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magouille et compagnie - Page 2108

  • "Indépendance de la justice" Le CRIF reçoit le Syndicat de la magistrature

    Le Président du CRIF, Roger Cukierman, entouré d’une délégation de l’institution, a reçu, le 26 février 2014, la Présidente du syndicat de la magistrature, Madame Françoise Martres.

    [...] Madame Martres, en introduction, a présenté le syndicat qu’elle préside, le premier du genre dans l’histoire de notre pays, à s’être constitué en 1968. Classé plutôt à gauche, il a recueilli 25 % des voix aux dernières élections professionnelles et prône notamment l’indépendance de la justice.

    Dans une atmosphère très conviviale, de nombreux sujets ont été abordés : les problèmes de délinquance, le statut des mineurs, la situation des détenus à leur sortie de prison, l’état des prisons françaises, la notion de délit de presse, l’usage de travaux d’intérêt général comme modèle de peine, le rôle des enseignants, la protection accrue des lieux de culte juifs ou encore la récente affaire du « Mur des Cons ». Interrogé sur le boycott des produits israéliens, le syndicat de la magistrature a signifié qu’il ne souhaite actuellement pas prendre position sur cette question.

    Lire la suite de l’article sur crif.org

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Independance-de-la-justice-23770.html

  • Incitation à la débauche dans l'éducation nationale

    L'enseignement diocésain de la région Pays de la Loire s'est fendu d'un courrier à l'attention du président du Conseil Régional :

    "Les lycéens et lycéennes des établissements de l’Enseignement privé sous contrat ayant demandé par voie électronique le « Pass culture » édité par le Conseil Régional et ayant, à cette occasion, coché la case « je souhaite recevoir de l’information de la part du Conseil Régional des Pays de la Loire et de ses partenaires » ont reçu directement le message suivant sur leur boîte mail en février 2014.

    « La Saint-Valentin c’était bien ou bien ?
    Votre chéri(e) vous a offert :
    - La nouvelle version du « Kamasutra »
    - Une boîte de chocolats aphrodisiaques
    - Le 3ème tome de « 50 nuances de gris »
    Pensez au Pass -prévention contraception »
    Et la mention :
    « Partagez vous aussi votre Saint-Valentin ! sur Facebook ».

    Nous souhaitons, Monsieur le Président, vous signaler notre totale incompréhension et notre indignation pour plusieurs raisons qui interrogent la politique éducative du Conseil Régional :
    1) Quel projet éducatif régional peut justifier une telle incitation à des pratiques sexuelles explicites ?
    2) Comment se fait-il que des jeunes lycéens, s’inscrivant à un dispositif culturel initié par une collectivité publique, reçoivent des messages subversifs et intrusifs, qui transforment la Saint Valentin et la politique éducative liée à l’affectivité et à la relation en un encouragement à des expériences sexuelles et à la pornographie, alors même qu’une charte éditoriale signée entre la Région et l’URADEL, relative à l’ENT, délimitait de façon explicite le champ de communication du Conseil Régional auprès des lycéens de notre réseau ?

    Votre message, qui veut du reste s’adresser à des jeunes lycéens dès l’âge de 15 ans, est irrecevable. En effet, nous vous signalons, Monsieur le Président, que certains lycéens ou bien lycéennes qui reçoivent ce message, peuvent avoir une année d’avance dans leur scolarité et être donc âgés (es) de seulement 14 ans.

    Nous vous demandons donc, Monsieur le Président, de mettre fin à cette campagne de communication explicitement licencieuse émanant d’une collectivité publique, campagne incitant par ailleurs les lycéens à partager « leur expériences » sur les réseaux sociaux.

    3) Est-il enfin besoin de préciser que la nature de cette communication n’est pas éloignée de la notion d’incitation à la débauche pour les mineurs, visée par l'article 227-22 du Code Pénal dont nous nous permettons ici de rappeler le contenu :

    « Le fait de favoriser ou de tenter de favoriser la corruption d'un mineur est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Ces peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsque le mineur a été mis en contact avec l'auteur des faits grâce à l'utilisation, pour la diffusion de messages à destination d'un public non déterminé, d'un réseau de communications électroniques ou que les faits sont commis dans les établissements d'enseignement ou d'éducation ou dans les locaux de l'administration, ainsi que, lors des entrées ou sorties des élèves ou du public ou dans un temps très voisin de celles-ci, aux abords de ces établissements ou locaux."

