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France et politique française - Page 1996

  • La bande d'inconséquents qui sert encore de gouvernement à ce qu'il reste de la France vient de prononcer la dissolution du Bastion social...

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    La réaction de Thomas Joly,

    Secrétaire général du Parti de la France 

    Le ministère de l’Intérieur a annoncé avoir réglé cette question lors du Conseil des ministres de ce mercredi 24 avril.

    Le 20 février dernier, lors du dîner du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) et au lendemain de la profanation de 96 tombes dans un cimetière juif alsacien, le chef de l’État s’était engagé à dissoudre trois associations d’extrême droite pour assouvir les pulsions de ses hôtes.

    Pendant ce temps, les groupes ultraviolents d'extrême-gauche et les organisations islamistes radicales ne sont pas inquiétées...

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  • « Histoire de l’islamisation à la française », démonstration de la trahison des « élites »

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    Les pouvoirs politiques et médiatiques sont-ils ethnomasochistes au point de fermer les yeux l’islamisation de la France, voire d’y contribuer – volontairement ou non ?
    Si la réponse à cette question est malheureusement claire pour de nombreux Français, le collectif d’auteurs qui a rédigé l’Histoire de l’islamisation à la française 1979-2019 (éditions de l’Artilleur) a voulu y répondre de manière argumentée et claire.

    Prudence extrême autour de l’incendie de Notre-Dame

    Le collectif d’auteurs qui a rédigé l’histoire de l’islamisation à la française depuis 40 ans ne pouvait pas avoir meilleure confirmation de la soumission rampante des pouvoirs médiatique et politique à l’islamisation de notre société que les réactions des pouvoirs publics face aux causes de l’incendie qui vient d’embraser la cathédrale Notre-Dame de Paris.
    Lundi 15 avril, 1h30 après le départ du feu, alors que les flammes interdisent évidemment toute enquête, un communiqué de la Préfecture déclare que « l’incendie est accidentel ». Le lendemain, à midi, lors de la conférence de presse du Procureur de la République, ce dernier affirme que « rien ne va dans le sens d’un acte volontaire » sans avoir peur de se contredire immédiatement en ajoutant que « les investigations vont être longues, complexes.».

    Ces précipitations oratoires par des autorités qui ont l’habitude de peser leurs mots pour ne pas froisser le Prince qui les a nommés ne sont évidemment pas des maladresses. Elles sont simplement le signe d’immenses précautions dues à la situation explosive qui couve en France compte tenu de la politique d’immigration qui a fait du pays un « archipel » instable qui pourrait engendrer une guerre civile entre des communautés en tension, comme l’a déclaré il y a quelques mois l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb : « Aujourd’hui on vit côte à côte…je crains que demain on vive face à face ».
    Heureusement, Monseigneur Aupetit, Archevêque de Paris, a été plus circonspect en affirmant le 16 avril à l’émission de Bourdin : « On a détruit Notre-Dame, mais on n’a pas détruit l’âme de la France ». On ? Alors, en effet, comme l’a déclaré le Président de la République au soir de cette tragédie chargée de symboles : « Cette histoire c’est la nôtre et elle brûle ».

    Une démonstration précise

    L’histoire de l’islamisation à la Française rédigée par un collectif anonyme (tant il est dangereux socialement et même physiquement de heurter les forces à l’œuvre) démontre par des exemples précis année par année depuis 1979 jusqu’à nos jours, comment la France tend à être réduite à l’impuissance et à devenir muette… comme aurait dit le sapeur Camembert !

    Exemples

    1979, le quotidien Libération, par la prose lyrique de Marc Kravetz, ancien leader de mai 68, relate avec emphase « l’insurrection victorieuse à Téhéran (…) ou le cri de la guerre sainte retrouvait, dans la nuit, brisé de loin en loin par les rafales de fusils-mitrailleurs, son énergie libératrice.». Viennent faire chœur avec lui les Sartre et les July qui tombent en pâmoison.
    Quant à Michel Foucault, professeur au Collège de France, il n’hésite pas à affirmer que contrairement au catholicisme, « l’islam, cette année 1978, n’a pas été l’opium du peuple, justement parce qu’il a été l’esprit d’un monde sans esprit.» Cette prise de position idéologique est bien sûr motivée par son opposition à la volonté du shah « d’ouvrir son pays par la laïcisation et l’industrialisation » et sa « tentative de moderniser à l’européenne des pays islamiques ».
    Par ailleurs, le journal Le Monde n’est pas en reste dans son parti pris pro-islam, lui qui a pris l’habitude depuis la guerre civile au Liban en 1975, de rendre compte du conflit en opposant « islamo-progressistes » et « chrétiens conservateurs ».

