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magouille et compagnie - Page 2107

  • L'erreur (fatale ?) des Verts.

    Les Verts ont sans doute perdu ce mardi soir une occasion historique de jouer enfin un rôle politique et écologique reconnu, au-delà des idéologies et des querelles personnelles : mais Cécile Duflot a préféré jouer une carte politicienne, en espérant tirer profit de l’échec possible (mais pas forcément inéluctable ni même souhaitable, en particulier pour la France !) du nouveau gouvernement auquel elle a refusé de participer et empêché les siens d’aller y siéger. Erreur stratégique et éminemment politique, sans doute, car M. Valls, en quête d’une légitimité par la réussite et, en tout cas, par le symbolique, et soucieux apparemment de créer un grand ministère de l’écologie, de l’énergie, des transports et du logement digne de ce nom, susceptible de mener une politique environnementale « globale » et moins désordonnée que ce qui a existé jusque là, ouvrait là une perspective nouvelle et, pourquoi pas, plus favorable à l’écologie que la pratique du gouvernement précédent. L’occasion se représentera-t-elle de sitôt, ou le nouveau premier ministre va-t-il confier ce ministère (s’il voit le jour…) à une personnalité susceptible d’incarner, d’une façon ou d’une autre, une certaine légitimité et crédibilité écologistes sans appartenir au parti des Verts ?
    Bien sûr, certains noms viennent à l’esprit, dont celui de Nicolas Hulot, aujourd’hui « envoyé spécial pour la protection de la planète », nommé par le président Hollande à la fin de l’année 2012, ou celui de Ségolène Royal, dont le bilan environnemental en Poitou-Charentes n’est pas totalement négatif, même s’il reste encore fort modeste au regard des enjeux. A l’heure qu’il est, je ne sais qui représentera le souci environnemental dans le gouvernement Valls et, au regard de la bouderie des Verts qui pourrait, en fait, être contre-productive pour la cause écologique (ce qui ne serait pas la première fois, les Verts ayant pris la mauvaise habitude de sacrifier l’écologie à leurs caprices…), il n’est pas impossible que, du coup, l’ancien ministre de l’Intérieur, renonce à toute velléité de « faire de l’écologie », préférant alors la facilité de céder aux promoteurs des gaz de schiste (dont Arnaud Montebourg) ou des OGM (dont Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture dans le gouvernement Ayrault), voire de passer en force sur certains dossiers « chauds » comme l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes ! Il n’est d’ailleurs pas certain que, en ce mardi soir, M. Valls sache vraiment ce qu’il veut faire de la politique écologique française… Nous en saurons plus dans quelques jours, même si les annonces et effets d’annonce ne doivent pas nous empêcher, dans quelque cas que ce soit, de rester prudent, voire sceptique, la République n’ayant jamais montré un grand empressement à poser et résoudre les questions environnementales.
    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1137:lerreur-fatale-des-verts&catid=48:2014&Itemid=59
    (à suivre : - Quel bilan environnemental du gouvernement Ayrault ? – Quelle politique environnementale peut-on promouvoir en France dans les années et décennies prochaines ? Notes à paraître d’ici le 6 avril, si tout va bien…)

  • Un gouvernement pour rien ?

