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France et politique française - Page 2320

  • I-Média n°211 – Affaire Benalla : Scandale d’Etat ou hystérie médiatique ?

    Une émission présentée par Hervé Grandchamp et Michel Geoffroy (absence de Jean-Yves Le Gallou)

    Affaire Benalla : Scandale d’Etat ou hystérie médiatique ?

    Affaire Benalla, Une semaine de rebondissement médiatique. Un scandale d’Etat sur fond de crise politique.

    Le Zapping d’I-Média

    Retour de la grossophobie dans les médias, en application du principe de Lagardère de Renaud Camus « si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère viendra à toi ». Le principe de grossophobie qui permet de culpabiliser les personnes non grosses, plutôt que d’incriminer la malbouffe.

    Faut-il sauver les casques blancs ?

    Les casques blancs évacués de la Syrie. Une organisation soutenue par les occidentaux et présentée par les médias comme « humanitaire », bien qu’elle comporte de nombreuses zones d’ombres.

    Les tweets d’I-Média

    Omar Sy pourrait jouer Arsène Lupin dans une prochaine série Netflix. Après le docteur Knock, l’acteur à succès pourrait interpréter le gentleman cambrioleur de Maurice Leblanc. Une certaine réécriture de l’histoire pour faire correspondre le cinéma à une vision du monde « métissé »

    Charline Vanhoenacker, l’humour au service du militantisme

    Portrait piquant de Charline Vanhoenacker, la journaliste belge qui se prend pour une humoriste.

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)

    Lien Rutube :
     
  • Action Française • Pierre Debray à Montmajour : « Pour une monarchie sans nostalgie et sans folklore ... flèche du progrès »

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    Provence : Rassemblement Royaliste de Montmajour [1969 - 1970 - 1971]

    Au Camp Maxime Real Del Sarte de cette année (Camp de formation pour étudiants, lycéens et jeunes travailleurs, du 19 au 26 août 2018), Gérard Leclerc doit parler des leçons de Pierre Debray.

    Pierre Debray from U.R.P. on Vimeo

    L'un des intérêts de Lafautearousseau ce sont ses documents d'archive qui sont à la disposition de tous : de ses lecteurs, de la jeunesse militante qui étudie et réfléchit, des universitaires et des chercheurs, nombreux à venir y puiser. Ces archives ne sont pas réunies ici par hasard. Elles procèdent du militantisme de l'équipe qui, aujourd'hui, propose ce quotidien.

    Il y a peu, à notre connaissance, d'enregistrements audio ou vidéo de Pierre Debray. En voici un qui est un discours au Rassemblement Royaliste de Montmajour. Debray y exprime des idées essentielles. Toujours actuelles.

    2730464059.jpgTrois rassemblements royalistes ont été organisés à l'abbaye de Montmajour, près d'Arles : en 1969 - 1970 et 1971. Cet enregistrement date de l'une de ces années-là.     

    Pendant ces 6'47", il faut parfois tendre l'oreille. On est en plein air... Mais le propos en vaut la peine !  

    Voir plus loin

    Camp Maxime Real del Sarte Université d'été 2018

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Romain Espino : « Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, la pression sur Génération identitaire est bien plus forte »

    Conséquence de l’opération de Génération identitaire au col de l’Échelle, en avril dernier, pour empêcher des illégaux d’entrer sur le territoire national, son porte-parole, Romain Espino, n’a plus d’emploi aujourd’hui, notamment suite à la pression exercée par des militants d’extrême gauche. Il réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    http://www.bvoltaire.fr/romain-espino-depuis-lelection-demmanuel-macron-la-pression-sur-generation-identitaire-est-bien-plus-forte/

  • Brigitte Macron, première dame low cost

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    Alors que l’affaire Benalla bat son plein avec son cortège de flonflons et de serpentins, les magistrats de la Cour des comptes, soucieux d’entretenir la bonne ambiance, ont publié leur évaluation du budget annuel alloué à Brigitte Macron. Youpi !

