Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 2049

  • TV Libertés : édition spéciale sur l'idéologie qui n'existe pas

    Edition du 30 mai 2014. Programme :

    1. Entretien avec Alain de Benoist
    2. Benoît Hamon relance la Ligne Azur
    3. Échec des « ABCD de l'Égalité »
    4. Alliance Vita Versus SOS Homophobie
    5. Le guide de la gay-drague
    6. Les associations LGBT envahissent l'école
    7. Rejet de la pétition « One of Us »
    8. JRE, Manif Pour Tous : la riposte associative
    9. L'actualité en bref
    10. Entretien avec Marion Sigaut

     

    Michel Janva

  • Centres commerciaux : La folie des grandeurs !

    C’est un paradoxe: alors que notre pouvoir d’achat et notre consommation baissent depuis plusieurs années, les ouvertures de centres commerciaux, toujours plus imposants, se multiplient. Nous en avons 750 en France et 50 sont en construction: un record en Europe!

    Même si beaucoup de Français, de plus en plus en nombreux à vivre en périphérie des villes, apprécient d’y faire leurs courses et même de s’y divertir, comment expliquer une telle expansion ? Quelles sont les méthodes de ces machines de guerre du commerce pour vous attirer ? Et, face à eux, comment les petits commerces de centre-ville s’y prennent-ils pour survivre ?

    Partie 1:

    Le 8 avril dernier c’était l’effervescence à Villeneuve-la-Garenne dans le nord de Paris. Un nouveau centre commercial, dénommé Qwartz, était inauguré: 140 boutiques, 25 restaurants et des aires de jeux aussi pour que les familles restent le plus longtemps possible et donc consomment !

    Le propriétaire du centre, un grand groupe immobilier, a investi 300 millions d’euros. Il faut dire que ces temples du commerce, quand ils sont bien pensés et bien gérés, sont très rentables. À Villeneuve-la-Garenne, on mise sur 11 millions de visiteurs par an.

    Pour les commerçants installés dans le centre commercial, c’est la promesse d’une fréquentation beaucoup plus élevée qu’en centre-ville. Mais attention, à force de se multiplier, les centres commerciaux rentrent dans une concurrence féroce et certains d’entre eux pourraient ne pas y survivre. 

    Lire la suite 

  • L’arroseur arrosé : quand des « renois » attaquent les anti-FN…

    Les généreux lycéens remplis de bons sentiments et de générosité se font casser la gueule par ceux qu’ils souhaitent défendre.   

    Les  « marches contre le FN » organisées jeudi 29 mai 2014 n’ont eu qu’un très faible succès, réunissant difficilement quelques milliers de protestataires à travers la France. Nous étions donc bien loin des longues files de 2002. Le gros des troupes était constitué d’adolescents boutonneux, les fameux « babtous fragiles », ainsi que les caricaturent les jeunes durs de la diversité banlieusarde. Ce « monôme de zombies » (pour paraphraser le titre d’un admirable éditorial de Louis Pauwels dans Le Figaro des années 80) était cornaqué par quelques professeurs « engagés » à l’unisson d’organisations « antifascistes ». Le cortège était pourtant censé être « apolitique ». Curieux, pour une manifestation qui appelait à protester contre un parti qui a réuni 25 % des voix au cours d’un scrutin démocratique… Mais passons.

    Le plus amusant restait pourtant à venir. Nous avions déjà eu droit au bide « Leonarda » et aux lycéens portant des jupes sur ordre de l’académie de Nantes, ces « marches contre le FN » pouvaient donc paraître fort classiques. Mais l’époque est riche en rebondissements délicieux : pas un jour sans une nouvelle rigolade, pas un jour sans que la gauche autoproclamée progressiste ne se fracasse la tête contre le mur du réel.