    Est-ce un gouvernement de transition ? C'est la question que l'on peut légitimement se poser au regard de la liste des seize ministres concoctée par M. Valls avec ce souci des équilibres internes au Parti Socialiste digne des jeux d'appareil de la défunte Quatrième République, et cette pratique d'une parité qui se fait plus idéologique que réaliste, privilégiant l'appartenance à un sexe plutôt que les compétences reconnues (ou non, d'ailleurs...) des uns, des unes et des autres... Le quotidien libéral L'Opinion y voit une « tambouille », quand d'autres y entendent la cacophonie d'une Gauche aux abois et aux rumeurs. En fait, ce gouvernement, qui se proclame de « combat » (sic!), n'est qu'un assemblage de personnalités plutôt désaccordées, certaines exemplaires et soucieuses du service de l'Etat (mais oui, il y en a !), d'autres beaucoup plus personnellement ambitieuses et soucieuses de leur destin : le rêve présidentiel affleure même dans le regard d'au moins trois ministres, et les Brutus et autres Ganelon ne manquent pas à cette sorte de Famille Adams élargie ! Sans doute l'actuel locataire de l'Elysée espère-t-il secrètement qu'ils se brûleront les ailes aux feux de la réalité et de l'impopularité qui touche tous ceux qui exercent un pouvoir ministériel en ces périodes de désaveu électoral...
    En tout cas, ce gouvernement ressemble étrangement au précédent, au moins par ceux qui le constituent : seules deux têtes nouvelles (façon de parler, d'ailleurs, l'une ayant déjà, il y a 22 ans, entamé une carrière ministérielle dans ce même poste qu'elle occupe à nouveau depuis mercredi...) y apparaissent, et les quinze autres, si l'on y inclut celle du Chef du gouvernement, hantent les allées du Pouvoir depuis l'élection de François Hollande, parfois dans les mêmes fonctions, malgré un petit jeu de chaises musicales qui n'a rien, en fait, pour satisfaire les mélomanes politiques. Drôle de remaniement qui ressemble plutôt à un recroquevillement frileux d'un carré de fidèles (mais de qui ?) attendant « le choc de Bruxelles », ces décisions prises quelque part en « Europie » et qui rappellent à notre pays que sa liberté n'est plus, pour l'heure, qu'un vague souvenir figé dans la pierre de ses frontons municipaux... Pas de quoi enthousiasmer Billancourt, comme eût dit Sartre en d'autres temps, surtout que les ouvriers ont déserté le Parti Socialiste et que Renault a abandonné son usine mythique depuis longtemps pour mieux la délocaliser au plus loin de la Seine, « quelque part en Mondialie »...
    Tout cela ressemble à une fin de régime, même si l'air est plus empuanti de particules fines que des vapeurs de Molotov et que la plupart des révolutionnaires autoproclamés se contentent de siroter un « Cuba libre » aux terrasses ensoleillées du Quartier Latin en attendant le prochain appel de Bernard-Henri Lévy à faire la guerre morale à quelque Chef d'Etat critique de Jean-Baptiste Botul (vous savez, ce fameux philosophe cité abondamment en son temps par BHL et qui n'a... jamais existé !)... Une fin de régime, et surtout le discrédit d'une République incapable de réformer et de se réformer, incapable de se renouveler et de promouvoir de nouvelles forces, de nouvelles intelligences, de nouvelles stratégies françaises ! Incapable, même, d'exploiter celles, plus anciennes mais parfois toujours vives et utiles, qui servent encore l'Etat avec une conscience haute du devoir politique, et que l'on trouve aussi dans les allées du Pouvoir, ou dans les travées des assemblées. Quel gâchis ! Et pourtant, il y a des hommes et des femmes politiques qui ne déméritent pas, même à gauche, et qui sont l'honneur de la politique et, j'ose le dire, tout royaliste que je suis, l'honneur de cette République qui, elle, ne les mérite pas !
    Quand la République n'est plus que le service des puissants ou la puissance des serviles, elle perd toute légitimité à incarner la France et son destin. Quand elle n'est plus que l'impuissance des politiques à s'imposer aux économistes, elle ne vaut même plus le prix de la corde pour la pendre, triste Marianne dénoncée en son temps par Paul Verlaine qui voulait la « voir un peu dinguer en croix Sa vie horizontale et sa mort verticale » !
    Certains croiront entendre derrière l'écran gronder une colère qui, chacun de mes lecteurs le sait, n'est pas feinte : oui, colère devant cet immense gaspillage des énergies de la France à l'heure où le monde attend de la France une parole mais aussi un style et cette indépendance qui sont sa nature profonde et qui rappellent, pour l'éternité, que le nom même de France veut dire, d'abord, « liberté » ! Pas la liberté encagée par l'égalité, mais la liberté de l'esprit, de l'âme, de l'être politique...
    Cette République qu'invoque constamment M. Valls comme pour se faire pardonner de ne pas mieux servir la France qui, elle, n'a pas besoin de République pour exister et respirer au grand vent de l'histoire et de l'espérance ; cette République-là me navre car elle désarme la France face au souffle désormais empoisonné de la mondialisation, cette mondialisation qui n'est que la triste caricature de l'échange et du partage, singeant l'un et oubliant l'autre...
    Ainsi, ce gouvernement n'est-il que l'aveu d'une impuissance : il n'est pas certain qu'il puisse s'inscrire dans la durée face aux tourmentes économiques et sociales qui s'annoncent, ou qu'il soit capable de rendre à la France (et aux Français!) la nécessaire espérance... Mais son échec ne sera pas, pour autant, une bonne nouvelle car c'est notre pays qui, fatalement, risquera d'en faire les frais !
    À moins qu'une alternative institutionnelle véritable ne s'impose finalement, et qu'elle succède à cette République qui, désormais, ne sait plus faire rêver ni affronter les réalités...
    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1138:gouvernement-du-recroquevillement-&catid=48:2014&Itemid=59

