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magouille et compagnie - Page 2066

  • Luc Chatel, ministre de la théorie du genre, nommé secrétaire général de l’UMP

    L’UMP recycle les incompétents, les nocifs et les repris de justice. Trois anciens premiers ministres (Raffarin, Juppé et Fillon) avaient déjà repris la tête du parti et se voient confirmés dans cette mission jusqu’au congrès d’automne. Jusque là rien d’étonnant.

    La surprise, si toutefois elle en est une, vient de la nomination de Luc Chatel comme secrétaire général. Celui-ci fut ministre de l’éducation nationale du 14 novembre 2010 au 10 mai 2012 sous l’ère Sarkozy.

    Luc Chatel est discret, mais il est d’une nocivité redoutable. Il aurait été initié dans une loge de son département (Haute Marne) même s’il a toujours nié son appartenance à la Franc-Maçonnerie. Pourtant cette nomination comme secrétaire général de l’UMP a des relents de récompense pour celui qui, discrètement mais avec une grande efficacité a introduit de façon explicite la promotion de l’homosexualité ainsi que de l’idéologie du genre dans les écoles de France.

    http://medias-presse.info/luc-chatel-ministre-de-la-theorie-du-genre-nomme-secretaire-general-de-lump/11149

  • L’AFFAIRE BYGMALION

    Les "affaires" s’inscrivent dans une tradition inhérente à la République, qui favorise les arrivistes sans scrupule, des chefs de bande en col blanc à la solde des puissances financières.

    Gérard Leclerc faisait remarquer dans France catholique que, malgré les bourrasques qui secouent la République, nous n’étions pas sous la IVe, et que les institutions de la Ve étaient suffisamment solides pour subir sans faillir une telle épreuve. Sans doute a-t-il raison. Le contexte est différent : en 1958, la guerre d’Algérie avait miné le pouvoir et, à l’heure des grandes décisions, l’opinion se tournait vers l’homme du 18 juin. Aujourd’hui, si ce qui reste de la Ve, grignotée par les réformes constitutionnelles, dont l’instauration du quinquennat, dispose d’une administration pléthorique, elle peut s’effondrer doucement, sans heurt et sans même que l’on s’en rende compte.

    L’armée des fonctionnaires

    Ce qui est frappant, c’est que les sollicitations populaires restent l’épreuve majeure de ce système, ou plutôt de ceux qui, le temps d’une mandature tiennent le pouvoir. Ceux ci, en s’appuyant sur une armée de fonctionnaires zélés, s’y entendent merveilleusement , alternance ou pas, pour faire en sorte que rien ne change, en dehors de la lente dégradation qu’ils préfèrent ignorer ou minimiser. Les élections, fréquentes dans notre pays, si elles sont l’occasion d’affrontements spectaculaires entre les différentes factions qui vivent du système et le nourrissent, ne semblent pas, même quand les urnes leur éclatent au nez, apporter d’enseignements, et ne peuvent en aucun cas modifier la feuille de route libérale. Ne parlons pas des pétitions d’initiative populaire, prévues par les textes mais systématiquement balayées d’un revers de main, que ce soit en France avec la Manif pour tous ou auprès de l’Union européenne avec l’association Un de nous.

    Tout est bloqué et la course au pouvoir n’est plus qu’une affaire de carrière de politiciens professionnels. Au vrai, c’est le peuple qui gêne dans cette curieuse démocratie où tous les coups sont permis. Après les affaires DSK, Tapie, Cahuzac, voilà l’affaire Sarkozy maquillée en affaire Bygmalion. De temps en temps, on entend aussi parler de l’affaire Karachi, histoire de nous rappeler que ces transgressions s’inscrivent dans une tradition durable de la République, quelle que soit la bande placée au faîte de l’État. L’homme étant ce qu’il est, et la concurrence rude, on peut expliquer, sinon comprendre, ces faiblesses récurrentes d’un système fermé et occupé savamment par des oligarques qui maîtrisent les techniques, les réseaux et les règles du Monopoly politique.