    Le « buzz » Internet du vendredi suivant la manifestation consista en la réaction d’une jeune marcheuse, que je prénommerai ici Bécassine. Notre sainte laïque, opposée aux propagateurs d’idées nauséabondes qui souhaitent réguler l’immigration et assurer la sécurité des Français, s’insurgea pourtant contre les casseurs qu’elle désigna dans son message comme étant « rebeus » et « renois ». Voici ce que Bécassine disait sur la page Facebook « Face à l’extrême droite : tous unis pour la solidarité » : « Je tiens à remercier la BAC qui est restée bien sagement le cul dans ses camions pendant que des jeunes se faisaient casser la gueule par des enfoirés de casseurs (pour la plupart renois ou rebeus, il faudrait m’expliquer là ?? Inutile de leur demander s’ils ont lu le programme du FN). »

    Lire la suite 

  • L’égérie du Front homosexuel d’action révolutionnaire rappelle l’objectif : détruire le mariage et la famille

    L’émission «Les Matins» de France Culture avait invité Marie-Josèphe Bonnet ce vendredi 30 mai pour débattre de la «loi famille». Marie-Josèphe Bonnet est une vieille égérie du Mouvement de Libération des Femmes (MLF) et du Front homosexuel d’action révolutionnaire (FHAR). Dans les années 1970, le FHAR militait ouvertement contre la normalité. Le journal du FHAR s’intitulait L’antinorm et le FHAR publiait en 1971 un Rapport contre la normalité.

    fhar-contre-normalité-mpifhar-journal-mpi

    Marie-Josèphe Bonnet est restée fidèle à son discours révolutionnaire. Elle est opposée à la loi Taubira parce que, selon elle, le droit au mariage pour les LGBT annihile la dimension subversive de l’homosexualité en l’inscrivant dans la «norme petit-bourgeoise». Elle semble affligée par les actuelles revendications du lobby homosexuel : «Il y a 40 ans, si on m’avait dit que notre engagement allait aboutir au mariage… On voulait assumer nos différences, être nous-mêmes sans avoir à obéir à des normes collectives. On en vient à ce que tout le monde soit pareil. Je ne comprends pas du tout cette évolution. C’est une demande d’intégration normative et petite-bourgeoise

    http://medias-presse.info/legerie-du-front-homosexuel-daction-revolutionnaire-rappelle-lobjectif-detruire-le-mariage-et-la-famille/10702

  • 60 ans après Dien-Bien-Phu et la Toussaint rouge, les armées vietnamiennes et algériennes sur les Champs-Elysées le 14 juillet?

    La même rumeur avait été démentie en 2011 et 2012. Mais cette année, la nouvelle semble s'appuyer sur des faits crédibles comme le soulignent Boulevard VoltaireSecours de France et cette lettre de Gilles Bonnier, chargé de mission aux relations publiques de la Fondation de Lattre.

    Une vieille rumeur devenue réalité en 2014 et gardée bien secrète?

    Le Salon Beige

  • Boko Haram : le prétexte US-raélien ou le 11/9 bis, par Laurent Glauzy

    « Le groupe sanguinaire Boko Haram, de mouvance salafiste, qui revendique la création d’un État islamique dans le Nord du Nigeria, serait-il une construction des États-Unis servant à justifier une intervention au Nigeria ? Ainsi, Boko Haram ne serait qu’une répétition du fameux le 11 septembre, qui a permis, en 2001, l’invasion de l’Afghanistan et du puissant Irak de Saddam Hussein.

    Alain Chouet, officier du renseignement français, ancien chef de poste de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) à Damas, avance dans la publication numérique Mondafrique (certainement avec l’approbation de ses supérieurs, dont celui de Hollande) que « Boko Haram est un monstre utile ». Concernant le chef de Boko Haram, Aboubakar Shekau, Chouet demande s’il est « un fou, un drogué irrationnel, un ancien chef de bande ? Les média l’ont décrit ainsi. Mais je l’ai entendu sur des vidéos faire ses revendications dans un arabe classique parfait. Ce qui est loin d’être commun en Afrique. »

    Le groupe armé Boko Haram existe depuis 2002. Mais, aujourd’hui, il ressemble à une armée de milliers d’hommes. Or, un fou drogué et inculte ne peut pas gérer une telle rassemblement.
    Avec l’enlèvement, à la mi-avril, de 223 étudiantes, Aboubakar Shekau donne même l’impression qu’il inscrit sa mouvance dans une logique internationale. Cette action terroriste a nécessité une importante organisation et a entraîné un coût économique.

