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magouille et compagnie - Page 2047

  • La Commission européenne émet des doutes sur le budget de la France

    Un satisfecit global et quelques doutes. Lundi, José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, a fait de nouvelles recommandations sur la politique budgétaire et les réformes engagées par le gouvernement de François Hollande. Un exercice délicat huit jours après les élections européennes, qui ont vu le FN arriver en tête en France.

    Si M. Barroso a estimé que la France allait « dans la bonne direction », la Commission européenne n'a pourtant validé que « partiellement » la stratégie budgétaire de la France.

    Dans leur analyse, les experts de la Commission émettent des doutes sur la capacité de la France à ramener son déficit public dans les clous européens, soit en deçà de 3 % du PIB, en 2015. Selon Bruxelles, les prévisions françaises sont trop optimistes :

    « Le niveau de détail des mesures d'assainissement budgétaire est insuffisant pour garantir de façon crédible la correction du déficit excessif pour 2015 au plus tard, comme le laisse entrevoir la prévision de déficit annoncée par la Commission pour l'année prochaine (3,4 % du PIB) et compte tenu d'un ajustement structurel sous-jacent qui est très loin d'atteindre le niveau recommandé par le Conseil. »

    En 2013, la Commission avait accordé à Paris un délai de deux ans pour parvenir à cette réduction du déficit. « Nous demandons au gouvernement de détailler davantage les mesures qu'il entend prendre pour atteindre l'effet structurel requis en 2015 », a déclaré M. Barroso lors d'une conférence de presse.

    DES MESURES PAS ENCORE ADOPTÉES ET AMBITIEUSES

    Pour parvenir au seuil de 3 %, le gouvernement français a mis en place un vaste programme d'économies de 50 milliards d'euro, avec pour mesure-clé le pacte de responsabilité proposé aux entreprises pour stimuler l'emploi. Il a depuis annoncé de nouvelles mesures d'économies se traduisant par un effort supplémentaire de 4 milliards d'euros en 2014.

    Mais Bruxelles s'inquiète des incertitudes qui entourent l'application de ces mesures. « Des risques pèsent sur les objectifs du gouvernement », souligne l'exécutif européen, pour qui « une partie des mesures supplémentaires pour 2014 annoncées dans le programme doit encore être adoptée et le montant des économies prévues pour 2015 est très ambitieux ».

    Malgré ces doutes, Paris s'est félicité que Bruxelles ait « validé les orientations économiques du gouvernement ». Michel Sapin, ministre des finances, a ainsi commenté les analyses de la Commission dans un communiqué :

    « La Commission approuve ainsi la stratégie économique d'ensemble du gouvernement, qui vise à réduire le déficit par une maîtrise des dépenses, à diminuer les prélèvements obligatoires pour soutenir la croissance et l'emploi et à mettre en œuvre des réformes de fond pour augmenter la compétitivité, la croissance de long terme et l'emploi. »

    Mardi 27 mai, lors du Conseil européen, François Hollande avait plaidé pour « réorienter » l'Europe, et suggéré d'aller vers un plan commun d'investissements publics.

    source : Le Monde.fr avec AFP et Reuters

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EupEZFAuFFAKIzuXvS.shtml

  • Des élus parisiens du PCD interpellent Anne Hidalgo sur les célébrations du début du ramadan à l’Hôtel de Ville

    Dans une lettre ouverte, plusieurs élus parisiens du PCD, dont Franck Margain, interpellent Anne Hidalgo, nouvellement élue à la Mairie de Paris, qui compte perpétuer la tradition de son prédécesseur qui fêtait le début du ramadan à l’Hôtel de Ville. Ils lui demandent de prendre position sur sa politique envers les cultes religieux et de s’en expliquer aux électeurs: « Quelle politique municipale des cultes souhaitez-vous mettre en place à l’aune de votre nouveau mandat ? Fêter le ramadan, temps fort de la religion d’une partie de nos compatriotes français, avec l’argent public est un acte politique fort. Votre décision de privilégier les fêtes musulmanes par rapport aux fêtes chrétiennes, juives, bouddhistes doit être expliquée à vos électeurs. » Pour eux, l’explication cultuelle n’est pas suffisante puisque les fêtes chrétiennes ont aussi une dimension cultuelle forte.

