Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 1319

  • Quel journaliste pour s’offusquer des menaces de mort contre Geoffroy Lejeune, désormais sous protection ?

    Quel journaliste pour s’offusquer des menaces de mort contre Geoffroy Lejeune, désormais sous protection ?

    Un journaliste menacé de mort mais personne ne s’offusque :

    On est en train de vivre un déchaînement d’hystérie du petit milieu politico-parisien qui ne supporte pas le succès de Valeurs Actuelles, c’est ça la réalité (…) Ça fait quatre jours qu’on vit avec des gardes du corps. On a eu une manifestation de la Ligue de Défense noire Africaine devant nos locaux lundi qui ont demandé à ce qu’on nous arrache les bras. C’est une violence inouïe, je ne demande pas qu’on s’apitoie sur mon sort, mais je veux juste que les gens sache que vivre un lynchage comme ça, ça vous marque à tout jamais

    Lire la suite

  • La grosse presse recevra 483 millions d’euros d’aides supplémentaires sur deux ans

    La grosse presse – celle qui désinforme les Français et oriente les Français vers la Gauche au sens large depuis des décennies – bénéficie déjà de plusieurs centaines de millions d’euros d’aide chaque année. Euros issus de la poche des Français.

    Voici que le gouvernement entend encore davantage graisser la patte des merdias (pendant deux ans, ce qui mène à la prochaine élection présidentielle…), auquel naturellement il doit tant (c’est ainsi que fonctionne les régimes démocratiques).

    « Très affaiblie par la crise sanitaire du coronavirus, la presse écrite va bénéficier d’aides d’un total de 483 millions d’euros sur deux ans, a indiqué l’Elysée, dont une partie a déjà été votée.

    Lire la suite

  • Les principaux ennemis de la liberté d’expression sont les journalistes eux-mêmes

    Les principaux ennemis de la liberté d’expression sont les journalistes eux-mêmes
  • Qui est ce pseudo Béhanzin, de la Ligue de défense noire africaine ?

    capture-decran-2020-09-03-a-14-46-15-845x475.png

    Ne me dites pas que vous n’avez jamais entendu parler de Gbèhin azi bô ayidjlè Ahossou Gbowelé ! Comme les Français ont toujours eu du mal avec les langues gbe-nigéro-congolaises, nos ancêtres colonisateurs l’ont popularisé sous le nom occidentalisé de , roi d’Abomey, dans l’actuel Bénin de 1890 à 1894.

    Nous ne contesterons pas son courage, sans doute peut-on même parler d’héroïsme des guerriers et guerrières fons d’Abomey, qui se sacrifièrent devant les fusils gras à tir rapide des légionnaires et marsouins envoyés par la République IIIe pour le réduire. En 1892, alors que Paris était ensanglanté par les attentats anarchistes de Ravachol, la France s’enthousiasmait, par les illustrations en couleur du Petit Journal, des exploits exotiques de nos deux mille soldats envoyés contre ce despote aux milliers de fidèles, pratiquant chaque année les sacrifices humains et razziant les peuples voisins pour alimenter ses marchés aux esclaves.

    Lire la suite

  • "Manuel de lutte contre la diabolisation" : présentation par Jean-Yves Le Gallou


  • « L’affaire » Valeurs actuelles : une victoire médiatique de l’indigénisme ?

    870x489_daniele_obono.jpg

    Si Martin Luther King a pu dire « I have a dream » par désir justifié d’égalité raciale dans les États-Unis ségrégationnistes de 1963, le directeur de la rédaction de , Geoffroy Lejeune, peut dire « Je fais un cauchemar », devant l’indignation politico-médiatique qu’a provoqué, la semaine dernière, son ultime « roman de l’été » : Obono l’Africaine !

    Voici donc Danièle entrée dans la cour des grands diffamés de l’Histoire par le biais du scandale causé par son voyage imaginaire dans les « couloirs du temps ». Tout cela par le détournement d’une illustration de Pascal Garnier réalisée pour cette dystopie écrite sous pseudonyme.

    Lire la suite

  • La rentrée de la gréviculture

    6a00d8341c715453ef026be40dc255200d-320wiC'était la rentrée des classes ce 1er septembre. C'est aussi le recommencement de l'agitation systématique programmée par les bureaucraties syndicales. Ainsi donc la CGT-Cheminots confirme qu'elle s'apprête à empoisonner la vie des Français qui travaillent. Premier syndicat à la SNCF, elle a en effet déposé un préavis de grève pour le 17 septembre. Ceci entrera dans le cadre d’une Journée nationale d’actions soi-disant « pour l’emploi, pour les salaires et les retraites. » Vaste programme. Nouvelles complications en vue dans la vie quotidienne des Français. Pour rien.

    Le mot d'ordre remonte à juillet. Il a été repris par la FSU, Solidaires et plusieurs organisations de jeunesse.

