en fait de laisser les islamistes de la ville (soit rien moins qu'Al Nosra et consorts) se refaire une santé militaire en se servant des civils comme de boucliers humains, de poursuivre leurs tirs d'obus sur la partie ouest de la ville et d'empêcher Damas et Moscou de faire basculer décisivement le rapport de force militaire en faveur de l'Etat syrien dans le cadre d'une négociation ultime. Qui a d'ailleurs fait échouer le cessez le feu signé le 9 septembre dernier à Genève ? Les groupes terroristes qui n'en voulaient pas et les Etats-Unis qui ont bombardé les forces syriennes à Deir el Zor et ouvert la voie aux forces de l'Etat Islamique. Encore un accord de dupes ». (2)

     « Par dogmatisme conclut-elle, par moralisme, par notre parti pris immodéré pour les puissances sunnites de la région, nous nous sommes engouffrés dans un alignement crédule sur la politique américaine qui s'est en plus retourné contre nous dès l'été 2013, lorsque Barack Obama a dû renoncer à frapper directement Damas Un camouflet d'autant plus lourd à porter que notre ancien ministre des affaires étrangères avait jugé bon, dès août 2012, de dire que « Bachar el Assad ne méritait pas d'être sur terre » et, en décembre 2012, « qu'Al Nosra faisait du bon boulot(…) N'en déplaise à Monsieur Ayrault, la France n'est ni écoutée, ni considérée, ni attendue sur le dossier syrien. Elle en est réduite à servir de go between entre Washington et Moscou (…) Nous combattons l'Etat islamique pour la galerie, sans grande conviction ni détermination politique, Pour Moscou, au contraire, il n'existe pas « d'islamistes modérés » ; (…) Au moment où il est d'une extrême urgence de se parler enfin à cœur ouvert, de dire la vérité, le président de la République française s'interroge publiquement, de bon matin, dans une émission de divertissement, devant l'animateur Yann Barthes sur TMC, sur l'opportunité de recevoir Vladimir Poutine à Paris le 19 octobre ! « P'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non … » La réponse de Moscou à cette insulte ne s'est pas fait attendre : le Président russe ne viendra pas. Nous sommes au fond du fond du fond de l'impuissance politique ». (2)

    La France n’est pas la seule à faire ce que l’Empire demande : Michael Fallon, secrétaire d’Etat britannique à la Défense, qui a accusé la Russie de prolonger la guerre en Syrie et d’être responsable de la situation à Alep. Ce qui fait réagir le ministère russe de la Défense : « Au lieu de se plonger dans le flou des réflexions sur la responsabilité de la Russie sur la situation en Syrie et à Alep, en particulier, il ferait mieux de se rendre compte de ce qui est fait par le Royaume-Uni dans ce malheureux pays » (3)

    Ceux qui détestent la Poutine et ceux qui l’adulent

    Pourquoi La Russie est haïe ? : « L’impopularité de la Russie en Europe nordique et orientale a quelque chose d’horrible mais elle est facile à comprendre. Elle ne repose pas sur le passé ou sur d’anciens contentieux territoriaux ou historiques ; simplement sur le fait que peu à peu Washington remplace les élites européennes par des élites hostiles au service de Wall Street et du pentagone. Cela donne les Young leaders en France ou carrément des citoyens nord-américains formatés mentalement à l’université de Georgetown. L’Europe du sud, moins portée sur l’anglais et l’Amérique, est justement moins hostile à la Russie, et moins contrôlée par la CIA. On oubliera Barroso passé du Portugal à Goldman Sachs » (4)

    A l’autre bout du curseur il se trouve des français fascinés par le personnage . nous lisons cette contribution : « Alors que le chef de l'Etat russe s'oppose à toute la communauté internationale sur le dossier syrien, de plus en plus de Français semblent séduits par la personnalité et la stratégie de Vladimir Poutine. "Bravo monsieur Poutine, encore une belle leçon donnée aux laquais occidentaux." "Respect au président russe qui, lui, ne se couche pas devant l’Etat islamique !"" Depuis que Vladimir Poutine a annoncé, mardi 11 octobre, qu'il reportait sa visite en France prévue le 19 octobre en vue de l’inauguration d’un "centre spirituel et culturel orthodoxe russe" à Paris, les commentaires postés sur les forums ou sur les réseaux sociaux fleurissent pour afficher un soutien indéfectible au chef de l'Etat russe. Alors qu’une partie de l’arc politique français – de Marine Le Pen à François Fillon et Jean-Luc Mélenchon – milite activement pour un rapprochement avec Moscou, l’image du président russe bénéficie d’une forme de bienveillance dans une partie de l'Hexagone ». (5)