    Alain Chouet souligne que Boko Haram possède d’importants capitaux lui permettant de rémunérer ses hommes de main, ainsi que d’embrigader et de séquestrer des personnes. Alain Chouet évoque même le va-et-vient, entre Ryad et Kano (repaire de Boko Haram), de valises pleines de dollars.

    L’officier du renseignement ajoute que des valises ont été vues, avec des porteurs différents, transiter par le Soudan, l’Afghanistan, la Lybie, la Syrie, le Mali et la Tunisie.

    Il affirme qu’« il y a une grande quantité de riches donateurs privés » en Arabie Saoudite et au Qatar prêts à fournir des fonds à Boko Haram. Alain Chouet assure que le Nigeria « est un pays où l’intégralité de la rente pétrolière est confisquée par les élites. Ce système a tenu pendant une vingtaine d’années, parce que les cadres de l’administration d’État et de l’armée étaient essentiellement des musulmans du Nord (45 % de la population est islamique), qui distribuaient une petite partie des bénéfices, assez pour calmer la colère populaire, chaque jour confrontée à la corruption du pouvoir. Cependant, à partir de 2000, la situation s’est inversée : la population du Sud a augmenté son contrôle sur le secteur public et l’armée. La finance islamique, entre les mains des banques internationales, a permis d’instrumentaliser cette colère. Jusqu’alors, Boko Haram était un mouvement de révolte locale, agité par des revendications économiques locales. Il n’était donc pas intéressé par le djihad, qui sort plutôt du moule saoudien.

    L’enlèvement des lycéennes, leur conversion de force annoncée le 12 mai par Aboubakar Shekau, et leur libération en échange de celle de prisonniers du groupe islamiste aux mains du gouvernement, ont bien entendu suscité la plus grande indignation dans le monde (à commencer par la femme du président américain Obama). Cette mise en scène sonne bien comme un prétexte orchestré pour légitimer une nouvelle ingérence « humanitaire » occidentale en Afrique. Plusieurs organisations non gouvernementales ont d’ailleurs appelé à l’intervention de l’entité supranationale Illuminati qu’est l’ONU.

    Il est à ce propos intéressant de constater que le nom officiel du groupe est Jama’atu Ahlul Sunna Lidda’awati Wal Djihad, est traduit en arabe par « la communauté des disciples de la tradition de l’Islam pour la prédication et la guerre sainte ». Quant à l’appellation de Boko Haram, qui proviendrait des populations locales du Nord-est du Nigeria, elle signifie en langue haoussa « l’éducation occidentale est un péché » : « boko », de « book », « livre » en anglais, et « haram », « interdit » en arabe - soit le rejet d’un enseignement perverti par l’occidentalisation. Dans un tel contexte terroriste, montée de toute pièce et aussi grossier que le 11 septembre, l’intervention de l’Occident devient une « nécessité ».

    Comment aussi ne pas imaginer que le président nigérian, Jonathan Goodluck a provoqué l’enlèvement de ces étudiantes pour consolider son pouvoir, et celui du pétrole anglo-américain ? De plus, Jonathan Goodluck, évangéliste baptiste – mouvance religieuse proche des États-Unis et de la CIA à laquelle appartient John Davison Rockefeller - a demandé l’aide d’agents secrets israéliens, dans le but unique de libérer les étudiantes (Nigeria News du 20/5/14) ! Voilà une belle occasion offerte à Israël pour s’ingérer dans les affaires de la première puissance économique d’Afrique, pays que connaît néanmoins Jonathan Goodluck pour y effectuer ses pèlerinages. »

     Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/boko-haram-le-pretexte-us-raelien-ou-le-119-bis-par-laurent-glauzy#more-32873

  • Strasbourg : PS, UMP et UDI votent une subvention pro-gender

    Lu sur Novopress :

    "[L]ors du conseil municipal du 26 mai 2014, le conseiller municipal FN Jean-Luc Schaffhauser – qui vient d’ailleurs d’être élu député européen – a vivement dénoncé une subvention de 15.000€ pour le Planning Familial, dont les objectifs mentionnés dans la Convention 2012-2014 passée entre cette association et la ville de Strasbourg sont explicites :

    - « Intégrer la dimension du genre dans la gestion des collectivités locales »
    - « Intégrer l’approche par le genre […] par des actions d’information dans les établissements scolaires notamment »

    Cette interpellation a fait l’objet d’un vif débat au conseil municipal de Strasbourg. Seuls les deux élus FN (Jean-Luc Schaffhauser et Julia Abraham) ont voté contre cette délibération, les élus d’opposition UMP-UDI et de la majorité PS ont voté pour."

