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France et politique française - Page 2751

  • Fondamentaux du FN : ce n’est pas le moment de tout abandonner !

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    À l’heure de la mondialisation, l’immigration est devenue une question essentielle. C’est vrai en France, en Europe, au Maghreb… c’est vrai aussi en Chine ou au Sénégal. Au moment où l’État ne protège plus, ce sont d’abord les plus modestes, les plus démunis qui en sont les victimes. Ils ressentent la pression croissante des flux migratoires sur notre territoire et ne se résignent pas. Ils veulent préserver le capital culturel et social reçu de leurs pères. Dans nos villages, la question devient existentielle. Nos compatriotes ne veulent pas devenir minoritaires et dépendre de la « bienveillance » d’une majorité dont ils ne seraient plus. Or, les contingents innombrables de populations en provenance du Maghreb et d’Afrique subsaharienne qui se déversent chaque jour sur les côtes sud de notre continent bouleversent les équilibres.

    C’est la raison pour laquelle, le sujet est plus que jamais d’actualité.

    Le Front national a construit son identité sur l’échiquier politique à partir de cette thématique migratoire. Elle n’est pas devenue tout d’un coup obsolète, bien au contraire. Protéger la France, donner la priorité aux Français chez eux, assurer la sécurité quotidienne, préserver les comptes sociaux et alléger la pression fiscale sont les piliers programmatiques du parti à la flamme bleu blanc rouge, les autres sujets (famille, école, entreprise…) se déclinant à partir de cette trame.

    C’est son ADN. Il est identifié comme tel, y compris par les personnes les plus éloignées de la chose électorale. Ce sont des marqueurs indélébiles.

    En discuter et donner l’impression que ces priorités pourraient être erronées est un signal catastrophique, un virus mortel. Le FN possède un atout considérable parce que le parti est parfaitement identifié et qu’il a un chef connu. Il s’avère, en outre, que l’actualité contemporaine valide parfaitement les analyses faites antérieurement et que les événements du quotidien finissent par convaincre même les plus récalcitrants. L’environnement politique n’a jamais été aussi propice. Les esprits n’ont jamais été aussi perméables à nos analyses.

    Alors, que les impatients reprennent leurs esprits ! Ce n’est pas le moment de tout abandonner. Le nombre et les scores de nos candidats sont, certes, encore insuffisants, mais ils ne cessent de progresser. C’est peut-être un mal pour un bien.

    Usons du temps qui nous est donné afin de consolider notre formation et travailler à une implantation locale plus performante. Ainsi, les lendemains électoraux heureux que nous attendons ne manqueront pas de survenir. Telle est notre espérance.

    http://www.bvoltaire.fr/fondamentaux-fn-nest-moment-de-abandonner/

  • Bouches d’incendie : la racaille inonde les rues, par Caroline Parmentier

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    Un millier « d’ouvertures sauvages » de bouches d’incendie en région parisienne le week-end dernier dont 500 rien qu’en Seine-Saint-Denis. La lâcheté médiatique et politique quant à la dénonciation et la répression de ces mœurs de cité atteint des sommets.

    Racaille-inonde-2-264x350.jpgY aurait-il une religion plus forte que la nouvelle religion ? A longueur de journée on nous serine qu’il est criminel de prendre des bains plutôt que des douches, que laisser couler l’eau quand vous vous lavez les dents fait de vous une ordure, que les agriculteurs qui ne se rationnent pas sont des fumiers, que bientôt la planète va manquer d’eau et qu’il ne faudra pas s’étonner de la migration climatique de millions de crève-la-soif et là, curieusement, moderato. Pas d’anathème, pas de blâme et surtout pas d’amalgame, on marche sur des œufs. C’est vrai qu’à bien regarder les photos comme celles que publient les sites alternatifs et les réseaux sociaux, on distingue très nettement des adultes en tenue islamique et mode pudique aux côtés de « jeunes » en short Nike qui font trempette dans les rues après avoir vandalisé les bouches d’incendie.

    Ça coûte des millions (800 000 euros pour une seule journée, l’équivalent de 60 piscines olympiques jetées dans le caniveau, des dizaines de caves et de parkings inondés) et c’est dangereux : risques d’électrocutions, de blessures dues à la pression de l’eau, d’accidents de voitures ou de tramway mais également de pénuries d’eau pour les pompiers évidemment, qui se trouveront dans l’impossibilité d’éteindre un incendie s’il se présente. Mais bon c’est comme ça. Il fait chaud et c’est le ramadan. C’est devenu une fatalité de plus dans nos rues envahies.