    On va nous rétorquer que notre propos est dangereux et qu’il favorise la montée des extrêmes. Mais nous ne disons pas "tous pourris", du moins pas seulement. Nous souhaitons souligner que le système, tel qu’il est conçu par nos énarques, favorise les seuls arrivistes sans scrupule, sans foi ni loi, qui sont en mesure de participer à cette compétition érigée en principe. Comment un honnête homme pourrait- il faire valoir des arguments de bien commun dans une telle foire d’empoigne  ? Peu a peu, la République française, notre Marianne désincarnée, en s’adaptant aux règles intouchables du marché, favorise l’émergence d’aventuriers, de chefs de bande en col blanc, de nouveaux notables à la solde des puissances financières apatrides. Des gens fort intelligents au demeurant, qui auraient pu choisir d’être cadres supérieurs dans quelque société multinationale, mais qui ont choisi la politique, non par amour de la patrie, mais pour réussir dans la vie. « La vanité », dit Al Pacino dans L’Associé du diable, « c’est le pêché que je préfère, c’est lui qui fait marcher le monde ».

    Laissons mourir la République !

    C’est pourquoi, à l’Action française, il ne nous suffira pas de dénoncer Copé, Hollande ou Sarkozy, mais cette fumeuse République tenue à bout de bras par la fonction publique que nous tenons pour responsable de cet état de fait qui n’est que la partie visible d’un vaste pourrissement généralisé. Il faut mettre fin à l’acharnement thérapeutique, et arrêter les perfusions. Il semblerait que les Français prennent peu à peu conscience de cette nécessité. L’Action française doit jouer sa partition dans le frémissement de renaissance nationale que nous vivons aujourd’hui et faire comprendre à nos compatriotes que cette République n’est pas la France et que nous aurions tort de la sauver encore une fois, que ce soit en la restaurant ou bien en suscitant une VIe.

    Je cherche un homme, disait Diogène avec sa lanterne. Un homme associé par sa famille à l’histoire de notre patrie commune, indépendant des factions et disposant d’une autorité légitime pour protéger le peuple contre le désir de puissance des féodaux d’aujourd’hui. Le temps est venu pour nos princes de se lever et de parler.

    Olivier Perceval, Secrétaire général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-AFFAIRE-BYGMALION

  • Renouvellement de l'UMP ? L'humour d'Alain Juppé

    L'ancien Premier ministre et ancien condamné dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris Alain Juppé a annoncé aujourd'hui que la nouvelle direction provisoire de l'UMP qu'il compose avec Jean-Pierre Raffarin et François Fillon, a déclaré :

    "L'UMP a besoin d'une véritable césure par rapport à la gestion précédente. Il est donc bien dans nos intentions de renouveler complètement l'équipe administrative et financière de l'UMP dès le prochain bureau politique de la semaine prochaine".

    Quand on voit que l'UMP est dirigée par le triumvirat des anciens premiers ministres, associé à Luc Chatel, ancien ministre ayant introduit le gender à l'école ainsi que le pass contraception, il y a de quoi s'étrangler quand on parle de "renouvellement".

    Michel Janva

  • La théorie du genre au royaume d’Ubu

    L’antinature qui nous gouverne grince des dents. Les choses n'évolueraient pas assez vite sur le plan sociétal selon elle, des populations resteraient stigmatisées, les petits enfants seraient encore les victimes de terribles stéréotypes les enfermant, en les étouffant, dans des identités sauvagement artificielles, dans un genre psychologiquement ruineux, une sorte de sexualité, programmée culturellement, à la nocivité incommensurable. Les genres persistent, des distinctions entre fillettes et garçonnets existent encore aujourd'hui. L'on voit encore des individus de sexe féminin en jupe, outil terrible du genre non erratique, le genre-prison, le genre essentialiste ! On tremble, le fascisme est dans la jupe ! On tremble, les partisans de la liberté suffoquent. Les professeurs épris de liberté se lèvent ! Il faut en finir avec le totalitarisme des genres qui empêche l'éclosion des vraies personnalités individuelles. Nous n'exagérons rien : c'est bien ce discours qui est déversé par des tas de tarés partout, partout. Et les thuriféraires de la théorie du genre sont toujours enclins à voir dans des faits banals l'expression d'un déterminisme social répugnant. Les petits garçons qui jouent à la guerre ou au chevalier épée en bois ou en plastique à la main ne feraient là que reproduire une attitude artificiellement masculine imposée d'une manière subliminale aux enfants dès leur naissance. D'emblée les parents réfrèneraient inconsciemment les profondes aspirations de leur progéniture en lui parlant d'une manière spécifique en fonction de son sexe. Une rudesse sous-jacente serait perceptible dans le langage parental formulé pour un garçon (pardon pour un enfant porteur d'un pénis) alors qu'une certaine niaiserie caractériserait celui formulé pour une petite fillette (pardon, pour un enfant destiné, socialement, à devenir fillette avant d'être transformée en femme soumise !).