    « Dans un sondage BVA pour Le Parisien datant de 2014, 25% des sympathisants de droite (et 36% de ceux du FN) et 4% des sympathisants de gauche (dont 5% à la gauche de la gauche) déclaraient avoir une bonne opinion de Vladimir Poutine. "La force de Poutine, assure Nicolas Hénin, c'est qu’il tient un discours pour tout le monde. Aux anti-Américains, il promet un rééquilibrage des relations internationales. Aux militaires, de faire la guerre contre l’Etat islamique. Aux chrétiens, de défendre leurs valeurs..." Poutine est un des seuls leaders à assumer clairement les conséquences de ce qu’il se passe en Syrie. Nos dirigeants répètent à longueur de journée que nous sommes en guerre. Poutine, lui, fait la guerre et on vient le lui reprocher ? » . (5)

    Peut on éviter une troisième guerre mondiale ?

    Pour Thierry Meyssan, le conflit syrien peut dégénérer à tout instant en Guerre Mondiale. Les États-Unis ne sont plus en mesure de tenir leurs engagements, comme on l’a vu avec l’accord de l’Aïd, mais ne veulent pas pour autant abandonner son objectif (empêcher le développement de la Chine et de la Russie afin de maintenir un ordre mondial unipolaire). Moscou et Pékin, de leur côté, estiment être désormais en position de force. Nous approchons du moment clé de renversement de l’ordre mondial ou de la Guerre nucléaire. Jamais Moscou n’a cru à la sincérité de Washington. Pourtant, depuis le 30 juin 2012, il n’a cessé d’enchaîner les accords, jamais tenus. Washington a alors rendu public des extraits choisis d’une discussion entre John Kerry et des représentants de l’opposition de salon syrienne, prétendument enregistrée « à son insu », le 22 septembre à New York [2Washington renonce à la guerre, mais rien ne change vraiment sur le terrain. Elle se poursuit sous l’unique responsabilité de ses vassaux. (6)

    « Les médias font état d'une très vive altercation entre le Président russe, Vladimir Poutine et son homologue français, François Hollande autour de la Syrie. Le contact téléphonique entre les deux hommes a tourné à une passe d'arme verbale, avec en toile de fond un approfondissement des divergences de part et d'autre. (…) En réponse à Hollande qui demandait l'arrêt des frappes aériennes russes contre les positions des terroristes d'Al-Qaïda et de l'ASL à Alep, Poutine aurait fulminé :" Vous n'avez plus aucun autre choix, si ce n'est le fait d'abattre les avions russes et là vous allez déclencher une nouvelle guerre mondiale. Si la France, la Grande Bretagne et les États-Unis veulent la guerre, ils l'auront" » (7)

    Encore une fois les vassaux vont intervenir sur ordre de l’empire : « Pour Washington écrit Thiery Meyssan, il est désormais clair que la République arabe syrienne ne tombera pas et qu’il ne sera pas possible de juger et de condamner sans preuves le président Bachar el-Assad. Cette mise en scène s’inscrit dans le conditionnement des Occidentaux, « défenseurs du Bien face aux cruels Syriens ». La France, successivement porte-parole des intérêts turcs, puis qataris, puis saoudiens et aujourd’hui israéliens, espère donc juger les 120 dirigeants syriens (déjà condamnés sur le papier) devant la Cour Pénale Internationale… par contumace. Le 10 octobre, le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Marc Ayrault, a annoncé qu’il avait demandé à un groupe de juristes de trouver un moyen pour saisir la CPI malgré l’opposition prévisible du Conseil de sécurité. Il semble que Washington se prépare à accepter la fin du monde unipolaire. Dans ce cas, les accusations les plus farfelues et plus terrifiantes contre la Syrie serviront à noircir l’image du camp russe » (8)

