
Le New York Times est le “parrain des fake news” qui “altère délibérément et radicalement l’histoire” depuis plus d’un siècle, a déclaré l’auteur d’un nouveau livre explosif sur le journal à Breitbart dans une interview exclusive.
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Le New York Times est le “parrain des fake news” qui “altère délibérément et radicalement l’histoire” depuis plus d’un siècle, a déclaré l’auteur d’un nouveau livre explosif sur le journal à Breitbart dans une interview exclusive.
Après les évènements du 6 janvier 2021, lorsqu’une foule de partisans de Trump avait envahi le Capitole aux États-Unis, les réseaux sociaux Facebook et Twitter avaient pris la décision de censurer Donald Trump. La nouvelle avait fait scandale, des dizaines de millions d’abonnés voyaient leur président se faire couper la parole définitivement. D’autres médias avaient suivi en censurant à leur tour (Instagram, YouTube, Twitch, Snapchat). Les archives nationales étasuniennes conservant toutes les publications du compte Twitter de l’ancien président, ceux qui voulaient à nouveau les rendre publiques ont vu leur tentative immédiatement bloquée par l’oiseau bleu.
Par Paul Tormenen, juriste et spécialiste des questions migratoires ♦ Le président de la République française élue le 7 mai 2017 n’a jamais caché sa volonté d’approfondir l’intégration européenne. Au début de son mandat, le 26 septembre 2017, il prononçait en grande pompe un fervent plaidoyer pour « une Europe souveraine, unie, démocratique » (1). Joignant les actes aux paroles, Emmanuel Macron, depuis sa prise de fonction, n’a pas cessé de montrer des signes d’allégeance à une certaine conception de l’Union européenne. Au point de faire parfois passer les intérêts de la France après ceux des autres pays de l’UE. Cette obsession à vouloir être le meilleur élève de la classe se vérifie dans de nombreux domaines. Emmanuel Macron semble tout faire pour que la présidence française de l’Union européenne durant le premier semestre 2022 soit le marchepied à sa réélection.
Le billet de Patrick Parment
Une fois de plus, nos dirigeants se foutent littéralement de notre g… et réduisent la démocratie à son plus petit dénominateur commun. Ce qui explique en grande partie les taux d’abstentions records aux élections quelles qu’elles soient. De quoi s’agit-il ? Tout simplement de la bouglionesque prestation d’Emmanuel Macron en matière de sécurité. A l’image d’un Sarkozy – il n’est pas plus grand, 1m10 et 3 de tension – Macron veut nous montrer qu’il a du muscle. Cette pantomime, tous, de droite à gauche, nous l’ont déjà faite et notamment les ministres de l’Intérieur de Pasqua à Sarkozy en passant par l’Espagnol « qui n’a pas une goutte de sang français », Manuel Valls.
Deux filières d’immigration clandestine, l’une ukrainienne l’autre moldave, ont été démantelées début avril en Seine-et-Marne, après avoir détourné au moins un million d’euros d’allocations pour demandeurs d’asile. Neuf personnes – six Ukrainiens, trois Moldaves – ont été interpellées et écrouées au terme d’une enquête menée depuis juillet 2020 par l’Office central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi d’étrangers sans titre (Ocriest).
Bernard Plouvier
Notre Génial Président-Dictateur-Général (PDG, pour faire court) s’est mué en démagogue : dépenses folles, déroute des magistrats qui ne rendent plus la « Justice », enfin mépris ouvertement affiché de la police.
Il est évident que la République macronienne non seulement « ne marche pas », mais encore expose au risque d’explosion sociale. De Gaulle disait au milieu des années Soixante : « Moi ou le Chaos ! ». Macron, c’est l’apprenti-sorcier qui mène directement à la banqueroute de l’État – ce n’est pas chose nouvelle en France -, mais aussi à la guerre des races et des religions sur le sol métropolitain. Bref, Méphisto-PDG risque d’incendier le pays.
Des manifestants du mouvement Black Lives Matter au Minnesota se sont agenouillés et ont défilé pour dénoncer une fusillade mortelle avec la police, avant de revenir lorsqu’ils ont appris que c’était un carjacker blanc qui avait tiré sur la police, selon des rapports. […]
Quelques-uns se souviennent sans doute de l’appel de Rémy Daillet-Wiedemann, en octobre 2020, à renverser la République et à abattre tous ses suppôts. Nous avions pris avec prudence pour ne pas dire méfiance les propos de celui que l’on pouvait peut-être qualifier d’illuminé, ainsi qu’en témoigne nos deux articles suivants :
Dans son récent débat avec Zemmour, Philippe de Villiers disait l’importance du “Roman national” parce qu’il est indispensable à la construction d’un imaginaire collectif, et que celui-ci est nécessaire pour qu’il y ait un peuple, un “démos”, conscient de son unité et de sa continuité. Faut-il encore préciser que sans ce “démos”, il n’y a évidemment pas de démocratie puisque plus de peuple souverain.
Le ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu (LREM / Ex-LR) a été entendu le 15 avril à Nanterre par la police anticorruption sur ses activités passées à la tête du département de l’Eure, qui font l’objet d’une enquête du parquet national financier pour «prise illégale d’intérêts», selon l’AFP. L’intéressé a reconnu avoir perçu une rémunération comme administrateur de la Société des autoroutes Paris Normandie alors qu’il était président du département de l’Eure, engendrant un possible conflit d’intérêts sur lequel enquête le PNF.