  • Municipales 2014 : contrairement à ce qu’elle affirme l’UMP recule par rapport à 2008

    Municipales 2014 : contrairement à ce qu’elle affirme l’UMP recule par rapport à 2008 La réalité s’impose bien plus que les éléments de l’engage distillés par l’UMP. En effet, la comparaison des résultats entre les élections municipales de 2008 et 2014 montre que l’UMP regresse en passant de 26,45% à 21,02%, seuls les DVD (sans affiliation à un parti) et le FN-RBM augmentent.


    l’Ump regresse en passant de 26,45% à 21,02% :
    Chateau

    Source : Fninfo : http://fninfos.fr/?p=27175

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EFAyVpkkVpuhEjzwkQ.shtml

  • Paris (France) 03-04-2014 Manifestation contre Christiane Taubira Place Vendôme

  • APPEL SOLENNEL DE FARIDA BELGHOUL À LUDIVINE DE LA ROCHÈRE ET À OLIVIER VIAL

    C’EST LE CERCLE DE FLORE QUE, CE MERCREDI 2 AVRIL 2014, FARIDA BELGHOUL, PRÉSIDENTE DE LA LA JOURNÉE DE RETRAIT DE L’ÉCOLE, A CHOISI POUR LANCER, DEVANT UN AUDITOIRE NOMBREUX, UN APPEL SOLENNEL À L’UNITÉ D’ACTION À LUDIVINE DE LA ROCHÈRE, PRÉSIDENTE DE LA MANIF POUR TOUS ET À OLIVIER VIAL, PRÉSIDENT DE L’OBSERVATOIRE DE LA THÉORIE DU GENRE.

    Farida Belghoul lance son appel solennel

    ”Les classes populaires seront-elles seules à lutter contre l’introduction de la théorie du genre à l’école ? Les classes moyennes s’illustreront-elles par leur tiédeur ?"

    " Parce qu’il s’agit de prendre nos responsabilités pour continuer de regarder nos enfants dans les yeux..."

    Ceux qui n’ont pas eu la chance de pouvoir s’asseoir...

    Un appel auquel le Cercle de Flore et l’Action française se joignent avec détermination, parce qu’il ne saurait y avoir ni tiédeur ni division dans la lutte à mort que le pays réel mène contre les agressions d’Etat subies par nos enfants et la destruction de la société.

    UNITÉ D’ACTION ! LES ADVERSAIRES DE LA FAMILLE ET LES AGRESSEURS DE NOS ENFANTS N’ATTENDENT QUE NOS DIVISIONS ! DÉTROMPONS-LES ! PRENONS NOS RESPONSABILITÉS DEVANT L’HISTOIRE !