    A Asnières-sur-Seine jeudi, les policiers débordés ont été caillassés après qu’une énième bouche d’incendie a été forcée. Lorsqu’ils sont intervenus pour sécuriser le geyser afin que les techniciens de Veolia puissent fermer la bouche, une cinquantaine de jeunes les ont bombardés de projectiles. Les forces de l’ordre ont dû utiliser des grenades lacrymogènes et un Flash-ball pour se dégager. L’un des employés Veolia est à l’hôpital.

    « Hier, un enfant était allongé au milieu de la route, en train de patauger », décrit le chef de cabinet de la mairie d’Aubervilliers. « Si une voiture passe et est aveuglée par le geyser, elle roule dessus. On va finir par avoir un mort, on est tous fébriles ici. »

    Les maires d’Aubervilliers, Saint-Denis, Stains, l’Ile Saint-Denis, La Courneuve et Pantin (93) en appellent à l’Etat. « L’Etat doit prendre ses responsabilités et nous déclarer en situation de catastrophe naturelle », exige Meriem Derkaoui, maire de Stains.

    Qu’ils adressent donc directement la facture d’eau aux parents des racailles en question.

    Et à Emmanuel Macron qui nous avait fait la leçon à Sarcelles entre les deux tours :

    « Sarcelles, c’est une formidable leçon de ce qu’est la France ! Il y a des Français de toutes les couleurs, de toutes les religions, qui viennent de tous les pays du monde, et ils y vivent bien. Il y a des problèmes de sécurité, mais il y a des moments de convivialité. »

    On est en plein dedans !

    Caroline Parmentier

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 24 juin 2017

    https://fr.novopress.info/page/3/

  • La droite française est éparpillée façon puzzle

    6a00d83451619c69e201b7c90656bb970b-250wi.pngMinute appelle la droite à se mettre enfin au travail :

    "[...] Côté Républicains, l’implosion, annoncée depuis des années, commence enfin. Avec deux groupes à l’Assemblée nationale, cinquante tendances et une guerre des chefs repartie de plus belle entre Laurent Wauquiez, Valérie Pécresse et Xavier Bertrand, le prochain congrès du parti risque fort d’être sanglant. Un peu comme si les chapeaux à plume des Républicains n’avaient toujours pas compris qu’ils avaient perdu deux élections présidentielles et deux élections législatives de suite, ce qui ne s’était jamais vu dans l’histoire de la Ve République.

    Au Front national, les communiqués officiels rassurants n’arrivent plus à masquer les divisions. Pour gagner du temps et tenir ses troupes, Marine Le Pen a décidé de lancer une réflexion sur l’avenir du mouvement, sa stratégie et ses propositions, qui doit conduire à des décisions... dans le mois qui vient ! Pour autant, il n’est pas une semaine où les cadres du mouvement n’étalent leurs divisions et désaccords au grand jour et ne s’écharpent sur Twitter. Quant à la droite hors les murs, elle a été incapable d’exister électoralement (même lors de la primaire de la droite), excepté dans des situations locales très particulières, avec Emmanuelle Ménard ou Jacques Bompard.

    Bref, à droite, pendant qu’on s’insulte, qu’on s’écharpe ou qu’on s’anathème (parfois avec raison), on ne pense plus. Le cerveau, ça doit être comme le cheval ou le vélo : à force de ne pas pratiquer, on oublie comment ça fonctionne. Et pourtant... Depuis quatre ou cinq ans, la pensée avait changé de camp. La gauche, autrefois hégémonique, avait cessé de penser. [...] C’est bien à droite que se déroulait l’agitation des idées : Manif pour tous, Veilleurs, revues (« Limite », reprenant pied sur le terrain de l’écologie, « Eléments », redevenu le lieu de débats commentés, « Philitt » et on en passe), colloques, tels ceux d’Iliade ou Oz ta droite, de Robert Ménard, essais de Zemmour, Villiers ou Buisson, etc. Evidemment, ce foisonnement était très minoritaire, certainement intellectualiste, trop parisien et déconnecté des préoccupations des Français. Est-ce pour cela que personne n’en a rien tiré d’un point de vue électoral ? Un peu sans doute. Mais pas uniquement.

