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magouille et compagnie - Page 2077

  • Le ministre de la famille (sic) insiste « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents »

    La nouvelle secrétaire d’Etat chargée de « la Famille, des Personnes âges et de l’Autonomie », Laurence Rossignol, ancienne porte-parole du Parti socialiste, est revenue, dans une interview au JDD, ce dimanche 13 avril, sur une phrase très grave prononcée sur le plateau de France 3 :« Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents ».

    Elle ose insister :

    (Cette phrase) devrait pourtant faire consensus…

    Revenant par ailleurs sur les enseignements des ABCD de l’égalité, Laurence Rossignol énonce :

    <blockquote

    Le but de l’enseignement à l’égalité est de dire aux filles : « Rien ne vous est fermé car vous êtes des filles »,
    Et de dire aux garçons : « On est différents, mais personne ne doit avoir le dessus sur l’autre ».
    >La cour de récréation n’est pas un espace pour des apprentis petits coqs.

    On se doute que Rossignol préfère les chapons aux coqs…

    D’après Le Lab

    http://www.contre-info.com/le-ministre-de-la-famille-sic-insiste-les-enfants-nappartiennent-pas-a-leurs-parents

  • Libé : un enfumage sans modération de l’Élysée ?

    « Droguez-vous avec modération »   

    Les plus méchants diront que le quotidien Libération est tellement aux abois qu’il en est réduit à ce titre de une dont on ne sait si elle est plus affligeante que provocatrice, plus stupide que pitoyable : « Droguez-vous avec modération »…

    Ils en sont là ! Pour faire parler un « coup » ? Pour vendre une poignée d’exemplaires de plus ? Si au moins le journal annonçait dans la foulée son dépôt de bilan, les responsables – on ne sait plus très bien s’il y a vraiment un directeur ou si c’est un soviet de salariés qui entend dicter ses conditions au baron de Rothschild – pourraient ainsi finir en « beauté », mais non, il ne semble pas que le journal fondé par Jean-Paul Sartre et porté durant la Mitterrandie par Serge July en soit là… même si presque !

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  • Khmers roses : L’Inter-LGBT veut criminaliser la critique d’un comportement

    Dans un entretien accordé au trimestriel Charles paru en avril, Christine Boutin déclare :

    « Je n’ai jamais condamné un homosexuel. Jamais. Ce n’est pas possible. L’homosexualité est une abomination. Mais pas la personne. Avec ma foi, la personne homosexuelle est autant aimée de Dieu que je le suis.

    Merci de me permettre de vous le dire, c’est là que se situe une importante confusion. L’homosexualité n’a rien à voir avec les jugements que je porte sur les homosexuels, qui sont mes frères, mes amis, et qui ont une dignité aussi grande que ceux qui ont d’autres comportements sexuels. Ils sont pécheurs comme je le suis, on est tous pécheurs. Je suis dans le péché moi aussi, je suis une pécheresse ! Mais jamais vous ne me verrez faire l’apologie d’un péché. Même si je peux pardonner un péché. » [...]

    Eric Martin - La suite sur NdF

  • Un « atout » Harlem Désir injustifiable

    « Que François Hollande et Manuel Valls n’aient pas mesuré la portée dévastatrice de l’exfiltration ministérielle du patron du PS est symptomatique du fossé séparant l’opinion publique de sa représentation politique. »

    Cet éditorial de la Charente libre, une des bonnes presses régionales, est intéressant par sa franchise et sa virulence à l’égard du pouvoir en place, totalement décalées par rapport au style sucré des « ténors » du journalisme parisien.

    Polémia

    Jugeant sans doute que son tout nouveau secrétaire aux Affaires européennes était la cible d’un dénigrement outrancier, Manuel Valls a jugé utile de s’ériger en défenseur d’Harlem Désir qu’il a vanté comme un « atout » pour le gouvernement compte tenu de son expérience de près de 15 ans au Parlement européen.

    Mais le Premier ministre ne s’est guère étendu sur les raisons de son choix, ni sur le fait incontestable que l’ancien patron du PS, et jusque-là tête de liste aux prochaines élections européennes, avait surtout brillé par son absence lors des votes de ces dernières années à Bruxelles ou Strasbourg. Comme si la promotion d’Harlem Désir allait de soi après deux ans de direction contestée au PS, la Berezina socialiste aux municipales et les promesses réitérées d’une gouvernance exemplaire.

    La question de savoir si Harlem Désir fera un bon ministre est certes largement accessoire. En douze ans le portefeuille des Affaires européennes a changé autant de fois de titulaire, et le dernier en date, Thierry Repentin, est loin d’avoir laissé un souvenir inoubliable. Et, alors que l’essentiel des relations avec Bruxelles se jouait déjà entre l’Elysée et Bercy, François Hollande vient encore de muscler son dispositif européen en appelant au secrétariat général son vieil ami Jean-Pierre Jouyet, un temps débauché par Nicolas Sarkozy pour entrer au gouvernement Fillon en charge de l’Europe.

