magouille et compagnie - Page 871
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Sociologie des catholiques en France : vers la sécession
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Jean Messiha exclu de TPMP par le tout-puissant Booba
Le rappeur Booba est à l’univers de l’émission « Touche pas à mon poste » sur C8 ce que Malraux est au gaullisme, Molière à la Comédie-Française, Madame Claude à l’hôtellerie… Une référence, un phare, le maître à penser des philosophes en survêtement. À ce titre, il était reçu avec tous les honneurs dus à son rang sur le plateau de Cyril Hanouna, le 4 mars au soir.
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Emmanuel Macron n’aime pas la France
On serait tenté de dire qu’il est « l’anti-France », mais on n’ignore pas les connotations historiques de cette expression. Vaudrait-il mieux parler d’« anti-République » ? Ce serait confondre, comme le font beaucoup de politiciens, la France et la République. Or, la France n’est pas née avec la République, ce sont le christianisme et la monarchie qui l’ont construite. À y regarder de près, on ne trouve guère chez lui d’amour de la France, ni dans sa pensée ni dans ses actes, et il s’écarte, en plusieurs occasions, des valeurs républicaines qu’il prétend incarner.
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Covid-19 : les hôpitaux d’Île-de-France reçoivent l’ordre de déprogrammer 40% de leurs activités
L’ARS d’Île-de-France a donné l’ »ordre ferme » aux établissements publics et privés de Paris et de la région de déprogrammer 40% de leurs activités médicales et chirurgicales, afin d’augmenter le nombre de lits de réanimation.
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Covid : Les soignants dans la seringue du gouvernement – JT du lundi 8 mars 2021
A la une de ce journal, les soignants mis sous pression par le gouvernement. Fidèle à son obsession qu’il est incapable d’organiser, le gouvernement ne cache plus son désir d’imposer la vaccination au personnel soignant. Le début d’un bras de fer qui pourrait être lourd de conséquences.
Également au sommaire : les forces de police face aux violences urbaines. Alors que les nuits sont agitées dans la métropole lyonnaise, le ministre Darmanin a annoncé le renfort de 200 policiers et gendarmes tout en mettant en avant son action contre le trafic de drogues. Le discours idéal pour camoufler la faiblesse de l’appareil judiciaire.
Et puis nous reviendrons également sur le bilan de la visite du Pape François en Irak.
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« Une Justice politique » – État de droit et coup d’État judiciaire
Par Eric Delcroix, juriste, essayiste et écrivain, auteur de Droit, conscience et sentiments ♦ Régis de Castelnau, qui a été avocat du Parti communiste et de la CGT, vient de publier un excellent ouvrage intitulé Une Justice politique. Toute personne qui prétend s’intéresser, en France, à la chose publique se doit de le lire. L’objet de l’ouvrage n’est pas le délit d’opinion, au titre duquel (dernier en date) l’essayiste Hervé Ryssen est embastillé à Fleury-Mérogis, dans le silence feutré de la bien-pensance, mais l’utilisation partiale de la justice pour peser sur le fonctionnement des institutions d’État.
Au nom du mythe pervers de l’État de droit, sur trois décennies, nos législateurs, stupides voire masochistes, ont constitué des chausse-trappe pour rendre la vie publique périlleuse. Ainsi les occasions de faire intervenir le juge se sont multipliées : financement des partis, cour de justice de la République, question prioritaire de constitutionnalité, etc.
Aussi l’auteur peut-il écrire : « L’indépendance de la justice vis-à-vis des deux autres pouvoirs séparés, exécutif et législatif, était à son détriment, plus que relative. Mais se sont déroulés dans notre pays au début du XXIe siècle toute une série d’événements qui ont vu le corps des magistrats soutenu par la presse mener un combat d’émancipation qui a pris la voie d’un affrontement politique » (page 17). Rappelons que, pour la Constitution, la justice est une « autorité » et non un « pouvoir »… -
Luttes mémorielles
Les monstrueux déséquilibres du rapport Stora… comme la panthéonisation de Gisèle Halimi… comme les diverses déclarations scandaleuses du chef de l'État… tout cela s'additionne pour aggraver les tendances systématiques à la culpabilisation de la France.
De tels messages désastreux de repentance, de division et de dénigrement du pays, que lance presque chaque jour la Macronie, avant de se raviser le lendemain, pourraient bien, plus encore que l'impopularité de certaines mesures concrètes, coûter sa réélection en 2022 au vainqueur de l'élection de 2017.
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Viktor Orban décide de quitter la fausse droite au Parlement européen.
Ça y est, c’est fait. Le parti Fidesz du Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a claqué la porte du groupe du Parti populaire européen (PPE) du Parlement européen, une conjonction de députés prétendument de droite mais, en vérité, adeptes des théories droit-de-l’hommistes et immigrationnistes qui gangrènent notre continent. Une réforme des statuts approuvée à une très large majorité de collabos et devant permettre l’exclusion d’une délégation complète a été le déclencheur du départ des douze élus hongrois.
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Le vain ambitieux amphibie de Beauvau
Didier Lecerf
« L’ennui avec les hommes politiques, c’est qu’on croit faire leur caricature alors qu’on fait leur portrait »
Sennep
Si j’étais caricaturiste, forçant le trait et exagérant les défauts, je donnerais sans doute à l’actuel occupant de l’hôtel de Beauvau, Gérald Darmanin, l’aspect d’un amphibien. Tout, chez lui, me paraît, en effet, conduire à ce choix. Ainsi, à l’image de n’importe quel représentant de cette espèce de tétrapodes à sang froid, les yeux grands ouverts et les lèvres minces, depuis une vingtaine d’années, il nage avec aisance dans les eaux stagnantes du marigot politique ; à l’image de la grenouille de la fable, il « s’étend, s’enfle et se travaille » pour gagner en stature ; et avec constance, méthode mais aussi, semble-t-il, ruse (ses « amis » ne le surnomment-ils pas « Darmalin » ?), il œuvre à sa métamorphose en « homme d’Etat » ou, du moins, à l’apparence de celle-ci.
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GPA: LES FEMMES TOUJOURS PERDANTES ?