    La vidéo sera bientôt mise en ligne

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?APPEL-SOLENNEL-DE-FARIDA-BELGHOUL

  • Les premiers couacs de notre gouvernement « normal »…

    gouvernement-disney

    Y a-t-il un pilote dans l’avion ? Même l’homme de la rue est en droit de se poser la question. Parce que déjà, à Bercy, ça twiste.
    Gouvernement Valls ? Y a-t-il un pilote dans l’avion ? Même l’homme de la rue est en droit de se poser la question. Parce que déjà, à Bercy, ça twiste, avec Michel Sapin, Laurent Fabius, Arnaud Montebourg, Nicole Bricq (celle qui trouvait que la bouffe était « dégueulasse » à l’Élysée), sans oublier Fleur Pellerin (Fleur qui ?). Assez logiquement, Le Nouvel Observateur se pose cette même question posée par le même homme de la rue. « Mercredi 2 avril au matin. Laurent Fabius, Affaires étrangères et Développement international… Arnaud Montebourg, Économie, Redressement productif et numérique… Ce ministère, jusqu’ici sous la responsabilité de Nicole Bricq, relève-t-il de l’Économie ou du Développement ? » Ou du Quai d’Orsay ? Ou des deux ? Ou de rien ? « La question ne serait pas toujours tranchée », dit-on à Bercy.
    Bon, ben voilà… Ça sent un peu la cour de récréation. « C’est mes billes ! » « Les soldats, y sont à moi ! » « OK, mais tu ne touches pas à mes petites voitures ! »
    Lire la suite

  • Ecole : nouvelles agressions contre les enfants

    Depuis fin 2013, une exposition-atelier intitulée "des elles, des ils" est diffusée dans diverses institutions de vulgarisation scientifique de France : le Forum Départemental des Sciences de Villeneuve d'Asq fin 2013, Cap Sciences à Bordeaux du 5 avril au 31 août, et ensuite d'autres villes, selon France Info

    A destination des enfants de 3 à 6 ans, elle veut faire la promotion de "l'égalité filles-garçons", mais s'appuie en réalité très clairement sur l'idéologie du genre. Découvrez cette vidéo de présentation de l''exposition, décryptée par Vigi-gender33.

    Les organisateurs veulent y faire venir les enfants des écoles maternelles du département. Ainsi les familles n'auront pas le choix. D'autant que le document d'invitation envoyé aux enseignants est sans équivoque (cf notamment les phrases surlignées en jaune).

    Une pétition a été lancée. Après quelques heures de lancement, elle a déja réuni près de 10 000 signatures !

    Vigigender 33 exprime sa plus vive inquiétude devant cette initiative inutile, dangereuse et subversive qui cherche à prendre la place des familles, et risque de semer le trouble chez nos enfants dans l'acquisition de leur identité sexuée. De telles initiatives doivent être dénoncées et stoppées. Que l'on laisse enfin nos enfants grandir tranquilles !  

    Michel Janva

  • Procès contre Aube Dorée : un membre du gouvernement avoue l’existence d’un complot d’État

    Le gouvernement grec fait face à un énorme scandale depuis hier après des révélations du chef de cabinet du premier ministre, Antonis Samaras, selon lesquelles les arrestations et procès visant le parti nationaliste Aube Dorée a été monté intégralement par Samaras en personne.

    Des dirigeants de l’Aube Dorée sont sous le coup d’un vaste procès pour “participation à une organisation terroriste”. Le gouvernement Samaras ayant, sur demande du Congrès juif Mondial, décidé de frapper le mouvement nationaliste grec.

    Cette thèse vient de s’effondrer après la diffusion d’une vidéo dans laquelle le chef de cabinet du premier ministre grec, Panos Baltakos, donne son témoignage sur le rôle joué par le chef du gouvernement et le ministre de la Justice dans un coup monté contre l’Aube Dorée. Après la diffusion du document vidéo à la presse, Baltakos a donné sa démission.

    Ces révélations tombent on ne peut plus mal pour le pouvoir. Le jour même de ces révélations, le gouvernement de Samaras avait en effet demandé la levée de l’immunité parlementaire de cinq autres députés de l’Aube Dorée encore libres afin de les associer aux accusations formulées jusqu’à présent contre le parti. Et ainsi neutraliser ces représentants du peuple grec.

