
En déplacement de campagne à Dijon ce lundi, le président de la République a demandé « un peu de bienveillance » au cours de la campagne électorale, faisant indubitablement référence au slogan « Macron assassin » scandé brièvement lors du meeting d’Eric Zemmour au Trocadéro ce dimanche. Un slogan qui ne passe pas chez celui qui méprise à longueur d’entretiens et de déplacements ses concitoyens, qui n’a pas hésité à envoyer les troupes policières éborgner des gilets jaunes, à discriminer les Français qui ne se plient à sa dictature sanitaire et vaccinale ni à les « emmerder » pour reprendre sa propre expression.