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  • Réforme territoriale : un nouveau coup porté contre l’Etat nation?

    « Après des semaines de tergiversations » rappelle Le Monde, «dans une tribune envoyée dans la soirée de lundi 2 juin à plusieurs titres de presse régionaux, François Hollande a annoncé vouloir un passage de 22 à 14 régions métropolitaines, dans le cadre du projet de réforme territoriale du gouvernement ». Celui sera soumis au débat parlementaire en juin. « Dans le détail, les régions Aquitaine, Nord-Pas-de-Calais, Corse, Ile-de-France et Provence-Alpes-Côte d’Azur restent inchangées (…). Les régions Poitou-Charentes, Centre et Limousin vont, en revanche, fusionner, tout comme les régions Basse et Haute-Normandie. Le projet de réforme prévoit également le rapprochement des régions Alsace et Lorraine, ainsi que la fusion de la Picardie et de la Champagne-Ardenne (…). Auvergne et Rhône-Alpes vont également être réunis, tout comme la Bourgogne et la Franche-Comté, ainsi que Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon ».

     « Selon François Hollande, cette carte des nouvelles régions, qui seront de taille européenne et capables de bâtir des stratégies territoriale, «prend en compte les volontés de coopération déjà engagées . Le président souhaite que les 14 nouvelles grandes régionsaient «davantage de responsabilités. En cas d’adoption de la réforme en l’état, elles seront la seule collectivité compétente pour soutenir les entreprises et porter les politiques de formation et d’emploi, intervenir sur les transports, « des trains régionaux aux bus en passant par les routes, les aéroports et les ports », ou encore gérer les lycées et les collèges».

     « Pour parvenir à ces objectifs, le président souhaite que les régions disposent  de moyens financiers propres et dynamiques  et qu’elles soient gérées par des assemblées de taille raisonnable  : ce qui veut dire moins d’élus. François Hollande affiche en ce sens l’« objectif » d’une « révision constitutionnelle » pour supprimer le conseil général en 2020, mais  de façon progressive ».

     N’en doutons pas, ce projet de réforme va faire du bruit et soulève déjà préventivementl’opposition prévisible  de potentats locaux du PS, mais aussi de  beaucoup de Français qui contestent le caractère parfois artificiel des fusions  envisagées qui ne tiennent souvent aucun compte de la réalité humaine,  historique, culturelle des régions.

     Ce n’est un secret pour personne, le FN défend aussi  les enracinements régionaux, les particularismes locaux, les patries charnelles que sont nos provinces. Autant d’attaches, d’identités particulières qui sont des points d’ancrage pour nos compatriotes face  aumonde gris, multiculturel et uniforme d’ «hypernomades » qui est l ’horizon final du mondialisme.

     Lors de la campagne présidentielle,  Marine Le Pen avait tenu notamment une réunion publique en Corse, à Ajaccio, au cours de laquelle elle avait célébré l’identité de nos régions qui sont la substance même de notre nation. Ce qui n’empêche bien évidemment pas le FN de dénoncer résolument les mouvements indépendantistes qui font le jeu du mondialisme en tant qu’alliés de revers de ceux qui à Bruxelles comme ailleurs,  veulent abattre les Etats nations.

     Or c’est bien l’intégrité de l’Etat nation, nous allons le voir,  héritier du travail inlassable de centralisation, de consolidation du Royaume mené inlassablement  par les rois de France, qui est visé ici.