    1980, le Conseil d’Etat, dans son arrêt Montcho du 11 juillet 1980, admet la polygamie pour un diplomate béninois en arguant que « la vie familiale normale d’un musulman consiste à respecter les obligations d’entretien et surtout d’équité entre ses femmes.». Il impose aussi aux caisses de sécurité sociale et d’allocations familiales de reconnaître les enfants des deuxième, troisième ou quatrième épouses d’un immigrant.

    2017, 16 mois après l’attentat terroriste islamiste du Bataclan, l’attitude soumise des pouvoirs publics vis-à-vis de l’islamisme conquérant du Président turc Erdogan est patente.
    Lui qui avait déclaré en décembre 1997 dans un meeting politique, « les minarets seront nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats », voit son ministre des affaires étrangères être autorisé par Jean-Marc Ayrault à tenir une réunion politique en France, alors que les Pays bas et l’Allemagne s’y étaient opposés : « Il est indispensable de faire preuve de responsabilité et d’éviter les polémiques inutiles».

    Le Grand Renoncement des « élites »

    L’histoire de l’islamisation à la française, c’est quarante chapitres, décrivant rigoureusement l’esprit d’abandon qui règne dans une large partie de la société française, propos et décisions à l’appui, année après année depuis 1979, et à chaque fois autour d’un thème éclairant. On constate que les « élites » politiques et médiatiques ont renoncé à défendre les intérêts des français, encourageant ainsi les demandes identitaires toujours plus exigeantes des populations issues d’une immigration non contrôlée et non assimilée, fédérées autour de la religion musulmane qui met en œuvre bien logiquement son devoir de conquête inscrit dans le Coran, afin de faire triompher son Dieu, sa communauté et ses préceptes de vie.

    Pourquoi un tel abandon?
    Par vengeance idéologique d’une gauche ayant renoncé devant ses échecs à construire une nouvelle société et s’acharnant en conséquence à détruire celle qui subsiste et à dissoudre la Nation qui en est sa charpente.
    Par faiblesse d’une droite parlementaire tétanisée par le politiquement correct et encouragée par un capitalisme industriel et financier profitant d’une main d’œuvre bon marché et d’un éclatement des valeurs traditionnelles au bénéfice de la seule obsession d’une consommation boulimique et mortifère.
    Par inconscience ?
    Dans ce cas, l’Histoire de l’islamisation à la française, en énonçant par le menu une bien triste et pernicieuse recette, leur ouvrira peut être les yeux.

    Histoire de l’islamisation à la française 1979-2019, collectif, édition de l’Artilleur, mars 2019.

    Pierre Lours

    Article paru sur le site de Polémia

    https://fr.novopress.info/

  • Ce n’est pas l’ENA qu’il faut supprimer, c’est le copinage !

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    Emmanuel Macron confirmera-t-il, jeudi, la suppression de l’ENA ? Voilà qui ferait plaisir à tous ceux qui critiquent les « concours à la française ». Sans doute faut-il revoir le recrutement et la formation pour éviter de promouvoir le politiquement correct plutôt que les vrais talents. Mais nos prétendues « élites » dirigeantes sont moins le produit de cette école que celui du copinage. Ajoutez-y un peu de militantisme politique et une proximité avec la franc-maçonnerie : tous les ingrédients pour réussir une belle carrière sont réunis, eût-on peu de talents.

    Loin de nous l’idée de critiquer les jeunes qui prennent des responsabilités politiques ou associatives dans leur jeunesse. S’ils ne le font pas seulement par ambition, il leur en reste toujours quelque chose. Nathalie Loiseau a tort de présenter sa candidature, en 1984, aux élections étudiantes de Science Po Paris, sous l’étiquette de l’Union des étudiants de droite, issue du Groupe union défense (GUD), comme « une erreur d’il y a 35 ans », qui était sortie de sa mémoire. Elle aurait pu tirer gloire d’avoir eu une activité militante qui ne s’inscrive pas dans la bien-pensance de l’époque. D’autres l’ont fait avant elle, sans être marqués du sceau de l’infamie.

