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France et politique française - Page 2296

  • De l'affaire Benalla au fichage politique

    De Sébastien Meurant, sénateur LR du Val d’Oise, sur Nouvelles de France :

    "L’affaire Macron-Benalla est déjà gravissime, en soi. Elle montre l’existence, au plus haut niveau de l’Etat, d’organisations parallèles et clandestines, et le mépris des lois par ceux-là mêmes qui doivent les appliquer. Elle manifeste l’amateurisme doublé d’arrogance qui caractérise le « nouveau monde ». Elle met au grand jour, aussi, le fossé qui sépare le sommet de l’Etat de la haute fonction publique, ce qui n’est certes pas la moins inquiétante des facettes de cette affaire.

    Mais, dans la torpeur de l’été, nous avons appris que cette affaire Benalla se doublait d’une nouvelle affaire des fiches de grande ampleur qui aggrave encore singulièrement la situation. Pour le moment, la situation est passablement confuse, mais voici ce que l’on peut en comprendre avant les enquêtes qui, je l’espère, feront toute la lumière sur ces violations à répétition des droits individuels en général et des droits de l’opposition en particulier.

    Début août, l’ONG EU DisinfoLab, largement financée par toutes sortes d’officines mondialistes… et par Twitter, officiellement pour lutter contre la désinformation et les fameuses « fake news » qui sont le cauchemar de notre vénéré président, a publié une étude sur les twittonautes et l’affaire Benalla. En soi, une telle étude ne manquait pas d’intérêt : faire une cartographie des réseaux sociaux à l’occasion d’une vague d’émotion comme celle qu’a soulevée cette affaire d’Etat peut aider à comprendre les logiques des internautes.

    Mais, dans le cas d’espèce, cette étude était tout simplement loufoque puisqu’elle visait principalement à disqualifier toute interrogation sur l’affaire Macron-Benalla. Tout n’y est envisagé que sous l’angle des « fake news » et sous l’angle de l’action d’influence. L’objectif était de « démontrer » que la plupart des tweets relatifs à l’affaire avaient été publiés par des twittonautes militants anti-Macron, relayant sans vergogne des informations fausses ou non vérifiées. Au détour d’un paragraphe, on pouvait lire que certains partages étaient humoristiques plus que militants, mais que cela n’affectait en rien la qualité de l’étude. Pourtant, combien de caricatures avons-nous vues sur cette affaire ? Je crois, quant à moi, que beaucoup de gens les ont partagées car les Français aiment plaisanter, spécialement aux dépens du pouvoir – et que cela ne dit strictement rien sur l’appartenance politique de ceux qui partagent ou s’amusent. Plus farfelu encore, l’étude prétendait « démontrer » que plus on était actif sur Twitter à propos de Benalla, plus on était désinformateur et plus on était russophile – car, naturellement, l’affaire Benalla ne pouvait qu’être une nouvelle preuve de l’ingérence russe dans les affaires françaises !

    Bref, les données brutes de l’étude ne manquaient pas d’intérêt, mais les interprétations pseudo-scientifiques ne valaient pas grand-chose, tant les biais d’interprétation étaient grossiers.

    Cela aurait pu n’être qu’une tentative un peu dérisoire de délégitimer les questions des citoyens sur l’affaire Benalla. Mais, en réalité, c’est une affaire d’Etat dans l’affaire d’Etat. Car EU DisinfoLab ne s’est pas contentée d’analyser les comptes de façon anonyme, comme font les sociologues ou les instituts de sondage :l’ONG a produit un fichier nominatif (de 55 000 comptes tout de même !), classé selon l’appartenance politique et l’activisme.Mieux encore, ce fichier a circulé sur le web avec des informations privées, comme l’appartenance religieuse ou l’orientation sexuelle. Accusée de fichage politique et de divulgation d’informations privées, EU Disinfo Lab s’est défendue en accusant ses détracteurs d’avoir eux-mêmes ajouté les informations personnelles. C’est possible – mais assez peu vraisemblable, comme l’a expliqué le blogue spécialisé « Les Crises ». Toujours est-il qu’un fichage politique a bel et bien eu lieu, et qu’il est manifestement possible, de le compléter par un fichier d’informations personnelles éventuellement « sensibles ». Et, quand on voit les pratiques de barbouzes qui sont couvertes par l’Elysée, cela n’est pas franchement rassurant pour les libertés publiques.

