Quoi de mieux qu’une bonne dose de terreur climatique pour imposer la tyrannique gouvernance mondiale ? Devant le scepticisme croissant que soulèvent leurs théories apocalyptiques, les climato-alarmistes ont fourbi un nouveau concept d’ébullition liée à l’activité humaine : celui de Terre « serre brûlante ». Mais en fait, rien de nouveau sous le soleil. Il s’agit de recycler la propagande destinée à justifier cette « gouvernance mondiale », jacobinisme hyper-centralisateur et obtusément techno-marchand à l’échelle de la planète. Un système piétinant tout principe de subsidiarité, dans lequel les « experts » globaux, ivres de leur rationalisme délirant, organiseraient tous les détails de la vie des hommes sans le moindre contrôle des populations. Comment un corps social de sept milliards d’humains pourrait-il maîtriser ces « élites » autoproclamées ?
France et politique française - Page 2300
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La Terre « serre brûlante », nouveau mantra du terrorisme climatique pour imposer la tyrannie de la gouvernance globale
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Immigration : Les masques tombent – Journal du Jeudi 16 Août 2018
1) Immigration / Les masques tombent
C’est l’été de toutes les vérités pour l’immigration. Alors que l’Aquarius, le bateau de l’association immigrationniste SOS Méditerranée, prouve une nouvelle fois qu’il sert ni plus ni moins de passeur aux clandestins, les nouveaux axes migratoires dirigés sur l’Espagne socialiste met à mal la prétendue spontanéité des exils.
2) Société / Les dangers des routes françaises.
La catastrophe de Gênes réveille les craintes françaises. Alors que le gouvernement a fait passer la limitation de vitesse à 80 km/h sur les axes secondaires, les routes françaises accusent un manque criant d’entretien. L’état des voies routières en France n’a peut-être rien à envier à l’Italie.
3) International / La Turquie dans la crise
4) L’actualité en bref
Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)
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Les immigrés mineurs isolés : qui sont-ils ?
Lu sur Medscape :
"Selon le rapport du Sénat datant de juin 2017, ce sont essentiellement des garçons (95%), en fin d’adolescence (les deux tiers ont plus de 16 ans) arrivant majoritairement d’Afrique. Les principaux pays d’origine sont ceux d’Afrique sub-saharienne (Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Cameroun, RDC, Nigéria) mais les mineurs isolés sont également originaires d’Afghanistan, du Pakistan, du Bangladesh, d’Erythrée, du Soudan, d’Angola, de Syrie et d’Europe de l’Est. Le choix de la France comme destination repose en partie sur une langue et une culture commune. C’est souvent le cas pour les mineurs isolés étrangers originaires d’Afrique francophone.
Leur profil diffère sensiblement de celui des migrants adultes :beaucoup sont « mandatés » par leur famille, leur parcours « est bien souvent organisé par des filières » et ils cherchent plus des « opportunités économiques » que l’asile, affirme le rapport du Sénat.
En 2010, en France, le nombre de mineurs migrants confiés aux départements était de 4000. En 2016, leur nombre a augmenté de 85% pour dépasser 25 000 jeunes pris en charge. Certaines évaluations parlent même de près de 50 000 jeunes migrants arrivés depuis 2017 sur le territoire.
A savoir : Le mineur, contrairement à l’adulte, n’a pas à justifier d’un titre de séjour en France, donc ne peut pas être expulsé, reconduit à la frontière ou placé en rétention."
Ceux qui accueillent de façon aveugle les mineurs étrangers doivent savoir qu'ils ne sont que de hameçons pour favoriser l'immigration de peuplement.
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Qu’est-ce qu’un envahisseur ?
Bernard Plouvier
Dans l’imaginaire collectif d’Européens trop sensibles aux fééries hollywoodiennes - tellement schématiques en matière d’histoire qu’elles ne sont que caricatures -, l’invasion est une affaire sanglante, « pleine de bruit et de fureur », de viols et de rapts, de pillages et d’incendies.