     Il est d’ailleurs  hautement symbolique que le secrétaire d’État à la Réforme territoriale, nommé par M. Hollande le 9 avril,   soit André Vallini, député PS, nous le rappelions sur ce blog,  qui en 2005 voulait changer les paroles de La Marseillaise pour y inclure un « refrain mondialiste » :  « Aux peuples de la Terre,  Ouvrons tout grand nos cœurs,  Ensemble, ensemble,  Faisons naître un monde meilleur »: « Allons enfants de nos vingt-cinq pays, une ère nouvelle est arrivée. » Et un refrain européiste : «Dans le ciel de l’Europe unie, flotte le drapeau étoilé, flotte le drapeau étoilé. Souvenons-nous du temps naguère, qui nous a tant déchirés. Et demain plus jamais la guerre, mais de l’amitié et la paix »…

     En 2003, dans son livre d’entretien « La réaction, c’est la vie ! », Bruno Gollnisch notait déjà,  à la fois dans une optique d’enracinement, d’ efficacité et de respect du contribuable  que « de tous les pays de taille et de population comparables, la France a le plus grand nombre d’institutions politiques et administratives avec des conséquences dramatiques en matière de chevauchements, d’irresponsabilités, de gaspillage, de bureaucratie de corruption. Un toilettage est nécessaire. 36 000 communes, 100 départements, 22 régions, nous avons jusqu‘à sept niveaux d’administration dans certains endroits : l’arrondissement, la commune, la communauté urbaine, le département, la région, l’Etat, l’Europe!  Mon sentiment personnel c’est de garder les 36 000 communes, symboles de libertés et de traditions, mais au dessus de ces communes je crois que l’idéal serait de remplacer nos 100 départements et nos 22 régions par 35 provinces environ qui seraient en même temps rectorats d’académie pour l’enseignement, ressorts de cours d’appel pour la justice etc.».

     Le besoin de repères basiques, en l’espèce l’attachement manifesté par nos compatriotes à l’échelon départemental rendrait peut être ce vœu manifesté alors par Bruno impopulaire. Pour autant, son jugement réitéré en avril 2013 dans l’hémicycle du Conseil régional de Rhône-Alpes sur la folie budgétivore emporte l’adhésion du plus grand nombre :  «la dérive des régions est telle que l’on pourrait s’interroger sur la légitimité de leur existence qui fait de la France un pays suradministré par rapport aux autres pays développés de taille moyenne.»

     

     « A titre d’exemple le Japon, dont le territoire est moins large que le nôtre, beaucoup plus étiré et morcelé, a des besoins administratifs comparables sur le plan de la géographie, mais plus du double des nôtres si l’on tient compte de ses 127 millions d’habitants.»

     « Or, il a 4 fois moins de communes, 2 fois moins de départements. Il ignore les communautés urbaines (les départements métropolitains en tiennent lieu). Il ne connaît pas l’échelon régional. Il a deux fois moins de ministres, cent députés de moins, cent sénateurs de moins, 2 fois moins de fonctionnaires. Est-il pour autant un pays plus mal géré ? Non ! Y rencontre-t-on plus de sans-abri ? Non ! La sécurité y est-elle moins bien assurée ? D’évidence, non ! »

     Bruno Gollnisch rappelait aussi fin avril dans un entretien accordé à La Gazette de Dijon qu’il est favorable à une réforme territoriale qu’il «  réclame depuis des années » …Mais certainement pas de la  manière dont elle était déjà pressentie et présentée il y a quelques semaines  par Manuel Valls.

     « Je demande par exemple que les régions cessent de s’occuper de tout affirmait le député FN. Je vois qu’au moins sur ce point on retourne-enfin !- à plus de bon sens, en supprimant la  compétence générale qui leur permettait de financer tout et n’importe quoi, y compris des ambassades à Bruxelles ! Mais le reste du projet est aberrant : Plus on parle de réduire le mille-feuille administratif dont nous avons le record mondial, plus on en ajoute une tranche !La dernière en date est le projet de  Métropoles  qui empiète sur les compétences des communes, des départements, et des régions ! ».

     « Egalement, la suppression des élus des départements, et la réduction des régions de 23 à une dizaine, annoncée par Manuel Valls, me paraît effarante : cela aboutirait à éloigner encore les élus des électeurs. Les citoyens ne pourraient plus peser sur la gestion des départements. On constituerait des Länder conformes aux traditions allemandes, mais totalement étrangères aux nôtres ».

