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magouille et compagnie - Page 2003

  • Fraudes électorales en Pologne

    D'Olivier Bault dans Présent :

    "Que les deux principaux partis d’opposition, y compris celui probablement arrivé en tête, dénoncent les fraudes électorales et demandent l’annulation des élections, c’est une chose plutôt rare dans un pays de l’Union européenne. C’est pourtant ce qui arrive en Pologne après les élections de dimanche, où les électeurs étaient appelés à choisir leurs conseillers municipaux, leurs maires et leurs conseillers régionaux pour les quatre années à venir.

    Si, d’après les sondages de sortie des urnes, le parti conservateurDroit et Justice (PiS) de Jaroslaw Kaczynski serait arrivé en tête avec 31,5 % des voix contre 27,3 % à la droite libérale (et de plus en plus libertaire) Plateforme civique (PO) de l’ex-premier ministre Donald Tusk, et 17 % au parti paysan (PSL), allié plutôt conservateur de la PO au sein du gouvernement, on ne connaissait toujours pas les résultats définitifs jeudi matin.

    Entre, d’une part, les petites fraudes électorales locales (des électeurs s’étonnent que le candidat pour lequel ils ont voté n’ait officiellement obtenu que… 0 voix) et des sacs de bulletins de vote laissés sans surveillance et, d’autre part, les graves lacunes du système informatique censé accélérer le compte des votes, les reproches adressés à la commission électorale sont nombreux. [...]"

    Michel Janva

  • Fraudes électorales en Pologne

    D'Olivier Bault dans Présent :

    "Que les deux principaux partis d’opposition, y compris celui probablement arrivé en tête, dénoncent les fraudes électorales et demandent l’annulation des élections, c’est une chose plutôt rare dans un pays de l’Union européenne. C’est pourtant ce qui arrive en Pologne après les élections de dimanche, où les électeurs étaient appelés à choisir leurs conseillers municipaux, leurs maires et leurs conseillers régionaux pour les quatre années à venir.

    Si, d’après les sondages de sortie des urnes, le parti conservateurDroit et Justice (PiS) de Jaroslaw Kaczynski serait arrivé en tête avec 31,5 % des voix contre 27,3 % à la droite libérale (et de plus en plus libertaire) Plateforme civique (PO) de l’ex-premier ministre Donald Tusk, et 17 % au parti paysan (PSL), allié plutôt conservateur de la PO au sein du gouvernement, on ne connaissait toujours pas les résultats définitifs jeudi matin.

    Entre, d’une part, les petites fraudes électorales locales (des électeurs s’étonnent que le candidat pour lequel ils ont voté n’ait officiellement obtenu que… 0 voix) et des sacs de bulletins de vote laissés sans surveillance et, d’autre part, les graves lacunes du système informatique censé accélérer le compte des votes, les reproches adressés à la commission électorale sont nombreux. [...]"

    Michel Janva

  • Lutte contre la GPA : les promesses de Manuel Valls restent lettre morte

    Ludovine de La Rochère remarque que, comme beaucoup de politiques, Manuel Valls avait prononcé une promesse en l'air dans son entretien au quotidien La Croix le 3 octobre dernier, le Premier Ministre avait annoncé un plan d'actions contre la GPA au niveau international :

    « Faut-il en conclure que la prise de position de Manuel Valls était uniquement destinée à démobiliser les Français qui se préparaient à manifester en masse contre la GPA ? »

    « Nous lui avons déposé en main propre à Matignon un courrier le 7 octobre. A ce jour, nous n’avons toujours pas eu de réponse. C’est surprenant ». « Si le Premier Ministre reste sourd à nos appels, la crédibilité de son propos vont sérieusement se poser. En ce jour où nous célébrons le 25ème anniversaire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, Manuel Valls a une belle occasion de faire avancer l’intérêt supérieur de l’enfant qui n’est pas et ne sera jamais une marchandise et la cause des femmes dont la dignité est foulée au pied par la pratique indigne de la GPA ».