    Michel Janva

  • Les antifas ou le degré zéro de la démocratie

    PARIS (NOVOpress)  – Comme nous l’avions annoncé Philippe Martel, chef de cabinet de Marine Le Pen et tête de liste FN/RBM pour le 18ème arrondissement de Paris a donné ce mercredi une conférence de presse rue Labat à Barbés (Paris) pour traiter du procès intenté par le MRAP à l’écrivain Renaud Camus ainsi que des problèmes soulevés par l’immigration de masse dans le 18eme arrondissement.

    Cette réunion a été l’occasion d’une manifestation d’antifas sur laquelle Philippe Martel a donné des détails hier dans un communiqué :

    “Des affiches insultantes, diffamatoires et menaçantes, me traitant entre autres de “facho, escroc et mytho” avaient été placardées par les “antifas” aux alentours du lieu de rendez-vous.” Pour qu’elles ne soient pas décollées ces affiches avaient été recouvertes d’acide au mépris de la sécurité des passants.

    “Une demi-heure avant le début de mon intervention, une quarantaine d’”antifas” étaient rassemblés à proximité immédiate de la rue Labat. Scandant des slogans agressifs.” P. Martel explique que de ce fait la police a du bloquer la rue, empêchant ainsi la plupart des médias d’accéder à la conférence de presse.

    Il conclut :  “Au débat démocratique et au verdict des urnes, quelques agités ne représentant qu’eux-mêmes, préfèrent manifestement l’insulte, l’intimidation et, dés qu’ils en ont l’occasion, la violence.” Mais que loin de le décourager ceci l’incite à continuer à “aller au devant des habitants du 18eme arrondissement pour leur exposer nos idées et nos propositions.”

    http://fr.novopress.info/

  • Affaire Copé : des copinages qui coûtent cher à l'UMP

     Les militants UMP qui ont cotisé pour le Sarkothon ne diront pas merci à Bygmalion. Au moment où Copé leur demandait de renflouer les caisses du parti de 11 millions d'euros, l'agence de communication appartenant à deux de ses anciens collaborateurs venait d'empocher de l'UMP huit millions d'euros pour avoir organisé les meetings de la campagne 2012.
    Selon des documents dont Le Point a eu connaissance, Event & cie, la filiale événementielle de Bygmalion, a profité de la période faste de la présidentielle pour charger la mule sur certaines prestations facturées à l'UMP hors appels d'offres. Lors des meetings, les frais de traiteur, de retransmission vidéo et d'éclairage atteignaient parfois le double des tarifs habituels !
    Le Point a enquêté sur ce que certains au sein du parti qualifient de véritable "hold-up" : entre 2010 et 2012, alors que les finances de l'UMP sombrent dans le rouge, la petite boîte de com connaît, elle, une santé florissante... Dès la création de Bygmalion en 2008, Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale puis secrétaire général du parti, multiplie les commandes auprès de l'agence de com de ses amis Bastien Millot et Guy Alves, qui ont travaillé plus de dix ans à ses côtés, d'abord à la mairie de Meaux, puis à son cabinet chaque fois où il a été ministre.
    L'ancien chef de cabinet de Copé au centre d'un montage financier
    Mais le plus troublant, c'est l'origine même de Bygmalion. En épluchant les statuts de la société, Le Point a découvert un montage financier particulièrement sophistiqué avec un actionnaire resté caché pendant trois ans : une SARL logée au Luxembourg...
    Derrière cette mystérieuse société se dissimule le holding familial d'Emmanuel Limido, un gestionnaire de fonds très lié au Qatar. Coïncidence : en 2006 et 2007, Jean-François Copé, alors ministre du Budget, avait donné son feu vert pour la vente au Qatar de deux joyaux immobiliers de l'État. Dans ces deux transactions, l'intermédiaire n'était autre que le fonds d'investissement dirigé par Emmanuel Limido. Ce dernier avait entre les deux transactions embauché le chef de cabinet de Jean-François Copé, Guy Alves, devenu depuis patron de Bygmalion. Un étonnant mélange des genres que Le Point révèle dans son article sur l'argent de l'UMP et la galaxie Copé...
    Est-ce la première conséquence de nos révélations ? Toujours est-il que, selon Le Midi libre, Jean-François Copé a annulé mardi soir le meeting auquel il devait se rendre jeudi à l'espace Pitot à Montpellier. Officiellement, l'UMP chercherait désormais une salle d'une plus grande capacité d'accueil que les (environ) 250 places disponibles à l'espace Pitot...
    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/02/affaire-cope-des-copinages-qui-coutent.html

  • Le gouvernement ? Du bla-bla, du pipeau, du vent, de l’air…

    gouvernement

    L’exercice du gouvernement engage l’image, le prestige et le destin de la France. Il devrait être interdit aux amateurs.