    Voilà pourquoi, grosso modo, les filles joueraient à la poupée et aux froufrous alors que les garçons, ride du lion précoce entre les yeux, se sentiraient bien (comme s'ils répondaient aux stimuli de leurs parents chéris) en se surpassant physiquement, en se roulant dans la boue, en tirant à l'arc, en jouant avec le feu... Les gros commerçants seraient évidemment complices en promouvant des jouets destinés expressément aux filles et d'autres aux garçons. Et ces firmes énormes de persister dans cette stratégie de ciblage sexuel. Voilà des Lego pour fillettes, des Lego pour garçons (plus sombres, plus "musclés"). Même évolution avec les Play-mobils et je ne sais quels autres gugusses déclinés en indiens, ici, en esthéticiennes dans une autre boîte. Pis pour les cinglés intersexualistes de tout acabit, certains succès commerciaux indiquent en effet la persistance de ces différences de goûts entre garçons et filles. Ainsi, l'une des meilleures ventes de jeux PC serait actuellement un simulateur de tracteur que le joueur doit

    Une population à l’écoute, une population croissante ? 

    Malgré tout, même si l'on sait que les idéologues au pouvoir sont prêts à tout, et surtout à faire abstraction du grotesque et du ridicule qui les entourent, on peut cependant se demander si ces derniers ne s'adressent pas à un public de plus en plus large. Un public qui aurait vocation à s'agrandir encore bien plus dans les années à venir... L'Engeance en serait-elle certaine ? Elle agit en tout cas comme si elle en était assurée : les détraqués, les perdus de l'identité, les sodomites ulcérés voient leur nombre bondir et alimenter les nouvelles gayprides où ils se dandinent au rythme névrotique d'une musique tecktonique. La pollution de l'air, la pollution de l'eau, la qualité douteuse de nos aliments dérèglent, comme nous le savons, notre système hormonal, un peu comme elles modifient en profondeur la physiologie des poissons se transformant en monstres hermaphrodites à la semence foireuse.

    Ces altérations observées sur des cas de plus en plus fréquents par la science et l'ensemble du monde médical expliqueraient-elles la multiplication des individus invertis en Occident ? Bon sang, la propagande seule ne peut expliquer un tel spectacle postmoderne, une telle avalanche de macédoine, d'êtres tératoïdes, de bipèdes pervers s'excitant sur des organes corporels non dévolus à la sexualité ! La propagande seule ne peut expliquer les inlassables humiliations que s'infligent chaque jour par leur accoutrement et leur conduite tant de dégénérés primesau-tiers. L'absence totale de honte qui semble caractériser les nouveaux invertis des villes et des champs doit bien avoir une source que l'endocrinologie moderne peut démontrer ! Comment expliquer qu'un gamin homosexuel de 15 ans puisse, sourire aux lèvres, aller chercher son petit frère à la maternelle accompagné de son amant de 17 ans, bras dessus, bras dessous ? Il y a quelque chose de détraqué dans ces organismes. Dans une interview toute récente, Gian Paolo Vanoli, chercheur et journaliste indépendant italien, a déclaré que le mercure et d'autres éléments provenant de vaccinations altéraient considérablement l'identité sexuelle des adolescents. Pour Vanoli, cette modification chimique aurait des répercussions sur l'ADN des individus atteints et donc sur leur descendance. Notre homme parle donc d'une maladie qui serait devenue héréditaire (du fait également de la légitimation systémique de la parenté homosexuelle). Nous ne sommes pas obligés de prendre pour argent comptant les conclusions des travaux de Vanoli, mais le paradigme de la contamination des corps (conjuguée à celle des esprits bien entendu) par divers polluants chimiques ou par métaux lourds ne peut être rejeté d'un revers de main. Cette question quant au pourquoi d'une homosexualité conquérante est pertinente car les débouchés pratiques d'une institutionnalisation progressive de la théorie du genre interpellent en premier lieu les sodomites et autres transsexuels convaincus que leur sexe (physique) ne correspondrait pas à leur genre ou l'aune de cette idéologie homosexualiste toute-puissante qu'il faut appréhender cette volonté maçonnique acharnée de promotion d'une théorie du genre sans fondement scientifique, ni moral. Vanoli avouait également au travers de son interview que l'homosexualité était effectivement une maladie quoi qu'en disent les papiers de l'OMS. Une maladie qui provoque plusieurs symptômes, comme le dégoût ressenti à l'égard de l'autre sexe, une identité quelquefois vaporeuse, parfois un égotisme viscéral, souvent un besoin irrépressible de travestissement. Et ce désir, touchant, et évident malgré les outrances vestimentaires, verbales, comportementales d'être désigné par les autres, qu'ils appellent "société", comme des gens normaux mais positivement originaux, en somme comme les parangons d'un "existentialisme" réussi, comme des esprits modernes ayant écouté paradoxalement leur vraie "nature". Le simple registre de la tolérance suppliée puis exigée par une communauté d'invertis frénétiques est dépassé. Elle ordonne désormais un nouveau discours sociétal, un discours de conquête, et ne souffre plus l'absence de son modèle dans les représentations symboliques exposées à la télévision, sur internet, au cinéma, dans les livres et bédés, dans les chansons de variété. La simple évocation d'un couple normal (dit hétérosexuel en novlangue), si elle n'est pas tempérée par « de la dégénérescence », d'autres symboles reflétant d'autres "orientations" sexuelles, lui est insupportable.