    Il est vrai que ce type d’engagement n’est pas le plus fréquent dans le monde socialo-macronien, puisqu’il faut bien l’appeler par son nom, même si une partie de la droite traditionnelle s’est ralliée à la politique économique de notre Président. Il n’y a pas si longtemps, pour faire une carrière à gauche, le chemin le plus sûr était d’avoir une responsabilité dans une organisation étudiante de gauche, avec une préférence pour l’UNEF ou SOS Racisme. Cette voie n’est pas abandonnée. Tenez ! Sibeth Ndiaye, qui est entrée récemment au gouvernement : elle a fait ses armes à l’UNEF et à la Mutuelle des étudiants, puis a adhéré au Parti socialiste, s’est occupée du service de presse de Claude Bartolone, d’Arnaud Montebourg, de son successeur Emmanuel Macron. Elle devient donc tout naturellement responsable presse et communication du candidat d’En Marche !, qu’elle suit à l’Élysée avant de devenir porte-parole du gouvernement.

    Mais cette voie, tout comme l’ENA, n’est plus obligatoire. Les Benjamin Griveaux, Ismaël Emelien, Stanislas Guerini, Adrien Taquet et bien d’autres encore, cette génération de loups aux dents longues, n’ont pas eu besoin de ce concours ni de l’UNEF pour réussir. À côté du syndicalisme ou de l’activité associative plus ou moins bénévole, le copinage est devenu un facteur important. Chacun jugera si ce mode de sélection est une garantie de compétence. L’ENA, telle qu’elle fonctionne actuellement, est peut-être une usine de clonage, mais le copinage est loin d’apporter les mêmes garanties de sérieux et de compétence. Ce mode de promotion n’est pas réservé à la gauche, mais la gauche s’y trouve comme un poisson dans l’eau.

    Ce n’est pas l’ENA qu’il faut supprimer, c’est le copinage. L’ENA peut être améliorée pour retrouver sa vocation première : former de grands serviteurs de l’État. Le copinage est le pire des systèmes : il puise dans un vivier uniforme, préférant souvent les plus serviles et les plus complaisants aux plus compétents.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/ce-nest-pas-lena-quil-faut-supprimer-cest-le-copinage/

  • JUAN BRANCO: "Macron a été élu par une mafia !"

    Condensé de son dernier passage chez Thinkerview illustré

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/23/juan-branco-macron-a-ete-elu-par-une-mafia-6145942.html

  • Marion Maréchal : La politique actuelle ne relève plus du gouvernement des hommes, mais de l’administration des choses. Les « gilets jaunes » en sont les premières victimes

    Marion Maréchal : La politique actuelle ne relève plus du gouvernement des hommes, mais de l’administration des choses. Les « gilets jaunes » en sont les premières victimes

    Voici le passionnant entretien donné la semaine dernière par Marion Maréchal dans Valeurs Actuelles :

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  • Le vrai complot de Notre-Dame

    6a00d8341c715453ef0240a4a4bc26200b-320wi.pngDès le 16 avril, au lendemain du drame, Louis Nuñez, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur, le rappelait pourtant : il ne faut écarter aucune piste. Et il était claironné que l'élite de notre police judiciaire, à laquelle a été confiée l'enquête, travaille dans cet esprit[1].

    Le royaume de saint Louis ayant donné naissance au pays de Descartes, on doit certes admettre que l'incendie de la grande cathédrale de France a pu résulter d'une cause ou bien criminelle, ou bien accidentelle, ou bien providentielle.

    Certains n'ont pas manqué d'explorer l'hypothèse des suspects habituels.

    Comme on ne prête qu'aux riches, on ne peut pas gommer le fait qu'en 2016 et en 2017, après tout, des projets terroristes visant Notre Dame ont été déjoués ; et surtout que des actes antichrétiens à Pâques sont commis dans le monde entier au nom du Djihad.

    Les mots d'ordre politiquement corrects n'ont pas pu empêcher, d'ailleurs, les plus vomitifs des crétins – parmi les rogatons de l'UNEF et les adeptes du salafisme ‑ d'exprimer leur joie et de manifester la convergence de l'islamisme et du bolchevisme. Celle-ci n'a-t-elle pas été scellée à Bakou, dans la haine de l'occident, depuis 1920 [2]?