Il est exact que l’invasion des hordes d’Attila fut en grande partie cela, et bien davantage encore la déferlante mahométane en Ibérie, en Aquitaine et dans toute la moitié sud de la France ou en Italie méridionale. Puis la barbarie mongole s’abattit sur l’Europe orientale et centrale, et la turque en terres danubiennes. Tout ce la fut sanglant, raciste et ignoble, nul ne le conteste.
L’actualité, en Europe occidentale et scandinave, prouve la persistance et la vivacité de ce type de comportement chez nombre de sauvageons africains, et leurs confrères proches et moyen-orientaux. Si les attentats individuels et collectifs ne défraient la chronique que de façon mensuelle, le vandalisme dirigé contre les installations publiques, les lieux de culte chrétien, les propriétés privées est affaire quotidienne, comme le sont les actes de racket, les vols, les viols et les agressions physiques… et si l’on en venait à dénombrer les manifestations verbales de racisme anti-Blancs, l’on devrait compter en secondes. Tout cela est bien connu – sauf de la presse gaucho-socialo-friquée.
Il est une autre forme d’invasion, moins spectaculaire dans ses manifestations, mais infiniment plus pernicieuse : celle de la mendicité et du service rendu ou soi-disant tel. « Le Barbare peut franchir la frontière en suppliant ou en auxiliaire aussi bien qu’en agresseur… Il use de la prière ou du service plus souvent que de la violence » (Joseph Calmette, in Le monde féodal, 1934).
Il est de fait que les Germains se sont initialement implantés dans l’Empire romain d’Occident comme auxiliaires ou comme réfugiés repoussés par les Slaves puis par les Huns. Ils ont d’ailleurs remarquablement aidé les Gallo-Romains à écraser l’envahisseur hunnique au Vesiècle. En outre, même lorsqu’ils se comportaient en pillards, ils régénéraient les populations occidentales par un fort utile apport génétique : on restait au sein de la même race continentale, l’européenne.
De nos jours, le spectacle des réfugiés africano-asiatiques, chassés de chez eux par la barbarie islamique ou les jeux pervers des dirigeants US, est indéniablement pitoyable. Seulement, après avoir nourri et formé à un métier utile ces extra-Européens, n’avons-nous pas le devoir de les rendre à leurs continents d’origine, pour que ces ex-réfugiés, secourus et convertis à la technicité occidentale, civilisent leurs Nations d’origine ?
Les agents de désinformation clament l’intérêt de la mixité des races et des civilisations pour assurer l’avenir de notre Europe, en complet désaccord avec les faits observés dans les pays multiraciaux : USA, Mexique, Brésil, pour prendre quelques exemples simples où fleurit la violence interraciale de façon quotidienne. On peut prendre ces bêlements de propagande pour ce qu’ils sont : la soumission aux intérêts de la grande distribution.
De fait, les mêmes immigrés-réfugiés-envahisseurs consommeraient infiniment moins s’ils étaient restés chez eux. Accueillis par des États occidentaux, ils jouissent d’une multitude de lois à caractère social (même les immigrés clandestins ont droit à une allocation spécifique en France), en plus d’usages, pas toujours conformes à la loi, des organismes publics locorégionaux, enfin de dons issus de la charité privée. Pourquoi retourneraient-ils dans leurs gourbis insalubres alors qu’ils bénéficient de jouissances matérielles infiniment plus grandes que dans leur continent d’origine et contre un travail nettement moins harassant, voire pas de travail du tout ?
Or une question simple se pose. Qu’ont-ils à donner en contrepartie de tout ce que nous leur offrons ? De façon trop fréquente, ils nous font présent de rejetons peu doués, souvent délinquants, presque jamais courtois, en sus d’une religion conquérante, aux usages médiévaux adaptés à des continents où la rudesse et une conception très particulière des rythmes de travail sont opposées aux nôtres. L’esclavage et l’intolérance religieuse qui devient facilement meurtrière, le mépris intégral de la femme : de tout cela nous n’avons guère besoin.