    Michel Janva

  • L’éducation nationale socialiste LGBT

    L’enseignement « religieux » LGBT et la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT au sein de l’école socialiste ne sont que des « enfantillages » des bobos LGBT, les riches profiteurs de la république socialiste qui prônent les jeux sexuels à l’école, au risque de pédophilie. Le problème est que la société des bobos LGBT de la république socialiste ne parvient pas à mûrir et à dépasser sa propre immaturité mentale.

    Il lui faudrait devenir adulte pour éviter de tourner en dérision la réalité humaine du milieu scolaire.

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    lgbt-école-10

    Parti socialiste théorie du genre

    La propagande socialo-populiste, relayée sans cesse par la télé officielle digne des « JT de la Corée du Nord« , vise à la « destruction socialiste de la famille traditionnelle » qui fait obstacle à la tyrannie idéologique de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT au sein de l’éducation nationale socialiste et de l’école soviétisée de la république socialiste. Le risque de la propagande socialo-populiste LGBT, qui vise à la « destruction socialiste de la famille« , est que l’institution scolaire disparaisse, du fait de l’idéologie et de la dictature des « ABCD de l’égalité« . Plus il sera possible de favoriser la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT, aux dépens des enseignements essentiels, moins les classes moyennes sauront quoi penser de cette étrange décision, de la société socialiste, de faire bénéficier très tôt les enfants les plus jeunes de la plus grande variété des perversions sexuelles des bobos LGBT, avancée sous le couvert pernicieux du « droit à l’égalité pour tous« .

    http://www.medias-presse.info/leducation-nationale-socialiste-lgbt/18528

  • Réforme territoriale : la carte des 13 régions définitivement votée

    Les députés UMP alsaciens ont milité jusqu'au bout des débats contre la fusion avec la Champagne-Ardenne et la Lorraine.

    La carte des 13 nouvelles régions a été adoptée en deuxième lecture à l'Assemblée nationale, dans la nuit de mercredi à jeudi, après un ultime débat passionné marqué notamment par le baroud d'honneur des députés UMP alsaciens contre la fusion avec la Champagne-Ardenne et la Lorraine. Environ six heures de débats ont encore été nécessaires dans l'hémicycle pour aboutir au vote de l'article 1er du projet de loi de réforme territoriale, qui prévoit la réduction du nombre de régions métropolitaines de 22 à 13 à compter de 2016. Sur la soixantaine d'amendements pour le supprimer ou le récrire, aucun n'a été adopté.

    Le dialogue est "allé à son terme", a plaidé le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, défendant notamment les choix de découpage au nom de la nécessité de donner aux régions la "taille critique" nécessaire face à d'autres régions européennes. La taille ne fait pas la puissance, ont objecté des députés de droite mais aussi de gauche, invoquant les cas des régions allemandes ou espagnoles.

    "Dans quelle société peut-on marier les gens contre leur gré ?"

    Observant qu'"aucune carte ne fera jamais l'unanimité" et affirmant que le gouvernement n'entend "ni heurter ni gommer les identités locales", le secrétaire d'État à la Réforme territoriale André Vallini a appelé à "faire enfin cette nouvelle carte des régions et cette réforme territoriale que les Français attendent". Mais la dizaine d'élus UMP alsaciens ont fait bloc jusqu'au bout pour tenter de maintenir l'Alsace seule, quelques heures après avoir déployé une grande banderole "Ne tuez pas l'Alsace" dans la salle des Quatre-Colonnes. "Dans quelle société peut-on marier les gens contre leur gré ?", s'est exclamé Jean-Luc Reitzer, là où Laurent Furst a souligné que "l'histoire nous a appris à vivre des moments difficiles, mais aussi à ne jamais rien lâcher". En guise de démonstration par l'absurde, Éric Strauman a défendu deux amendements pour fusionner toutes les régions ou créer deux régions, l'Ile-de-France et la province. Dans leur combat, ils ont invoqué pêle-mêle la géographie ("la nouvelle région serait aussi grande que la Belgique"), l'histoire (les annexions de 1870 et 1940), l'économie (tournée vers l'Allemagne), le contre-exemple de la Bretagne et de la Corse inchangées, ou l'identité alsacienne avec le risque d'une montée de l'extrême droite aux cantonales et régionales de 2015.