    Sans surprise, la presse française évoque l’affaire sous un angle biaisé. Ainsi Le Monde titre-t-il : “Grèce : le bras droit de Samaras soupçonné de collusion avec Aube dorée“. Ce n’est bien sûr pas ce qui créé un véritable scandale en Grèce, mais bien les révélations de Baltakos sur “l’inexistence de preuves” contre les députés arrêtés et le complot d’état orchestré par Samaras. Dans l’article du Monde, pas une ligne sur Samaras qui est pourtant au coeur de la vidéo

    Transcription de l’échange

    La vidéo ci-jointe est le document délivré à la presse. L’ancien candidat de l’Aube Dorée aux élections municipales d’Athènes et désormais chef du service de presse du parti,  Ilias Kasidiaris, y discute avec le ministre des Affaires Etrangères Panos Baltakos.

    Ilias Kasidiaris : Tout d’abord, comment a réagi Samaras (le premier ministre grec, NDLR) quand je suis sorti de prison ?

    Panos Baltakos : Il était aux USA à ce moment là.

    Kasidiaris : Oui il était aux USA mais j’ai entendu dire qu’il est devenu fou de rage.

    Baltakos : Il était choqué. Un bordel pas possible. Il ne m’a pas appelé. Je lui ai dit que ce qu’il était en train de faire… Je lui avais dit. Mais il ne voulait pas m’en parler. Il a appelé les deux autres et les a “baisé”. Athanasiou (ministre de la Justice d’alors, NDLR) et Dendias (ministre de la Sécurité Intérieure d’alors, NDLR). Il leur a dit : “Vous m’avez ridiculisé, c’est une blague ou quoi ?”. Parce que le jour précédent, il avait annoncé à la Convention du Congrès juif Mondial : “C’est fini, je les ai arrêté (les membres d’Aube Dorée), au revoir !” et le jour d’après tu étais relâché.

    Kasidiaris : Que s’est-il passé avec les enquêteurs qui nous ont laissé sortir ? Parce qu’ils ont changé d’avis après nous avoir relâché, avant qu’on avertisse les autres.

    Baltakos : Ils vous ont laissé partir pour une raison simple : il n’y avait aucune preuve.

    Kasidiaris : Oui il n’y avait rien.

    Baltakos : Et personne n’a mis la pression sur eux parce qu’ils pensaient tous que ça se passerait en douceur. Ils se disaient “Bon, de toute façon qu’est-ce que les enquêteurs feront d’autre ?”. Mais les enquêteurs n’avaient aucune preuve. Aucune.

    Kasidiaris : Mais il (Samaras) n’avait pas de preuves non plus contre les autres.

    Baltakos : Non parce que pour eux c’était juste une histoire de coup de téléphone.

    Kasidiaris : Qui a fait ces dégâts là-bas ?

    Baltakos : Ces deux-là.

    Kasidiaris : Athanasiou et Dendias ?

    Baltakos : Qui d’autre ?

    Kasidiaris : Et que dit Samaras de ces choses ? Est-il conscient de ce qui se passe ?

    Baltakos : Non. Au début il ne s’est pas rendu compte. Mais maintenant qu’il voit les sondages d’opinion… Comme le bourgeois qu’il est, il devine que des choses terribles vont se passer. Il m’a dit : “L’Aube Dorée tombera à 2%. Je lui ai dit : “Ils monteront à 20%”. “Tu es un branleur” m’a-t-il répondu.

    Kasidiaris : Qui lui a demandé (à Samaras) de faire tout ça ?

    Baltakos : D’abord, il a peur pour lui même. Vous lui infligez des coups et Syriza (extrême-gauche) prend la tête.

    Kasidiaris : On lui prend des votes, OK.

    Baltakos : C’est logique.

    Kasidiaris : Et parce qu’on lui prend des voix, il nous met en prison ?