Les empires hellénistique et romain ont tenté d’amalgamer l’Afrique du Nord et le Proche-Orient à l’Europe - du moins celle qui était étendue de l’Atlantique et de la Méditerranée au Rhin et au Danube -, et cela fut un échec intégral.
Pourquoi voudrait-on récidiver dans l’erreur ? Si c’est pour satisfaire l’esprit de lucre des très curieux « humanistes » de Wall Street, de la City londonienne et des multinationales, ou pour communier à la niaiserie, plus ou moins intéressée, des affairistes (souvent repris de justice) du Charity business, d’un pape étonnant et de politicien(ne)s toqué(e)s, ce n’est peut-être pas nécessaire.
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Un meurtrier d'Adrien Pérez laissé en liberté
Il y a un peu plus de deux semaines, Adrien Perez était poignard à mort à la sortie d'une boite de nuit à Meylan (Isère), pour avoir défendu une personne. 3 personnes ont été interpellées et l'une d'entre elles a été relâché au grand dam de la famille de la victime. Dans son arrêt rendu lundi, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Grenoble a rejeté l'appel du parquet, qui avait réclamé le placement en détention des trois mis en examen.
Mis en examen pour les mêmes chefs, deux frères âgés de 19 et 20 ans, considérés par la justice comme les principaux protagonistes du drame, avaient été immédiatement écroués et sont toujours en détention provisoire.
Me Denis Dreyfus, l'avocat des proches d'Adrien Perez, estime que
"cette décision constitue une déception, en l'état de l'information judiciaire et aussi peu de temps après la disparition d'Adrien". "La chambre de l'instruction considère que les deux hommes suspectés d'être auteurs des coups de couteau sont suffisamment identifiés par l'examen de la bande vidéo et en tirent les conséquences, en l'état et sous réserve des investigations complémentaires".
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La tiers-mondisation de la France est en marche
Par Nicolas Faure, entrepreneur Deux rappeurs qui se battent dans un aéroport en ravageant un magasin et en retardant des dizaines de vol. La Gare Montparnasse qui ferme durant le week-end le plus chargé de l’année à cause d’un incendie dans un transformateur. Adrien Perez poignardé à mort par deux extra-européens ultra-agressifs alors qu’il tentait de porter secours à un ami. Alexandre Benalla, racaille mal dégrossie, possédant un pouvoir absolument inimaginable. Une femme violée par le conducteur d’une voiture avec laquelle elle effectuait un constat.
L’actualité récente nous le démontre de manière éclatante : la tiers-mondisation de la France est en marche !Les racailles au pouvoir
Benalla, une racaille avec les pleins pouvoirs
Le pouvoir semble aujourd’hui faire la part belle aux racailles en tous genres.
De manière évidente, l’affaire Benalla en est l’illustration la plus claire. Imaginez qu’Emmanuel Macron a donné à cet homme un pouvoir quasiment sans limite, alors même que celui-ci est incapable d’envoyer une simple lettre de motivation sans faire de très nombreuses fautes basiques comme nous l’apprend Valeurs Actuelles !
C’est donc une racaille au niveau intellectuel moyen qui a obtenu des avantages incroyables de la part du personnage le plus puissant de la nation française ! Pire, une fois en position de force, Alexandre Benalla a continué à agir comme une vulgaire racaille de cité. Il a ainsi laissé libre cours à ses bas instincts violents en agressant des manifestants. Par ailleurs, il n’a pas hésité à rabrouer publiquement des policiers ou des gendarmes largement plus expérimentés et plus valeureux que lui, ce qui a d’ailleurs sans doute provoqué sa chute.
En fait, Alexandre Benalla a été jusqu’au bout le symbole de cette tiers-mondisation rampante et insoutenable de la France. Incapable, odieux, agressif et imbu de lui-même, Alexandre Benalla est l’exemple même de la racaille promue par Emmanuel Macron.