    Antinature et déraison 

    Lorsque l'on postule l'impossible, lorsque l'homme est considéré comme une chose absolument malléable, et cela non au service du Tout, d'une nation (donc en fonction d'un objectif tangible) mais au nom d'une jouissance sans limite, d'une création artistique transhumaniste, de la transformation infinie de l'individu-roi, les délires discursifs n'ont plus de frontières, plus de bornes : l'indécence et la folie sont sur scène. Elles s'agitent dans une psychose irrémédiable comme si seule la mort pouvait les anéantir. Leurs tenants n'ont plus d'accrochés avec la réalité. Le bon sens est l'ennemi de leur cerveau. C'est effrayant, mais il y a quelques semaines une sorte de manifeste de jeunes professeurs de SVT était publiée dans l'éternel journal de référence Le Monde, un texte vomi par cette bande d'abrutis souhaitant écrabouiller l'homme tel qu'il est. Une nième folie. Une caricature commise par ses propres modèles ! Devant les dernières grandes découvertes scientifiques corroborant l'essentielle dichotomie séparant le masculin du féminin en termes de centres d'intérêts notamment, les acteurs délurés de la théorie du genre (qui se vantent d' « instruire » nos enfants...) s'indignent de l'instrumentalisation prétendue de la science par les terribles réactionnaires anti-relativistes. Et nos théoriciens du genre de pratiquer en contre-attaque une comparaison des plus hasardeuses : « Les opposants au concept de genre prétendent souvent avancer des arguments relevant des sciences biologiques pour appuyer leurs propos. Ils construisent leur discours sur une supposée différence essentielle entre hommes et femmes, qui viendrait fonder un ordre décrit comme « naturel »! Les éléments de biologie sur lesquels ils s'appuient sont cependant, dans la plupart des cas, sortis de leur contexte et indûment généralisés. Cette manière de présenter les résultats des sciences du vivant contemporaines est au mieux naïve, au pire malhonnête et démagogique. Nous tenons à affirmer avec la plus grande insistance que les connaissances scientifiques issues de la biologie actuelle ne nous permettent en aucun cas de dégager un quelconque "ordre naturel" en ce qui concerne les comportements hommes-femmes ou les orientations et les identités sexuelles. » Malgré l'évidence, le bon sens, l'expression physique de la différence intrinsèque, des scientifiques américains se sont sentis obligés de rechercher d'autres preuves de la bipolarité du genre humain. Ils les ont bien sûr trouvées très rapidement. Une équipe de neuroscientifiques américains a démontré d'une manière irréfutable que les connexions qui relient les deux hémisphères du cerveau de la femme étaient beaucoup plus développées que celles observables dans le cerveau masculin, alors que les connexions qui relient les différentes régions d'un même hémisphère sont "renforcées" chez les hommes. C'est organique, c'est écrit ! Nos vertueux professeurs refusent d'accepter la réalité telle qu'elle est : « la biologie, en particulier la biologie de l'évolution, suggère plutôt l'existence d'un désordre naturel, résultant de l'action du hasard et de la sélection naturelle. Elle nous révèle une forte diversité des comportements, qu'ils soient ou non sexués : dans la nature, les orientations et pratiques sexuelles, les modes de reproduction et les stratégies parentales sont incroyablement variés. Chez le crapaud accoucheur, par exemple, le mâle porte les œufs sur son dos et s'en occupe jusqu'à éclosion, tandis que les mérous changent de sexe au cours de leur vie. Il est intéressant, et quelque peu amusant, de noter que ce ne sont jamais de tels exemples qui sont mis en avant dans les débats actuels, lorsqu'il est question d'affirmer que la "biologie" nous donnerait à voir le « modèle naturel » que devraient suivre les sociétés humaines. » Il ne faut pas rire de cette prosopopée, ses diffuseurs y croient dur comme fer. Et toute l'intelligentsia est sur le qui-vive pour défendre cette folie. "On" convoque le professeur Laurent Cohen, chercheur à l'Institut du cerveau et de la moelle épinière, qui lance, sans préliminaires, que « les données des neurosciences sont souvent instrumentalisées » mais sans préciser par qui et comment... Un Cohen laissant accroire dans ses propos captieux que le masculin et le féminin ne seraient que des constructions culturelles avant, pourtant, de conclure d'une manière inouïe son entrevue (comme si la réalité l'avait rattrapé) menée par l'autre juive Florence Rosier qui a dû rester cristallisée sur place : manœuvrer dans les champs virtuels. Les petits garçons des campagnes en seraient fadas comme ils le sont depuis toujours des tracteurs mécaniques. Les associations transgenres n'ont pas encore demandé le retrait de ce produit, mais gageons que, demain, elles exigeront que le fermier virtuel, avatar du joueur, devienne ostensiblement homosexuel ou eunuque afin d'équilibrer un peu les symboles en présence. D'autres idées ? Le tracteur repeint en rose, un agriculteur sidaïque ?