    [...] Si l’on ajoute que la France est l’un des pays qui demandent le plus de fermeture de comptes à Twitter (sous Manuel Valls, elle avait même « battu » la Chine, la Turquie ou l’Arabie saoudite !), si l’on ajoute aussi l’arbitraire qui se profile avec l’absurde loi dite « anti fake news », on voit ce que pèsent les droits de l’opposition et en quelle estime le gouvernement Macron tient les libertés publiques en général, et la liberté d’expression en particulier. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Critiqué par L’Express, Salvini envoie des « bisous aux bien-pensants » français

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    3049872158.jpgRéplique. C’est tout en ironie que le ministre de l’Intérieur italien a répondu à ses détracteurs.

    Matteo Salvini a du répondant. Le ministre de l’Intérieur italien a réagi à la une du dernier numéro du magazine l’Express, où figure son visage, regard noir et mine renfrognée. L’hebdomadaire le présente comme un « populiste, xénophobe », qui « ravit Le Pen »« inquiète Macron » et « fait trembler l’Europe ». Un portrait peu flatteur, que l’Italien ne s’est pas privé de commenter sur Twitter dimanche 19 août.

    L’ironie comme fer de lance

    « En France aussi, ils ne savent plus quoi inventer pour m’attaquer. On leur envoie des bisous aux bien-pensants transalpins ? », lâche-t-il, le tout ponctué d’un petit émoticône envoyant un bisou assorti d’un cœur. Une ironie qui ne fait guère de doute sur la détermination de Matteo Salvini à mener sa politique anti-migratoire, malgré les positions européennes et les unes alarmistes.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • JE RÉPONDS AUX QUESTIONS D'UN JOURNALISTE : VOICI LE RÉSULTAT...

  • Villeneuve-sur-Lot : excédés par l’insécurité, ils investissent la mairie !

    Villeneuve-sur-Lot-845x475.jpg

    La belle bastide lot-et-garonnaise nichée au bord du Lot, au pied du magnifique village médiéval de Pujols, fait régulièrement les gros titres de la presse. Mais pas pour de bonnes raisons. Il y eut l’affaire Cahuzac, en 2013, qui avait fait de son lieu de parachutage un tremplin pour sa carrière ministérielle. On sait comment cela finit, mais Villeneuve-sur-Lot est toujours dirigée par son fidèle second, M. Cassany, moins brillant, moins énergique, mais tout aussi socialiste. Et puis, régulièrement, il y a la chronique de l’insécurité quotidienne. L’un des derniers événements, il y a deux mois, fut le spectaculaire braquage du bar O’Papagaio, dans le quartier d’Eysses. Son gérant a écopé d’une fermeture administrative de trois mois, en août, « pour perturbation de l’ordre public et de la tranquillité publique ». Et le braqueur, il a écopé de quoi ?

    C’est certainement excédés par cette situation et les réponses inadéquates qui lui sont apportées qu’une cinquantaine de commerçants et d’habitants du quartier, lundi matin, dès 8 h 00, se sont rendus à l’Hôtel de ville de Villeneuve pour exprimer leur mécontentement et interpeller le maire. Menés par le gérant en question, ces citoyens remontés ne se sont pas contentés de la réunion avec une « délégation » d’entre eux que leur proposait le directeur du cabinet du maire, mais sont d’eux-mêmes montés au premier étage pour se faire entendre de M. Cassany.