    Alors, nous avons donc dit : six bureaux, deux voitures, un directeur de cabinet, un chef de cabinet et deux secrétaires, dont une partagée avec le secrétariat du conseiller porte-parole… Je pose un, je retiens deux : 278.750 euros par an. Estimation a minima, comme l’ont précisé les auteurs de cet inventaire. « La Cour s’est attachée à recenser les différentes dépenses qui sont plus particulièrement affectées à Brigitte Macron, sans toutefois pouvoir chiffrer la totalité de ces dépenses, en l’absence d’une comptabilité analytique suffisante. »

    Une opacité justifiée par la confusion entre les moyens mis à la disposition de chaque membre du couple. Brigitte Macron bénéficie, par exemple, des services de la coiffeuse maquilleuse de la présidence. Une bonne réplique à ceux qui pensaient que la coupe au carré était réalisée au taille-haie par le jardinier du palais.

    En 2017, Christophe Castaner avançait que « le coût des moyens mis à la disposition de la conjointe du chef de l’État s’élève, du fait de ses collaborateurs, à 440.000 euros »« Un chiffre provenant des services de Bercy. » Mais au diable les chiffre ! Première dame est devenu, au fil des quinquennats, un poste, une fonction à part entière, une investiture. Partie de potiche bien aimable, la voici devenue investie d’une mission, soupçonnée d’influencer son Président de mari dans les plus hautes décisions, personnage incontournable, éminence grise protégée par plusieurs membres du GSPR… Une œuvre d’art.

    Première ministre du paraître, Brigitte Macron s’est spécialisée dans la fonction de portemanteau prestigieux. Sur ses épaules défilent les tenues les plus diverses, les tentatives drapières les plus improbables. Encore plus humanitaire que celles qui l’ont précédée, Brigitte Macron a fait don de son corps à la haute couture. Reine du sac à main, en concurrence directe avec Élisabeth d’Angleterre, dont elle lorgne la santé en vue d’un éventuel putsch. Toute cette débauche costumière ne nous coûte pas un sou, affirme la Cour des comptes, confirmant ainsi l’aspect « recherche pure » de la démarche. « La Cour s’est fait confirmer que la personne chargée de choisir les vêtements qui lui sont prêtés pour les manifestations et les déplacements officiels n’est pas rémunérée par la présidence de la République. »

    Dans le classement des dépenses causées par le fonctionnement des premières dames, Carla Bruni arriverait en tête, avec un montant de 720.000 euros, suivie de Valérie Trierweiler, 481.900 (crêpage de chignon inclus). Hit-parade établi par L’Obs. L’ambiance promise retombe comme un soufflé. Les magistrats de la Cour des comptes ont mis à sécher leur pétard mouillé. Par cette canicule, tous les espoirs sont permis.

    Jany Leroy

    http://www.bvoltaire.fr/brigitte-macron-premiere-dame-low-cost/

  • La série noire continue pour Emmanuel Macron : la croissance est en berne

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    Emmanuel Macron a eu beaucoup de chance, au début de son mandat. Les astres économiques semblaient s’être alignés pour lui et la France a atteint, en 2017, une croissance inespérée de 2,3 %, chiffre faible si on le compare aux performances des autres nations européennes, mais qui était miraculeux pour la France, habituée à une faible moyenne de 0,8 %. Alors que le Président se débat dans les affres de l’affaire Benalla, un autre pilier de sa politique s’effondre : nous n’avons fait que 0,2 % de croissance au second trimestre – aussi peu qu’au premier trimestre. Résultat : les 2 % pour 2018, mis en avant par le gouvernement, sont désormais inaccessibles. Au mieux fera-t-on 1,7 %, si la croissance accélère à la fin de l’année (ce qui n’est pas gagné) et uniquement par un phénomène qu’on appelle acquis de croissance, qui n’est que le prolongement des bonnes (enfin, c’est relatif) performances de 2017.