    Il se trouve cependant que les premières informations données sur cet affreux événement semblent démentir cette hypothèse commode.

    Trop confortable, peut-être, la théorie de l'acte terroriste exonère une fois de plus les responsabilités franco-françaises : celles d'une municipalité de Paris sous la gouvernance de la mégère Hidalgo ; celles d'un ministère de la Culture incapable de sauvegarder le patrimoine public ; celles d'un État central, envahissant là où il ne sait intervenir que pour échouer, et déserteur face aux tâches régaliennes qui lui incombent.

    Dans notre tradition, il est admis qu'outre nos actions mauvaises, outre nos pensées perverses, on pèche aussi par inadvertance[3]. Y conspire dès lors une franc-maçonnerie que l'on oublie trop, et à laquelle il n'est pas besoin de prêter serment : celle des médiocres, des incompétents, des négligents.

    Car, des failles sécuritaires à peine croyables ont été soulignées dès le 16 avril sur LCIpar Benjamin Mouton, ancien architecte en chef de la cathédrale de 2000 à 2013. Ces fautes, fort nombreuses, d'ores et déjà repérées par l'enquête de la Brigade criminelle, ont été révélées, ce 25 avril, par le Canard enchaîné :

    - un seul homme était présent, et seulement de 8 h à 23 h les 2 surveillants payés par l’État, que devait compter 24h/24 le PC sécurité ;

    - les pompiers n'ont été appelés qu'après 35 minutes, et non 20, retard dû, d’après le palmipède, à une série d’erreurs humaines ;

    - des ouvriers ont avoué avoir fumé sur les échafaudages, ce qui est interdit ;

    - des fils électriques couraient dans les combles, à la merci des courts-circuits ;

    - dès 18 h 20 une première alarme avait été donnée, mais il a fallu une seconde alerte à 18 h 43 ;

    - les colonnes sèches, raccordées à une source d’eau, ne pouvaient pas acheminer plus de 400 ou 500 litres d’eau par minute, soit, d'après le vilain petit Canard"le débit pour éteindre un départ d’incendie mais pas un brasier de grande ampleur".

    Même si, à l'arrivée, l'enquête de police devait conclure à une intention criminelle dirigée contre l'identité française dans sa dimension chrétienne, les informations entourant l'affaire ont rendu évidente la négligence, non moins criminelle, peut-être plus criminelle encore, des pouvoirs publics.

    Dès 1913, Maurice Barrès publiait un livre dénonçant "La Grande Pitié des églises de France". L'absence d'un minimum d'entretien n'a fait qu'empirer depuis. Les chiffres de cette insuffisance commencent à être connus du public.

    Être frappé lâchement par un adversaire aussi ignoble que Daech fait partie de l'ordre des choses.

    Être abandonnés par ceux qui nous dirigent fait hélas partie de ce à quoi les politiciens de la Cinquième, comme leurs devanciers de la Quatrième et de la Troisième république, nous ont hélas habitués.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Ce passage de son intervention a été coupé, hélas, de la a href="https://www.rtl.fr/actu/justice-faits-divers/incendie-de-notre-dame-l-edifice-sauve-mais-il-faut-rester-prudent-dit-nunez-sur-rtl-7797437000">page de l'émission.
    [2] cf. mon petit livre "La Faucille et le Croissant" – islamisme et bolchevisme au congrès de Bakou.
    [3] cf. les prières liturgiques attribuées à st Jean Chrysostome. Les témoignages les plus anciens semblent établir, je crois, que la structure de l'office chrétien n'a guère changé depuis st Justin le Philosophe, et que les textes de la liturgie byzantine eux-mêmes ont été l'œuvre de st Basile de Césarée.

    https://www.insolent.fr/

  • Le Conseil des ministres prononce la dissolution du Bastion Social

    C’était une promesse d’Emmanuel Macron au CRIF. La dissolution du mouvement Bastion social a été prononcée mercredi en Conseil des ministres, a annoncé le ministère de l’Intérieur.

    Le prétexte de cette décision est de « mettre fin aux exactions répétées commises » en marge de rassemblements de voie publique, a précisé le ministère dans un communiqué. « Engagement tenu », s’est félicité sur Twitter le ministre Castaner.

