De Constance Prazel sur Liberté politique, à propos du scandale Duhamel :
[…] On pourrait exhiber ici la présomption d’innocence qui s’applique à tous, mais l’intéressé n’a pas cherché à démentir, et il s’avère que les faits étaient connus, et très largement, depuis des années, de tout le petit milieu. Tout le monde savait. Le couple Duhamel était en effet au cœur d’une sinistre compagnie d’intellectuels, politiques, journalistes très en vue, de gauche comme il se doit, qui gravitait autour d’eux, et se retrouvait épisodiquement dans leur belle demeure du Var pour des soirées « légères » interminables où la débauche était la règle. Aucune arrière-pensée, de la part de gens à qui tout réussit et qui passent leur temps à distribuer des bons et des mauvais points à la société toute entière. Aucune considération pour la pudeur de jeunes adolescents à peine sortis de l’enfance, et qu’ils mêlent sans scrupules à leurs jeux grivois.