    Le premier magistrat de la ville a tenu le discours attendu : je vous entends, je fais déjà beaucoup, mais je ne peux pas plus. Et, comme toujours dans ces situations, le siège était levé après la promesse d’une réunion de concertation avec préfet, mairie, police et commerçants. La poussée de fièvre était retombée. Jusqu’à la prochaine. Mais cette action populaire coup de poing est révélatrice d’une exaspération profonde. Et ne croyez pas que j’exagère : La Dépêche, d’ordinaire très amie avec la mairie, a elle-même titré : « Insécurité à Villeneuve-sur-Lot : commerçants et habitants assiègent la mairie ».

    Pour la petite histoire, il y a une semaine, le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, en vacances à Villeneuve-sur-Lot, visitait commissariat et gendarmerie. On l’a vu en présence du député LREM de la circonscription. Mais où était M. Cassany ? Ils ont pourtant appartenu, pendant des décennies, au même PS. Cela devrait créer des liens, non ?

    Néanmoins, au cours de la discussion, ces commerçants avaient avancé quelques solutions concrètes : le renforcement de la police municipale, notamment la nuit et le week-end, où elle n’est actuellement pas opérationnelle. Réponse du maire :

    « Nous y avons aussi pensé. J’ai fait chiffrer le coût en 2014. C’est 850.000 € pour avoir une patrouille qui circule la nuit et qui devra appeler le commissariat s’il se passe quelque chose. On les trouve où, ces 850.000 € ? »

    Et nous y voilà : ben oui, on les trouve où, ces 850.000 € ? Et l’on redécouvre que tout est affaire de priorité, d’anticipation, de choix. Cela s’appelle la politique. Bien sûr, M. Cassany, l’impuissance et le fatalisme incarnés, sait bien qu’il n’a, avec l’imposition record qu’il inflige à ses administrés depuis quinze ans, en digne continuateur de M. Cahuzac, guère de marge de manœuvre.

    Alors, on les trouve où, ces 850.000 € ? Une petite suggestion ? Et si on regardait du côté du budget et des emplois alloués au service communication de la mairie… Je suis sûr qu’on en trouverait une partie de ces 850.000 €. Et peut-être même de quoi assurer aussi un retour à la propreté dans la ville. Car avec les choix de ses édiles socialistes, cette ville a décidé, depuis deux ans, de ne plus assurer qu’un ramassage des poubelles hebdomadaire. Avec les conséquences que vous imaginez. Une ville qui ne parvient plus à assurer un niveau de propreté et de sécurité correct pour ses administrés, tout en ayant un niveau d’imposition record, devrait remettre en question ses choix.

    Et les Villeneuvois remettre en question ces élus. C’est peut-être ce qui a commencé, ce 20 août 2018.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/villeneuve-sur-lot-excedes-par-linsecurite-ils-investissent-la-mairie/

  • Succès et médiatisation pour la première université d’été de Civitas

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    C’est au sein d’un vaste domaine privé et verdoyant à proximité de Poitiers que Civitas a tenu avec succès sa première université d’été du Pays Réel.

    Une université d’été qui fut très commentée par les médias (journal télévisé de France 3, France Bleu, La Nouvelle République, Médiapart, La Croix, le MuslimPost et bien d’autres). Comme l’ont souligné les journalistes, cette Promotion Charles Martel a réuni au total près de 150 participants.

    D’emblée, ce qui frappe, c’est l’éclectisme. Il y a là des gens venus de toutes les régions de France, et même de Suisse et de Belgique. Des étudiants côtoient des retraités, des familles sont venues avec leurs enfants, des ouvriers et des artisans discutent avec des universitaires.

    Certains sont catholiques depuis toujours et d’autres viennent pour le devenir. Se mélangent ainsi dans une atmosphère chaleureuse et familiale des catholiques traditionalistes de toujours, d’autres qui le sont depuis peu, des catholiques qui vont encore à la messe moderne mais se posent beaucoup de questions, ainsi que des personnes qui assistent pour la première fois à la messe. A table, on est impressionné par les récits de plusieurs personnes dont les parcours sont similaires : nées dans des familles de gauche, souvent anticléricales, elles ont d’abord pris conscience que la société moderne repose sur de nombreux mensonges puis, à force de quête de vérité, arrivent tout naturellement au moment de la recherche spirituelle qui les mène jusqu’ici, découvrir le catholicisme intégral.