    Les raisons de ce ralentissement sont multiples. La première tient à l’augmentation du prix du pétrole, qui est une conséquence des rodomontades de M. Trump envers l’Iran, de l’effondrement de la production du Venezuela et de la hausse de la demande mondiale en or noir. La deuxième raison tient aux grèves du printemps, notamment à la SNCF, qui ont désorganisé le transport de marchandises par le rail, ce qui a nui à la production des entreprises. Enfin, les Français ont été assommés par les nouvelles augmentations d’impôts et taxes (CSG, taxes sur les carburants) qui ont été appliquées dès le début de l’année, alors que les compensations prévues ne prendront effet qu’en octobre. La France a connu la même mésaventure en 2012. Pourtant, M. Macron a été le ministre de l’Économie de M. Hollande et avait juré de se démarquer de son prédécesseur. Or, il l’a imité. La suppression des cotisations sociales à l’automne, la diminution d’un tiers de la taxe d’habitation donneront certes un coup de fouet bienvenu à notre économie mais, en 2018, plus de trois millions de retraités (sur les 12,5 millions) perdront du pouvoir d’achat, ce qui aura mécaniquement des conséquences néfastes sur la consommation.

    Si on rajoute aux menaces pesant sur la croissance la guerre commerciale initiée par M. Trump, le 1,7 % espéré sera peut-être un mirage. Le gouvernement se retrouverait alors dans une panade noire. Son budget s’effondrera. Il manquera une dizaine de milliards pour remplir les objectifs et on ne trouvera pas ces milliards en faisant des économies, car celles-ci seraient récessives et iraient à l’encontre du but recherché. Allons-nous repasser au-dessus des 3 % de déficit par rapport au PIB en 2018 ? Normalement non, mais le pire n’est pas exclu. En tout cas, l’objectif de comptes équilibrés en 2022 n’est que de la propagande. De même, baisser le taux de chômage de 9,2 % à 7 % en fin de quinquennat est une aimable plaisanterie.

    Finalement, les déboires de M. Macron étaient prévisibles. Malgré son agitation permanente, il n’a ni accompli de réforme digne de ce nom, ni assaini le budget. Nous sommes toujours englués dans le même bourbier qu’au temps de M. Hollande et l’amélioration passagère de 2017 est due en partie aux mesures de l’ancien Président. Pour finir, on peut se demander si le drame de la France ne vient pas de l’échec de François Fillon. Sur le plan moral, Emmanuel Macron ne lui semble pas supérieur. En revanche, le plan économique du candidat LR tenait mieux la route que celui de notre Président par accident.

    Christian de Moliner

    http://www.bvoltaire.fr/la-serie-noire-continue-pour-emmanuel-macron-la-croissance-est-en-berne/

  • Le TGV du futur pour 2023 – JT TVL 27 juillet 2018

    1) Economie / Le TGV du futur pour 2023

    Fleuron du génie civil français, le TGV nouveau arrivera dans cinq ans. Moins coûteux tant à l’achat qu’à l’entretien mais surtout mieux équipé, il permettra de perpétuer l’excellence française en la matière… une excellence qu’il faudra à présent partager avec nos voisins allemands.

    2) Média / Presse du Football : le paradis des « fake news »

    3) International / Cuba : Good Bye Lénine

    L’Histoire s’accélère aux Caraïbes… Cuba à peine débarrassé de son passé castriste est déjà en route vers une forme de libéralisme… première étape : la reconnaissance de la propriété privée !

    4) L’actualité en bref

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)

    Version Rutube :

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/27/24537/tgv-futur-2023-jt-tvl-27-juillet-2018

  • Quand les Français ne s'aiment plus

    Le silence des politiques devant le malaise social grandissant à quelque chose d’hallucinant. N’est-ce pas tout simplement parce qu’ils en sont responsables? Demande Malek Boutih, ancien président de SOS racisme.  Par Alain Hasso

    Le malaise social semble augmenter de semaine en semaine. Point culminant la démonstration de force, à Marseille, l'une bande de dealers surarmés, qui a sorti toute sa panoplie de kalachnikovs pour intimider la police. À cela s'ajoutent, à Courcouronnes en banlieue parisienne ou à Grenoble, les attaques le policiers en civil par des groupes de jeunes, es débordements de foule à Lyon dans le quartier La Duchère. Et pendant ce temps, à Pau, un tomme est battu à mort par des adolescents. Autre symptôme durant les manifestations de fonctionnaires le 22 mai, Emmanuel Macron a été brûlé en effigie ou représenté sur des calicots, avec une balle dans le crâne. Douce France ! Comment expliquer cette violence ? Il est un leu trop simple de toujours invoquer l'islam.

