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Une nouvelle qui en réjouira plus d’un : après le bannissement de Trump, et la fermeture arbitraire de centaines de milliers d’autres comptes Twitter et Facebook, l’action de ces géants du net s’effondre !
L’action Twitter cotée à la Bourse de Francfort était en forte baisse hier lundi après l’annonce de la fermeture par le réseau social du compte du président américain sortant, Donald Trump.
Depuis plusieurs semaines, une hypothèse circule, nourrie discrètement et à son corps défendant par l'entourage du Président de la République : pour éviter un désastre complet en 2022 ou, en tout cas, une forte prise de risque face à Marine Le Pen (qui gagne des points en se taisant et en perd en prenant la parole), voire pour éviter une élimination dès le premier tour, par exemple face à Xavier Bertrand, Emmanuel Macron prendrait tout le monde de vitesse en démissionnant de son poste au début du mois d'avril.
Le 6 janvier 2021, l’AFP diffuse une information (pour une fois) très peu reprise par les médias de grand-chemin : RMC est épinglée par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel pour « manque de respect des obligations de la radio en matière de traitement de l’information. » Après les médias dits de réinformation, la censure s’étendrait-elle aux médias officiels ? Il semble bien que la réponse soit oui.
Les exemples de censure se multiplient. Après CNews et Zemmour, sans cesse montrés du doigt, ainsi que le décrivent ces articles parus sur l’OJIM, ou l’officialisation de la censure à l’échelle de l’UE, la surveillance de ce qui se dit dans les médias devient coutumière : dès qu’un invité ou une opinion différente de la doxa officielle s’expriment, un porte-flingue ou un autre intervient. Le professeur Peronne qui, outre ses passages multiples sur les plateaux des chaînes d’information en continu lors du premier confinement, a eu le mauvais goût, du point de vue des réseaux de surveillance, souvent menés par des personnalités hautement respectables telles qu’Olivier Duhamel, de participer au documentaire honni de ces mêmes médias, Hold-Up, en fait régulièrement les frais.
Xavier Raufer revient sur l’affaire Olivier Duhamel, révélée par Camille Kouchner dans son livre La Familia grande, qu’il qualifie de « viol de mineur par personne ayant autorité, son beau-père » : un crime.
Il dénonce « la toute-puissance » du « microcosme » de gauche qui « s’est cru tout permis ».
On ne parle plus que de l’affaire Duhamel dans le petit milieu parisien. Olivier Duhamel a abusé de son beau-fils, c’est-à-dire du fils de sa femme. Sa belle-fille a écrit un livre où elle raconte tout ce qui s’est passé. De quoi l’affaire Duhamel est-elle le nom ?
C’est une vengeance terrible à propos d’un crime. J’évite de parler de tout et de rien. J’essaye de me concentrer sur ma compétence professionnelle. Une infraction très grave a été commise. Ce n’est pas comme on a pu l’entendre dans les médias, de l’inceste puisqu’il n’y avait aucun lien biologique entre l’enfant qui a subi l’agression sexuelle et monsieur Duhamel. En revanche, c’est très caractéristiquement un viol de mineur par personne ayant autorité, c’est-à-dire son beau-père. C’est un acte très grave et c’est un crime. C’est la raison pour laquelle, j’en parle.
Le Dr Louis Fouché, avec sa verve habituelle pleine de vérité, dénonce ouvertement les conflits d'intérêts qui gangrènent la politique sanitaire et laisse le présentateur de CNews médusé qui essaie de l'arrêter.