    « Pour autant, les choses ne se passent peut-être pas exactement de la même manière dans le cerveau des femmes et celui des hommes... ». Cohen a craqué, a préféré admettre du bout des lèvres ce que démontrent en long et en large toutes les sciences plutôt que de combattre, jusqu'au plus parfait grotesque, pour l'idéologie impossible ! Le Monde ne pouvait achever son dossier spécial Sexe (sic) sur une touche si négative. Alors le canard de "référence" alla déterrer une vieille enseignante de littérature qui n'aura pas peur de déblatérer les délires convenus du microcosme dégénéré. Là, chers lecteurs, le torchon de Pierre Berge a trouvé chaussure à son pied. Une championne de la dinguerie. Anne-Emmanuelle Berger, au nom prédestiné, peut bien raconter autant de billevesées qu'elle le souhaite, sa qualité de littéraire la protège, croit-elle, croient-ils, du discrédit, et de la fustigation de ses pairs. En la lisant, nous prenons toute la mesure du vide intersidéral qui sert de contenu à la théorie du genre : « Autant la structure sociale est normative, autant la littérature bouleverse ces normes. Si le monde social reste un monde où les hommes dominent, si les plus grands héros de l'histoire sont des hommes, les plus grands héros de la littérature sont... des femmes ! » Puisque cette dinde vous le dit ! Les plus magnifiques personnages de romans sont des femmes ! Voilà tout ! Et l'assertion arbitraire suffirait pour prouver que la théorie du genre est valide ! Comprenne qui pourra.

    Rivarol du 30 mai 2014

  • Régions : guerre et « résistance »

    Le pêle-mêle régional : tout et n’importe quoi !

    « Il n’est pas exclu que le projet de réforme territoriale mécontente ceux qu’il intéresse, navre les indifférents et divise tout le monde »

    Après l’annonce de François Hollande, les élus expriment leur colère sur Twitter. Chaque jour, le meilleur (et le pire) du web.