     Baltakos : Fils de pute… Un truc incroyable…

    Kasidiaris : Et Goutzamani, les choses qu’elle a faite, j’ai des informations comme quoi elle serait totalement à droite.

    Baltakos fait le signe de croix.

    Kasidiaris : Elle est si croyante.

    Baltakos : Oui !

    Kasidiaris : Comment a-t-elle pu faire toutes ces abominations avec Vourliotis (Procureur général de la Cour Suprême grecque) et venir avec ces allégations ?

    Baltakos : Ils l’ont convaincue que les membres d’Aube Dorée sont des païens, des idolâtres, des nazis, opposés au Christianisme.

    Kasidiaris : Qui l’a convaincue de ces choses ?

    Baltakos : Athanasiou et Dendias.

    Kasidiaris : Vous allez chez le procureur et vous lui dites qui a monté tout ce plan, qu’Athanasiou a donné des ordres à Goutzamani, que Samaras donne des ordres à Athanasiou et ils vont tous au tribunal. Si vous êtes un homme juste, c’est ce que vous devriez faire.

    Baltakos : Si je faisais ça, il y aurait une enquête préliminaire qui durerait une heure et demi et qui serait enterrée.

    Kasidiaris : Vous pensez ?

    Baltakos : Evidemment ! Je ferais ça avec Samaras au pouvoir ? Chez quel procureur irais-je ? Goutzamani est le procureur. Je vais dénoncer Goutzamani à elle-même ?

    Kasidiaris : Comment Goutzamani est-elle devenue procureur de la Cour Suprême ?

    Baltakos : Parce qu’elle est du même village.

    Kasidiaris : Donc maintenant, elle renvoie l’ascenseur ?

    Baltakos : Oui, elle est du même village. Bon d’accord, pas du même village, mais d’un village voisin. Ils ont été dans les mêmes compétitions, ils ont le même âge. Ce sont des amis, il n’y a rien d’autre à chercher que ça.

    Source

    http://www.contre-info.com/proces-contre-aube-doree-un-membre-du-gouvernement-avoue-lexistence-dun-complot-detat#more-32190

  • Combien coûte l’ enfant de François Hollande et Anne Hidalgo aux contribuables ?

    « Dans un entretien accordé au site internet suisse lesobservateurs.ch, Xavier Kemlin s’interroge sur le coût de l’enfant de François Hollande et Anne Hidalgo pour les contribuables français.
    Xavier Kemlin s’était déjà illustré pour avoir porté plainte contre François Hollande dans le cadre de différentes affaires, notamment celle du statut de l’ex-compagne présidentielle Valérie Trierweiler. Xavier Kemlin souligne aujourd’hui le grand silence de la presse française concernant le coût pour les contribuables de l’enfant que François Hollande a eu avec Anne Hidalgo, notamment le coût de sa protection. Il pointe également du doigt tout le système de copinage et de passe-droits mis en place par François Hollande, allant même jusqu’à parler d’une oligarchie. »

    http://www.contre-info.com/

  • Taubira au secours de la mafia ? Tribune libre

    04/04/2014 – PARIS (NOVOpress) – Tribune libre - Depuis l’arrivée de Christiane Taubira à la tête du ministère de la Justice, les Français ont le privilège, douteux, de constater l’amour immodéré de celle-ci pour les petites frappes, dealers, et autres racailles qui font régner la loi et la terreur dans nombre de nos rues : suppression des peines plancher, élargissement des possibilités d’esquiver la prison pour les délinquants – alors même que les peines inférieures à deux ans d’emprisonnement ne sont déjà pas exécutées -, multiplication de la paperasse à remplir pour les policiers, qui sont aujourd’hui trop occupés à faire de la procédure pour pouvoir prendre le temps d’assurer la sécurité des Français… Quand dans le même temps, les opposants politiques sont allègrements matraqués, gazés, jetés en prison immédiatement à l’issue de leur procès.