    Inspiré du mouvement italien CasaPound, le Bastion Social dénonçait le « grand remplacement » et s’opposait au « capitalisme ultralibéral ». Il participait également aux mobilisations des « gilets jaunes ».

    Le gouvernement étudie par ailleurs les moyens de dissoudre le mouvement Génération Identitaire.

    https://www.medias-presse.info/le-conseil-des-ministres-prononce-la-dissolution-du-bastion-social/107656/

  • Éric Zemmour : « le XVIIIe arrondissement de Paris c’est devenu Dakar : y’a plus un blanc ! »

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    Lors d’une conférence récemment donnée à Marseille à l’invitation de Stéphane Ravier, sénateur RN, Éric Zemmour a fait le constat que « le XVIIIe arrondissement de Paris c’est devenu Dakar : y’a plus un blanc ! ».

    Des paroles qui ont eu le don d’agacer Justine Henry, référente LREM dans cet arrondissement de Paris.

    Selon elle, ce « constat grossier est faux et profondément irrespectueux des habitants de Paris XVIII ». Et pour cause, elle y voit pour sa part « un village aux mille visages et aux mille histoires de vie. Cette diversité humaine est une source d’énergie incroyable, un joyau à faire rayonner ».

    https://fr.novopress.info/

  • Nathalie Loiseau serait amnésique. C'est plutôt inquiétant pour son avenir...

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    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Mais non Nathalie, il n'y a aucune honte à avoir été candidate de l'Union des étudiants de droite lorsque tu sévissais à Science-Po*. En revanche, ce qui est honteux c'est de vouloir faire croire que tu ignorais la nature de ton engagement d'alors.

    Pourtant, "Union des étudiants des droites", c'était difficile d'être plus claire... De l'UNI au GUD, en passant par quelques militants de l'œuvre française, tout ce que la vénérable école comptait d'anti-communistes et de nationalistes se retrouvait dans ce syndicat. Alors, toi qui était en quatrième année, tu ne savais donc pas de ce dont il s'agissait ? Laisse-nous rire aux éclats.

    Il est vrai qu'à cette époque, pour contrer l'omniprésence des gauchistes de toutes obédiences dans l'Université, les nationalistes n'hésitèrent pas, parfois, à ruser. Il y eu ainsi une Fédération des étudiants de Picardie, une Union des étudiants d'Alsace, un Renouveau étudiant à Bordeaux... des appellations imaginatives qui pouvaient, admettons-le, amener l'étudiant moyen à s'interroger sur le positionnement politique de ces syndicats locaux. Mais, avec l'"Union des étudiants des droites"... il ne pouvait pas y avoir de tromperie sur la marchandise.

    Ton attitude face aux "révélations" de Mediapart est vraiment déplorable. De deux choses l'une, soit tu es idiote et inculte, ce que nous n'osons pas imaginer ; soit le milieu que tu fréquentes maintenant, LREM en l'occurence, est tellement sectaire et fanatique que tu ne trouves rien de mieux que d'invoquer ta crédulité de jeune fille effarouchée pour te défendre. Ce n'est pas très courageux...

    Et le plus grave, c'est que maintenant tu voudrais t'imposer comme le rempart face à "l'extreme droite". Décidément, tu n'arrêtes pas de nous faire rigoler, Nathalie. Une chose est sûre, c'est que si tu as fréquenté les nationalistes dans ta jeunesse, tu n'as rien retenu de l'éthique qui anime leur idéal. Le reniement est l'apanage des poltrons démocrates, pas celui des "fachos".

    Depuis le début de la Ve République, nombre d'élus, voire de ministres, firent leurs premières classes dans la mouvance nationaliste. Face à l'adversité, reconnaissons-le, peu renièrent leurs engagements d'antan (après tout, on a le droit de changer d'idées) et, parmi eux, certains firent même de brillantes carrières. Néanmoins, quelques uns se crurent obligés, lorsqu'ils se virent débusqués par les petits flics de la pensée dominante, de cracher sur leur passé. Ces méprisables personnages sont vite tombés dans les oubliettes de l'Histoire... et c'est sans doute mieux ainsi.

    Nathalie, avec ta liste LREM, tu as la prétention de défendre les intérêts de la France dans l'Union européennes. Permet-nous de te dire que, vue ton attitude aujourd'hui, on a de bonnes raisons d'être inquiets pour demain... Mais, rassure-toi, que tu ai été membre de l'UED ou non, cela n'a pas vraiment d'importance car nous n'avions aucunement l'intention de voter pour toi...