    Cinq prêtres de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X, deux capucins de Morgon et un dominicain d’Avrillé sont là pour l’accompagnement religieux.

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  • Les moutons de l’Aïd : les dérogations qui font la loi – Journal du mardi 21 août 2018

    Société / Les moutons de l’Aïd : les dérogations qui font la loi
    Pendant trois jours, les musulmans vont célébrer la plus importante fête en Islam : l’Aïd el Kebir. Face à une forte demande, les sacrifices de moutons font souvent des entorses à la loi française. Chaque année, l’Etat ferme les yeux.

    Société / Cigarettes plus chères = moins de fumeurs

    International / Donald Trump maintient ses positions
    Tensions avec la Turquie, conflit commercial avec la Chine et sanctions vis-à-vis de la Russie, Donald Trump est revenu sur ses choix diplomatiques. Face aux nombreux sujets de conflit, le président des Etats-Unis a maintenu ses positions avec un but en tête : les élections de mi-mandat.

    L’actualité en bref
    Lien Dailymotion :

    Lien Rutube :

  • Réduction des budgets de la Police et de la Gendarmerie au profit des immigrés

    Cherchez l'erreur : on coupe les crédits des forces de l'ordre pour les affecter aux immigrés, lesquels génèrent d'énormes problèmes de sécurité...

    Dans un rapport, déposé le 4 juillet 2018, au nom de la commission des Finances, Philippe Dominati note que 133 millions d’euros en autorisations d’engagement et 110 millions d’euros en crédits de paiement ont été annulés pour la police nationale, ainsi que 111,4 millions d’euros en autorisations d’engagement et 90 millions d’euros en crédits de paiement pour la gendarmerie nationale. Ces annulations ont été permises par un décret d’avance du 20 juillet 2017, servant à financer des mesures relatives à l’allocation pour demandeurs d’asile, qui dépend de la mission "Immigration, asile et intégration", explique le sénateur.

    Le rapport relatif à ce décret d’avance précise que ce besoin d’ouverture de crédits est dû d’une part "aux insuffisances des dotations inscrites en loi de finances initiale", et d’autre part "à la hausse constatée des flux de demandeurs d’asile", qui entraîne une augmentation du nombre de bénéficiaires de l’allocation pour demandeurs d’asile et des besoins d’hébergement liés aux opérations de mises à l’abri menées sur les derniers mois.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sur l’immigration, la gauche n’a plus les mots

    Luttant mollement contre la désignation des migrants comme boucs émissaires et la définition de l’immigration comme « problème », les partis de gauche semblent avoir renoncé à imposer un autre discours sur la question.

    Lors de la manifestation du 21 février 2018 – la première unitaire depuis 2015 sur le sujet – seuls les associations et collectifs appelaient à se rassembler pour dénoncer le projet de loi « Asile et immigration ». Parmi les participants, plusieurs centaines de personnes, avocats, agents de l’État du secteur de l’asile et associations d’aide aux migrants. Quelques élus, élus locaux ou députés communistes et insoumis, y ont participé mais leur présence est restée marginale. Parce que dans les faits, à part sur quelques plateaux de télés et de radios pour dénoncer mécaniquement « la politique du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb », il n’y a pas grand monde pour promouvoir une politique d’accueil ambitieuse et volontariste.

    La bataille culturelle abandonnée

    Aujourd’hui, c’est la France insoumise qui donne le la, à gauche. Et lorsqu’on observe les grandes campagnes nationales retenues par ses militants pour l’année 2018, aucune parmi les trois choisies ne concerne les droits des étrangers. Et pourtant, alors que la « crise migratoire » s’intensifie en Europe et que l’année 2018 – notamment par l’agenda politique engagé par Emmanuel Macron et cette loi « Asile et immigration » – va sans doute marquer un tournant sans précédent de la politique d’accueil en France, une mobilisation politique, intellectuelle, syndicale, de l’ensemble de la gauche aurait été nécessaire.