    L’annonce de cette grève a été, bien poliment, trop prudemment, critiquée par le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire. Celui-ci déclare avoir « du mal à comprendre » cette grève alors que le plan de relance prévoit des investissements massifs dans le ferroviaire ainsi qu’une reprise de la dette de la compagnie ferroviaire à hauteur de 35 milliards d’euros. On ne sort pas d'une ligne constante de relative complaisance de la part de nos dirigeants.

    Et, puisque M. Le Maire dit ne pas comprendre, essayons de lui expliquer ce qu'est et à quoi sert l'appareil de la CGT.

    Lire la suite

  • Me Gilles-William Goldnadel : « Que cela plaise ou non, l’immigration incontrôlée et l’islamisme sont des obsessions légitimes pour les Français »

    Durant l’été, en France, on a assisté à de nombreux faits divers témoignant d’une insécurité galopante en France, un véritable ensauvagement. Dans les colonnes de Boulevard Voltaire, Me Gilles-William Goldnadel dénonce « l’occultation des faits » de la plupart des médias.

    Depuis le début de l’été, on parle d’ensauvagement et de multiplication des faits divers. Gérald Darmanin avait de son côté promis que les dealers arrêteraient de dormir. Nous avons vu des photos de dealers protégés par des miliciens armés de fusils à pompe. Que pouvez-vous dire de cette période ?

    Il faut prendre les problèmes un par un. Cet été, nous avons assisté à un triomphe extrêmement platonique de la réalité sur le virtuel ou du réel sur l’idéologie. Pendant des années, on vous a expliqué que la sécurité ou l’insécurité étaient une sorte de fantasme et d’obsession qui reposait sur un ressenti, mais sur rien de réel. De temps en temps, cette interdiction de ne pas respecter l’idéologie était provisoirement arrêtée par la venue du réel. En général, l’idéologie retrouve assez vite ses droits lorsque le réel s’estompe et que les morts dorment dans la terre redevenue froide.

    Lire la suite

  • Plan de relance : saupoudrage, illusions et vieilles recettes.

    jean-castex-invite-les-ministres-a-aller-sur-le-terrain.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    Sur 100 milliards d'euros financés aujourd'hui  en monnaie de singe mais que devront, en tout état de cause, rembourser les générations futures, le plan de relance de l'économie présenté par le Premier ministre, Jean Castex, n'en consacre que trois à la garantie d'Etat aux fonds propres des entreprises, seule mesure, si elle avait été ambitieuse, qui aurait permis aux entrepreneurs de faire face à la crise, d'investir et d'embaucher. Dans ces conditions, l'espoir de l'exécutif de 160 000 emplois créés dans les deux ans n'est qu'une vue de l'esprit. Quant à l'hypothèse d'un plan de réindustrialisation de la France et de relocalisation des secteurs vitaux de notre vie économique et de notre indépendance énergétique ou sanitaire, la modestie des sommes engagées montre bien que, pour le gouvernement, il ne s'agit en aucune façon d'une priorité nationale. Aucun plan, au demeurant - la nomination de François Bayrou au poste de Haut commissaire témoigne, par elle même, de son  inutilité - ne peut être établi par un pouvoir faible uniquement préoccupé de sa pérennisation et n'ayant, au mieux, de visibilité que sur dix neuf mois.
    Tout le reste relève de la politique du saupoudrage et de l'art éculé d'accommoder les restes suivant les vieilles recettes politiciennes et par prestidigitation cuisinière en attendant le festin imaginaire de 2022.
    C'est le grand retour des emplois aidés, du camouflage statistique des réalités du chômage, des chiffres masqués, des formations-cul de sac et des mythes pervers de la transition écologique fantasmée comme base incontournable de la nouvelle économie libérale, équitable, durable et universelle.
    L'accompagnement social de la crise, lui, se fera a minima. "Cachons ces pauvres que nous ne saurions voir". 
  • La droite condamnée au populisme ? (2019)

    La droite en France joue actuellement son avenir. Il avait fallu rien moins que Charles de Gaulle pour la réintroduire dans la vie politique. La nullité de ses épigones semble siffler la fin de l’intermède. Y aura-t-il encore une droite capable de remporter une élection dans les décennies qui viennent ?

    Il existe une particularité de la vie politique française qui depuis des années frappe tous les commentateurs : c'est l'absence d'un vrai parti conservateur. Les Torries en Angleterre structurent la vie politique et même, lorsque passe un Churchill, déterminent la stature internationale de la perfide Albion. De leur côté, les chrétiens démocrates font, avec leurs alliés bavarois du CSU la pluie et le beau temps Outre Rhin. Dans l'Hexagone, rien de tel. Les conservateurs existent à la marge dans un parti comme le Centre National des Indépendants et Paysans, le parti d'Antoine Pinay qui est aujourd'hui un parti résiduel. Ils ne parviennent pas à s organiser longtemps, victimes sans doute de la Révolution française, victimes de cette identification fantasmée entre la France et sa Révolution, qui empêche toute perspective contre-révolutionnaire, tout conservatisme, d'émerger de manière durable.

    Lire la suite