    On pense aussi comme scenario de fuite en avant à des attaques sous fausse bannière. Après l’échec de la diplomatie américaine : « La frustration du Secrétaire d’État John Kerry, engendrée par l’échec de la diplomatie américaine, est apparue clairement lors d’une réunion avec un groupe de civils syriens, la semaine dernière, où il défendait les efforts des États-Unis pour mettre fin à la guerre civile de cinq ans en Syrie, selon un enregistrement audio de CNN. (…) Le Parlement russe a ratifié un accord avec la Syrie au sujet du stationnement, sans limites précises, des forces russes en Syrie. (…) 82 soldats syriens sont morts et plusieurs autres ont été blessés. La frappe a permis à ISIS d’avancer vers la ville assiégée de Deir Ezzor. Ce n’était pas une« erreur » comme les États-Unis l’ont prétendu. La Russie défendra ses forces en Syrie et elle défendra la souveraineté de la Syrie. Elle n’est pas seule. Une frégate chinoise vient d’arriver dans le port syrien de Tartous. Toute attaque contre les forces russes ou syriennes serait illégale La Russie a bien raison d’avertir des conséquences éventuelles d’une violation. Il n’y a rien de « belliqueux » là-dedans. » (9)

    Se pose alors, la question de l’Après Assad et évalue les possibilités toutes aussi tragiques les unes que les autres pour le peuple syrien En clair après - 300.000 morts des dizaines de milliards de dégâts 6 millions de déplacés plus tard – on reviendrait à une situation d’un chaos avec une barbarie d’Etat : « Si Assad, « bourreau de son propre peuple » selon l'expression consacrée, était finalement militairement et politiquement mis hors-jeu, par qui compte -on le remplacer ? Jean Marc Eyraut a la solution : « la Syrie future devra être unitaire, avoir des structures étatiques stables, être protectrice de toutes ses minorités, mettre en place des institutions solides, contrôler son armée et ses Services » « A qui sera livrée la Syrie conclut Caroline Galactéros, « utile » ou pas, une fois que DAECH en aura été progressivement « exfiltré » vers d'autres macabres « territoires de jeu », en Libye par exemple ? Quelle alternative pour la survie des communautés, notamment chrétiennes, encore présentes dans le pays qui passe par la survie des structures laïques d'Etat ? Quels individus veut-on mettre au pouvoir ? Les pseudo « modérés » qui encombrent les couloirs des négociations en trompe l'œil de Genève ? Le Front al Nosra, sous son nouveau petit nom - Fateh al Sham -, Ou un mixte de tous ces rebelles - apprentis démocrates férus de liberté (…) Croit-on sérieusement que l'on pourra contrôler une seule minute ces nouveaux « patrons » du pays qui se financent dans le Golfe -dont nous sommes devenus les obligés silencieux-, Ne comprend-on pas qu'ils vont mettre le pays en coupe réglée » (2)

    Que devons-nous faire en tant que citoyens lamda pour savoir ce qui se passe réellement ?

    Nous devons honnêtement déconstruire le message qui nous vient des médias aux ordres et le moins que l’on puisse dire est qu’ils ne sont pas honnêtes. A titre d’exemple, ce qui se passe à Alep est répréhensible, mais à qui la faute ? Voilà un pays et un dirigeant qui n’est ni pire ni meilleur que les autres qui du jour au lendemain est diabolisé au nom de la démocratie aéroportée. Ce pays qui s’est porté garant depuis plus d’un millénaire de la coexistence des ethnies et des spiritualités par les fils invisibles du vivre ensemble se trouve du jour au lendemain démoli, déstructuré . les minorités chrétiennes ont beau dire qu’elles soutiennent le pouvoir actuel à l’image du Père Elias Zahraoui dans un courrier sans concession adressé à Alain Juppé alors ministre de Sarkozy qui voulait rééditer le scénario libyen pour un pays qui a connu l’enfance de la civilisation humaine 

    Il écrit :«  N’est-il pas vrai écrit il que vous êtes intervenus en Lybie, pour soi-disant protéger les droits humains des civils, contre un dictateur, que, pourtant, la France et l’Italie n’ont cessé de flatter, et que l’Angleterre et les États-Unis ont fini par chérir ! Et vous vous en êtes acquittés en laissant sur le sol de la Lybie, un charnier de 50000 morts, pour la plupart des civils. Plus loin il ajoute « Si, en Occident, vous êtes si sensibles au problème des Droits de l’homme, pouvez-vous me dire ce qui vous rend totalement aveugles à ce que fait Israël en Palestine, depuis plus de 60 ans, en décimant systématiquement le peuple palestinien, et en dévorant même la portion de terre, qui lui a été dévolue par les fameuses Nations Unies en 1947  ? ».(10).