Avec une question lancinante sur toutes les lèvres : comment Macron, qui n’est lui pas précisément un complet imbécile, a pu donner de tels pouvoirs à Benalla ?
Des racailles pour exemples
Mais le pouvoir n’est pas que politique. Il est également culturel. Et, là aussi, la racaille est en pôle position. La musique qui se vend le plus en France, celle qui supplante peu à peu toutes les autres, c’est le rap ! Et le plus célèbre des représentants de cette musique particulièrement appréciée des jeunes français, c’est « Booba », Elie Yaffa de son vrai nom.
Et celui-ci s’est particulièrement illustré récemment en affrontant son rival, lui aussi extra-européen, Kaaris , de son vrai nom Okou Armand Gnakouri. Les deux rappeurs, auparavant amis, se détestaient depuis plusieurs années. Une rivalité qui a trouvé sa conclusion dans un hall de l’aéroport d’Orly. Les images de la bagarre entre les deux rappeurs et leur bande d’amis violents ont fait le tour du web.
Ces deux multi-millionnaires, adulés par les jeunes Français, ont donc décidé de ravager un magasin et de provoquer la fermeture d’une aile entière de l’aéroport pour régler leur différend.
La France en voie avancée de tiers-mondisation
Agressions sordides
Adrien Perez est, comme Marin, un symbole. Celui de cette jeunesse européenne qui peut tomber sous les coups d’une autre jeunesse, extra-européenne celle-là, pour les motifs les plus futiles qui soient. En l’occurrence, Adrien Perez est mort en héros, en portant secours à un ami, violemment agressé par deux frères qui avaient déjà importuné le groupe d’amis à l’intérieur de la boite de nuit dans laquelle ils se trouvaient.
Pour beaucoup de jeunes « de souche », cette scène n’est pas anodine. Elle résonne extrêmement fort avec leurs propres expériences en boite ou en bar de nuit. Il est aujourd’hui banal de voir des équipes de racailles, même dans des lieux encore préservés il y a quelques années.La tiers-mondisation de la France, c’est avant tout cette multiplication des agressions violentes, des rixes mortelles, des assassinats sauvages, des conflits ethniques. Qu’il s’agisse de l’assassinat d’Adrien Perez ou bien de l’égorgement d’un homme dans un bus parisien, l’actualité ne ment pas : la France sombre peu à peu dans un ensauvagement qui semble n’avoir aucune limite.
Les infrastructures survivront-elles longtemps ?
De même, la France semble irrémédiablement condamnée à voir péricliter ses infrastructures sous la pression – directe ou indirecte – de l’immigration extra-européenne. Qu’il s’agisse des rappels incessants – et vains – à la propreté dans les zones où la racaille prolifère ou bien du coût du maintien de certaines infrastructures handicapés indirectement par les dépenses liées à l’immigration, la tiers-mondisation de la France semble irréversible si rien n’est fait pour l’éviter.
L’exemple de l’incendie du transformateur ayant entraîné la fermeture de la gare Montparnasse pendant plusieurs jours est un exemple de ces problèmes. Comment imaginer qu’une gare accueillant près de 54 millions de voyageurs par an puisse être touchée par un problème, certes important, sans solutions alternatives ou résolution rapide ?
Pour contre la tiers-mondisation de la France, il est impératif d’agir rapidement. Et surtout, il est fondamental de bien faire comprendre aux Français – et aux Européens – que ne pas transformer sa nation en pays du tiers-monde, c’est déjà commencer par cesser d’importer le tiers-monde sur son sol.
Nicolas Faure 15/08/2018
Source : Correspondance Polémia
Crédit photo : Township sud-africain, par Diriye Amey [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons
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La France, 2e destination mondiale pour les immigrés
Quand on dresse la liste de chaque pays qui est le lieu d’immigration privilégiée d’autre pays, on voit que la France est en 2e position, a égalité avec la Russie mais loin derrière les Etats-Unis et devant l’Allemagne. A noter que le Japon n’est en tête dans aucun pays du monde, ce qui est logique puisque ce pays ferme ses frontières.