    Le ministre de l’Économie et des Finances en avait fixé et réaffirmé l’objectif à plusieurs reprises. Le déficit public de la France serait ramené au niveau symbolique de 3 % du PIB à l’horizon 2015. Très précisément, il serait encore de 3,6 % en 2014 pour s’établir à 2,8 % dès l’année suivante. L’alourdissement des impôts et la réduction de la dépense publique en étaient la garantie… Oui, mais les recettes attendues ne sont pas plus au rendez-vous que les économies annoncées. Des dépenses imprévues pourraient bien noircir encore le tableau. Bref, c’est plutôt aux alentours de 4 % (3,9 % au plus juste) que tournent les prévisions rendues publiques par la Commission de Bruxelles, et puisque nous sommes décidément de mauvais élèves, nos maîtres font planer sur notre pays la menace de sanctions.

    Lire la suite

  • Lancement des Bobards d'Or 2014

    Communiqué de la Fondation Polémia :

    B"Pour la cinquième année consécutive, la Fondation Polémia, le think-tank dirigé par Jean-Yves Le Gallou, organise les Bobards d’Or le mardi 11 mars 2014.

    Désormais bien établie dans le paysage de la réinformation, cette cérémonie satirique distingue les journalistes les plus habiles à désinformer pour servir le Système. Et cette année 2013 a été chargée ! De nouvelles catégories ont d'ailleurs été créées, l'imagination des médias pour donner une version partiale de la vérité étant sans limite.

    Le Bobard républicain, par exemple, fait quasiment l'unanimité chez les bobardeurs professionnels ! Il s'agit, dans un réflexe pavlovien de protection du Système, de s'alarmer d'un retour de la bête immonde, no-pasaran-ventre-encore-fécond-qui-rappelle-les-heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire, et d'en profiter pour, ni vu ni connu, maquiller la réalité afin de lui donner une moue de circonstance : digne, concernée, grave, républicaine… légendaire… bidon !

    Découvrez également le Bobard complice, une coproduction de politiques et de journalistes. Les derniers filent un coup de main aux premiers pour diffuser leur propagande, quitte à tricher avec la vérité un peu… beaucoup… passionnément…

    Ou encore le Bobard Diafoirus, car dans le domaine médical nos journalistes mentent par conflit d'intérêts, par paresse, quand ce n'est pas par omission, oubliant alors leur devoir de donner tous les points de vue et non seulement ceux du Système.

    Rendez-vous donc sur www.bobards-dor.fr pour retrouver les candidats et découvrir la Muselière d'or, le Gai Bobard ou le Bobard de cuivre, autant de ficelles de ce totalitarisme doux, dont les mensonges répétés finissent par s’imposer dans les esprits et dictent les politiques de droite, comme de gauche.

    Comment se passe le choix des meilleurs mensonges ? Dès le 20 février, les internautes pourront voter et le Bobard du 11 novembre leur sera spécialement réservé. Puis le public présent lors de la cérémonie du 11 mars prochain départagera, à l'applaudimètre, les meilleurs journalistes-menteurs. Inscrivez-vous d'ores et déjà par courriel : contact@bobards-dor.fr ou sur notre site pour participer à la cérémonie."

    Michel Janva

  • Les malhonnêtes

    Le maire UMP de Bordeaux, Alain Juppé,  était hier à Paris pour épauler la sœur jumelle d’Anne Hidalgo, Nathalie Kosciusko-Morizet,  avec qui il partage la même aversion pour les idées nationales. Une  énième tentative  pour tenter de conjurer le gros naufrage électoral qui s’annonce pour la pauvre NKM,  éreintée jusque dans son propre camp. « J’ai pour Nathalie de l’estime et de l’affection. C’est une personne intelligente, et l’on se rend compte avec le temps que l’intelligence, ça compte» a-t-il  déclaré.  Ce n’est pas Jean-François Copé qui aurait droit à un  tel compliment de la part de l’ami de Jacques Chirac qui s’est livré à son jeu favori consistant à dégommer  le patron( ?) de l’UMP. Sur France 3 Aquitaine, M. Juppé s’est fait une joie de pointer perfidement la ligne politique tortueuse de l’ami du très sulfureux  Ziad Takieddine au sujet de  la candidature  à Pau du  traitre du Modem François Bayrou  :  «Je n’ai pas très bien compris la position de Jean-François Copé qui ne soutient pas vraiment François Bayrou. Alors ça veut dire qu’il le soutient quand même ? ». Que l’ex ministre de la Défense puis de Affaires étrangères de Sarkozy, qui tente de conjuguer son « gaullisme » revendiqué avec son européisme militant et sa soumission à l’atlantisme, donne des leçons de cohérence à Copé est déjà en soi assez drolatique. Mais ce  que ne  comprendraient  pas non plus les militants et sympathisants de l’UMP,  c’est d’avoir été roulé dans la farine par M. Copé, si l’on en croit les révélations  du Point, contestées aujourd’hui par l’intéressé.