    Depuis des années, pour ne pas dire depuis des décennies, la droite politique a oublié de réfléchir. Comme l’a dit justement Bruno Retailleau, le fidèle lieutenant de François Fillon, à l’hebdomadaire « Le Point » : « Beaucoup d’intellectuels, issus parfois de la gauche, ont exprimé des idées qui sont les nôtres, mais nous n’avons pas décliné, actualisé leur travail sur le plan politique. » C’est le moins que l’on puisse dire. [...] Et pour une raison simple : à droite, les politiques qui lisent sont des exceptions. Pas le temps. Inutile. Même le journal du parti, c’est juste bon pour les militants. Qu’on ne forme pas, sauf à tenir un bureau de vote. Quel homme politique de droite a, depuis cinq ans, porté à l’Assemblée nationale ou dans les médias un discours intelligent, construit, constructif et pourquoi pas novateur sur les questions de civilisation ? Quel homme politique de droite a travaillé réellement sur les questions d’identité, de sécurité, de justice et, soyons fous, de souveraineté ou d’Europe ? Qui sait encore, hormis Jean-Frédéric Poisson, ce qu’est le principe de subsidiarité ?

    A part : « On va mettre plus de policiers ! », « Il faut en finir avec les juges rouges ! » ou « C’est la faute de l’Europe ! », a-t-on entendu autre chose depuis cinq ans ? Tant que l’on se contentera de slogans en guise de programme politique, on n’arrivera à rien. Comme le dit Thierry Mariani dans l’entretien qu’il nous a accordé, « il faut tout reconstruire ». Cela passe par la réflexion. Par l’exposition des idées. Par leur confrontation. « Minute » entend y contribuer. Avec tous ceux qui le souhaitent. Sans anathèmes et sans exclusive, mais sans concession à l’égard de ceux qui ne s’intéressent qu’à leurs intérêts boutiquiers."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Courte réflexion sur l'effacement des partis politiques dans l'histoire de France, des socialistes aux royalistes.

    Le marché de Versailles bruissait des bruits ordinaires d'un dimanche matin, entre cloches de l'église Notre-Dame voisine et harangues des marchands, et il s'y rajoutait les annonces électorales des distributeurs de tracts qui, toujours, précédent le temps des urnes : j'ai, ainsi, récupéré quelques libelles de couleurs variées et quelques portraits des prétendants à un des 577 sièges du Palais-Bourbon, tous plus souriants et sérieux à la fois les uns que les autres. Évidemment, on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre, et toute campagne électorale a ses rituels : il m'arrive aussi d'y sacrifier parfois, en particulier lors des élections européennes, et j'aime ce contact direct avec des électeurs qui, malheureusement, ne se transforme pas toujours en voix sonnantes et trébuchantes au fond des urnes...

    S'il y avait bien de fortes délégations matinales du candidat de la droite conservatrice et de celui du mouvement présidentiel, ainsi que celles, moins nombreuses, de la gauche radicale, des Verts et de quelques « indépendants » (sans oublier les partisans asselinesques du Frexit), le Parti Socialiste brillait par son absence, et l'une des fidèles militantes de ce qu'elle nomme désormais « feu le Parti de Jaurès » affichait ostensiblement une grande indifférence à l'agitation politicienne voisine : il est juste de signaler aussi que, dans les rangs des « Marcheurs » comme ils se nomment, j'apercevais ceux qui, il y a encore moins de deux ans, me vantaient les mérites de la rose au poing... Autres temps, autres engagements, pourrait-on ironiser, mais c'est surtout la démonstration du bouleversement, non des idées ou du paysage idéologique en tant que tels, mais de l'offre politique partisane. En cinq ans, le PS est devenu une sorte de PASOK français (1), perdant en ce court laps de temps, tous les pouvoirs et toutes les positions qu'il occupait insolemment et complètement quand MM. Hollande et Ayrault assuraient, au sortir de la victoire présidentielle du premier nommé, la dyarchie républicaine en un attelage qui allait s'avérer maladroit et incertain.

    Cette « disparition » du PS n'est-elle qu'un « moment » de la vie du parti refondé au Congrès d'Epinay par François Mitterrand en 1971 ? Peut-être, mais qui sait vraiment ? Chez notre voisin italien, les partis qui ont organisé la vie politique nationale des années de l'après-guerre aux années 1990 ont purement et simplement quitté la scène électorale et gouvernementale, abandonnant aussi leurs noms historiques, que cela soit le Parti Communiste Italien, son homologue socialiste, mais aussi la Démocratie Chrétienne et, pour d'autres raisons mais avec le même résultat, le Mouvement Social Italien néo-fasciste.