    L’importance marginale d’Harlem Désir dans le gouvernement Valls n’excuse en rien la faute politique injustifiable que constitue sa promotion-sanction de la rue Solferino au placard doré des Affaires européennes. Le message ainsi envoyé aux Français est calamiteux qui prête le flanc aux contempteurs de la République des “copains” et conforte la cohorte des électeurs se préparant à faire des prochaines élections européennes un nouveau vote « sanction ». Que François Hollande et Manuel Valls n’aient pas mesuré la portée dévastatrice de l’exfiltration ministérielle du patron du PS est symptomatique du fossé séparant l’opinion publique de sa représentation politique.

    Dominique Garraud, Editorial, 11/04/2014

    Source : Charente Libre du 11/04/2014

    http://www.polemia.com/un-atout-harlem-desir-injustifiable/

  • 17e chambre ou tribunal islamique ?

    Certains magistrats de la 17e chambre correctionnelle de Paris ont déjà adopté, par leurs verdicts, l’article 22 des droits de l’homme en islam.   

    Le verdict rendu par la trop célèbre 17e chambre correctionnelle de Paris contre Renaud Camus et Jacques Philarchein devrait interpeller tous ceux qui se réclament des principes laïques et de la défense de la liberté d’expression. Le premier a été condamné à payer 5.000 euros, entre amende et dommages et intérêts, le second à 3.000 euros. Comme je le disais avec humour à l’écrivain, c’est un petit joueur puisque, pour des raisons semblables, j’avais pris, en mars 2012, au total 7.350 euros, tandis que mon ami Pascal Hilout se contentait, lui, de 4.850 euros. Verdict inique, pour lequel nous avons fait appel, avons été rejugés le 5 mars, et nous connaîtrons le verdict de la cour d’appel le 5 juin.

    Au-delà de ces sommes, qui sont loin d’être négligeables pour des personnes qui n’ont que leur travail ou leur retraite pour vivre, il est intéressant de s’attarder sur les arrêtés inquiétants du procès Camus-Philarchein. Il faut d’abord rappeler que seul le MRAP avait porté plainte, alors qu’habituellement les associations dites antiracistes chassent en meute.

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  • Marseille : un élu FN ne souhaite pas revenir sur la loi Taubira

    Communiqué de Bernard Antony :

    "Dans la mairie du 7° secteur de Marseille où a été élu Stéphane Ravier du Front National, son adjointe, Evelyne Bettuzi, ne s’est pas contentée d’enregistrer le pseudo-mariage d’une paire d’hommes. Mais elle a félicité les jeunes époux (dont on ne peut certes dire : « ils seront heureux et auront beaucoup d’enfants »), ajoutant de surcroît qu’elle ne souhaitait pas «  que l’on revienne sur le mariage pour tous » (sic !).

    Ceci est affligeant mais hélas pas étonnant. J’avais il y a quelques mois émis un communiqué à propos du maire d’Arcangues qui, après s’être efforcé de ne pas accepter pareille chose, avait dû finalement s’incliner s’il ne voulait pas démissionner ou être démissionné.

    J’exprimais que je me refusais à lui jeter la pierre. Je pensais en effet, et je pense toujours, que le refus de la loi inique par seulement deux ou trois maires était voué à l’échec.

    Selon moi, seule l’organisation de la Manif pour tous aurait pu peut-être parvenir à faire triompher le droit à l’objection de conscience par une mobilisation de tous les maires, très nombreux, opposés à la loi Taubira, s’engageant solidairement et menant alors toute une résistance civile et judiciaire. Je ne croyais pas en effet judicieux d’exiger de ces bons maires en désaccord avec la loi perverse de démissionner pour être inéluctablement remplacés sans doute par des édiles moins bons.

    Mais une loi scélérate peut toujours être politiquement combattue même après son adoption. Le droit de revenir sur des lois mauvaises, c’est le propre même de l’action politique la plus démocratique !  L’interdiction ou le refus d’y revenir, c’est l’acceptation même du totalitarisme. Il est affligeant que sur ce point si important, comme sur celui de la loi Veil, le Front National ne soit en définitive pas mieux que l’UMP ou le PS. [...]"

    Sur cette question de l'objection de conscience des maires, seul le maire de Fontgombault a su tenir, alors même que certains maires de villes bien plus conséquentes auraient pu, s'ils l'avaient voulu, s'opposer à cette loi, avec la certitude d'être réélus dans un fauteuil.

