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Onze hommes et femmes, originaires de la communauté des gens du voyage de Bulgarie, ont été condamnés, fin juin par le tribunal correctionnel de Paris. Ils étaient soupçonnés de tenir des ados en esclavage pour les contraindre à dépouiller les touristes.
C’était le 15 juin dernier. Autant dire avant. Avant les émeutes. Élisabeth Borne, en déplacement dans la Vienne où elle fut jadis préfète, assistée de pas moins de trois ministres, venait présenter son plan France Ruralités. Tout ce beau monde, devant un parterre d’élus locaux (Région, département, intercommunalités, communes) s’était même dépaysé à Montmorillon, charmante petite ville du Poitou de 6.000 habitants. Un remake du sous-préfet aux champs.
Ce jeudi 6 juillet, Christine Kelly et son chroniqueur Marc Menant ont annoncé, par la voix de leur avocat, leur intention de porter plainte contre Marine Tondelier, secrétaire nationale d'Europe Écologie Les Verts (EELV). Pour Maitre Gilles-William Goldnadel, leur conseil, « à l’heure où l’extrême gauche maltraite les Français, c’est un honneur ».
Au cœur des émeutes le 30 juin dernier à Angers, des membres du Rassemblement des Étudiants de Droite (RED) ont dû se défendre face à des attaques coordonnées. Ils ont été victimes de plusieurs assauts après que l’extrême gauche a diffusé l’adresse de leur local.
Alors qu’ils n’ont fait que se défendre, ces jeunes patriotes angevins ont immédiatement subi les mensonges médiatiques et les attaques judiciaires à leur encontre :
• La presse les a qualifiés de tous les noms, les accusant mensongèrement d’avoir tabassé gratuitement des passants.
• Pour s’être défendus contre leurs agresseurs, plusieurs militants du RED ont été placés en garde à vue.
• Enfin, leur local a été perquisitionné le lundi 3 juillet. 2 jours plus tard, il était fermé administrativement.
A l’heure qu’il est, plusieurs militants dont sont en garde à vue et passeront en comparution immédiate ce vendredi 7 juillet, sachant que selon nos informations, le refus (légal) de passer en comparution immédiate aurait pu entrainer une mise en détention provisoire (pour un maximum de 6 semaines).
Face à cette répression médiatico-judiciaire digne de méthodes soviétiques, l’ASLA a décidé de venir en aide aux militants du RED Angers et s’engage à prendre en charge une partie des frais liés à la destruction de la porte du local angevin par les émeutiers et l’extrême gauche.
« Alors que la France s’enfonce dans ce qui ressemble de plus en plus à une guerre civile larvée, il est capital que les jeunes patriotes ne se retrouvent pas piégés entre le marteau des hordes d’émeutiers et l’enclume de la répression étatique. Pour soutenir ces jeunes Angevins face à la persécution judiciaire et les aider à réparer leur lieu de rassemblement, faites un don à l’ASLA » indique l’association dans un communiqué.
La solidarité est en marche.
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
On peut être de gauche ou être sensible à la justice sociale et au fait de ne laisser personne sur le bord du chemin par humanisme et c’est mon cas.
Mais il est possible d’avoir cette sensibilité sans avoir de détestation du riche ou sans dire des âneries économiques.
Dans le classement de Challenges, il y a les 500 familles françaises les plus riches. Cette richesse n’est pas un flux de revenus, mais la valorisation au moment de la clôture du bilan des actifs détenus.
La valeur d’une entreprise va fluctuer dans le temps à la hausse comme à la baisse.
À Lorient, des militaires – hors service – ont prêté, en tant que citoyens, main forte à la police contre des émeutiers. Ils font l’objet d’une enquête de commandement.
À Angers, de jeunes patriotes ont été agressés devant leur local à coup de mortiers et de machettes. Ils se sont défendus. Ils ont été placés en garde à vue. Partout en France, des citoyens qui payent leurs impôts et leurs amendes vont devoir refinancer des équipements publics détruits dans des quartiers de l’immigration sous contrôle des dealers. Et une semaine d’émeutes ethniques va être utilisée par le pouvoir pour restreindre les libertés publiques et la liberté d’expression. Ce régime d’extrême centre porte un nom : l’anarcho-tyrannie. En 2021, Jean-Yves Le Gallou accordait un entretien à Breizh-Info à propos de ce concept d’anarcho-tyrannie, mélange de laxisme et d’autoritarisme décrit parfaitement la logique de l’État français et du régime Macron. Quel meilleur moment pour publier à nouveau cet entretien, plus que jamais d’actualité ? Polémia
Avant de se rendre sur l’étape du Tour de France, le président a échangé avec des élus du 64 ce jeudi matin à Pau. Il est revenu longuement sur les émeutes :
À Lyon, c'est un peu comme à Paris ou à Bordeaux. Ou à Grenoble. Ou à Nantes. Les riches habitants du centre, que l'on appelle parfois bobos, ont élu des maires hors-sol qui prennent des décisions incompréhensibles au commun des mortels.
Et à Lyon... eh bien, à Lyon, on a une police municipale, mais on ne s'en sert pas. Du moins, pas vraiment. Bien sûr, les agents municipaux doivent être bien occupés en temps de paix, avec les petits ou grands délits ainsi que les P.-V., probablement. Mais en temps de pré-guerre civile, comme lors des émeutes qui ont organisé la rencontre entre les bourgeois et les racaille, niet.
La chambre d'instruction de la cour d'appel de Versailles a décidé, ce jeudi 6 juillet, de le maintenir en détention provisoire. Que devient le policier Florian M., auteur du coup de feu fatal au jeune Nahel tiré le 27 juin lors d'un contrôle routier ? Ce 5 juillet, à 9 h 00, Romain Baubry, député RN de la 15e circonscription des Bouches-du-Rhône depuis 2022, a voulu le savoir. Sans avoir prévenu personne, comme son mandat parlementaire lui en donne le droit, il s’est présenté à l’entrée de la prison de la Santé, célèbre et ancien établissement pénitentiaire du XIVe arrondissement de Paris, où est détenu le policier mis en examen pour homicide volontaire. Le jeune député de 34 ans est seul : pas d’autres élus, pas de médias, il n’est accompagné que de sa collaboratrice parlementaire.