     Selon Le Point, « Les militants UMP qui ont cotisé pour le Sarkothon ne diront pas merci à Bygmalion . Au moment où Copé leur demandait de renflouer les caisses du parti de 11 millions d’euros, l’agence de communication appartenant à deux de ses anciens collaborateurs venait d’empocher de l’UMP huit millions d’euros pour avoir organisé les meetings de la campagne 2012 ».

      « Entre 2010 et 2012, alors que les finances de l’UMP sombrent dans le rouge », « Event & cie, la filiale événementielle de Bygmalion », « connaît, elle, une santé florissante…  Dès la création de Bygmalion en 2008, Jean-François Copé, président du groupe UMP à l’Assemblée nationale puis secrétaire général du parti, multiplie les commandes auprès de l’agence de com de ses amis Bastien Millot et Guy Alves, qui ont travaillé plus de dix ans à ses côtés, d’abord à la mairie de Meaux, puis à son cabinet chaque fois où il a été ministre ».

     « (…) En épluchant les statuts de la société, Le Point a découvert un montage financier particulièrement sophistiqué avec un actionnaire resté caché pendant trois ans : une SARL logée au Luxembourg… Derrière cette mystérieuse société se dissimule le holding familial d’Emmanuel Limido, un gestionnaire de fonds très lié au Qatar. Coïncidence : en 2006 et 2007, Jean-François Copé, alors ministre du Budget, avait donné son feu vert pour la vente au Qatar de deux joyaux immobiliers de l’État. Dans ces deux transactions, l’intermédiaire n’était autre que le fonds d’investissement dirigé par Emmanuel Limido. Ce dernier avait entre les deux transactions embauché le chef de cabinet de Jean-François Copé, Guy Alves, devenu depuis patron de Bygmalion ».

     Lesdites révélations –Le Point dit s’appuyer sur des « documents » solides-,   peuvent elles contribuer à affaiblir l’UMP à quelques semaines d’échéances électorales déterminantes ?  Elles  n’arrangeraient certes pas le climat au sein d’un parti déjà ébranlé   par ses divisions internes et  ses divergences tactiques. Pour ne rien dire du fossé  grandissant entre ses dirigeants et ses  électeurs, au moment ou de nombreux candidats juppéistes, copéistes, fillonistes ou sarkozystes affirment déjà qu’ils appelleront à voter PS contre le FN en cas de présence de l’opposition patriotique au second tour face à la gauche.

     Si l’UMP prend depuis trop longtemps le peuple de droite pour des chèvres, l’intermittent du spectacle   et euro député écolo-gauchiste  José Bové (EELV) confond lui aussi les Français avec  le troupeau de mouton dont il a paraît-il la charge à ses heures perdues.

     Le site de France Info relayait le 21 février la déclaration de  M.  Bové, l’homme qui tente, sans grande audience il est vrai,  de faire croire que l’on peut se faire le chantre du terroir sans défendre l’identité nationale, la souveraineté politique de la France et l’intégrité de notre peuple.« En gros, ça ne sert à rien de voter Front National (pour les Européennes), ils ne font rien. Moi quand je vois madame Le Pen, quand je vois monsieur Gollnisch ou monsieur Le Pen père, ils ne sont là, à Strasbourg, que pour venir chercher le chèque ! » a affirmé M.  Bové

     Pourtant et c’est à souligner, même  France Info,  décryptant  les propos de l’ami de Daniel Cohn-Bendit , modère très sensiblement cette accusation péremptoire : « A leur décharge (des députés FN, NDLR),  il est très compliqué de peser au Parlement sans être affilié à un grand groupe politique et c’est le cas des Le Pen ». Au-delà  des emplois du temps extrêmement  chargés des intéressés, indiquons encore que  cette  situation de marginalisation relative  n’empêche pas de  faire entendre dans l’hémicycle  la voix du bon sens, de   peser sur les débats.

