
À la journaliste Leïla Kaddour qui lui demandait « quelle personnalité publique [elle aimerait] voir entrer dans son gouvernement », Valérie Pécresse a révélé quelques noms de son shadow cabinet [cabinet fantôme, NDLR]. Enfin, non, ce n’est pas exactement ça, a-t-elle rectifié un peu plus tard, sur Twitter : « Comme dans un questionnaire de Proust, [elle a] cité des personnalités de la société civile avec lesquelles [elle] pourrait travailler même si elles ne partagent pas [ses] idées. » Prêtez bien attention à ce « même si elles ne partagent pas [ses] idées », qui n’est pas anodin. Quelqu’un de son équipe a dû la mettre en garde. Mais trop tard.