     « Cela faciliterait les visées hégémoniques des Eurocrates de Bruxelles. Cela n’économisera pas un centime. L’expérience souvent malheureuse de l’intercommunalité le démontre, hélas ! Si l’on veut diminuer le nombre d’élus –pourquoi pas ?-, commençons par ramener le nombre de députés à 500 grand maximum au lieu de 577, les Sénateurs à 250 au lieu de 348, à élire la moitié des conseillers départementaux à la proportionnelle, et à investir une fraction d’entre eux du soin de gérer une institution régionale très allégée…Je fais ces propositions à titre personnel ».

     Enfin, indiquons encore que dans sa tribune publiée hier, François Hollande a aussi annoncé le report des élections pour ces futures grandes régions et pour les conseils départementaux de mars « à l’automne 2015 ».

     

     Or,  comme l’a expliqué une analyse parue sur le site de Lyon Capitale le 26 mai, « les résultats des européennes peuvent donner espoir au Front National de conquérir des régions. Selon nos estimations (il)  devancerait les blocs de droite et de gauche en Haute-Normandie, Lorraine, Nord-Pas-de-Calais, Picardie et Provence-Alpes-Côte-d’Azur ».

     « Ses simulations ne tiennent pas compte de la réforme territoriale voulue par le Gouvernement qui fusionnerait plusieurs régions. Ces regroupements pourraient, dans certains cas, amoindrir l’avance de l’extrême droite, ou la confirmer comme dans l’hypothèse d’une collectivité unique Nord-Pas-de-Calais/Picardie, où le FN dépasserait le tiers des suffrages exprimés ».

     « Dans les régions où il ne virerait pas devant au second tour, le FN ne serait cependant pas, comme en 1998, en situation d’arbitre. Le mode de scrutin a en effet été modifié en 1999 et assure aux listes arrivées premières la majorité absolue au second tour. Cette prime majoritaire, censée écarter la pression exercée par le FN, conduirait in fine le parti de Marine Le Pen à pouvoir diriger, malgré des majorités relatives, des conseils régionaux ».

     On le constate une nouvelle fois,  un mécanisme mis en place pour handicaper l’opposition nationale, freiner sa progression,  est désormais susceptible de se retourner contre leurs auteurs…

    http://gollnisch.com/2014/06/03/reforme-territoriale-nouveau-coup-porte-contre-letat-nation/

  • Sens commun : jusqu’où peut-on collaborer avec le mal ?

    L’UMP est balayée – une fois encore – par une « affaire » de concussion aux proportions cyclopéennes : l’affaire Bygmalion, qui pourrait bien devenir une énième affaire Sarkozy. 

    Pour rappel, le Français étant oublieux, je citerai quelques unes des affaires Sarkozy : Karachi, Clearstream, Bettencourt, Wildenstein, César, Pleyel, Compiègne, Peugeot, Woerth, le financement Kadhafi, les enfants de Zoé, les infirmières Bulgares, Jean Sans-Epad, l’arbitrage Tapie, les sondages de l’Élysée-Buisson (6 millions d’euros), les affaires Guéant, le Fouquet’s, le Paloma, le vaccin H1N1, les stylos, Grandrange… Liste non exhaustive. 

    Tout cela n’a pas freiné l’enthousiasme des animateurs de Sens commun – la chapelle des militants LMPT ralliés à l’UMP – lancée rue de Vaugirard le 29 avril dernier. Ils étaient 700 selon les organisateurs et la police – enfin d’accord.

    Ils ont pu entendre Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Jean-François Copé, leur improviser une intervention de bienvenue.

    Lorsque l’on veut faire de la politique, les options ne se bousculent pas, il est vrai.

