Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire voudrait que les dirigeants du BTP embauchent des employés de droit français plutôt que des travailleurs détachés de l'étranger. Problème: Bruxelles le privant de tout pouvoir véritable, il n'a eu d'autre choix, lors d'une intervention à l’université d’été du Medef le 27 août dernier, que de les en "supplier" (sic).
France et politique française - Page 1315
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Sur Front Populaire, découvrez le souverainisme économique à la sauce Bruno Le Maire.
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Election présidentielle : deux tiers des Français s’opposent à un soutien de la droite à Emmanuel Macron
Un soutien des Républicains à Emmanuel Macron pour l’élection présidentielle de 2022 ? La proposition, formulée par Christian Estrosi, ne trouve pas un écho favorable parmi les Français. Selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche, ils sont seulement 35% (10% « tout à fait » et 25% « plutôt ») à répondre « oui » à cette idée. A l’inverse, 65% se disent opposés. Cette proposition est néanmoins approuvée par 72% des électeurs du président de la République en 2017. Mais seulement 37% des personnes qui avaient voté pour François Fillon lors du dernier scrutin présidentielle y sont favorable.
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Ensauvagement : Marine Le Pen demande les noms des coupables
Dans son discours de clôture lors de la rentrée du Rassemblement national Fréjus (à retrouver ici), Marine Le Pen a relayé la demande diffusée cet été sur les réseaux sociaux : on veut les noms des assassins.
« Si nous souhaitons apporter les bonnes réponses à l’aggravation de la délinquance et de la criminalité, nous devons d’abord regarder en face la réalité : celles-ci sont en partie une conséquence de l’immigration anarchique et incontrôlée. »
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Les Cahiers de psychologie politique : Samuel Tomei, « Du bon usage du populisme », compte-rendu de l’ouvrage « Faut-il avoir peur de l’homme providentiel ? » d’Alexandre Dorna
Les démocraties vacillent et ceux qui les gouvernent semblent aussi impuissants que craintifs face au bruit et à la fureur, au tumulte et au fracas – la paraphrase est tentante… Et, après Hugo, on pourrait, pour résumer le sentiment des élites, solliciter Marx – « un spectre hante le monde : le spectre du populisme » – ou encore Jaurès : « le populisme porte la dictature comme une nuée dormante porte l’orage »… Car « populisme », « charisme », « homme providentiel » ont mauvaise presse. Autant de notions dont se sert l’oligarchie régnante pour disqualifier ses adversaires quand ils l’accusent de trahir les intérêts du peuple – notions utiles car efficaces et dispensant de toute réflexion.
Cependant, la caricature est-elle sans le moindre fondement ? Certainement pas, répond Alexandre Dorna à la fin de son dernier ouvrage, Faut-il avoir peur de l’homme providentiel ? (1), mais les détracteurs du populisme « non seulement excluent les causes et déforment les faits, mais également se dispensent de l’examen des conséquences ».
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Pierre SIDOS, combattant historique de la cause nationaliste, est décédé
Pierre Sidos en juin 2010 lors d'un banquet organisé par Synthèse nationale à Paris.
A la fin des années 1940, Pierre Sidos fut (avec ses frères François, Jacques et Henri) l'un des premiers à relever l'étendard du camp nationaliste en créant le mouvement Jeune nation. Celui-ci fut dissous, alors qu'il était à la pointe du combat pour l'Algérie française, à la fin des années 1950. Pierre Sidos participa alors au lancement du Mouvement Occident puis, en avril 1968, il créa l'Œuvre française qu'il présida jusqu'en 2010, année au cours de laquelle il en confia la direction à Yvan Benedetti. Fidèle à sa ligne nationaliste et catholique, il défendit toute sa vie les idées de sa jeunesse ainsi que la mémoire de sa famille qui a beaucoup donné pour la France.
Un an jour pour jour après son frère François cliquez ici, il est décédé vendredi muni des sacrements de l'Eglise et entouré de sa famille.
A plusieurs reprises, il participa à nos réunions de Synthèse nationale et il m'invita aussi à certaines qu'il avait organisées.
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Trajectoire royaliste : 1H avec Alexandre.
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Mairies écologistes : les Khmers verts ne prennent jamais de vacances !
C’est toujours un crève-cœur de voir une belle idée prônée par des andouilles, telle l’écologie par ces Verts qui, c’est le moins qu’on puisse prétendre, ne font pas toujours l’unanimité. Pour sa défense, Amine Smihi, adjoint chargé de la Sécurité à la mairie de Bordeaux, se dresse donc contre « la caricature des écolos en beatniks ».
Pourtant, nul besoin d’avoir fait les grandes écoles pour savoir que les « beatniks » étaient des énergumènes plutôt sympathiques, à rebours de nos actuels écologistes, Khmers verts faisant preuve d’une fantaisie toute prussienne et d’un sens du dialogue de type nord-coréen. La preuve par Manon Aubry, naguère tête de liste mélenchoniste aux dernières élections européennes, mais qui se veut plus verte que les Verts : « Défendre une limitation des libertés au nom du changement climatique n’est pas liberticide. »
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Marine Le Pen évoque la montée de la violence : « C’est une véritable barbarie qui s’installe » (Vidéo)
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Face à la racaille : un pouvoir désarmé ou cynique ?
On ne sait plus où donner de l'indignation. Chaque jour, agressions et violences. De plus en plus gratuites, de plus en plus odieuses. Plus aucun frein, plus aucune limite : les maires, les élus deviennent une cible prioritaire, à Bondy comme ailleurs. Des jeunes gens courageux venant au secours de leurs proches sont tabassés. Avec une totale arrogance la malfaisance se déploie et s'accomplit.
Je n'oublie pas ce qui a suscité l'ire politique la plus vigoureuse, la réprobation la plus ferme : la racaille ayant incendié, vandalisé, frappé, dévasté autour du Parc des Princes, durant et après la finale ayant opposé le PSG au Bayern de Munich (Le Figaro).
Laissons d'emblée de côté le "il n'y a qu'à" qui n'est que le refuge confortable de ceux qui ne sont pas aux responsabilités.
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La France confrontée à l’insécurité – La revue de presse de Radio Courtoisie
La revue de presse du Libre journal de Dominique Paoli sur Radio Courtoisie du 31 août 2020 portait sur les tensions récentes en Méditerranée mais aussi sur la montée de l’ensauvagement constaté durant la période estivale.
À côté de la crise sanitaire et de la polarisation qu’elle suscite de la part des médias et des pouvoirs publics, une autre actualité a dominé ces semaines d’été : la montée irrépressible des actes violents. Cette expression d’actes violents doit être privilégiée par rapport à l’emploi du terme de violence, reflet d’un environnement qui tendrait dans son usage à diluer la responsabilité individuelle. C’est bien ce qui est observé aujourd’hui où une idée dominante, mais nullement partagée par une majorité de la population, privilégie, pour les faits délictuels et criminels considérés, des causes sociales et économiques basculant ainsi la responsabilité individuelle sur une responsabilité collective, pour autant que les faits ne soient pas simplement ignorés, en témoigne, par exemple, l’absence d’articles sur ce thème dans le journal Le Monde.