    D'ailleurs, les royalistes eux-mêmes ont connu cet effacement à leur corps défendant, et les quelques groupes monarchistes qui militent encore et, heureusement, toujours pour l'établissement d'une Monarchie royale héréditaire et familiale, ont, en fait, tout à reconstruire, à se reconstruire : c'est aussi le cas au Portugal et en Italie, comme si le lien rompu d'un pays avec sa dynastie nationale avait privé ses partisans d'une sève précieuse pour, simplement, vivre et prospérer. Avouons que les Républiques n'ont pas cette difficulté, comme si leur nature, plus « nomade », les préservait d'un déracinement qui, de toutes les façons, ne les concernent pas, faute d'un enracinement véritable, filial...

    Pourquoi cette remarque sur les royalistes, dont je suis, comme chacun sait ? Sans doute parce que j'aspire à voir renaître un royalisme vif, visible et fort, un royalisme politique et d'abord politique, crédible et réfléchi, qui s'inscrive dans une tradition vivante et critique pour ne pas être nostalgique et stérile. Il n'y a pas de fatalité : l'effacement du royalisme comme réalité politique, qui s'est sans doute fait en quatre temps (2), ne signifie pas que la Monarchie soit moins nécessaire mais seulement que le chemin est plus ardu pour la faire advenir. Les récents événements politiques tendent néanmoins à prouver que rien n'est jamais complètement écrit ni, peut-être, définitif : que certains adversaires républicains de M. Macron le qualifient (à tort ou à raison, qui sait ?) de « président monarque » ou de « régent » peut nous surprendre mais cela doit-il seulement nous indigner ? Et, d'ailleurs, n'est-il pas trop tôt pour trancher, malgré les sympathies oligarchiques trop certaines du locataire nouveau de l’Élysée ? Et ne peut-on y discerner l'annonce symbolique d'une sorte de « retour du futur » ? Ou d'une reconnaissance inconsciente d'une « absence » que, là encore, l'actuel président, encore loin de sa candidature et de sa victoire de mai 2017, signalait dans son fameux entretien de juillet 2015 (3) ? Certes, il n'y a plus de Pierre Boutang pour murmurer à l'oreille du « Prince » (et là, je parle, dans le sens de Machiavel, de celui qui siège à l’Élysée) (4), mais ne peut-on pas travailler à forger un « appareil » royaliste susceptible de faire entendre « la voix du Roi », y compris jusqu'au sommet de l’État ?

    (à suivre, forcément !)

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1420:courte-reflexion-sur-leffacement-des-partis-politiques-dans-lhistoire-de-france-des-royalistes-aux-socialistes&catid=51:2017&Itemid=62

  • Une communauté patriote s'est créée près de Narbonne ! Présentation du projet (juin 2017)

  • Chanas sans migrants : Génération Identitaire a occupé le futur centre d’accueil !

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    L’hôtel Formule 1 de Chanas, en Isère, n’accueillera pas de demandeurs d’asile pour le moment. Le projet d’hébergement a reçu un avis défavorable de la Préfecture vendredi “pour des raisons de sécurité”.

    Les militants de Génération identitaire, qui ont occupé le toit de l’hôtel de F1 de Chanas samedi, assurent que leurs revendications ont été entendues.

    Voici les revendications de Génération identitaire formulées dans un communiqué de presse publié samedi :

    L’État a récemment racheté l’hôtel Formule 1 de Chanas au groupe Accor, et s’apprête à y installer plus de 200 « migrants » durant l’été. Cette opération a été menée sans que le maire ni les habitants de la commune ne soit consultés. L’État poursuit sa politique scandaleuse de dissémination des « migrants » dans les communes françaises, alors que toutes les enquêtes d’opinion montrent qu’une large majorité de la population y est opposée et que des Français meurent encore régulièrement dans la rue faute d’aide et de logement. Pour eux pas d’achat d’hôtel ni de réquisition d’urgence.
    Génération Identitaire réclame à travers cette occupation, l’arrêt pur et simple de l’accueil systématique des « migrants », ainsi que leur répartition dans les petites communes, dont les habitants aspirent à vivre sereinement et en sécurité. La France est confrontée à une profonde fracture identitaire, et la fuite en avant du gouvernement vers toujours plus d’immigration aggrave de manière irresponsable cette situation.

  • Radio Libertés/TVLibertés : Jean-Marie Le Pen : L’immigration reste le problème n°1 !