    Comme si la gauche avait abandonné la bataille culturelle. La bataille des idées. Celle des convictions. De la pédagogie, à travers de larges campagnes. Ne serait-ce que pour contrer à l’échelle nationale le discours ambiant qui, de l’actuelle majorité en passant par la droite de Laurent Wauquiez et l’extrême droite de Marine Le Pen, ne cesse de répandre des préjugés les plus nauséabonds. Ainsi, comme le relevait Héloïse Mary, présidente du BAAM (Bureau d’accueil et d’accompagnement des migrants) dans La Midinale du 21 février dernier : « La gauche a perdu une grande partie de son influence sur les questions migratoires par peur du Front national et de sa faiblesse idéologique […]. Elle est prise au piège de l’opinion publique. »  (…)

    http://www.fdesouche.com/1063951-sur-limmigration-la-gauche-na-plus-les-mots

  • Jean-Marie Le Pen convoqué par la Justice pour des propos tenus en... 2009 !

    668613750.jpgCaroline Parmentier Présent cliquez ici

    A 90 ans Jean-Marie Le Pen fait encore l’objet d’un acharnement judiciaire aussi grotesque que scandaleux. Il vient d’être convoqué le 17 septembre prochain par le Tribunal de Grande Instance de Paris qui envisage sa mise en examen pour des propos tenus en 2009 lors d’une interview à RTL.

    Interrogé sur l’augmentation des chiffres de l’insécurité en France, notamment celui des violences sur les personnes à l’occasion d’une déclaration du Ministre de l’Intérieur de l’époque (NDLR : Brice Hortefeux, sous le gouvernement Sarkozy), Jean-Marie Le Pen avait déclaré ce jour-là, 20 août 2009 : 

    « Monsieur Sarkozy ne se donne pas le moyens de faire la politique qui passe d’abord par le contrôle de l’immigration. L’immigration qui n’a cessé d’augmenter dans notre pays et qui crée la situation, principalement l’insécurité. Il n’y a qu’à regarder les faits divers. 90 % des faits divers ont, à leur origine, soit un immigré, soit une personne d’origine immigrée. C’est un fait dont il faut tenir compte » (…) 

    « Ces propos », conclut le juge d’instruction dans sa convocation datée du 13 août 2018, « contiennent l’allégation ou l’imputation de faits de nature à porter atteinte à l’honneur ou à la considération envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à un ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». On en est encore là…

    Rien à voir avec une origine ou une religion !

    A noter que dans notre pays doté du plus gigantesque empilement de lois liberticides antiracistes qui aient jamais été imaginées (loi du 23 juillet 1881, loi Pléven de 1972, loi Gayssot de 1990, loi de 1992 sur la réforme du Code pénal etc.) le délai de prescription pour des simples mots tenus au micro d’une radio, est incroyablement long. 

    Propos qui déjà à l’époque n’avait rien d’exagéré mais qui à fortiori dix ans après (et après cinq ans de Hollandie) apparaissent en deçà de la réalité. Car depuis il y a eu de nombreux morts. Entre temps, les violences des racailles sont devenues le quotidien d’une multitude de Français à l’image de l’affaire Adrien Pérez assassiné par les frères El Habib pour avoir défendu ses amis à la sortie d’une boite de nuit à Grenoble. Le nombre de victimes qui tombent sous les coups de « toujours les mêmes », de la délinquance issue de l’immigration, le déferlement de témoignages précis de violences sur les réseaux sociaux, le prouvent chaque jour. 