    Depuis Mulhouse, où il poursuivait sa campagne pour la présidence de l'UMP, Nicolas Sarkozy a promis, si l'UMP revient au pouvoir, de "défaire" la carte de la réforme territoriale et affirmé que "l'Alsace est la région la plus ouverte au coeur de l'Europe". Dans l'hémicycle, les élus alsaciens de droite ont reçu le renfort du coprésident du groupe écologiste François de Rugy, soutien de "la revendication légitime d'une région Alsace, qui a une forte identité et travaille depuis des années à une réforme territoriale".

    Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a, lui, tenté un appel au calme en formant "le voeu que le débat ne soit pas l'occasion de rajouter des tensions aux tensions, des passions aux passions dans ce pays". Martelant l'absence d'"antinomie entre l'identité et la modernité", il s'est aussi voulu rassurant: "Strasbourg se trouvera plus forte si, dans son statut de capitale européenne, elle devient la capitale d'une grande région", le droit particulier des Alsaciens et Mosellans sera préservé...

    Les Bretons toujours sur la Loire-Atlantique

    Pour le Nord, des socialistes, tel Bernard Roman, ont tenté en vain de repousser de trois ans la fusion du Nord-Pas-de-Calais avec la Picardie critiquée par la maire de Lille Martine Aubry, mais soutenue par exemple par l'ex-ministre Frédéric Cuvillier, pour lequel "la réponse à des souffrances qui peuvent être exploitées par des mouvements extrémistes n'est pas le repli sur soi".

    Des élus de gauche du Sud ne sont pas parvenus à défaire la fusion Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, au profit d'une fusion de Midi-Pyrénées avec l'Aquitaine entre autres. Pas plus de succès pour les élus de divers bords voulant fusionner Centre-Pays de la Loire.

    Des écologistes à l'UMP en passant par l'UDI, des Bretons n'ont pas réussi à reconstituer la "Bretagne historique" à cinq départements, en rattachant la Loire-Atlantique, enlevée par "décret de Vichy". Ils chercheront donc à assouplir le "droit d'option", mécanisme prévu pour permettre à un département de changer de région une fois la nouvelle carte en vigueur en 2016.

    Les députés devraient probablement achever jeudi la deuxième lecture de ce texte, qui prévoit aussi de repousser les régionales de mars à décembre 2015, et fera l'objet d'un vote solennel le 25 novembre.

    Sources : afp via le Point :lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEyuyZEEEqOSsdFdT.shtml

  • Matchs truqués, corruption : la maison foot menace ruine

    21 ans après l'affaire VA-OM, c'est le tour de Nîmes, et sans doute d'autres clubs de seconde division, d'être embourbés dans un scandale de matchs arrangés.   

    Ce mardi 18 novembre a été un mardi noir pour le Wall Street du ballon rond. Deux bombes ont explosé au-dessus des terrains en même temps, provoquant la chute du Black 40, l’indice de crédibilité de Pape Diouf, moraliste et gardé à vue, désintégrant l’image vaguement ripolinée d’un foot hexagonal gavé de Benzenul et de loustics en Ferrari. Cervelle de moule, vigueur de bulot, les « experts » du jeu à onze ont gerbé dans le confessionnal télé toute la sainte journée. La frousse. La drouille en fusion le long des pantalons. La maison foot est menacée dans ses fondations.

    Dire que, drapé dans ses beaux sentiments, il y a encore quelques jours, Pape Diouf appelait les joueurs noirs « à boycotter une journée de championnat » suite aux déclarations de Sagnol. Il n’aura plus le temps de jouer au père la morale ces prochains jours !

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  • Quand Sarkozy se justifie sur l'abrogation : "Je veux faire le plus gros score possible"

    D'après le Canard enchaîné, paru aujourd'hui, aller au meeting de Sens commun l'"emmerdait":

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    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • Mentir ? « Ça ne coûte pas très cher » à Sarkozy

    M. Sarkozy a envie de devenir président de l’UMP, il a donc décidé de tenir le discours musclé qui est supposé plaire aux militants de ce parti en voie de droitisation accélérée.   