Etats-Unis (30) : Allemagne, Arabie Saoudite, Bahamas, Bélize, Brésil, Canada, Corée du Sud, Costa Rica, Cuba, Equateur, Ethiopie, Guatemala, Guyana, Haïti, Honduras, Iran, Israël, Jamaïque, Japon, Liban, Mexique, Nigeria, Pérou, Philippines, Salvador, Suède, Thaïlande, Trinité & Tobago, Venezuela, Vietnam.
France (13) : Algérie, Andorre, Belgique, Cameroun, Congo, Djibouti, Espagne, Gabon, Madagascar, Maroc, Portugal, Sénégal et Tunisie.
Russie (13) : Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Estonie, Géorgie, Kazakhstan, Kirghizistan, Lituanie, Moldavie, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan et Ukraine.
Allemagne (10) : Autriche, Croatie, Grèce, Hongrie, Italie, Macédoine du Nord, Pologne, Serbie, Tchéquie et Turquie.
Afrique du Sud (7) : Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie et Zimbabwe.
Arabie Saoudite (7) : Chypre, Egypte, Jordanie, Koweït, Pakistan, Syrie et Yémen.
Royaume-Uni (5) : Afrique du Sud, Australie, Irlande, Kenya, Lettonie
Argentine (4) : Bolivie, Chili, Paraguay et Uruguay.
Australie (4) : Fidji, Nouvelle-Zélande, Papouasie-Nouvelle-Guinée et Royaume-Uni
Portugal (4) : Angola, Cap Vert, Guinée Bissau et Sao Tome & Principe.
Côte d’Ivoire (3) : Burina Faso, Guinée et Mali.
Emirats Arabes Unis (3) : Inde, Oman et Qatar.
Espagne (3) : Argentine, France et Gambie.
Inde (3) : Bangladesh, Népal et Sri Lanka.
Italie (3) : Roumanie, San Marin et Suisse.
Nigeria (3) : Bénin, Ghana et Niger.
Suède (3) : Danemark, Finlande et Norvège.
Thaïlande (3) : Cambodge, Laos et Myanmar.
Croatie (2) : Bosnie-Herzégovine et Slovénie
Congo (2) : République Démocratique du Congo et Rwanda
Danemark (2) : Groenland, Islande.
Guinée (2) : Liberia et Sierra Leone.
Kenya (2) : Ouganda et Somalie.
Serbie (2) : Kossovo et Monténégro.
Tchad (2) : Centrafrique, Soudan du Sud.
Algérie : Sahara Occidental.
Bangladesh : Libye.
Belgique : Pays-Bas.
Burkina Faso : Côte d’Ivoire.
Corée du Sud : Mongolie.
Gabon : Guinée Equatoriale.
Ghana : Togo.
Grèce : Albanie.
Hong-Kong : Chine.
Jordanie : Palestine.
Kazakhstan : Corée du Nord.
Koweït : Emirats Arabes Unis.
Malaisie : Indonésie.
Mexique : Etats-Unis.
Népal : Bhoutan.
Pays-Bas : Surinam.
Pakistan : Afghanistan.
Rwanda : Tanzanie.
Sénégal : Mauritanie.
Singapour : Malaisie.
Soudan : Erythrée.
Soudan du Sud : Soudan.
Syrie : Irak.
Tchéquie : Slovaquie.
Turquie : Bulgarie.
Ukraine : Russie.
Venezuela : Colombie.
Zimbabwe : Malawi.
Pays inconnus : Burundi, Luxembourg, Taïwan, Timor oriental.
A noter qu’il existe quelques « paires » de pays (première place mutuelle) pour les immigrés) : France-Espagne, Etats-Unis-Mexique, Russie-Ukraine, Royaume-Uni-Australie).
