De Ségolène Royal à Marine Le Pen, tout en passant par Jean-Luc Mélenchon et Éric Zemmour, nombreuses sont les voix à s’élever contre le manichéisme politico-médiatique dans la guerre qui oppose Moscou à Kiev. Mais le 10 mars, sur le plateau de LCI, c’est une autre voix, d’un autre genre et d’un tout autre profil, qui se fait entendre : celle de l’Espagnol Josep Borrell, ancien ministre socialiste et Haut représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité. Elle n’en a paradoxalement que plus de poids, puisque allant à l’encontre de la doxa dominante de l’organisme dont il est l’éminent représentant ; qu’on en juge.
magouille et compagnie - Page 590
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Josep Borrell, vice-président de la Commission européenne, reconnaît ses torts dans le conflit russo-ukrainien
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Scandale Bigorgne : la plaignante porte plainte contre la police et le procureur
Laurent Bigorgne était conseiller d’Emmanuel Macron durant sa précédente campagne présidentielle, ce qui pousse l’avocat de la plaignante à s’interroger sur de possibles pressions. Pour l’avocat de Sophie Conrad, l’enquête contre l’ancien directeur de l’Institut Montaigne «a été volontairement oblitérée».
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Ukraine : le scandale des laboratoires bactériologiques financés par les Etats-Unis
Quand nous avions évoqué ce sujet, certains lecteurs avaient pris cela pour de la basse propagande russe. Pour mémoire, voici ce qu’écrivait Nicolas Hellemme, correspondant sur place :
Par ailleurs ce 7 mars les russes ont aussi commencé à publier des éléments sur les 30 laboratoires bactériologiques mis en place à travers tout l’ouest et le centre de l’Ukraine avec l’aide des Etats-Unis – les autorités russes semblent disposer de listes d’expériences et de pathogènes qui y étaient stockés, notamment de virus de la variole, de la peste noire ou encore de l’anthrax, à côté desquels le coronavirus paraît bien bénin.
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Une filière d’immigration clandestine démantelée en Limousin et dans l’Indre : un Irakien, deux Syriens et une Française, employée à la mairie de Limoges, interpellés
Un Irakien de 51 ans, deux Syriens de 60 et 45 ans et une Française, employée à la mairie de Limoges, ont été placés sous contrôle judiciaire à l’issue de leur audition par un juge d’instruction. Ils ont été arrêtées mardi en Limousin et dans l’Indre pour avoir organisé l’entrée irrégulière et l’aide au séjour de dizaines de ressortissants irakiens et syriens, a appris l’AFP vendredi 11 mars de source judiciaire. De sources concordantes, la fonctionnaire impliquée, âgée de 49 ans, n’a pas utilisé sa position au sein de la mairie pour favoriser l’accueil de ces migrants.
Selon l’enquête, des dizaines de migrants sont passés par cette filière et ont versé plusieurs milliers d’euros pour pouvoir venir s’installer en France ou entamer des démarches administratives afin d’obtenir le statut de demandeur d’asile. Ils obtenaient alors le versement d’allocations.
L‘enquête a été menée pour aide à l’entrée au séjour irrégulier en bande organisée, obtention indue de carte d’identité et de prestations sociales et faux et usage de faux. Entamée depuis plusieurs années par la police aux frontières, elle a conduit à une co-saisine du Service régional de la police judiciaire (SRPJ) de Limoges en raison de flux financiers importants entre l’un des Syriens impliqués et des États de la péninsule arabique.
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Une campagne trafiquée
C'est seulement de façon furtive que j'ai visionné le débat supposé déchirant ce 10 mars entre deux candidats de droite, dont je crois connaître les programmes. À lire froidement leurs textes écrits on les découvre d'ailleurs plus convergents sur le fond qu'on veut bien le dire et qu'ils le prétendent eux-mêmes. Et si leurs styles s'opposent leurs électeurs du premier tour devraient pouvoir s'additionner au second puis aux législatives. Du moins normalement.
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I-Média : La vérité, première victime de la guerre
L’image de la semaine
Yvan Colonna, le tueur du préfet Erignac en 1998, est tombé dans un coma profond suite à une agression acharnée par un de ses codétenus de la prison d’Arles. Retour sur les dessous d’une affaire dont vous n’avez pas entendu tous les détails dans la presse française.
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Maxime Thiebaut "ça suffit de se faire insulter pour défendre des libertés"
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L’incitation à la violence et à la haine est désormais autorisée sur Facebook
… mais uniquement contre les autorités russes. Ce sont les deux minutes de la haine que George Orwell avait évoqué dans son roman 1984.
Meta, la maison mère de Facebook et d’Instagram, a annoncé jeudi faire des exceptions à son règlement sur l’incitation à la violence et à la haine en ne supprimant pas des messages hostiles à l’armée et aux dirigeants russes.
«En raison de l’invasion russe de l’Ukraine, nous faisons preuve d’indulgence pour des formes d’expression politique qui enfreindraient normalement nos règles sur les discours violents telles que ‘mort aux envahisseurs russes». «Nous continuons de ne pas autoriser des appels crédibles à la violence contre des civils russes».
Que personne ne s’en prenne à Macronescu !
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Ukraine : des couloirs humanitaires sans issue
Les premières négociations entre Kiev et Moscou avaient pour but de mettre en place des couloirs humanitaires pour évacuer les civils de Kiev, Marioupol, Soumy et Kharkiv, quatre villes qui subissent des bombardements et qui s’attendent à une attaque au sol. Mais même cette mesure tourne à l’épreuve de force, car quatre des six couloirs proposés par Moscou conduisent à Moscou et à la Biélorussie.
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Alors que la guerre fait rage en Ukraine, le Parlement Européen vote en faveur d’une analyse de la conception de ses WC dans l’objectif d’en mettre en place des neutres