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Aujourd’hui bien oublié, dans le second septennat Mitterrand, l’Iman Khomeiny tenta une stratégie de Djihad – guerre sainte – pour la conquête du Maghreb à partir de la France. Elle allait avoir des conséquences dramatiques que nous payons encore et la décapitation de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie à Conflans‚ vient nous le rappeler.
Pour comprendre l’engrenage, il faut se souvenir de pourquoi Khomeiny voulait cette conquête du Maghreb, comment il comptait s’y prendre et avec qui.
Passionné d’histoire, youtubeur aux millions de vues et scénariste, Papacito est l’auteur de best-sellers : « Carnet de guerre » et « Crépuscule des Titans ». Il vient de publier chez Ring « Expédition punitive » avec cet avertissement : Seuls les lecteurs détenteurs des brevets et accréditations militaires de niveau 8-A sont habilités à lire cet ouvrage. Un livre qui se donne pour mission de désinfecter aux lance-flammes et missiles balistiques intercontinentaux le moindre recoin de notre pays ravagé par le laxisme.
Au programme des débats :
Covid-19 : la guerre des générations ? Boomers contre Millenials ?
Le Covid-19 oppose-t-il les générations ? Les adultes se plaignent de l’insouciance des jeunes face à la crise sanitaire. Les jeunes se sentent bridés dans leurs libertés en ayant pour devoir de protéger les plus anciens. Assiste-t-on, pour reprendre le jargon actuel, à une guerre entre les boomers et les millenials ? Et un monde divisé en fonction de sa date de naissance est-il pertinent ?
Covid-19 : revanche de la France rurale sur les métropoles ?
Dans une France où la population s’agglutine dans les villes, la crise du coronavirus a redonné sa saveur à la vie à la campagne. La France rurale, la France des périphéries, des petits pays était devenue, pour de nombreux citadins, une Terre inconnue. Le monde rural prend-il sa revanche ? Ou cette situation ne durera que le temps d’une pandémie ?
Extraits d’une tribune de Marion Maréchal dans le Figarovox :
Voici donc la 267e victime de l’islamisme depuis 2012. Après les enfants, les militaires, les policiers égorgés devant leur petit garçon, les journalistes, les adolescentes à Marseille, le chef d’entreprise décapité, le curé dans son église, les innombrables victimes du Bataclan ou de Nice, c’est au tour du professeur.
L’histoire semble se répéter dans l’horreur mais celle-ci se distingue en ce qu’elle met en exergue les multiples complicités, la chaîne humaine qui a désigné la cible à abattre, la fatwa 2.0 avant que l’assassin ne passe à l’acte. On y découvre des élèves, des profs, des associations locales, des imams, de multiples relais anonymes sur le net. Un cas de dénonciation qui ne semble pas isolé dans l’Éducation nationale mais qui, cette fois, a trouvé le bourreau pour la mise à mort.
Eric Zemmour : “Il faut un référendum sur l’immigration et agir comme si la Cour de justice européenne et la CEDH n’existaient pas. Que vont-ils faire, envoyer des chars ?”. Face à l’info sur CNews avec Éric Zemmour – Émission du jeudi 22 octobre 2020.
Les nouveaux maires écolos veulent faire de leurs villes des fabriques de l’homme nouveau. Conjuguant mépris du populo et détestation de la France, ils sont aussi sensibles au malheur des bêtes qu’ils sont insensibles au bonheur des hommes.
Leur rêve est notre cauchemar. Et il est en train de devenir réalité. Les écolos qui, lors des municipales de mars et juin, ont ravi au socialisme bourgeois les métropoles les plus riches de France – à l’exception de Paris, mais c’est tout comme – n’en font pas mystère. Nos grands maires ne font pas que du vélo. Les villes sont leurs laboratoires, le chaudron où ils inventent le monde magique de demain. Et bien sûr, nous sommes, au choix, les papillons ou les grenouilles sur lesquels ces savants fous testent leurs diaboliques inventions. De notre alimentation à nos déplacements (on dit mobilité), du bureau à la chambre à coucher, ils s’évertuent donc à placer toute l’existence sous surveillance.
« La conception fasciste de l’État rejoint étrangement la pratique stalinienne »
Par Pierre Debray
C'est une étude historique, idéologique et politique, importante et profonde, que nous publions ici en quelques jours. Elle est de Pierre Debray et date de 1960. Tout y reste parfaitement actuel, sauf les références au communisme - russe, français ou mondial - qui s'est effondré. L'assimilation de l'Action française et du maurrassisme au fascisme reste un fantasme fort répandu des journalistes et de la doxa. Quant au fascisme en soi-même, si l'on commet l'erreur de le décontextualiser de sa stricte identité italienne, il reste pour certains une tentation, notamment parmi les jeunes. On ne le connaît pas sérieusement. Mais il peut-être pour quelques-uns comme une sorte d'idéal rêvé. Cette étude de Pierre Debray dissipe ces rêveries. Elle s'étalera sur une dizaine de jours. Ceux qui en feront la lecture en ressortiront tout simplement politiquement plus compétents.LFAR
Pourtant, c’était Mussolini et non point Maurras qui avait affirmé : « Nous qui détestons intimement tous les christianismes, aussi bien celui de Jésus que celui de Marx, nous gardons une extraordinaire sympathie pour cette reprise, dans la vie moderne, du culte païen de la force et de l’audace. » M. Gaston Rabeau n’ignorait certes pas cette déclaration de principe, puisqu’elle date du 1er décembre 1919. Pas davantage, il ne lui était possible d’ignorer que Mussolini, alors qu’il affichait des velléités littéraires, avait composé un roman pornographique, tout rempli d’injures pour la religion. Il est vrai que la démocratie-chrétienne devait éprouver plus de mansuétude pour le fascisme que pour l’Action française, pour cette bonne raison que l’Action française se voulait contre-révolutionnaire, tandis que le fascisme s’inscrivait dans le grand mouvement de l’action subversive.
Y penser toujours, n’en parler jamais, même en se rasant. Car 2022, même si distant de dix-huit mois, c’est comme si c’était demain. La consigne vient donc de tomber de l’Élysée et Le Point le rappelle : ne surtout pas donner l’impression qu’on s’y prépare, ce qui ferait mauvais genre, par les temps qui courent, entre pandémie et réveil d’islamisme de combat. Mais, discrètement, faire comme si.