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magouille et compagnie - Page 928

  • En pleine pandémie, l’Union européenne ouvre les négociations d’adhésion de l’Albanie et de la Macédoine du Nord

    En pleine pandémie, l’Union européenne ouvre les négociations d’adhésion de l’Albanie et de la Macédoine du Nord

    Mardi 24 mars, lors d’un conseil des affaires générales réunissant les ministres des affaires européennes de tous les Etats, les Etats membres de l’Union européenne ont donné leur feu vert à l’ouverture de négociations d’adhésion de l’Albanie et la Macédoine du Nord.

    Le gouvernement français a soutenu cette décision. Elle devrait être formellement confirmée jeudi 26 mars lors du Conseil européen des chefs d’Etat et gouvernement.

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  • Matteo Salvini furieux contre l’Union européenne: « Ce n’est pas une « Union », c’est un repaire de serpents et de chacals. Nous devons d’abord vaincre le virus, puis repenser l’UE. Et s’il le faut, nous disons au revoir »

    L’ancien ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini a fait part de sa colère contre l’UE et sa gestion de la crise actuelle sur Twitter : « Dégoût et mépris pour cette Europe. Il a fallu 15 jours pour évaluer si, qui et comment aider. Des génies. Alors que des gens meurent. Ce n’est pas une « Union », c’est un repaire de serpents et de chacals. Nous devons d’abord vaincre le virus, puis repenser l’UE. Et s’il le faut, nous disons au revoir. Sans remerciements. Mais allez vous faire f… ». Via Fdesouche

    https://www.tvlibertes.com/actus/italie-matteo-salvini-furieux-contre-lunion-europeenne-ce-nest-pas-une-union-cest-un-repaire-de-serpents-et-de-chacals-nous-devons-dabord-vaincre-le

  • Sur le blog de Michel Onfray, au sujet d’Agnès Buzyn : « Trahison ? Haute trahison ? Haute cour de justice ? Quand sera venue l’heure des bilans, ceux qui auront failli auront des comptes à rendre ».

    Buzyn, sa vie, son œuvre

    En publiant un article (le 17.III.2020) sur elle, le journal Le Monde vole au secours d'Agnès Buzyn, ex-ministre de la santé qui a quitté le bunker du commandement général alors que, selon ses propres aveux, la guerre était certaine, qu'elle ferait quantité de morts et qu'elle se disait la seule à le savoir!

    Or, les Français ne sont pas débiles: ils savent que ce qui s'écrit dans un journal se discerne bien plutôt entre les lignes que dans ce qui s'y trouve explicitement écrit.

    Quelques phrases retiennent donc mon attention dans ce publireportage qui sauve (un peu) la dame et accable (beaucoup) Macron et les siens, comme si elle n'en avait jamais été. D'abord cette entrée en la matière: "Je me demande ce que je vais faire de ma vie." Ensuite, le plat de résistance: "Je n’ai plus de boulot." Enfin, le dessert, c'est une interrogation de la journaliste: "Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation?" Pauvre petite fille riche...

    Détaillons...

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  • La gestion calamiteuse du gouvernement face au Covid-19

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    Le pouvoir s’est trompé à chaque étape de la bataille à mener. Il a commencé par nier qu’elle pouvait atteindre notre sol. Le 24 janvier, Mme Buzyn, ministre de la Santé, déclarait que « le risque d’importation du virus depuis Wuhan est pratiquement nul, le risque de propagation très faible ». Ce jour-là, le ministre de la Santé s’appuie sur « des analyses de risques modélisés par des équipes de recherche ». L’INSERM vient de construire « un modèle pour estimer le risque d’importation de l’épidémie en Europe ». Ses chercheurs ont réalisé deux scénarios, « celui d’un faible risque de diffusion et celui d’un risque élevé ». Pour la France, le risque d’importation était estimé entre 5 % et 13 %. Il n’était donc pas nul, contrairement à ce qu’a dit le ministre, et il a été moins faible que les manipulateurs de chiffres plutôt que de molécules ne l’avaient prévu.

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  • Marine Le Pen sur les masques et tests -“On a menti aux Français en disant que ça ne sert à rien !”

    Marine Le Pen était l’invité de Patrick Roger et Cécile de Ménibus dans le Grand Matin Sud Radio du 25 mars 2020.

    La présidente du Rassemblement national estime que “la politique du gouvernement de réserver les tests aux cas graves et hospitalisés ne semble pas la bonne pratique“. Selon Marine Le Pen, “la première des choses pour arrêter une épidémie est la connaissance des cas susceptibles de contaminer les autres pour qu’ils puissent eux-mêmes se confiner“.

    Dès le départ, chacun savait que 15 jours de confinement seraient insuffisants“, regrette la députée du Pas-de-Calais. “C’est la stratégie de la torture chinoise : toutes les 48 heures on annonce une nouvelle chose“, s’indigne-t-elle. “Pourquoi ne pas avoir annoncé 45 jours directement ?“. Car pour Marine Le Pen, “si par chance on régule l’épidémie et qu’on peut faire sortir les Français avant la fin des 45 jours, tout le monde aurait été ravi“.