    Michel Janva

  • Comment le PS a fait un enfant dans le dos à Catherine Trautmann…

    Règlement de comptes à OK-PS à Strasbourg : « Catherine Trautmann accuse ! », titrait courageusement mardi matin – une fois n’est pas coutume – les Dernières Nouvelles d’Alsace, au lendemain de la non-réélection de l’ancien ministre de la Culture Catherine Trautmann, numéro 2 sur la liste du PS menée par Édouard Martin… Battue à plate couture dans le Grand-Est, la liste de l’ancien syndicaliste n’a sorti du chapeau électoral que son seul titulaire, au détriment de l’ancien maire de Strasbourg pressenti par Martin Schulz pour la présidence du groupe socialiste européen.

    « Il n’y a pas eu d’effet Martin : il n’arrive même pas en tête à Florange », a persiflé insidieusement le maire socialiste de Strasbourg, Roland Ries, demandant son désistement dès l’annonce du résultat.

    Quant à l’ancienne eurodéputée sortante, lors de la réunion du conseil fédéral du PS 67 lundi soir, elle a dressé sans ménagement un « sévère réquisitoire sur l’échec annoncé d’une stratégie élaborée par le PS à Paris dans son dos ». Et de rappeler comment, bien que plébiscitée par les militants, elle avait été dégommée juste avant la tenue du bureau national du PS, chargé de désigner les têtes de liste pour chaque région.

    Lire la suite 

  • Benoît Hamon gêné par les ABCD de l'égalité

    Le prérapport des inspecteurs de l'inspection générale de l'Éducation nationale chargé de l'évaluation des ABCD évoque un bilan mitigé. Ce projet pédagogique ne devrait pas être généralisé.

    «On verra ce que l'on peut tirer de ce machin…» Voilà les mots employés par Benoît Hamon à l'égard des fameux ABCD de l'égalité.

    Lancés dans 10 académies, l'initiative a suscité une vive controverse. 

    Le prérapport de l'inspection générale de l'Éducation nationale évoque un bilan mitigé dans certaines académies. La contestation du dispositif a placé les enseignants en porte-à-faux. La question des limites entre ce qui relève de l'école et de la famille s'est clairement posée. 

    Le 3 juin, Benoît Hamon réunit les inspecteurs d'académie et inspecteurs de l'Éducation nationale des départements où ont eu lieu ces expérimentations pour faire le bilan et déterminer la suite des événements.

    Et cela fait un mois que la demande de rendez-vous de La Manif Pour Tous est «à l'étude» au ministère de l'Éducation. 

    Michel Janva

  • Benoît Hamon gêné par les ABCD de l'égalité

    Le prérapport des inspecteurs de l'inspection générale de l'Éducation nationale chargé de l'évaluation des ABCD évoque un bilan mitigé. Ce projet pédagogique ne devrait pas être généralisé.

    «On verra ce que l'on peut tirer de ce machin…» Voilà les mots employés par Benoît Hamon à l'égard des fameux ABCD de l'égalité.

    Lancés dans 10 académies, l'initiative a suscité une vive controverse. 

    Le prérapport de l'inspection générale de l'Éducation nationale évoque un bilan mitigé dans certaines académies. La contestation du dispositif a placé les enseignants en porte-à-faux. La question des limites entre ce qui relève de l'école et de la famille s'est clairement posée. 

    Le 3 juin, Benoît Hamon réunit les inspecteurs d'académie et inspecteurs de l'Éducation nationale des départements où ont eu lieu ces expérimentations pour faire le bilan et déterminer la suite des événements.

    Et cela fait un mois que la demande de rendez-vous de La Manif Pour Tous est «à l'étude» au ministère de l'Éducation. 

    Michel Janva