      Nous l’avons vu cette semaine avec le débat sur le referendum suisse, et  encore dernièrement  avec le combat mené avec succès  par Bruno Gollnisch contre  le rapport Estrela. De plus le rapport de force devrait évoluer  en  toute hypothèse en juin prochain avec la vague populiste attendue au parlement, permettant la création d’un groupe conséquent  de députés attachés à l’Europe des patries.

     Mais surtout précise France Info,  « (Bové)  devrait se méfier de ce genre d’attaque sur l’assiduité au Parlement européen. D’abord parce que Bruno Gollnisch, le troisième eurodéputé frontiste, est beaucoup mieux classé que lui (en terme de présence effective, NDLR). Et puis, les deux députés européens français les moins bien notés font partis de son groupe des Verts. Il s’agit de Karim Zéribi et d’Yves Cochet, arrivés en cours de mandat… »

     Cette capacité des chantres (alter)mondialistes de la diversité et de l’Europe multiculturelle, de droite comme de gauche , à mentir, à  s’ériger en donneurs de leçons pour ensuite de prendre les pieds dans le tapis ne manquera jamais de nous étonner. La nouveauté venant peut être du fait que leur malhonnêteté  intellectuelle est désormais perçue par  un  grand nombre de Français.

    http://gollnisch.com/2014/02/27/les-malhonnetes/

  • 2 enquêtes et une directive suite à ... un lancer d'oeufs

    Les antifas peuvent continuer à dévaster tous les centre-villes de France, le sinistre de l'Intérieur a d'autres chats à fouetter. Le vendredi 7 février à Charleville-Mézières, Manuel Gaz sort de sa visite au centre social. En s’approchant des voitures officielles, Manuel Valls et la délégation se retrouvent seuls. Le gros des effectifs de police a quitté les lieux pour sécuriser l’itinéraire du cortège. Les habitants se retrouvent tout près du ministre. Fusent des noms d’oiseaux. C’est une fois dans les voitures qu’intervient l’incident. Que dis-je : l'attentat. Des jeunes (d'extrême-droite ?) lancent plusieurs œufs sur les berlines, dont un rebondit sur une carrosserie avant d’éclabousser le pare-brise de la voiture du ministre...

    Quelques jours plus tard, une directive (exactement un « télégramme »), émanant de la Direction centrale de la sécurité publique, est adressée à toutes les polices de France. Sont recommandées des mesures techniques pour mieux sécuriser les visites officielles. Pendant ce temps-là à Charleville-Mézières, tous les moyens humains et techniques disponibles sont mis en place pour trouver les coupables. 

    Citoyens, lancez des pavés contre la police, depuis un rassemblement d'anarchistes, mais surtout n'envoyez pas d'oeufs sur la voiture du ministre.

    Michel Janva

  • Mauvaises pièces, mauvais acteurs

    Hier, lors de la séance de questions au gouvernement, le palais Bourbon a encore été le théâtre d’une empoignade ridicule, où le ministre de l’Intérieur, dans le rôle de l’indigné, a réussi le tour de force d’avoir à la fois la main sur le cœur, le poing fermé et vengeur, et, en même temps, l’index accusateur :...

    ...il répondait à une question de Yannick Moreau, député de Vendée, qui l’interpellait sur la manifestation anti-terrain d’aviation qui s’est déroulée à Nantes, samedi dernier, dans les conditions que l’on sait.

    Il fallait voir Manuel Valls écouter la « question », le menton dans la main, avec une expression digne d’une caricature d’Othello méditant la strangulation de Desdémone...

    Claude Wallaert - La suite sur Politique Magazine

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Mauvaises-pieces-mauvais-acteurs

  • Les mères porteuses sont des esclaves

    Sylviane Agacinski, philosophe, professeur à l'EHESS, épouse de Lionel Jospin, était interrogée sur France Info à l'occcasion de la reparution de son livre "Corps en miettes", dans une version enrichie.

    "La désinformation et la propagande sont massives". "La question des mères porteuses revient sans arrêt sur le tapis et il m'a semblé nécessaire de redonner au citoyen tous les arguments et de l'appeler à résister."

    Michel Janva