Hristo XIEP
http://www.medias-presse.info/la-france-2e-destination-mondiale-pour-les-immigres/96622/
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Nous sommes en PAYS OCCUPÉ, il faut entrer en RÉSISTANCE !
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La mort et la violence rôdent désormais dans nos villes et nos villages
Meylan, Aubagne, Échirolles, Beaune… la liste pourrait être longue des villes et villages de France où, en cet été 2018, la violence et la mort peuvent survenir à n’importe quel moment. La volonté de porter secours à une personne en difficulté tel Adrien Perez à Meylan. Un regard qui déplaît, comme Kevin et Sofiane dans la banlieue de Grenoble. Un différend entre individus impliqués dans quelques trafics peu avouables, ou simplement la malchance de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment, la délinquance de voie publique, dans le choix de ses victimes, s’apparente désormais au terrorisme qui frappe indifféremment en tous lieux et à l’aveugle.
Au regard de ces faits qui ne cessent de se répéter, qui détruisent des familles entières et qui déstabilisent notre société, le temps n’est-il pas venu de réagir ? De reconnaître enfin que les choix faits en matière de sécurité publique et de justice ont été mauvais, et qu’il est grand temps de redresser la barre. Dans un récent sondage (IFOP pour Le Journal du dimanche du 8 juillet dernier), la réponse des Français est sans appel. Ils dénoncent à près de 60 % l’inefficacité d’Emmanuel Macron et de son gouvernement pour résoudre les problèmes liés à l’insécurité que notre pays connaît. Et ce sont les faits eux-mêmes qui, cette fois-ci, viennent pratiquement chaque jour leur donner raison.
La situation que nous vivons aujourd’hui ne doit, bien évidemment, rien au hasard. Elle est le résultat de plusieurs décennies de laisser-aller sécuritaire. De politiques qui ont privilégié les baisses d’effectifs dans la police et la gendarmerie, ainsi que le non-renouvellement, sous prétexte d’économies, de nombreux moyens matériels indispensables. Les policiers ne cessent d’ailleurs, depuis plusieurs mois, de dénoncer cet état de fait, sans toutefois pouvoir être entendus de ceux qui les dirigent.
Pendant ce temps, le gouvernement d’Édouard Philippe préfère s’attaquer aux automobilistes. Investir dans les radars de dernière génération, missionner les forces de l’ordre pour verbaliser à outrance au moment où les Français sont sur les routes pour les vacances. Il est vrai que s’attaquer aux conducteurs, non seulement ne coûte rien mais, en plus, peut rapporter gros. Rappelons les énormes sommes tombées dans les caisses de l’État rien qu’au mois de juillet. Près de 18 millions d’euros supplémentaires par rapport à l’année dernière ! En revanche, vouloir restaurer la sécurité publique nécessiterait forcément des investissements lourds. La mise en place d’une politique cohérente et adaptée à ce nouveau défi qui ne fait qu’enfler au fil des années et qui voit de nombreuses vies sacrifiées sur l’autel d’enjeux politiques, financiers et idéologiques.
Ainsi, devra-t-on attendre que la criminalité dans notre pays tue autant que les accidents de la route pour que nos gouvernants se décident enfin à agir ? Au rythme où vont les tirs d’armes automatiques dans nos quartiers et les coups de couteau dans nos squares ou à la sortie de nos boîtes de nuit, il ne faudra pas bien longtemps pour que nous assistions à de véritables hécatombes. Et nous n’avons pas fini de voir se dérouler des marches blanches sans lendemain et d’assister, en direct, sous l’objectif des caméras de nos journaux télévisés, au désespoir de parents détruits pour la vie parce que nos politiques auront fait le choix délibéré de ne pas agir.
En attendant, à la place de cette société fraternelle et idéale que nous promettent les doux rêveurs qui se succèdent au pouvoir, c’est bien une société de violence et de mort qui s’installe désormais.