    Même appel de mère Agnès Marie Mariam, et il est important de lire la contribution suivante pour expliquer la complexité de ce qui se tramait réellement. Rien n’y fit , la religieuse est traitée de personnalité ambigüe par le journal le Monde dont on connait les dérives ? Rien n’y fit on veut la peau de Assad qui ne « mérite pas d’être sur terre » disait Fabius, un autre boutefeux cette fois-çi avec Hollande encourageant de ce fait des mouvements extrémistes comme Al Nosra, dont le même ministre décidément boutefeux affirme qu’il fait du « bon boulot ». tellement bon que l’on s’aperçoit sur le tard que c’est un mouvement terroriste. (11)

    Assad qui combat l’hydre terroriste soutenu par l’Empire et ses vassaux mais aussi par les potentats du golfe et Israël est du bon coté de l’histoire. Car la propagande occidentale est digne de celle du IIIe Reich . Quand on dit qu’Alep est démolie que c’est le chaos, on « oublie de dire que cette opération de recouvrement de souveraineté concerne un quartier d’Alep où les terroristes ont pris en otage la population et armés par l’Occident ils veulent un partage pour créer un glacis qui sera de facto la partition de la Syrie. 

    Que l’on regarde la vidéo suivante et nous verrons que dans Alep, il y a la vie, il y a ce qu’il faut il y a une exhuberance de la jeunesse qui danse et qui respire la vie. Nullement les scènes d’horreur trafiqués par les médias mains stream où on montre un enfant ,une ambulance avec en toile de fond l’OSDH un organisme qui compte les morts et s’intronise détenteur de la norme , et des droits de l’homme à partir de Londres … (11)

    Aux dernières nouvelles les islamistes de la partie est de la ville d’Alep négocieraient leur capitulation. Rien à ajouter Paix et empathie pour ce peuple qui n’arrête pas de souffrir.

    1.http://reseauinternational.net/recevra-ou-ne-recevra-pas-poutine-la-pitoyable-mise-en-scene-de-hollande/#J2FsOCXdchA6F73H.99

    2. http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2016/10/11/31002-20161011ARTFIG00146-caroline-galacteros-la-decision-de-vladimir-poutine-humilie-la-diplomatie-francaise.php

    3.https://fr.sputniknews.com/international/201610101028123934-accusations-reponse/

    4.http://reseauinternational.net/les-raisons-cachees-de-la-russophobie-en-europe/#5QvcqpWKRYPhpzLo.99

    5.http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/2016/10/pourquoi-certains-francais-adulent-vladimir poutine.html ?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_ campaign=_ob_pushmail

    6.http://reseauinternational.net/lepreuve-de-force/#lYe9iZ30JAcPXfgT.99

    7.http://parstoday.com/fr/news/middle_east-i15874-syrie_le_clash_hollande_poutine !

    8.Thierry Meyssan  http://www.voltairenet.org/article193601.html

    9.http://lesakerfrancophone.fr/syrie-les-etats-unis-preparent-ils-une-attaque-aerienne-sous-fausse-banniere

    10. http://arretsurinfo.ch/lettre-ouverte-dun-pretre-arabe-de-syrie-a-alain-juppe-2/

    11. http://lintegral.over-blog.com/2015/03/la-confe-rence-de-me-re-agne-s-mariam-de-la-croix-et-la-partialite-des-medias-traditionnels-francais.html

    12. Alep Syria https://www.youtube.com/watch?v=L2u1lG_7SaA&feature=youtu.be

    Article de référence : http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_ chitour/251886-les-piteuses-rodomontades-des-vassaux-de-l-empire.html

    Professeur Chems Eddine Chitour : Ecole Polytechnique enp-edu.dz

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/vers-une-troisieme-guerre-mondiale-185532