
Les autorités américaines ont mis au point une nouvelle façon d’équiper l’armée ukrainienne. Des tracts sont apparus dans les villes américaines exhortant les sans-abri à rejoindre la Légion internationale pour la défense de l’Ukraine.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Les autorités américaines ont mis au point une nouvelle façon d’équiper l’armée ukrainienne. Des tracts sont apparus dans les villes américaines exhortant les sans-abri à rejoindre la Légion internationale pour la défense de l’Ukraine.
La commission des libertés civiles a approuvé mardi une nouvelle approche pour la gestion des flux d’asile et de migrations vers l’UE et des règles spécifiques pour faire face aux crises.
Par 47 voix pour, 17 voix contre et 1 abstention, les députés ont adopté leur position sur la proposition de mise à jour du règlement de l’UE en matière d’asile et de gestion des migrations. Le texte adopté modifie les critères permettant de déterminer le pays de l’UE responsable de l’examen d’une demande de protection internationale (règles dites de Dublin), notamment si des liens familiaux ou éducatifs existent dans un État membre donné.
Le démon a ses gorgones et les caresse. Dans la plus infâme laideur !
Dans une précédente chronique nous avons eu l’occasion de le dire : le désastre, au plus juste du mot, signifie la perte de l’étoile. Perdre l’étoile, c’est perdre la lumière, c’est perdre le guide de la pensée et de l’action ordonnées au bien, au beau, au vrai, au juste ; c’est se mouvoir à l’aveugle dans le noir des ténèbres et rien que lui. Au mieux, c’est marcher à la lunette infrarouge non pour éviter les obstacles mais pour s’aider à les franchir et ne point tomber en les franchissant. Mais c’est toujours marcher dans le noir. Dans le noir des idées, dans le noir de la conscience ; dans celui de la haine et celui de la révolte. Permanente révolte. Car le propre du désastre est de ne point sortir de la caverne de Platon et de se figurer qu’au-delà de l’apparence il y a encore de l’apparence. Alors, puisque le ciel des idées claires n’est qu’une affaire bourgeoise contre laquelle il faut produire des utopies révolutionnaires, la mouvance de l’ultra gauche s’enfonce dans les abîmes du très obscur matérialisme athée.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
A la Banque de France on n’est pas content, et c’est le moins que l’on puisse dire de la tentative de Bercy de faire pression pour faciliter le financement des crédits immobiliers.
Voilà ce que l’on pouvait lire il y a quelques jours dans les colonnes des Echos (source ici), dans un article intitulé « Crédit immobilier : le gouvernement prêt à assouplir certains critères d’octroi »
« La chute de la production de crédit immobilier commence à inquiéter jusqu’à Bercy. Le ministère de l’Economie et des Finances serait ainsi prêt à ouvrir la discussion sur les critères d’octroi gravés dans le marbre en 2022 par le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF). »
par Pauline Perrenot
Face à la répression des mobilisations sociales et écologistes, si les violences policières ont « fait l’agenda » de certains grands médias plus rapidement qu’au moment des manifestations des Gilets jaunes, le traitement médiatique est encore loin d’être à la hauteur des enjeux…1
Réquisitions des travailleurs et casses des piquets de grève, nasses, arrestations et gardes à vue arbitraires, procédures judiciaires expéditives, charges, coups de matraque, usage à outrance de gaz lacrymogènes et de grenades classifiées comme armes de guerre, entraves et violences sur les journalistes et reporters… Depuis la mi-mars, et le recours au 49.3 en particulier, la répression s’abat sur le mouvement social, que celui-ci s’exprime contre la réforme des retraites ou sur le terrain écologique, à Sainte-Soline, contre la construction de méga-bassines.
Bernard Germain
À Callac (2 200 habitants), le projet Horizon de la Fondation Merci prévoyait de faire venir 70 familles africaines, ce qui représentait environ 530 personnes, c’est à dire 25 % de la population du village.
Toute personne ayant un minimum de bon sens ne pouvait qu’être alertée par un tel projet.
En effet, importer autant de personnes tellement différentes dans un petit village breton ne pouvait que créer une multitude de problèmes. Les promoteurs de ce projet refusaient de prendre en compte cette réalité.
Face à cela, la population s’est mobilisée et a dit au maire :
L’émission d’Élise Lucet n’en dira pas un mot. Aucun téléspectateur ne saura que ce maire de « gôche » refusa la consultation de sa population, déclarant en public sur le marché « je ne ferai pas de référendum parce que 80 % de la population est contre ».
A la une de cette édition, le déplacement présidentiel d’Emmanuel Macron en Chine.
Nous reviendrons ensuite sur la multiplication des actes antichrétiens.
Et enfin, une page politique locale avec les Français globalement satisfaits de leur maire mais pas de leurs impôts.
https://tvl.fr/macron-l-idiot-de-printemps-jt-du-jeudi-6-avril-2023
par John et Nisha Whitehead
« Nous, les Américains, sommes les ultimes innocents. Nous sommes toujours prêts à croire que, cette fois, le gouvernement nous dit la vérité ». (Sydney Schanberg, ancien journaliste du New York Times)
Parlons de fake news, d’accord ?
Il y a d’abord les « fake news » classiques, qui ne sont pas vraiment des « nouvelles », mais plutôt des informations titillantes, dignes d’un tabloïd, colportées par toute personne disposant d’un compte Twitter, d’une page Facebook et d’une imagination débordante.
Ces histoires vont du ridicule et du clic évident à la satire et à la manipulation politique.
Toute personne dotée d’un peu de bon sens et d’un accès à l’internet devrait être en mesure de démêler le vrai du faux dans ces histoires en effectuant quelques recherches élémentaires.
Jean-Paul Brighelli, en pleine rédaction d’un ultime essai sur l’École à deux vitesses, qui s’intitulera École des riches, École des pauvres, propose dans Causeur quelques bonnes feuilles…
Les vingt dernières années se caractérisent par une prolétarisation de la classe moyenne, qui faisait tampon et s’accrochait, via diverses stratégies d’évitement, à l’illusion que ses enfants échapperaient à la Fabrique…