    Au moins font-ils preuve d’un réalisme qui manque absolument aux Lapins crétins qui ont cru aux illuminations d’une Boutin. Les animateurs de Sens commun ne sont pas idiots, certains ont une solide culture littéraire – ça s’aventure à citer Proudhon et Gramsci à la lueur des bougies…

    Si les initiateurs sont habiles, les obsédés de bioéthique qui composent l’essentiel de la chalandise de Sens commun n’ont pas de mémoire et sont aisément trompés : ils ont oublié que c’est Sarkozy – en personne – qui a voulu imposer le statut du beau-parent et que c’est sous Luc Chatel que les gender studies ont fait irruption dans les écoles.

    Les initiateurs de Sens commun ont réfléchi leur truc, ils ont couché par écrit leurs principes directeurs. Sur leur site, dans leur Charte, on peut lire : « …la nécessité absolue d’une refondation de la vie démocratique et des pratiques politiques… », « Nous refusons fermement toutes les pratiques politiques marquées par l’individualisme, le carriérisme et la corruption… », « Nous voulons que la loi reprenne sa place pour fixer les repères essentiels de la vie en société… », « Nous voulons promouvoir la reconnaissance de la responsabilité personnelle… ».

    Sens commun termine son manifeste ainsi : « La droite que nous voulons est décomplexée, forte, sociale, populaire, humaniste… Mais elle est surtout et avant tout de DROITE ». Avec Bygmalion, les Quataris, de Carolis, Buisson et Peltier, ils sont servis !

    Sens commun n’a pas tardé à publier un communiqué après l’annonce des résultats aux élections européennes le 25 mai dernier. Ils ont été très réactifs. Que ne publient-ils un communiqué se rapportant à l’affaire Bygmalion qui engloutit leurs nouveaux amis ? Que diront-ils en défense de leur camarade Jérôme Lavrilleux, depuis passé aux aveux pour protéger Copé ?

    Que proposent-ils maintenant à ceux qui ont pris part au mouvement social de 2013 ? Leur proposent-ils toujours prendre leur carte à l’UMP ? Ils disent vouloir « changer » la politique comme d’autres proposent de « changer » la construction européenne. Mais jusqu’où peut-on collaborer avec le mal ? S’ils acceptent ce scandale, que n’accepteront-ils pas ? 

    Faire le dos rond et tweetter « on travaille ! » ne suffira pas. Je pense que, comme moi, beaucoup attendent des éclaircissements. Je suis impatient de les lire…

    Nouvelles de France

    http://www.oragesdacier.info/2014/06/sens-commun-jusquou-peut-on-collaborer.html

  • Guerre des blogs maçonniques

    Rien ne va plus dans la blogosphère maçonnique depuis l’annonce parGADLU.INFO, que Géplu a déposé à l’Inpi la marque « Blog Maçonnique«, contraignant Noé Lamech (Gadlu.infoà modifier ou supprimer 233 posts.

    La tempête s’est transformée en ouragan quand deux blogs maçonniques ont réagi. Pour Jean-Laurent Turbet :

    « Tant de forfanterie pourrait prêter à rire si ce n’était au fond si triste… Ce qui est par contre intolérable c’est que M. Geplu s’érige lui-même en censeur de la bonne parole maçonnique. Je crois bien qu’il ne s’est pas bien rendu compte du boomerang qui va lui revenir en pleine figure et de la perte de crédibilité immédiate de son site auprès de celles et ceux qui s’intéressent vraiment à la Franc-Maçonnerie.« 

    Et Gérard Contremoulindans son post du 22 mai « Mise(s) au point« :

    « Je demande à Géplu de mettre fin, au plus tôt, à cette pratique qui n’a rien de cohérent avec la démarche initiée par Jiri Pragman et qui a tant fait pour développer ce formidable moyen de communication qu’est le Blog. »

    Des blogueurs maçonniques, 10 pour être précis, ont signé une déclaration dénonçant cet acte qui alimente ... l’antimaçonnisme.

    Michel Janva

  • L’antiracisme craint désormais… Anne Roumanoff !