    Michel Janva

  • Mariage gay : le «malaise grandissant» des commissaires face à la répression

     

    Des policiers face à des manifestants anti-mariage gay, le 2 avril 2013

    INFO LE FIGARO - Dans le journal interne du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), des hauts fonctionnaires font part de leur refus d'être «une police d'opinion» face aux manifestants anti-mariage gay.

    Il y a quelques jours, les CRS s'indignaient, dans un tract du syndicat Alliance, de leur mission «ridicule» contre les «veilleurs debout». Aujourd'hui, c'est chez les commissaires de police que la colère gronde. Dans le dernier numéro de la Tribune du commissaire, deux des trois «tribunes libres» sont consacrées au «malaise grandissant» de l'institution policière face à la répression des manifestations anti-mariage gay. «Du jamais vu!», commente un membre de ce syndicat, qui représente 60 % des commissaires, et qui a toujours été très légitimiste. «Cela montre l'ampleur du mécontentement».

    Signé «un collectif de commissaires de police», le premier article évoque «une vidéo ayant circulé sur Internet», «qui montre deux de nos collègues remettant en liberté des personnes portant un vêtement assorti du logo d'une association engagée dans un débat de société, après un simple contrôle d'identité». «S'il apparaissait que des instructions ont été données à toute la chaîne hiérarchique policière d'interpeller des personnes sur ce seul motif, soulignent les auteurs, les commissaires de police qui ont décidé de les élargir honorent le Corps de Conception et de Direction». Et de conclure : «il était temps de prouver que notre Institution n'est pas une police d'opinion».

    Le deuxième texte - une tribune «poignante», juge le secrétaire général du SCPN, Emmanuel Roux - est une lettre d'«un commissaire de police attentif à l'actualité» à un «cher collègue». Vraisemblablement pied-noir, il lui parle de sa grand-mère, Eugénie, qui «aimait beaucoup la France, bien qu'elle n'y soit jamais allée avant que le sens tragique de l'Histoire ne la contraigne (…) à quitter pour toujours notre terre natale il y a 51 ans». Un jour, raconte-t-il, «elle commit l'acte fou de brandir un drapeau français à sa fenêtre». Des uniformes «déboulèrent», «défoncèrent sa porte», à la recherche du drapeau.

    Aujourd'hui, le petit-fils d'Eugénie est commissaire divisionnaire. «Depuis plusieurs mois, le pays gronde, poursuit-il. Je vois des uniformes, de jeunes manifestants que l'on colle contre le mur. J'en ai vu qui tombaient, d'autres que l'on conduisait vers des fourgons, le regard perdu mais fier». Avant d'asséner : «Je ne serai jamais l'un de ces officiers. J'aime trop ma grand-mère».

    Emmanuel Roux admet avoir hésité avant de publier ces «collègues qui parlent avec leur tripes». Mais il a reçu plusieurs appels dans le même sens, et a voulu jouer son «rôle de syndicat, lieu de parole». «Je n'ai pas eu connaissance de pratiques policières qui auraient été différenciées selon les manifestants, tempère-t-il. Mais l'ordre public, c'est une alchimie complexe…»

    Au sein du SCPN, on affirme toutefois que «beaucoup ne se reconnaissent absolument pas dans les méthodes appliquées». «C'est pas qu'on soit pro ou anti mariage gay, témoigne un commissaire signataire du premier article. On est simplement choqués. On voit une distorsion énorme entre ce qui se passe avec les voyous récidivistes et des gamins pacifiques qu'on met en garde-à-vue simplement parce qu'ils portent un tee-shirt ! Parfois, il faut avoir la force de dire «non». Notre message, c'est que l'on refuse d'être une police politique, quel que soit le pouvoir».

    source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Alors islamiste ou djihadiste en Syrie ?

    On peut remarquer ces derniers temps que certains médias font une distinction de plus en plus constante entre islamiste et djihadiste en Syrie. Ainsi, on peut lire sur le site du journal belge Le Soir que:« Les rebelles islamistes ont repoussé un assaut d’insurgés jihadistes contre une ville de l’est de la Syrie… Excédés par les exactions attribuées à l’EIIL (Etat islamique en Irak et au Levant) et sa volonté d’hégémonie, les rebelles islamistes et « modérés » ont retourné début janvier leurs armes contre leurs ex-alliés dans le combat contre le régime de Bachar al-Assad »

    On connaissait bien sûr la distinction entre musulmans et islamistes mais voilà qu’on a un autre niveau de différenciation. Cela va devenir de plus en plus difficile de suivre mais surtout de saisir la différence entre un islamiste et un djihadiste. En tout cas, c’est une preuve de plus que le confit syrien s’est un peu plus complexifié.

    http://medias-presse.info/alors-islamiste-ou-djihadiste-en-syrie/8689