    Entre temps le terrorisme islamiste est également passé par là. Avec ses 250 morts, ses centaines d’attentats aux cris d’Allah Akbar, militaires et policiers assassinés, jeunes massacrés et mutilés au Bataclan, prêtre égorgé en pleine messe, adolescentes égorgées gare Saint-Charles, enfants écrasés en camion à Nice… 

    Et là plus que jamais au grand jamais, rien à voir avec un groupe de personnes, son origine ou son appartenance à une religion déterminée. Plus la vérité éclate et plus la répression pour ne pas qu’elle sorte, s’intensifie.

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  • Stopper toute nouvelle immigration

    Murailles-2-ligne-droite.jpg

    Ligne Droite cliquez ici

    L’immigration n’est plus une chance pour la France. Aujourd’hui, personne sur la scène politique n’ose plus vanter les mérites de ce phénomène tant sont évidents les troubles qu’il crée au sein de la société. Mais dans le même temps, personne n’apporte de solution à ce problème qui ne cesse dès lors de s’amplifier et de s’aggraver. Pour Ligne droite, il est donc urgent de prendre une mesure de sauvegarde qui devrait s’imposer d’elle-même : stopper toute nouvelle immigration.

    L’immigration, une source de problèmes majeurs

    Même des personnalités de premier plan, pourtant très politiquement correctes, ont reconnu en leur temps les difficultés que suscitait ce processus. M. Mitterrand n’a-t-il pas déclaré il y a plus de trente ans que le seuil de tolérance était atteint ? M. Giscard d’Estaing n’a-t-il pas, de son côté, parlé d’invasion? MM. Chirac et Sarkozy, chacun à leur façon, n’ont-ils pas évoqué les tourments qui en résultaient pour nombre de nos compatriotes ? Même M. Hollande, dans son livre confession, a lui aussi reconnu cette réalité.

    Et, de fait, l’immigration, qui a déjà profondément altéré la physionomie de notre pays, soulève d’innombrables difficultés dont les médias se font quotidiennement l’écho. Car c’est l’immigration qui est à l’origine des zones de non-droit où l’insécurité et la drogue règnent en maîtres. C’est l’immigration clandestine qui conduit à la création de bidonvilles dans de nombreux quartiers de nos villes. C’est l’immigration encore qui a installé l’islam sur notre sol, une religion étrangère à notre civilisation qui provoque tous les jours ou presque des débats sans fin. Un jour c’est le voile, un autre ce sont les repas halal. Un autre encore ce sont les mosquées ou les prières de rue. Et que dire du terrorisme islamique perpétré sur notre sol par des immigrés installés chez nous ? À vrai dire c’est dans d’innombrables domaines, comme celui de l’emploi, du logement, de l’école, de la sécurité ou de l’hôpital, que les problèmes s’accumulent. À cela s’ajoute le coût financier de cette immigration qui pèse sur les dépenses publiques pour plus de soixante-cinq milliards d’euros chaque année. Et, même si ce chiffre est contesté par les tenants du Système, personne aujourd’hui ne peut plus nier que l’immigration soit une source de difficultés majeures pour notre société.

    Stopper l’immigration pendant dix ans

    Face à cette situation, il n’y a donc que deux attitudes possibles. Ou on détourne le regard en ignorant la réalité comme le font les responsables du Système, où on affronte le problème et il n’y a alors qu’une réponse possible : il faut prendre une mesure conservatoire d’urgence et stopper toute nouvelle immigration pendant au moins dix ans. Ligne droite considère qu’une telle mesure s’impose d’elle-même car elle ne procède pas d’une démarche idéologique mais correspond à une attitude purement pragmatique. Lorsqu’un problème se pose, la première mesure à prendre est d’en tarir la source. Si une inondation se déclare dans une maison, avant de réparer les dégâts on obture les arrivées d’eau. De même, face à l’ampleur des troubles provoqués par l’immigration, le bon sens commande d’interrompre les flux d’arrivée de façon à pouvoir résoudre les difficultés liées à ceux qui sont déjà présents sur notre sol.