    À l’époque, pas si lointaine, où il s’était mis en retrait – en retrait, pas en retraite – de la vie politique, Nicolas Sarkozy s’était bien gardé de se mêler de la querelle du « mariage pour tous ». C’est qu’il estimait, non sans raison, n’avoir que des coups à prendre dans cette affaire qui n’était pas seulement clivante pour l’ensemble de la société, mais dans son propre camp. S’il se défendait d’avoir qualifié de « fascisme en loden » les participants aux cortèges de la Manif pour tous – la paternité de l’expression semble bien revenir à Jacques Attali –, il ne cachait pas en privé son peu d’envie d’être rangé parmi les soutiens anachroniques de la famille traditionnelle comme son refus de s’engager aux côtés de la modernité « bobo », puisque dans un cas ou dans l’autre, il risquait de perdre d’un côté ce qu’il aurait pu espérer gagner du côté opposé.

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  • L’Unicef nie l’existence de traces de stérilisants dans les vaccins contre le tétanos

    Le "Friday fax" de C-Fam :

    "Dans une interview exclusive avec C-Fam, l’UNICEF a nié catégoriquement les allégations des évêques kenyans, selon lesquels des traces de traitement stérilisant auraient été trouvées dans des vaccins contre le tétanos. Le vaccin sponsorisé par l’UNICEF et l’OMS est camoufle un programme de contrôle démographique.

    Les agences de l’Onu ont publié cette semaine un communiqué de presse commun, dans lequel ils accusent les évêques kenyans de « désinformation », et d’avoir formulé des accusations « sans preuve ».

    Les évêques kenyans font campagne contre un vaccin néonatal contre le tétanos destiné à des femmes en âge de procréer. Il est financé par des agences, qui en ont fait, selon les évêques, un « programme de contrôle démographique camouflé ». Ces derniers appellent les kenyans à n’utiliser que les vaccins contre le tétanos les plus courants.

    Selon les évêques, quatre différents laboratoires ont testé le vaccin mis en cause et y ont trouvé l’hormone de la grossesse, la Beta-hCG. Combinée à un vaccin, celle-ci aurait pour effet de produire des anticorps si la femme vaccinée venait à produire cette hormone naturellement en début de grossesse. Le vaccin préviendrait donc l’implantation de l’embryon, pourrait causer des fausses couches, et également des problèmes de stérilité.Les évêques affirment qu’ils se devaient de mettre le public en garde, puisque le gouvernement ne l’avait pas fait.

    James Elder, représentant de UNICEF en Afrique, a déclaré au Friday Fax dans une interview exclusive que seules les femmes en âge de procréer avaient été ciblées car le programme protégeant les nouveau-nés et leurs mères vivant dans des régions reculées, où les enfant naissent dans des conditions « non hygiéniques ». La protection des nouveau-nés, a-t-il expliqué, est assurée pendant plusieurs semaines après la naissance.

    James Elder explique par ailleurs que le statut juridique du vaccin dans le pays a pour objectif de protéger les nouveau-nés, concernés par la plupart des nouveaux cas de tétanos au Kenya. Il est destiné aux femmes vivant dans des régions rurales, et qui n’ont pas un accès adéquat aux établissements médicaux. Le traitement consiste dans 3 doses de vaccins anti-tétanos, et les protège contre le virus pendant cinq ans. Il a également expliqué que le Kenya recommande la prise de trois doses de vaccin pour les hommes comme pour les femmes, pour assurer une immunité à vie, au lieu de prendre une seule dose valable pour une période de cinq à dix ans.

    L’UNICEF et l’OMS ont assuré avoir « pris note » des tests commandés par la Kenya Catholic Doctors Association. Ils suggèrent que ces derniers n’ont pas été accomplis par des laboratoires « appropriés », puisque ces derniers n’ont pas testé le vaccin mais des prélèvements sanguins. Les agences de l’Onu se sont montrées inflexibles sur le fait que la Kenyan National Regulatory Authority avait été mandatée pour étudier la qualité, la sécurité et l’efficacité du vaccin.

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    Marie Bethanie