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France et politique française - Page 1252

  • La marche turque, par Georges-Henri Soutou.

    Balkans, Chypre, Grèce, Syrie… La Turquie veut redevenir une puissance méditerranéenne. Faut-il la laisser faire ?

    Une crise, qui couvait depuis des années, est passée en quelques mois au centre des préoccupations internationales : celle qui oppose la Turquie à la Grèce et à Chypre, et dans laquelle la France se trouve très impliquée. Résumons le contexte. Grecs et Turcs ne sont pas d’accord sur leurs frontières maritimes respectives (eaux territoriales et zones d’exploitation économique exclusives), autour des nombreuses îles grecques qui se trouvent tout près du littoral turc.

    Ce n’est pas le seul cas, et les tribunaux internationaux règlent ces questions épineuses souvent en limitant ces zones autour d’îles qui pourraient, sinon, rendre difficile la situation du pays voisin. Mais la Turquie n’a pas signé la Convention de l’ONU sur le droit de la mer.

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  • L'économie totalitaire : l'exemple de l'immigration (texte de 2013)

    Mars 1979. Éléments dénonce « L'économie totalitaire » Le dossier comprend un article inaugural d'Alain de Benoist (« L'erreur du libéralisme »), suivi d'une réflexion (« Économie organique et société marchande ») du secrétariat études et recherche du GRECE, d'un texte de Pier Paolo Pasolini (« Contre l'hédonisme de masse), d'un entretien avec Julien Freund et d'une charge de Lucien Chanteloup (« L'égalitarisme bourgeois »). Guillaume Faye se charge d'analyser les méfaits de l'immigration.

    Exemple parfait du comportement économique à court terme de la société marchande, l'appel à l'immigration étrangère massive restera sans doute, dans les annales de l'histoire européenne, comme une erreur de première grandeur.

    À l'origine, au début des années cinquante, il s'agissait tout simplement de combler un déficit passager de main-d'œuvre. Puis, au fil des années, l'habitude a été prise d'utiliser des travailleurs immigrés, recrutés toujours plus loin. Avec l'apport de leurs anciennes colonies, la France et l'Angleterre se sont classées en tête des pays « importateurs ».

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  • Rétablissement de la peine de mort : le débat interdit (texte de 2011)

    Pour ou contre la peine de mort ? Dissuasive ou pas ? Utile ou non ? Ces questions ne se posent pas, car elles sont interdites. Le débat est clos avant même d'être ouvert. Tel est le verdict du tribunal médiatique.

    Le dimanche 25 novembre 2007 dans un compartiment du RER D sur la ligne Paris-Orry-la-Ville, une jeune fille de 23 ans est assassinée. Massacrée de 34 coups de couteau par un prédateur récidiviste qui voulait la violer. Seule face à lui, elle s'est défendue et a résisté. Courageusement. Héroïquement. Jusqu'au bout. Elle s appelait Anne-Lorraine Schmitt. Trois ans plus tard, son meurtrier, Thierry Devé-Oglou, a été condamné par la Cour d'assises de Pontoise à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de 22 ans. Le 15 décembre dernier, le journaliste Julian Bugier rend compte, sur I Télé, de ce verdict. Robert Ménard, l'ancien président de l'organisation Reporters sans Frontières, est présent sur le plateau. Il réagit par quelques mots « Parfois, on regrette qu'il n'y ait pas la peine de mort ! ».

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  • Sur Sud Radio, Professeur Christian Perronne : "On est train d'inventer une deuxième vague artificielle !".


  • LA CONVERGENCE DES DICTATURES AU PAYS DES FRANCS !

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    Un pays muselé physiquement par le masque et mentalement par le politiquement correct, des habitants assignés à résidence entre confinement et couvre-feu, apeurés en même temps par le virus et par le terrorisme, soumis à des régimes d’urgence qui limitent les libertés fondamentales, des citoyens qui ne votent plus normalement et sont condamnés à écouter les discours narcissiques de leur dirigeant : sommes-nous encore en démocratie ?

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  • Grâce au coronavirus on découvre que l’état de santé de l’hôpital est préoccupant !

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    « Il faut sauver l’hôpital », a déclaré Jean Castex, le 24 octobre. On eût pu espérer qu’il dise qu’il fallait sauver les Français face à ce nouveau virus, mais apparemment, pour notre besogneux Premier ministre, sa préoccupation première est la santé de l’hôpital, dont les conditions de sauvetage sont, selon lui, intimement liées à la discipline qu’il impose au peuple. Si l’hôpital explose, ce sera la faute de la population qui ne respecte pas les consignes données, ne cherchez pas de raisons ailleurs.