    Nous nous étions habitués à ce deux poids, deux mesures, à voir la France normale piétinée par les services répressifs tandis que racailles et trafiquants de drogue ressortaient triomphant des tribunaux ; nous avions cessé de nous étonner de voir les nervis de l’État socialiste récompensés pour avoir allègrement violé les droits des citoyens, tandis que des enquêteurs dévoués voyaient des mois de travail anéantis sous prétexte d’une quelconque faute de procédure imaginaire.

    Sans doute un peu naïvement, nous pensions que la politique de Christiane Taubira exprimait un simple gauchisme primaire, que la Garde des Sceaux voyait dans le pauvre (bénéficiaire d’aides sociales très généreuses), l’étranger (accueilli à bras ouverts par l’État), le dominé (soutenu par toutes les associations anti-racistes) quelqu’un qu’il faut aider, et dont les dérapages éventuels ne sont qu’une réaction à l’oppression dont il est nécessairement la victime.

    Oubliant au passage les pères de famille assassinés par la racaille, les femmes violées parce qu’elles sont blanches, ou les familles contraintes de baisser la tête en rentrant chez elles parce que leur hall d’immeuble est squatté par des dealers.
    Bref, nous imaginions que Christiane Taubira n’était qu’une soixante-huitarde arriérée, une idéologue de la haine de la France, une fanatique libérale-libertaire. Las ! C’est pire encore !

    C’est un article du Figaro daté du 26 mars qui nous l’a appris. Non contente de réduire les possibilités d’action de la police contre la racaille, Christiane Taubira s’apprête désormais à réduire les possibilités d’action de la police et de la douane contre les criminels en col blanc, en supprimant la possibilité de garde-à-vue de 96 heures pour les affaires d’escroqueries en bande organisée. Et l’escroquerie en bande organisée, ce n’est pas rien. Ce sont des fraudes coûtant des milliards d’euros à l’État. Ce sont des dossiers permettant de s’en prendre aux mafias et groupes criminels internationaux. L’escroquerie en bande organisée, ce n’est un pauvre petit jeune de banlieue discriminé victime de contrôles au faciès et de la méchanceté de la société qui est vraiment trop injuste. L’escroquerie en bande organisée, ce sont des criminels, des truands, des politiciens véreux. Ce sont des gens qui brassent des milliards d’euros, qui enrichissent les paradis fiscaux, et qui assassinent impunément, à Naples ou à Paris.

    Nous savions que Christiane Taubira était la ministre des racailles et des dealers, nous découvrons qu’elle est également la ministre des criminels internationaux et des corrompus. Avec Taubira, c’est la mafia ! La Garde des Sceaux n’introduit pas ce changement dans le cadre d’un projet mûrement réfléchi, d’une évolution savamment pensée, d’une évolution globale et concertée. Ce projet de loi est passé au Sénat le 24 février dernier en procédure accéléré, dans la plus grande discrétion.

    Pour aider racailles, dealers, et autres délinquants de cité, Christiane Taubira le revendique, le fait au grand jour. Par contre, pour venir en aide aux criminels en col blanc et aux politiciens corrompus, elle le fait dans en silence, espérant sans doute que cette discrétion perdurera jusqu’à l’examen du projet de loi par l’Assemblée en avril. Mais Christiane Taubira n’est pas seule dans cette entreprise. Le projet de loi a été voté avec le soutien de nombreux sénateurs, de gauche certes, mais aussi de droite. Ces sénateurs étaient-ils motivés par l’intérêt général, par la volonté de leurs électeurs ? Quand les politiciens rendent plus compliqué de lutter contre la corruption politique, il est permis d’en douter…

    Il est particulièrement inquiétant de voir qu’autant de parlementaires, de tous les bords politiques, se sentent menacés par les enquêtes contre les escroqueries, et nous ne pouvons que craindre que les affaires actuelles qui éclaboussent la classe politique (Guérini, Dassault…) ne soient que la partie émergée de l’iceberg.

    Anthony Florent

    http://fr.novopress.info/161636/taubira-au-secours-mafia-tribune-libre/#more-161636