    Il faut être sacrément fébrile pour en venir à craindre politiquement le moindre écart d’une Anne Roumanoff.   

    Europe 1 a donc décidé de ne pas reconduire le contrat d’Anne Roumanoff. L’humoriste sévissait chaque semaine depuis cinq ans : 57 % de progression d’audience, 1,3 million d’auditeurs. Un joli travail. Ayant cru comprendre que l’émission coûtait trop cher, elle a même proposé d’être moins payée ; sans réponse.

    Jusqu’à ce que le couperet tombe : « J’ai été virée en quatre minutes », confie-t-elle, ajoutant avec une naïveté qui frise franchement la bêtise : « Je ne comprends pas pourquoi. »

    Quand une émission cartonne, qu’elle dure, que l’audience progresse, c’est que la raison est ailleurs, et il n’y a en l’occurrence pas besoin d’aller chercher très loin… Il y a quelques semaines, la comique sortait un recueil de ses chroniques « Normal Ier, roi des Français » et, plus récemment encore, elle hantait les colonnes médiatiques, accusée de… racisme.

    Tiens donc, quelle coïncidence…

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  • Marine Le Pen appelle à "rompre avec le laxisme"


    Marine Le Pen appelle à "rompre avec le laxisme" par FranceInfo

  • Le compte n'y est pas

    Le trésorier de Chrétienté-Solidarité pointe cette étrange déclaration de Philippe Briand, qui fut le trésorier de la campagne de M. Sarkozy en 2012 :

    "Il  s’est fendu des explications suivantes devant le bureau politique de l’UMP le 27 mai dernier : « cette campagne a été financée sur un budget de 21,4 millions d’euros provenant de l’emprunt de la Société Générale (10,7 M€), des dons recueillis (5,8 M€), des contributions de l’UMP (4,9 M€) et de l’apport personnel du candidat. » (*)

    Donc, si je calcule correctement, l’apport personnel du candidat se monte à .....
     
    faisons ensemble l'opération :
      21,4 M€  
    - 10,7 M€  
    - 5,8 M€  
    - 4,9 M€  

    = 0,0 M€  

    .... très exactement : zéro euro. Vraiment s'il en est ainsi, ce n’était pas la peine d’en parler ! Cela laisse planer des doutes gênants, des interrogations, disons le mot, des soupçons … Je me demande même s’il ne faudrait pas demander à M. Sarkozy lui-même de lever ces inquiétudes en nous disant clairement à combien s’est élevé ce fameux apport personnel, il en sait peut-être plus que son trésorier ?

    Ce malheureux trésorier a ensuite achevé de s’enfoncer, en ajoutant être sûr de la provenance de toutes les recettes, disant ceci, je cite  :  « Cette fois-ci, y avait plus de Bettancourt ! ». Admirons la gratitude et la délicatesse, pour la pauvre vieille riche bonne femme qui les a si longtemps nourri ! "

    Michel Janva

  • Juncker à la Commission de l'UE : convergence UMP-EELV

    Jean-Claude Juncker bénéficie du soutien Daniel Cohn-Bendit, qui appelle sa famille politique à le soutenir dans sa candidature à la présidence de la Commission européenne.

    Néanmoins, dans son camp, Karime Delli, eurodéputée écolo, a déjà annoncé qu'elle ne donnerait pas sa voix au Luxembourgeois.

    Le PPE est également divisé puisque, si l'UMP n'a rien trouvé à redire, malgré le soutien de Juncker à la dénaturation du mariage et à l'entrée de la Turquie, les Hongrois et les Britanniques s'opposent à sa nomination. De même l'italien Matteo Renzi est réservé. Mais la difficulté est de trouver un candidat alternatif, qui soit réellement conservateur et qui obtienne une majorité. On parle déjà de... Michel Barnier.

    Egalement favorable à l'entrée de la Turquie dans l'UE, admirateur de Cohn-Bendit, Michel Barnier est un commissaire sortant et, à ce titre, il porte une responsabilité dans le rejet de l'initiative Un de Nous.

    Michel Janva