    Faire bouger la France n’est pas chose aisée. François Hollande voulait réduire de moitié le nombre de régions de métropole. Sa nouvelle carte de France en comptera 14 au lieu de 22 finalement. Avant que le président ne tranche le cas de la Bretagne et des Pays de la Loire, la pression montait déjà sur Twitter après que Ouest-France révélait une possible fusion Pays de la Loire/Poitou-Charentes, schéma soutenu par Ségolène Royal [peut-on se demander pourquoi ?]. Lundi en fin de journée, Jean-Marc Ayrault montait au créneau sur le réseau social. L’ancien premier ministre et député PS de Loire-Atlantique, lançait : « Pour l’Ouest, l’intérêt des populations est la fusion Pays de la Loire-Bretagne autour des métropoles Nantes et Rennes ». « Où est l’intérêt général ? Mobilisons-nous pour une fusion Pays de la Loire/Bretagne », renchérissait Marie-Françoise Clergeau, députée socialiste de Loire-Atlantique.

    Une fois n’est pas coutume, François Fillon se rangeait du côté de l’ancien premier ministre : « Fusion des Pays de la Loire et Poitou-Charentes : absurde et irréalisable ». Idem du côté des Verts : « A force de nier les évidences et de refuser les solutions de bon sens comme la réunification de la Bretagne, les élites politico-technocratiques vont encore plus mériter le rejet populaire dont elles sont l’objet », a écrit François de Rugy, député EELV de Nantes.

    Finalement, la Bretagne et les Pays de la Loire ne fusionneront avec aucune autre région. Dans la soirée, Hollande a décidé de ne pas trancher, ce que lui reproche souvent l’opposition. Illustration avec Marc Le Fur : sur son blog, le député UMP des Côtes d’Armor a dénoncé le « manque de courage » du président. « Hollande confirme Vichy qui avait créé, en 1941, la région des Pays de la Loire, isolant ainsi Nantes du reste de la Bretagne ».

    Conséquence : la région Poitou-Charentes a été mariée avec les régions Centre et Limousin. Au grand dam de l’ancien ministre et député de la Charente-Maritime Dominique Bussereau. Celui-ci est entré lundi soir en résistance sur Twitter : « Poitou-Charentes veut s’allier avec l’Aquitaine et c’est Centre et Limousin ! Je refuse ce mariage forcé/Résistance ». Il dénonce « un arrangement entre copains » : « Poitou-Charentes Centre Limousin : n’importe quoi Non ! Petit arrangement entre 3 copains promotion Voltaire : FH SR MSap ». Le député UDI du Loir-et-Cher Maurice Leroy est sur la même ligne : « Région Centre + Poitou-Charentes et Limousin = tripatouillage politique ».

    Dans le Sud, le conseil régional du Languedoc-Roussillon a eu beau voter à l’unanimité fin mai le lancement d’un manifeste et d’une pétition en ligne sur son site contre la suppression de la région. Peine perdue, Languedoc-Roussillon fusionnera avec Midi-Pyrénées. Déçu, Christian Bourquin, président PS de Languedoc-Roussillon a dénoncé lui aussi « une carte de la France des copains ».

    Plus au Nord et à l’Est, le chef de l’Etat a également fait des mécontents. Des élus picards sont tombés des nues après l’annonce de la fusion des régions Picardie et Champagne-Ardenne. « Les ciseaux de Mr Hollande sont devenus fous ! La Picardie avec Champagne-Ardenne ! Et pourquoi pas la Guadeloupe ? », s’est emporté le maire adjoint de Beauvais et conseiller régional de Picardie Franck Pia. Message retweeté par la maire et sénatrice de Beauvais Caroline Cayeux. Dans la région voisine, c’est l’ancien ministre Luc Chatel qui s’est indigné mardi matin sur Twitter : « l’association de deux malades ne fait pas un bien portant ». « Quoi de commun entre la baie de Somme et le plateau de Langres ? La logique pour Champagne-Ardenne, c’est le grand Est ! » a ajouté le député UMP de Haute-Marne. Il en est un qui n’est pas contre. Eric Loiselet, conseiller régional EELV de Champagne-Ardenne, a fait remarquer que « Champagne Ardenne + Picardie : 1ère région éolienne terrestre de France : c’est déjà ça ! vive le vent ! ».