    L’hôpital subit les conséquences de notre société de consommation et de profit. Nos hôpitaux, gérés depuis quelques décennies uniquement en fonction de la rentabilité, et amenés à fonctionner en flux tendu, sont devenus le triste symbole de cette société où l’on ne respecte plus que les valeurs liées au profit, ignorant toutes les autres, pourtant indispensables à une vie harmonieuse dans le respect d’une culture humaniste.

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  • L’identité, cible de toutes les attaques

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    Nous parlons beaucoup de souveraineté à juste raison. Mais, la priorité est la nature de l’identité que la souveraineté défend. Qui rêve d’une France souveraine devenue musulmane ? L’essentiel est la sauvegarde de la continuité de notre identité charnelle, culturelle et spirituelle. Notre identité est attaquée dans tous ces registres qui la composent.
    Deux universalismes se retrouvent pour laminer ce qui nous fait : le cosmopolitisme – la grande globalisation du monde – et l’islamisme. Un monstre à plusieurs têtes, une gorgone qui nous laisse sans répit.

    Rétrospective d’un crime annoncé

    Éducation nationale : propagande et lutte contre la famille

    Depuis que nous ne parlons plus « d’instruction » mais « d’éducation », nous savons qu’il y a une opération de formatage des cerveaux de nos enfants sur les bancs de l’école. Du développement durable qui envahit les programmes de géographie à une sélection très politiquement correcte des sujets traités en histoire avec le tropisme constant de la repentance et une approche peu gratifiante de notre passé.

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  • Marine Le Pen (RN): « l’idéologie islamiste devait être considérée comme ennemie de la France » (Vidéo)

    Invitée du Grand Jury sur LCI, Marine Le Pen a estimé sur LCI que « l’idéologie islamiste devait être considérée comme ennemie de la France » et souhaite « une législation d’exception » impliquant, entre autres, de dénoncer certains articles de la Convention européenne des droits de l’homme.

    « Une guerre nous est menée et nous devons mener cette guerre », a déclaré la présidente du Rassemblement national. « Cette guerre  nous ne la menons pas contre un État, mais contre une idéologie: l’islamisme (…) Si nous sommes en guerre, il faut déclarer cette idéologie ennemie de la  France », a-t-elle poursuivi, et « de cette déclaration doivent découler des  décisions ».

    La candidate à la présidentielle de 2022 propose notamment d’interdire les « organisations qui font la promotion de cette idéologie », de fermer les mosquées islamistes, de supprimer « tous les financements qui viennent au  soutien » de l’islamisme ou encore d’expulser les étrangers faisant l’apologie de l’islamisme.


    LCI

    https://www.tvlibertes.com/actus/marine-le-pen-rn-lideologie-islamiste-devait-etre-consideree-comme-ennemie-de-la-france-video

  • Charles Robin : « L'impasse idéologique de l'extrême gauche » 1/2

    En deux essais, Le libéralisme comme volonté et comme représentation et, plus récemment, Penser le libéralisme, Charles Robin s'est imposé comme le jeune chef de file de ce qu'on pourrait appeler le « courant Michéa ». Rendant compte de ses ouvrages dans un précédent numéro d'Éléments, David L'Épée avait remarqué que ce jeune philosophe montpelliérain de 26 ans, né à l'extrême gauche au Nouveau parti anticapitaliste (NPA) notamment, savait également manier l'anecdote, la satire et le pamphlet. Raison de plus pour l'interroger...

    Propos recueillis par Alain de Benoist

    Éléments : Vous avez publié il y a peu un superbe essai sur Le libéralisme comme volonté et comme représentation. Ce titre d'inspiration schopenhauerienne est assorti d'un sous-titre : Démontage d'une mythologie politique contemporaine. En quoi le libéralisme est-il pour vous une « mythologie » ? Comment le définissez-vous ?

    Charles Robin : Parler du libéralisme comme d'une « mythologie », c'est avant tout faire remarquer que son hégémonie actuelle est soumise à une série de « fictions » qui en conditionnent le déploiement dans l'ensemble de nos sociétés. La fiction centrale du libéralisme, c'est l'idée que celui-ci ne renverrait à rien d'autre qu'à une doctrine économique, dont les principaux adeptes se logeraient, pour l'essentiel, à la droite de l'échiquier politique. Il conviendrait ainsi, selon ce raisonnement (dont les ramifications sont lointaines et multiples), de voir dans la « droite » contemporaine le représentant principal, sinon exclusif, de la pensée libérale, quand la « gauche » (et, a fortiori, l’ « extrême gauche » se présenterait comme son adversaire idéologique naturel et le plus performant.

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  • Le débat Michel Onfray - Eric Zemmour de vendredi dernier sur C-News

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/10/25/le-debat-michel-onfray-eric-zemmour-de-vendredi-dernier-sur-6272289.html