Depuis l’accident ayant causé une fracture ouverte à un multirécidiviste à Villeneuve-la-Garenne, les banlieues s’embrasent à nouveau. Le feu ultra communicant touche une liste non négligeable de communes dans le 92 et le 93. Montreuil, Aulnay-sous-Bois, Villeneuve-la-Garenne, Nanterre, Gennevilliers, Asnières, Meudon, Clichy, Rueil-Malmaison, Saint-Denis, Clichy-sous-Bois, Drancy, Neuilly-sur-Marne, Montreuil, La Courneuve, Bobigny, Bondy, Villepinte, Fontenay-sous-Bois, Orly, Champigny, Boissy-Saint-Léger… Toute la litanie des cloaques, pardon des territoires perdus de la République, pardon à nouveau, des territoires en reconquête républicaine comme le dirait Christophe Castaner, se dévide sous les yeux impuissants des policiers, hallucinés des patriotes, sous le regard veule des politiques et biaisé des journalistes.
magouille et compagnie - Page 988
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Banlieues : au diable la tiédeur – Confinez-moi ça !
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L'impréparation de la Commission européenne face au #COVID19 a été MEURTRIÈRE !
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Macron : le mensonge de trop
Par Grégory Roose, fondateur d’Adoxa.info ♦ Après avoir menti sur la dangerosité du coronavirus, sur les masques, sur les tests, après avoir infantilisé les Français, Emmanuel Macron a commis le mensonge de trop en déclarant que le virus était « imprévisible ».
Voici près d’un mois que la France entière est confinée. Seuls ceux qui font survivre le pays sont sommés de prendre le risque d’aller travailler, le plus souvent pour un maigre salaire. Lundi 13 avril, le Président de la République a annoncé au Français qu’ils étaient au milieu du gué : le confinement durera un mois de plus, marquant l’échec du pouvoir progressiste à les protéger autrement que par des moyens rudimentaires. Les conséquences pour notre économie seront catastrophiques, d’autant que d’autres pays d’Europe et du Monde, qui sont nous concurrents directs, sortiront de confinement plus rapidement. De nombreux Français se réveillent ce matin avec la gueule de bois. Seuls, reclus dans leur 16 m² au rez-de-Chaussée d’un immeuble défraîchi des années 80, il se sont levé tôt pour ne pas manquer les 25 minutes quotidiennes de soleil que laisse pénétrer les quatre imposantes colonnes minérales qui ferment la petite courette de cailloux qui prolonge l’unique fenêtre de leur studio. D’autres, entassés à cinq ou six dans leur appartement de 70 m² d’une ville de province, ne peuvent vraiment s’aérer ni pas profiter des paysages pourtant accessibles à 10 minutes de voiture. Des personnes âgées vivent seules chez elles, sans recevoir ni visite, ni courrier, ou si peu. Certaines sont peut-être mortes depuis des semaines dans la solitude et l’ignorance. Des infirmières, des médecins, des éboueurs, des caissières, des petits commerçants, artisans ou agriculteurs partiront ce matin au travail la boule au ventre, contraint et forcés d’aller travailler pour maintenir en vie un pays plongé dans un coma artificiel depuis près d’un mois…et pour un mois de plus.
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Tensions en banlieue parisienne : «une faillite de la gouvernance de notre pays», affirme Nicolas Bay
Nicolas Bay était l’invité des «4 Vérités» sur France 2 ce mercredi 22 avril. Le député européen RN accuse le gouvernement d’être responsable des tensions dans plusieurs communes de la région parisienne.
Nicolas Bay était Interrogé sur les échauffourées qui ont éclaté dans plusieurs quartiers des Hauts-de-Seine, mais aussi en Seine-Saint-Denis, ou encore à Toulouse, Strasbourg et en banlieue lyonnaise. Il estime que le gouvernement «a une part de responsabilité dans le laxisme qui fait que les délinquants peuvent sévir librement dans notre pays».
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La leçon des épidémies courtes : Nouveau message du Professeur Raoult au Gouvernement.
Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !
Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infectionhttp://lafautearousseau.hautetfort.com/ -
Déconfinement : ça sent la panique
À entendre les déclarations fumeuses, filandreuses, alambiquées des membres du gouvernement, à voir la mine défaite d’Édouard Philippe, la fébrilité de tous, on ne sent pas, du côté du gouvernement, une assurance à toute épreuve quant à ce déconfinement annoncé pour le 11 mai. Macron a prévenu qu’il sera progressif : personne ne sait donc à quel rythme il s’effectuera, sur combien de semaines il s’étalera.
Macron et Philippe eux-mêmes ne semblent pas plus éclairés que nous sur la question. Mme Ndiaye nous explique qu’il faudra du temps pour préparer le plan de déconfinement : pense-t-elle nous le dévoiler après la date officielle du 11 mai annoncée par le Président en personne ? Rien ne nous étonnerait plus venant de ce gouvernement, tant l’amateurisme et l’improvisation règnent à tous les étages.
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Ramadan et mesures de confinement – Ces préfets qui se couchent devant l’islam
Ce n’est un secret pour personne : chaque année, à l’approche du ramadan, revient pour les autorités, surtout celles dont dépendent (théoriquement) les zones de non-France, la véritable hantise d’un embrasement des banlieues. Et plus encore en ces temps où, épidémie de coronavirus oblige, les mesures de confinement imposées par l’Etat interdisent formellement les rassemblements et célébrations religieuses. Mais certains préfets croient avoir trouvé la parade pour acheter la paix sociale : avouer d’emblée leur impuissance à faire respecter la loi…
Emmanuel Barbe, dhimmi parmi les dhimmi
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Crise : le passage des responsables devant le juge pénal est inéluctable, par Régis De Castelnau.
"Face à une telle tragédie, la colère sera immense et face à des milliers de plaintes pénales venant de toute la France, il faudra rappeler fermement au corps des magistrats, au nom de qui ils doivent rendre justice. Et ceux qui ont failli devront rendre des comptes.
Emmanuel Macron serait, nous dit le Parisien en « colère froide », excédé par ceux qui sur les plateaux de télévision critiquent sa gestion de la crise, et il considère comme « irresponsable » le fait de saisir la justice pour qu’elle identifie et condamne les fautes pénales commises par les décideurs publics dans la gestion de la catastrophe pandémique connaît notre pays. Ayant décidément du mal avec le débat démocratique, il se fait menaçant faisant dire à un de ces « chevaux légers » la chose suivante : « Quand cette crise sera passée, on aura tous à rendre des comptes. Tous sans exception. La majorité bien évidemment et c’est normal. Mais aussi tous ceux qui ont joué, à certains moments, à un jeu dangereux pour déstabiliser le pays dans une période où l’unité prévalait ».
Bigre, va-t-il demander au Parlement de voter un nouvel article du code pénal réprimant « l’intelligence avec l’ennemi Coronavirus » ? Inquiétantes rodomontades.
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Hommes-femmes : égalité devant la mort ?
Il est des astres politiques dont l’ambition se résume à exister… « quoi qu’il en coûte ». La médaille d’or revient évidemment à Ségolène qui, en 42 ans de vie politique – elle est entrée au PS l’année où la Légion a sauté sur Kolwezi ! –, cherche pathétiquement à ne pas disparaître et nous offre ce qu’elle sait le mieux faire : pleurnicher ! Aujourd’hui, c’est sur la mort de Christophe. Pour demain, on ne sait pas… suspense insoutenable !
L’autre médaillée, c’est Marlène ! L’écriture de romans sulfureux lui a ouvert à la fois les allées du pouvoir et les sentiers de la postérité par l’affectueux surnom dont on l’affuble désormais : la « madone des slips in ». Avec un sens aigu de l’à-propos, un souci louable de la gestion des deniers publics et une dilection marquée pour enfoncer les portes ouvertes, elle a commandé un sondage sur le thème suivant : « En période de confinement, comment se répartissent les tâches ménagères entre les femmes et les hommes ? » Je devine votre sourire et, sous-jacente, votre réaction : « Était-ce bien la peine de dépenser des sous pour ça ? »
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Zemmour : « Il faut inverser la politique d’immigration. Il faut que les banlieues redeviennent françaises. Les policiers y sont vus comme une puissance étrangère » (MàJ)