    Malek Boutih, vieux cheval de retour de la politique de gauche, ancien responsable de SOS Racisme où il a succédé à Julien Dray, a sa petite dée sur la question. Elle est très incorrecte, mais il n'hésite pas à la donner jusque sur le plateau d’On n'est pas couché, cette émission qui offre un sanctuaire à la bonne conscience de gauche, aujourd'hui bien esseulée. Cette bonne conscience, l'ancien patron de SOS racisme connaît bien, il a donné, il n'y croit plus. Malgré un long parcours au PS, c'est sans doute parce qu'il n'y croit plus qu'il a voté pour Emmanuel Macron dès le premier tour de la Présidentielle, et de nous détailler les raisons de sa crise de foi idéologique « les jeunes d'aujourd'hui qui partent vers le radicalisme ont croisé des militants politiques. Mais ces mecs-là, au lieu de leur parler positivement, les ont caressés dans le sens du poil : »T’as raison d'avoir la haine, ouais est un pays pourri, ouais vous êtes maltraités…" ».

    Ces militants de gauche ont cru, sans doute, qu'ils pratiquaient la convergence des luttes. En réalité, ils ont semé la haine dans les coeurs. Et Malek Boutih de renforcer son diagnostic pour ai, les semeurs de haine crèvent de cette haine qu'ils ont semé sur le sol français « Ce qui a tué la gauche, ce n'est pas Macron. C'est qu'elle est devenue méchante, aigrie, elle est devenue juste la volonté de combattre, de détruire. Elle a perdu ce qu'elle avait de plus beau l'espérance, le fait de dire que demain ce sera mieux ». On peut ne pas partager le rêve black-blanc-beur de Malek Boutih. On peut croire, comme nous le croyons, que son optimisme de gauche avait quelque chose de suicidaire pour la France. Mais ce rêve est manifestement au passé pour lui. Les semeurs de haine nous ont fait passer à autre chose. Ils ont créé une France convulsive, profondément divisée, où chacun vit pour soi, où l’affectio societatis a disparu, où l'on croira simplement régler ses comptes en détruisant le bien commun, que ce soit le bien commun des entreprises (la SNCF, Air France) ou le bien commun de la nation.

    L'ancien député socialiste donne un nom, c'est un nom propre, qui est, parmi d'autres, à l'origine de toutes les haines de soi Jean-Luc Mélenchon il le juge comme une sorte de nourrice de la haine il le traite de sas sur le chemin de la radicalisation. Il n'hésite pas à lui reprocher jusqu'à son enrichissement personnel grâce à la politique « Ça peut être un sas. Quand vous biberonnez à la haine, quand monsieur Mélenchon biberonne à la haine une jeunesse alors que lui-même était sénateur à 34 ans)… J'ai vu aussi au moment de la présidentielle le capital qu'il avait et pour un mec qui n'a jamais bossé de sa vie, c'est quand même pas mal, oui, ça amène à ça. Quand toute la tonalité est violente, tout vous amène à la violence ».

    Et Malek Boutih de conclure sa terrible démonstration sur les responsabilités de la gauche française dans la crise de civilisation qui est encore à venir « Toute une génération ne croit plus à la démocratie, elle pense que c'est un décor de carton-pâte. C'est ce mouvement-là qui est en cours un mouvement de radicalisation de la jeunesse, et dans cette radicalisation, il y a des segments très violents. Il y a un nouveau nazisme avec l'islamisme, mais pourquoi pas dans quelques années un terrorisme écologiste par exemple ? » Dans quelques années ? Les zadistes de Notre-Dame-des-Landes ne sont pas loin de ce terrorisme écologiste, qui est l'une des figures de l'éclatement de la gauche française, quand la radicalisation islamique en est une autre.