    En résumé, « il n’est pas exclu que le projet de réforme territoriale mécontente ceux qu’il intéresse, navre les indifférents et divise tout le monde », a conclu le député PS du Finistère, Richard Ferrand. (6Medias)

    6Medias, 03/06/2014

    http://www.polemia.com/regions-guerre-et-resistance/

  • Avis de tangage à l'Elysée

    Faouzi Lamdaoui - conseiller de François Hollande et chargé des questions d’Égalité et de Diversité à l’Élysée - pourrait être prochainement entendu dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris et menée par l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF).

    Le chef de cabinet de François Hollande durant la dernière présidentielle serait soupçonné de fraude fiscale et de recel d’abus de biens sociaux dans deux entreprises dont il aurait été le gérant de fait.

    Par ailleurs, trois conseillers de l’Élysée, Claude Sérillon, David Kessler et Emmanuel Macron, vont démissionner de leurs fonctions de conseillers de l’Élysée.

    Michel Janva

  • Retour de la loi anti-famille sur le faux-parent

    La proposition de loi famille, dont l'examen à l'Assemblée nationale avait été interrompu au mois de mai, va être "discutée et adoptée la semaine prochaine", a indiqué mardi le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen.

    "Je vais demander à l'Assemblée nationale de l'inscrire en débat dès la semaine prochaine. (...)". "Cette loi a été bloquée par des ultras, mais elle est très utile aux familles françaises, (aux) familles recomposées, elle parle de l'autorité parentale dans des couples séparés, du statut de beau-parent, de choses concrètes".

    En mai, à force d'amendements, les députés UMP avaient contraint le gouvernement à reporter la fin des débats sur cette proposition de loi fortement contestée.

    Michel Janva

  • Où vont les milliards de l’OTAN ?

    C’est la Cour des comptes des Pays-Bas qui pose la question. Les milliards d’euros attribués par les pays membres à l’OTAN disparaissent dans un trou noir comptable. Les représentants des 28 États membres de l’OTAN, ne savent pas comment est utilisé l’argent public. Les ambassadeurs de l’OTAN admettent cette comptabilité opaque mais aucune solution ne semble sur le point d’aboutir, analyse la Cour des comptes néerlandaise. Les contrôleurs rendent donc l’information publique pour imposer le sujet à l’ordre du jour de la prochaine réunion de l’OTAN.

    « Certains rapports ne sont pas publics en raison de leur caractère confidentiel« , réplique l’OTAN. « Les alliés conservent cependant un contrôle complet sur le niveau des coûts et comment l’argent est dépensé. »

    L’opacité de la comptabilité de l’organisme atlantiste pourrait être une bonne occasion de remettre en cause cette politique militaire globale avant tout aux ordres des Etats-Unis.

    http://medias-presse.info/ou-vont-les-milliards-de-lotan/11096

  • L’UMP est tenu à bout de bras par les banques

    L’UMP a manifestement été géré en dépit du bon sens jusqu'à le conduire à une faillite de fait par ceux-là mêmes qui prétendent revenir un jour au pouvoir.   

    L’UMP est traditionnellement le parti des chefs d’entreprise et des cadres supérieurs, autant d’électeurs qui dans leur vie professionnelle ont à cœur –en principe- la bonne santé financière de la maison qu’ils dirigent ou qui les emploie. Comment pourraient-ils imaginer que leurs élus puissent conduire le premier parti politique de France, héritier du grand parti fondateur de la Vème République à une banqueroute totale ?

    Les comptes des exercices 2011 et 2012 sont publics et voici ce qu’il faut en retenir. Dès le 31 décembre 2011, le bilan présentait « un trou » de 3.5 millions d’euros, une situation qui pour une entreprise ordinaire aurait déjà été synonyme de cessation de paiements. Mais c’est en 2012 que tout va déraper. Alors que les ressources restaient quasi stables, les dépenses ont été multipliées par deux et au final l’année s’est achevée sur une perte astronomique de 40 millions d’euros. D’aucuns objecteront la décision du Conseil constitutionnel d’invalider les comptes de campagne du candidat Sarkozy, on reste loin du compte. Même réduite, cette perte aurait encore été importante au regard des ressources du parti. Quant à se faire retoquer 11 millions pour un dépassement de seulement 400 000 alors que par ailleurs c’est plus de 10 millions qui ont été dissimulés à travers Bygmalion, laisse pantois. Fraudeurs mais en plus fraudeurs négligents, on croit rêver.

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