    Une loi d’exception pour des mesures de sauvegarde

    Or, contrairement à ce qu’affirment les tenants du Système, il est possible de stopper l’immigration. Il faut pour cela expulser ceux qui entrent clandestinement, ne plus autoriser d’arrivées légales, supprimer tous les avantages qui attirent les immigrés chez nous et s’efforcer au plan européen de limiter la poussée des migrants.

    Pour détendre la pression migratoire et en tarir les flux, il faut en effet que la nouvelle Europe, préconisée par ailleurs par Ligne droite, établisse un véritable contrôle à ses frontières extérieures, comme le font les pays du groupe de Visegràd pour leur propre compte, et donne mission aux marines européennes de reconduire les “migrants” dans leurs ports de départ.

    Sur le plan national, il convient d’abord de rendre possibles les expulsions de clandestins et de délinquants étrangers en écartant les juges de la procédure, laquelle doit revenir exclusivement aux préfets. Dans cet esprit, il faut aussi suspendre les règles de Schengen et renforcer les sanctions contre les passeurs et les entreprises qui utilisent de la main-d’œuvre illégale. S’agissant des demandeurs d’asile, ils devraient tous être reconduits sans délai à la frontière, à l’exception de quelques personnes reconnues par le gouvernement pour être effectivement persécutées dans leur pays en raison de leurs prises de position politiques.

    Le regroupement familial devrait par ailleurs être abrogé et le titre de séjour devenir révocable ad nutum, permettant ainsi de renvoyer chez eux les chômeurs étrangers en fin de droits.

    En outre, l’acquisition de la nationalité française ne devrait plus être possible selon la procédure dite du droit du sol. Quant à l’octroi des avantages sociaux d’assistance, il devrait être réservé aux nationaux et aux Européens. Enfin, les immigrants qui démontrent leur refus de s’intégrer notamment par la délinquance, le terrorisme, l’intégrisme islamique et le refus de travailler devraient être expulsés.

    Un moratoire consensuel

    Ces mesures, prises dans le cadre d’une loi d’exception pour une durée de dix ans, devraient rencontrer un large assentiment. Car, que l’on soit pour ou contre l’immigration dans son principe, chacun devrait reconnaître que la situation exige une pause dans les flux migratoires afin de mettre l’État en mesure de résoudre réellement et efficacement tous les problèmes actuels. Certes, les mesures préconisées sont en rupture avec les principes du politiquement correct et demanderaient pour être adoptées que soit mis fin au gouvernement des juges, mais n’est-il pas temps de sortir de ce carcan pour résoudre les problèmes qui sinon ne le seront jamais ?

    Un révélateur des intentions de la classe politique

    Au demeurant, l’attitude des responsables politiques et médiatiques à l’égard de ces mesures de sauvegarde serait très révélatrice. Ceux qui, bien qu’idéologiquement favorables à l’immigration, accepteraient le dispositif en reconnaissant le bien-fondé d’une pause dans le processus migratoire, démontreraient ainsi leur sens de l’intérêt national. En revanche, ceux qui s’opposeraient à ce moratoire, acceptant délibérément de laisser les problèmes de l’immigration continuer à s’aggraver, révéleraient la volonté qui est sans doute la leur d’utiliser cyniquement ces vagues migratoires dans le but mortifère de déconstruire notre civilisation.

    Vers la réémigration

    Chacun serait ainsi amené à prendre ses responsabilités. Mais il est clair que nos compatriotes seraient, quant à eux, largement favorables à l’arrêt de l’immigration pendant dix ans. Une période qui serait mise à profit pour assainir la situation et à l’issue de laquelle le choix serait donné au peuple français de lever ces mesures d’exception ou de les maintenir de façon définitive. Ne doutons pas que les Français, qui auraient expérimenté une amélioration spectaculaire de leur qualité de vie, se prononceraient massivement pour un arrêt définitif de toute immigration et pour le retour dans leur pays d’origine des étrangers qui ne souhaitent pas, ou ne peuvent pas, s’assimiler.

    L’immigration n’est pas une fatalité. Si l’on sort du politiquement correct, les solutions existent.

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