    Je parle de radicalisation islamique d'autant plus volontiers dans ce contexte de décomposition de la gauche que la présidente de l'Unef, bastion historique de la gauche depuis Mai 68, est une fille voilée, convertie à l'islam intégriste. L'Unef a longtemps été un symbole de la convergence des luttes en faveur de l'idéal laïc de la gauche plurielle. Elle se met aujourd'hui à la remorque de l'intégrisme musulman. C'est avouer qu'elle a perdu la boussole.

    monde&vie 31 mai 2018

  • Ils plient mais sont loin d’avoir rompu, par Jean-David Cattin

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    Par Jean-David Cattin, directeur national des Identitaires 

    Certains aiment à croire que la « droite » aurait gagné la « bataille des idées ». Peut-être… mais elle n’a certainement pas gagné la guerre. Du moins pas encore.

    Certes, les victoires des « populistes » se succèdent sur le plan électoral dans toute l’Europe, les succès de librairie d’auteurs incorrects se multiplient, à la télévision quelques journalistes et chroniqueurs ont réussi depuis plusieurs années à faire entendre une voix discordante (1). Mieux, les journaux qui font leur une sur les méfaits de l’immigration et de l’islamisation connaissent un succès envié par beaucoup de titres de la presse historique.

    Mais, dans cette lutte pour l’opinion publique, la gauche rend coup pour coup et est loin de laisser échapper son hégémonie. Ainsi, a-t-on vu récemment Éric Zemmour perdre son passage bihebdomadaire « On n’est pas forcément d’accord » sur RTL, après avoir déjà perdu son « Z comme Zemmour » quotidien. Sur le terrain électoral, le Rassemblement National a lui droit à un traitement de choc en se voyant confisquer 2 millions d’euros par des magistrats politisés. Sur le terrain militant, le mouvement identitaire se fait interdire ses manifestations par des préfets sous des motifs fallacieux, une répression qui s’ajoute à une censure quasi-totale sur les réseaux sociaux. Pour faire bonne mesure, les activistes sont frappés d’amendes à faire pâlir bien des malfrats endurcis.

    À cela s’ajoute une omniprésence des idées « progressistes » et politiquement correctes dans les nouveaux médias dont l’audience est loin d’être ridicule et qui influencent bien au-delà des cercles militants. Ainsi Brut, le HuffpostKonbini ou Vice (pour ne citer qu’eux) bénéficient d’une exposition majeure notamment auprès des jeunes générations grâce à leur maîtrise des outils de communication modernes. Il y a quelques années encore, elles accusaient pourtant un sérieux retard dans ce domaine. Preuve de leur résilience malgré le choc de la réalité migratoire, des attentats et d’une insécurité de moins en moins supportée. Le succès de la réinformation est réel et durable mais ne doit pas occulter ces évolutions récentes.

    De leur côté, les écoles de journalisme continuent de fournir des bataillons de diplômés politisés rompus au combat des idées. Bien plus subtils qu’une grossière propagande d’État, leur traitement et tri orientés de l’information, leurs investigations à sens unique et leurs représentations malhonnêtes de la réalité donnent aux idées de gauche un poids considérable dans la bataille pour l’opinion publique. En décalage total avec leur représentation électorale, ils continuent pourtant de fournir la partition aux élites dirigeantes et aux donneurs de leçons des centres urbains certains de leur supériorité morale face à la masse ignorante.

    La guerre est donc loin d’être gagnée, d’ailleurs ce n’est pas ainsi qu’il faut le voir. Il y aura toujours des batailles à mener. Des moyens de communication originaux font leur apparition et des nouveaux acteurs rentrent dans la danse, comme les Qataris d’Al-Jazeera avec leur relai d’influence AJ+ et son quart de million d’abonnés sur Facebook. Les lauriers de la bataille des idées et de l’information ne sont jamais acquis et il faut veiller à ne jamais s’endormir dessus. Il faut développer des outils percutants qui ne touchent pas que les convaincus, être à l’affût des nouvelles méthodes de communication et ne négliger aucun canal. Et s’il nous arrive d’être en retard ou de perdre une bataille, toujours remettre l’ouvrage sur le métier.

