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France et politique française - Page 2322

  • Bruno Hirout, membre du bureau politique du Parti de la France, invité de Réinfo...

  • Zoom – Bernard Antony : Stop au génocide français !

    Invité de TV Libertés, Bernard Antony, président de l’AGRIF, ne mâche pas ses mots. Il lance un appel au refus de la “tsunamigration, à l’islamigration, à la culture de mort”. Il annonce aussi une manifestation le 29 septembre à la Mutualité à Paris.

     
  • La fabrique de l’islamisme

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    La Grande Mosquée de Paris 

    par Louis-Joseph Delanglade

    Les médias le présentent comme un proche de M. Macron dont « il aurait l’oreille ». Le titre seul de son rapport de 2016, Un islam français est possible, relevait déjà de l’utopie et de la provocation. Voici qu’aujourd’hui M. El Karoui, brillant intellectuel à la solide formation universitaire, passé lui aussi par les guichets de la banque Rotschild, récidive avec La fabrique de l’islamisme. Toujours pour le compte du très libéral et très bien-pensant  Institut Montaigne qui le publie sur son site. 

    On aurait aimé pouvoir créditer M. El Karoui(photo) d’avoir franchi, d’un rapport à l’autre, le pas lexical qui va d’islam à islamisme et attendre en conséquence de lui certaines vérités. M. El Karoui décrit certes fort bien les modalités de propagation de la lèpre salafiste qui gangrène les si mal nommées « cités » par un maillage très intelligent, lequel allie embrigadement intellectuel par internet et embrigadement physique dans les salles de sport. Les résultats sont épouvantables comme le montrent deux exemples fournis par le quotidien La Provence du 11 septembre : 20 à 25% des musulmans de Marseille seraient salafistes ; vingt-et-un mille personnes seraient inscrites en France au Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste. Mais la dénonciation du salafisme reste insuffisante si, comme le fait M. El Karoui, on refuse d’aller au bout de la chaîne des responsabilités. Sans doute parce qu’il pense lui aussi que l’immigration, c’est-à-dire cette immigration-là, est « une chance pour la France », il se garde bien d’identifier la responsabilité première : celle-ci incombe à tous les gouvernements (droite et gauche confondues) qui depuis un demi-siècle ont tous voulu et facilité une immigration de masse, essentiellement islamique. se montrant bien incapables d’empêcher l’entrée et l’installation définitive des indésirables et de lutter efficacement contre les agissements délictueux et terroristes d’une minorité de musulmans ; or, ces derniers, toujours plus nombreux et dangereux, n’existent, qu’on le veuille ou pas, qu’à travers leur communauté d’origine. 

    Rien d’étonnant, dès lors, si les principales propositions du rapport pèchent par hypocrisie et/ou par angélisme. Ainsi en est-il du renforcement de l’apprentissage de l’arabe dans les écoles, collèges et lycées sous prétexte qu’au cours des dernières années « le nombre d'élèves qui apprennent l'arabe au collège et au lycée aété divisé par deux [mais] multiplié par dix dans les mosquées. » La langue arabe est certes une langue digne à tous égards du plus grand intérêt, une langue que l’on doit pouvoir apprendre au même titre que plusieurs autres. Cependant, en proposer très précisément l’enseignement aux enfants de la communauté musulmane, c’est d’abord - quelle ironie ! - les stigmatiser en les renvoyant à leurs origines ; c’est aussi feindre d’ignorer que l’arabe est avant tout, pour des musulmans qui ne sont pas tous, tant s’en faut, « arabes », la langue du Coran. Il serait légitime, d’offrir aux élèves de France la possibilité d’apprendre une langue étrangère au même titre que d’autres ; avec M. El Karoui, on risque plutôt, vu le contexte et l’esprit de la mesure proposée, de conforter une population d’origine étrangère dans son « étrangèreté », lui permettant de se perpétuer davantage encore en tant que communauté étrangère. Peine perdue, de toute façon, car les parents ont donc déjà choisi l’arabe de la mosquée, c’est-à-dire celui de l’islam-isme. 