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Les migrants : c’est bien pour se faire mousser ou se pousser du col
Les migrants : si on voulait être cynique, on dirait que ce n’est que du bonheur ! Pas pour les migrants, évidemment, mais pour tous ceux qui font leur miel de ces migrations de grande ampleur.
Du bonheur, d’abord, pour les passeurs. Un article du Parisien, le 10 juillet dernier, révélait que, selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC), ce trafic d’êtres humains (2,5 millions de personnes) a rapporté entre 5,5 et 7 milliards de dollars en 2016. On est loin, bien sûr, de ce que rapporte le trafic de drogue – 243 milliards en 2015, selon ce même UNODC – qui touchait, en bout de chaîne, 183 millions de consommateurs dans le monde.
Du bonheur, ensuite, pour toutes ces associations, organisations non gouvernementales qui se posent en corsaire de la cause humanitaire et, ce faisant, en complices passifs des passeurs. Du bonheur, sans doute, aussi, pour leurs donateurs qui s’offrent une bonne conscience, souvent déductible des impôts, comme c’est le cas en France. SOS Méditerranée, par exemple, qui arme l’Aquarius, serait financé à 98 % par des fonds privés. On notera quand même, pour l’anecdote, qu’en 2016, seize députés français, socialistes et radicaux de gauche, puisèrent dans leur réserve parlementaire pour subventionner cette association. On pourrait citer Bruno Le Roux, éphémère ministre de l’Intérieur de François Hollande, ou Sandrine Mazetier, vice-présidente de l’Assemblée nationale dans la précédente législature.
Du bonheur, aussi, pour des rescapés politiques, déjà couverts d’honneurs et de prébendes, comme Jean-Claude Gayssot, longtemps membre du Parti communiste, ministre des Transports sous Jospin et qui, aujourd’hui, à 74 ans préside le port de Sète ou, pour être plus précis, le conseil d’administration de l’établissement public régional Port de Sète Sud de France. Un établissement qu’il préside depuis mars 2017 après une élection à l’unanimité, bien aidée par la présidente socialiste de la région Occitanie Carole Delga. Et le voilà qui se pousse du col, proposant d’ouvrir le port de Sète à l’Aquarius en authentique humaniste, un peu comme s’il régnait sur une république maritime. Il nous semblait pourtant qu’en 1797, Napoléon Bonaparte avait supprimé la dernière existante – je veux parler de Venise – en permettant qu’elle devienne une province de l’Empire autrichien !
Du bonheur, enfin, pour Jean-Guy Talamoni, président de l’Assemblée de Corse qui s’érige, non seulement en donneur de leçons de morale humanitaire – car lui aussi propose que la Corse accueille l’Aquarius –, mais en potentat local qu’il n’est pas. En effet, on a peine à voir le rapport entre l’accueil des migrants et les compétences de la collectivité de Corse : aménagement du territoire, développement économique, culture et patrimoine, éducation et formation, langue, environnement… Jusqu’à nouvel ordre, Talamoni n’est pas le roi Théodore et la République est encore indivisible !
Mais il est vrai que la nature a horreur du vide et que, pour l’instant, Emmanuel Macron, à vouloir pratiquer la politique du « en même temps », donne la curieuse impression que l’État français est aux abonnés absents sur ce dossier. On ne peut être gentil et méchant à la fois. Matteo Salvini l’a bien compris : il fait le méchant, et cela lui réussit pas trop mal pour l’instant. Alors, en France, ici et là, on se fait mousser, on se pousse du col en jouant les phares de l’humanité compatissante. C’est bien, pour cela, les migrants, surtout quand on sait que, de toute façon, on n’a pas autorité et compétence pour agir. Votre proposition d’accueil des migrants fera flop au large de la côte ? Pas grave, on aura fait parler de soi, fait croire qu’on est plus important qu’on ne l’est et gagné à pas cher des jetons de moralité.
Au moment où le point final est mis à ce papier, on apprend qu’Emmanuel Macron a annoncé que la France allait accueillir 60 migrants de l’Aquarius. On passe du cabotinage au cabotage.