    * Si je te tutoie dans cet article, c'est parce que dans la mouvance nationaliste, hier comme aujourd'hui, tout le monde se tutoie. Ainsi, tu vois bien que nous ne sommes pas rancuniers.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Face aux experts et aux artifices, développer sa culture générale

    Face aux experts et aux artifices, développer sa culture générale

    Marion Maréchal, directrice de l’ISSEP, évoque l’importance de la culture générale :

    […] La culture générale n’est pas une simple accumulation de connaissances. Elle est la « tête bien faite », autrement dit, l’intelligence transversale capable de rassembler des informations, apte à puiser dans différentes matières sans être enfermée dans un domaine d’expertise et disposée à confronter le présent au passé pour en tirer des leçons, une analyse, un jugement.

    Il ne s’agit ici pas de quantitatif mais de qualitatif. Il ne s’agit pas d’« avoir » mais bien d’« être ». La culture générale n’est pas faite pour briller en société, elle aide à penser, à vivre, elle façonne la personne et sa façon d’appréhender le monde. Qui a lu Balzac, qui a entendu Chopin, qui a admiré les statues du Bernin, qui a vibré au récit de la bataille de Patay ne perçoit pas les murmures du monde de la même manière.

    A l’heure où la gouvernance et l’administration des choses ont remplacé le gouvernement des peuples, où le langage et la pratique managériale ont remplacé la Politique, il est important de rappeler que la capacité à conduire des Hommes émane moins de techniques toutes-faites de management que d’une bonne connaissance des tréfonds de l’âme humaine (à ce titre, la qualification désuète d’Humanités pour désigner la culture générale prenait tout son sens) et d’une réelle capacité de discernement. Le Général de Gaulle résumait parfaitement ces bénéfices dans son ouvrage Au fil de l’épée : « La véritable école du commandement est celle de la culture générale. Par elle, la pensée est mise à même de s’exercer avec ordre, de discerner dans les choses l’essentiel de l’accessoire, (…) de s’élever à ce degré où les ensembles apparaissent sans préjudice des nuances. Pas un illustre capitaine qui n’eût le goût et le sentiment du patrimoine et de l’esprit humain. Au fond des victoires d’Alexandre, on retrouve toujours Aristote…

    Dans un monde où les expertises sont rapidement obsolètes, où l’intelligence artificielle commence à concurrencer l’intelligence humaine, où les professionnels sont amenés à changer plusieurs fois, non pas de postes, mais de métiers, il est indispensable de comprendre rapidement, de savoir construire un raisonnement, de développer son esprit critique. Telle sont les véritables compétences attachées à la « mobilité » si souvent citée comme nouvel impératif dans le monde du travail.

    Un futur dirigeant politique ne peut se dispenser de s’enraciner dans une culture et une histoire pour s’imprégner de l’inconscient du peuple, de sa mentalité et de ses moeurs en vue de lui donner un cap auquel il adhérera. Comme le disait André Charlier dans l’une de ses lettres adressée à ses élèves: « l’âme d’une maison, comme celle d’un peuple, est faite de beaucoup de fidélités silencieuses ». S’inscrire dans le temps long c’est accepter d’être le dépositaire de ces fidélités qui nous dépassent. C’est en comprendre la valeur et la fragilité, car la fraternité humaine est un sentiment que l’on ne peut imposer ou décréter. Il est le fruit mûr du temps et d’échanges séculaires qui façonnent la reconnaissance de soi en l’autre au point de se sentir responsable de lui.

    Le politique qui s’amuse à déstructurer cette fraternité par méconnaissance, inadvertance ou pire, par lâcheté ou cynisme est terriblement coupable. S’attaquer à ce legs est la pire des trahisons car il constitue le socle de notre société et la condition de son harmonie.

    Rechercher une culture générale est un exercice d’humilité.

    Effleurer l’immensité des savoirs qui nous ont précédés permet de mesurer à quel point nous ne savons rien ou si peu. Cet exercice aide à se prémunir contre la grande vanité frappant chaque génération, qui consiste à se croire bien supérieure dans la morale et l’esprit à la précédente. Tous ces savoirs nous invitent à pratiquer la prudence, cette vertu que la philosophie grecque puis la doctrine chrétienne présentent comme cardinale. […]