    Selon l’A.F.P., la « mesure phare » serait la création d'une Association musulmane pour l'islam de France. Avec pour objectif, selon M. El Karoui, « de créer une organisation neutre, indépendante des pays d'origine, indépendante de ceux qui tiennent aujourd'hui les mosquées  pour prélever une toute petite somme d’argent [dite « taxe halal »] sur chaque acte de consommation et réinvestir cette somme d'argent dans le travail théologique, parce que c'est la mère de toutes les batailles. » M. El Karoui veut ignorer la toute nouvelle Association pour le financement et le soutien du culte musulman, laquelle a pourtant deux avantages décisifs sur son projet : celui d’exister déjà contrairement à la sienne et celui d’avoir été créée par des musulmans et non par le gouvernement français. On n’en finitpas en effet, dans ce pays, de vouloir s’ingérer dans le modus vivendi de la communauté musulmane. Ainsi viennent de s’achever, ce samedi 15, les « assises territoriales de l'islam de France » : messieurs les  préfets de la République étaient invités à « faire émerger des propositions inédites » pour permettre au pouvoir exécutif de donner au plus tôt « à l'islam un cadre et des règles garantissant qu'il s'exercera partout de manière conforme aux lois de la République » (propos de M. Macron devant le Congrès). Comment ne pas être sceptique ? On sait bien que n’ont été un succès ni le Conseil français du culte musulman fondé par M. Sarkozy ni la mission de M. Chevènement à la tête de la Fondation des œuvres de l'islam de France. 

    Pour combattre l’islamisme, on prétend donc réguler l’islam et promouvoir un islam de France. L’islam en tant que religion « totalitaire », les musulmans en tant que communauté de plusieurs millions de personnes, accepteront-ils vraiment, sauf à se renier, de renoncer à « un mode de vie régi par les lois religieuses » (formulation de M. Zemmour), à des façons d’être et de vivre souvent incompatibles moins avec les « valeurs de la République » qu’avec celles d’une culture millénaire qui n’est pas la leur ? En clair : si des musulmans, dispersés ou en communauté(s) réduites et discrètes, peuvent peu ou prou vivre en France, l’idée qu’il puisse exister, globalement, un « islam de France », composante de la nation française, paraît une contradiction dans les termes. Si c’est bien au nom de cet utopique islam que M. El Karoui veut combattre l’islamisme, il y a fort à parier que son rapport restera lettre morte ou donnera naissance à une usine à gaz supplémentaire et que la situation continuera d’empirer.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/09/17/la-fabrique-de-l-islamisme-6085074.html

  • La rentrée tragique de Macron se poursuit – Journal du lundi 17 septembre 2018

    Politique / La rentrée tragique de Macron se poursuit

    Affaire Benalla qui n’en finit pas, propos méprisants à l’égard des Français et premiers remous dans la majorité… Le président de la République est décidément dans une mauvaise passe… 3 Français sur 5 pensent que son bilan est négatif.

    Politique / Marine Le Pen fait sa rentrée à Fréjus

    Après une légère diète médiatique, la présidente du Rassemblement national a lancé un nouvel élan dimanche à Fréjus, dans le Var, pour aborder la campagne des européennes.

    Justice / Affaire Méric : Entre émotions et politique

    Social / Cette très chère rentrée des étudiants français

    Serveur TVL :

    Lien dailymotion

  • Nieppe 2018 : une belle journée de résistance nationale et identitaire près de Lille

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    La 6e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale s'est déroulée dimanche 16 septembre à Nieppe près de Lille. Comme chaque année, les militants et sympathisants nordistes de la cause nationale se sont déplacés nombreux pour assister à cette réunion organisée par notre revue. Notons la présence aussi de plusieurs élus locaux, ce qui prouve l'intérêt grandissant que suscite notre action dans la région.

    Le thème de cette journée était : "Face au formatage de la pensée dominante, la réinformation est une priorité militante". Il faut dire que l'actualité récente et l'inique verdict dans le procès Méric a donné du "grain à moudre" aux orateurs. Nous sommes en effet là devant la parfaite illustration du thème de la journée.

