
09/02/2023
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09/02/2023
Une belle tête de winner
L’association Cocarde lycée a diffusé sur Twitter des images de cette intervention. Le lycée Dupuy de Lôme a porté plainte pour «accusations diffamatoires».
Le lycée Dupuy de Lôme, à Lorient, a organisé la semaine passée une visite de l’association SOS Méditerranée, agréée par l’Éducation nationale, auprès de classes de première qui suivent la spécialité histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques. «Ça devait entrer dans le thème des “frontières”, qui est au programme», explique au Figaro Fabien*, élève proche de la Cocarde Lycée, une association de droite implantée à Lorient, qui a assisté à l’intervention. «Mais la question n’a jamais été abordée sous cet angle alors que ça remplaçait officiellement le cours», assure-t-il.
Indépendamment des enjeux militaires qui mobilisent l’attention, c’est la véritable clef du scénario : les Etats-Unis veulent demeurer la puissance qui domine le monde. Face à la montée de la Chine, il est nécessaire de vassaliser l’Europe, de la maintenir dans l’état de prolongement de l’empire anglo-saxon à l’ouest tandis que les alliés de l’est, du Japon à l’Australie, compléteront le dispositif d’encerclement. Cette inféodation de l’Europe est une vieille tendance, dont paradoxalement, la prétendue construction européenne a été l’instrument.
Le député nationaliste Grégoire de Fournas reproche aux élus du conseil départemental de «donner 50.000 euros pour financer l’immigration illégale», en subventionnant l’association SOS Méditerranée.
Il persiste et signe. Grégoire de Fournas, député Rassemblement national de la Gironde, connu pour avoir scandé à l’Assemblée nationale, à propos de migrants à bord de l’Ocean Viking, «qu’ils retournent en Afrique», a publié sur son compte Twitter ce vendredi un photomontage qui a fortement déplu aux élus du département.
Malgré les molles objections de David Pujadas pendant le débat sur le bienfondé de la «dérussisation» de la Crimée, Moscou n'a semble-t-il pas trouvé le contenu de LCI très équilibré.
Le Premier représentant permanent adjoint de la Russie à l'ONU Dmitry Polyanskiy a évoqué au détour de son intervention devant le Conseil de sécurité le 6 février un passage du 5 janvier de la chaine d'information française qui avait suscité beaucoup de réactions sur les réseaux sociaux.
Dans une république monarchique comme la nôtre, la disparité du montant des retraites entre ceux qui sont au sommet de la pyramide sociale et ceux qui sont en bas est énorme.
En commençant par le chef de l’Etat, tous les élus, les ministres, les membres du Conseil constitutionnel, du Conseil d’Etat, du Sénat, les députés (trop nombreux) et tous les hauts fonctionnaires.
Selon le mensuel « Contribuables Associés » et, à titre d’exemple, les membres du Conseil constitutionnel touchent sans trop d’efforts 16 000 €uros par mois avec retraite cumulable. Un sénateur avec deux mandats de plus de 6 ans touchera environ une retraite de 3 700 €uros mensuel. Mais par contre, il peut cumuler jusqu’à 5 retraites et travailler en touchant sa ou ses retraites. Ils peuvent aussi conserver une retraite par capitalisation. Et la liste est loin d’être exhaustive.
La discussion du projet gouvernemental de rafistolage des retraites d'État, dites par répartition, a donc commencé à l'Assemblée nationale ce 6 février. La date vit trembler le régime, il y a près d'un siècle de cela, en 1934. Cette évocation symboliquement désuète résume à elle seule les limites de l'épure, comme un hommage rétrospectif à la nostalgie des ligues antiparlementaires de la troisième république.