    Pour la présidente du RN, “la parole du gouvernement a entamé la confiance que les Français leur portent, ils ont compris que quand on leur disait que les tests et les masques ne servaient à rien, en réalité c’est que nous en manquions“. Elle pointe du doigt “la cacophonie qui découle d’une erreur initiale : ne pas avoir mis en place dès janvier une cellule de crise et avoir minimiser la crise dès le départ“. Marine Le Pen rappelle que dans un premier temps, “le gouvernement a porté la parole qu’il s’agissait d’une grippe“. Alors, selon elle, “les Français n’ont pas compris ce changement de pied quand ils ont adopté les mesures de confinement. Beaucoup de Français sont aujourd’hui en colère et je peux les comprendre“.

  • Emmanuel Macron, chef d’une guerre… de communication

    Emmanuel Macron, chef d’une guerre… de communication

    La France a déjà perdu la guerre de l’efficacité contre la contagion du coronavirus :

    • absence de masques, de gels hydro-alcooliques, pour toutes les personnes en contact professionnel avec beaucoup de monde (personnels soignants bien sûr, forces de l’ordre, personnels des magasins…) comme pour l’ensemble de la population ;
    • incapacité logistique et règlementaire à faire fabriquer, acheter, protéger et livrer ces produits manquants ;
    • incapacité à déployer des tests de dépistage en nombre.

    Il ne reste donc plus que les moyens de rattrapage, beaucoup plus onéreux. D’abord pour la richesse de la nation (confinement généralisé), ensuite pour toutes les personnes engagées d’abord dans les soins apportés aux malades, enfin –quand on y réfléchit- à d’incompréhensibles suppressions de liberté (on laisse les lieux de culte ouverts, limités à 20 personnes, mais on n’a pas le droit d’y célébrer de messes en public en respectant les précautions élémentaires et d’ailleurs le formulaire d’attestation de déplacement dérogatoire ne prévoit pas le cas du culte !).

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  • Le difficile confinement des « quartiers » : analyse médiatique

    Depuis mardi 17 mars 2020, les déplacements sont strictement réglementés en France. En tout et pour tout, 5 motifs de déplacement sont tolérés. Le décret les instituant écarte toute autre possibilité, ainsi que toute possibilité de regroupement. Si dès le 17 mars, la contravention pour non-respect de ces dispositions était majorée, il en faudra plus pour intimider une partie de la population.
    Nous revenons sur le traitement médiatique de la violation délibérée et assumée de ces règles, qui, conjuguée à la persistance d’une délinquance de droit commun, aboutit à mettre en danger de nombreuses personnes, dans un point de situation arrêté le 21 mars.

    Les faits divers

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  • Hydroxychloroquine. Quand Olivier Véran relaie une Fake News à l’Assemblée nationale

    A l’Assemblée nationale, Olivier Véran, ministre de la Santé, a relayé une fake news initialement diffusée par Le Figaro sur un homme qui serait mort aux Etats-Unis après une auto-médication d’hydroxychloroquine.

  • En pleine crise du coronavirus : vers l’élargissement de l’Union européenne

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    Alors que la France et le monde sont confrontés à une crise sanitaire sans précédent qui a obligé le confinement de trois milliards de personnes et qui tue chaque jour, nos dirigeants français et européens poursuivent le chemin, jamais remis en cause, d’une mondialisation et d’un élargissement de l’Union européenne.

    Peu importe à nos élites bruxelloises qui, à la manière d’une inconsistante Ursula von der Leyen (dont la mesure la plus significative pour lutter contre le Covid-19 fut une vidéo d’elle expliquant comment bien se laver les mains), continuent leur folle politique d’expansion d’une Union européenne dont les failles éclatent au grand jour à l’aune de cette crise.

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  • I-média n°291 – Coronavirus : la faillite du gouvernement

    02:20 L’image de la semaine

    Michel Cymès continue, mine de rien, à pontifier sur les plateaux télé malgré ses graves erreurs quant à la dangerosité du Coronavirus.

    04:13 Coronavirus. La faillite du gouvernement

    Les médias ne savent pas sur quel pied danser face aux incroyables loupés gouvernementaux. Les journalistes semblent même de plus en plus agacés…

    23:13 Revue de presse

    Dans la revue de presse de la semaine, nous verrons que les médias s’intéressent peu à l’arrivée possible de l’Albanie dans l’UE et qu’ils s’intéressent encore moins aux attaques de migrants à la frontière entre la Turquie et la Grèce…

    28:58 Chloroquine : grand Raoult médiatique

    Enfin, nous nous intéresserons au débat médiatique le plus brûlant du moment : faut-il faire confiance au druide Raoult et boire sa potion magique ? Dans ce I-Média n°291, nous tenterons d’apporter quelques éléments d’éclairage…

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n291-coronavirus-la-faillite-du-gouvernement