    Ainsi, se succédèrent à la tribune : Luc Pécharman, délégué régional de Synthèse nationale, qui ouvrit la séance, Arnaud Raffard de Brienne qui a écrit plusieurs livres qui font références sur la désinformation, Marie-Jeanne Vincent, de l'excellent site Nous sommes partoutqui mène un combat exemplaire à Calais (là aussi, la désinformation des médias aux ordres va bon train) prirent la parole lors de la première session.

    Puis, au cours de la seconde, le Dr Jean-Pierre Cousteau, fils de Pierre-Antoine Cousteau et neveu du commandant, qui fait un énorme travail en collaboration avec les Editions Via Romana pour faire connaitre l'oeuvre de son père, nous a fait un passionnant exposé sur la vie de celui-ci. Vint ensuite l'aspect purement politique de la réunion avec le discours très "militant" de Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France. Enfin, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, a conclu la journée en revenant sur le procès Méric en dénonçant la manipulation de l'information sur ce sujet. Il insista aussi sur la nécessité de s'engager, chacun selon ses possibilités et dans le domaine qui l'intéresse le plus, pour notre cause. Jamais la situation a été aussi propice au développement de notre combat. Cela dépendra de la mobilisation de chacun...

    La journée s'est déroulée dans une ambiance à la fois studieuse, militante et sympathique. La 7e journée est dores et déjà programmée pour le dimanche 28 avril 2019. D'ici là, nombreux seront nos amis du Nord qui se déplaceront le dimanche 14 octobre à Rungis, près de Paris, pour assister à notre 12e Journée nationale et identitaire...

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  • Le plan de lutte contre la pauvreté est un leurre

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    Malgré l’amélioration des conditions économiques mondiales des derniers mois, notre pays stagne et ne parvient pas à recoller aux « premiers de cordée » que sont les pays du nord de l’Europe, et notamment l’Allemagne. La dégradation qui se dessine au niveau planétaire, avec les tensions géopolitiques, ne sera pas de nature à inverser cet immobilisme.

    Pourtant, avec l’arrivée aux commandes d’un jeune et fringant Président, au printemps 2017, on nous annonçait avec enthousiasme l’avènement d’une nouvelle façon de faire de la politique, plus entreprenante, plus ouverte sur les technologie de l’avenir et, donc, plus performante. Or, il semblerait, finalement, que rien n’y fasse et notre stagnation s’apparente, dans ce contexte, à un affligeant recul. Le tissu industriel continue à se dégrader, l’inflation renaît, le taux de chômage ne se réduit pas de façon durable et significative et la dette recommence à croître.

    Aussi n’est-il pas illégitime de s’intéresser aux causes de ce qui ressemble à une cruelle désillusion, sinon à un condamnable échec.

    Jadis, nous avions une gauche et une droite qui, au fil du temps, avaient fini par se ressembler, au point que rien ne les distinguait en dehors des serments électoraux, tout étant défini au niveau de l’Union européenne et rien au niveau national – ou si peu. Or, comme chacun le sait, les promesses n’engageant que ceux qui y croient, rien ne changeait jamais globalement, le tout glissant lentement mais sûrement vers un ultralibéralisme tournant le dos au système que notre pays avait mis des lustres à établir, misant sur la solidarité et une certaine idée de l’équité en matière de répartitions des richesses.

    En réalité, la seule chose qui, aujourd’hui, ait véritablement changé est qu’à l’inverse d’hier, le pouvoir agit ouvertement et sans le moindre scrupule en allant au bout d’une politique qui ressemble étrangement à celle d’avant. Il a dit ce qu’il allait faire et il fait ce qu’il a dit. Il a annoncé qu’il casserait le système de protection sociale (ce qui n’avait jamais été osé jusque-là) et il le fait (ce qui avait été discrètement envisagé mais entamé sans publicité). Son action a été menée avec une violence jamais égalée qui s’est faite en s’affranchissant des règles démocratiques les plus élémentaires sur des sujets aussi fondamentaux.