    Jean-David Cattin 27/07/2018

    (1) Au point que certains médias de gauche comme les Inrocks font désormais la promotion de l’interdiction des talk-shows qui feraient la part trop belle aux opinions qui les dérangent.

    Source : Les Identitaires

    Crédit photo : Les Identitaires

    https://www.polemia.com/ils-plient-mais-sont-loin-davoir-rompu-par-jean-david-cattin/

  • Nouveau départ pour l'Action française en Provence, réunie dans l'historique Union Royaliste Provençale, autour de son président

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    Rassemblement royaliste des Baux de Provence, juin 2002. [De droite à gauche : le prince Jean de France, Marcel Jullian, Jean Gugliotta, Gérard Pol]

    Vidéo : Jean Gugliotta, aux amis de l'Action française de Provence.

    « Ces quelques mots s'adressent aux amis de l'Action française de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. » ... 

    Jean Gugliotta aux amis de l'Action Française de Provence - U.R.P. sur Vimeo.

    242279723.pngLe 21 avril dernier François Bel-Ker et moi-même avons annoncé le regroupement des organisations d'Action française de Provence au sein de l'Union Royaliste Provençale dont j'assume la présidence.

    Je rappelle que l'Union Royaliste Provençale est l'organisation régionale historique de l'Action française depuis les origines du Mouvement. Elle est connue notamment pour avoir organisé les grands rassemblements royalistes d'avant-guerre et d'après-guerre, pendant 35 ans, à Montmajour et aux Baux de Provence. Ces rassemblements, comme on le sait, ont été couronnés par la présence des Princes en 2002.

    Du fait de la récente unité retrouvée dont je viens de parler, l'Union Royaliste Provençale devient fédération régionale du Centre Royaliste d'Action Française – le CRAF - dont le siège est 10 rue Croix-des-Petits-Champs à Paris.

    Nous devons maintenant revoir l'organisation et relancer l'activité de notre Fédération, en commençant par la question administrative.

    Une campagne d'adhésion à l'Union Royaliste Provençale sera lancée à bref délai.

    Le paiement des cotisations sera appelé par courriel et sms. Nous éviterons autant que possible les envois postaux.

    Les anciens adhérents de la Fédération Royaliste ou de l'Union Royaliste Provençale et d'Action française Provence seront sollicités. Je lance à tous un appel pour que, l'unité de l'Action française en Provence étant maintenant rétablie, le plus grand nombre possible réponde favorablement.

    Les modalités de versement et les tarifs des cotisations seront précisés dans les messages qui seront adressés à chacun.

    Deux points sont à noter :

    Premièrement, il est évident que personne ne peut exercer une responsabilité, c'est à dire une fonction quelconque à l'Union Royaliste Provençale sans être adhérent et à jour de cotisation.

    Deuxièmement, les cotisations feront dorénavant l'objet d'un reçu fiscal donnant droit à une réduction de 66% du montant réglé, sur l'impôt sur le revenu pour ceux qui le paient.

    Un dernier point : les jeunes d'Action française Provence avaient institué un « impôt militant » pour financer leurs activités. Leurs versements vont de 15 à 30 € par mois. Il faut saluer cette initiative. Le mérite leur en revient entièrement. . J'appelle les anciens qui le voudraient et le pourraient à suivre leur exemple. En contrepartie, les contributeurs à cet impôt militant bénéficieront dorénavant de la gratuité de nos conférences, événements et banquets en cours d'année en Provence.

    Bien entendu, ce que je viens d'évoquer n'est qu'un préalable aux activités que nous devrons organiser pendant l'année politique 2018-2019 pour la diffusion et les progrès des idées d'Action française et du Projet Royal.

    De ces activités vous serez tenus informés.

    D'avance, merci à tous de votre soutien.

    A très bientôt.  

    Jean Gugliotta

    Président de l’Union Royaliste Provençale

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/