    Il a emprunté le chemin de l’ultralibéralisme à pas redoublés, sans se soucier des conséquences à court terme pour les moins nantis, favorisant toujours les plus riches au prétexte qu’ils seraient créateurs de richesses et écartant l’idée qu’ils ne puissent avoir que le souci égoïste de leur enrichissement. L’effet de ruissellement ne restera probablement qu’une vue de l’esprit, à moins qu’il n’ait été qu’un engagement aux intentions mensongères.

    Les mêmes causes produisant toujours les mêmes effets, aujourd’hui comme hier, la « fracture sociale » se creuse. Alors, déterminé mais pas aveugle, et surtout pas en manque de ressources illusoires, le pouvoir sent bien qu’il faut calmer les esprits et il propose un plan de lutte contre la pauvreté.

    Mesure phare du dispositif : favoriser le retour à l’emploi. Excellente idée ! Sauf que ce retour dépend de deux facteurs que le gouvernement ne maîtrise pas, ou mal : la croissance, l’inadaptation des besoins du marché de l’emploi avec le niveau et la nature des qualifications des demandeurs. Dès lors, toute modulation du barème des aides sociales liées au travail, ou plutôt à son absence, revient à priver les ayants droit de ressources vitales, à accroître le niveau de la pauvreté et à creuser les écarts. Ce chemin conduit exactement à l’opposé de l’endroit où l’on prétend nous mener.

    Accessoirement, promettre la création de plus de places dans les crèches est aussi une belle idée, sauf que tous les gouvernements l’ont eue sans qu’elle se concrétise réellement sur le terrain.

    Bref ! Si l’on ajoute à ce constat de carence le volume des « affaires », force est de constater que le nouveau monde ne diffère de l’ancien que par la forme de son discours.

    Jean-Jacques Fifre

    http://www.bvoltaire.fr/le-plan-de-lutte-contre-la-pauvrete-est-un-leurre/

  • La Manif pour Tous continuera et développera encore davantage d’actions, y compris dans la rue

    La Manif pour Tous continuera et développera encore davantage d’actions, y compris dans la rue

    Le patron de la République En Marche, Christophe Castener s’est entretenu devant ses troupes et a rappelé le fervent attachement de la Républque En Marche à la PMA et à la congélation d’ovocytes. Ludovine de La Rochère réagit au micro de Boulevard Voltaire :

  • Lyon : le père qui avait amené les agresseurs de son fils au commissariat incarcéré

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    Nous avions rapporté il y a quelques jours l’histoire de cet homme qui était allé cherché les agresseurs de son fils et, aidé d’amis, les avait amenés au commissariat non sans les avoir molesté.

    « Le jeune homme [son fils] avait été forcé de se déshabiller par deux agresseurs âgés de 17 et 18 ans. Ces derniers lui avaient ensuite dérobé la totalité de ses effets personnels. Son père avait alors monté une expédition punitive avec deux amis presque quadragénaires.

    Le père, âgé de 39 ans, a été mis en examen et placé en détention provisoire, rapporte Le Progrès.

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  • Marine Le Pen lance sa campagne pour les européennes

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    Marine Le Pen et Matteo Salvini, souriant ensemble sur une même affiche, donnaient le ton. A huit mois des élections européennes, le Rassemblement national faisait sa rentrée politique dimanche à Fréjus.

    Marine Le Pen a ainsi battu en brèche la politique migratoire folle de l’Union européenne.

    Cette submersion est organisée méticuleusement. Alors je le dis clairement, avec nous l’Aquarius n’accostera plus sur les côtes françaises“, a promis la présidente du parti.

    Marine Le Pen a fixé les deux objectifs de son parti :

    En France, dépasser la liste mondialiste d’Emmanuel Macron et comme en 2014 sortir en tête de cette élection. En Europe, constituer avec nos alliés et les autres groupes anti-européistes une majorité pour rompre avec la déliquescente Union européenne.