France et politique française - Page 2890
-
Actualité et politique du 11 février 2017
-
Télévision : la chute
La révolution internet avec l’explosion des plateformes de vidéos en ligne pose une sérieuse question quant à la durée de vie restante du média télévisuel. TF1 voit sa part de marché en constante chute libre depuis 1995, avec 37,3% de part de marché à cette époque pour se retrouver à 22,9% en 2014. La part des investissements publicitaires bruts des annonceurs sur le marché de la télévision, qui s’établissait à 40% pour TF1 en 2010, a perdu 7 points en à peine 4 ans, s’établissant à 33% en 2014 pour le groupe privé. Sur l’année 2015, le CA du groupe a baissé de 87,5 millions (-4,2%) par rapport à l’exercice précédent, pour un total de 2,004 milliards d’euros. Ce chiffre d’affaires, qui était évalué en 2007 à 2,763 milliards d’euros, a donc perdu près de 30% en seulement 8 ans.
En 2014, les Français ont regardé la télévision en moyenne 3 heures et 41 minutes par jour, soit 5 minutes de moins qu’en 2013 et 9 minutes de moins qu’en 2012. Mais cette baisse est particulièrement criante chez les jeunes : les jeunes de 13 à 24 ans regardent en moyenne 1h30 la télévision par jour, contre 3h41 pour l’ensemble de la population française. Ils privilégient la télévision de rattrapage (replay) mais aussi des plateformes de vidéos en ligne.
Si la télévision est encore leader, cela ne devrait pas durer éternellement. La publicité télévisuelle est en baisse. A l’inverse, la publicité sur internet a explosé sur cette même période, passant de 1,5 milliard d’euros en 2010 à près de 2,5 milliards d’euros en 2014. Lorsque l’on sait que les revenus publicitaires constituent la principale ressource financière des groupes audiovisuels (59,7% du CA du groupe TF1 SA pour exemple), la question portant sur la pérennité de ce modèle économique a le mérite d’être posée.
C'est à un rééquilibrage que l'on assiste : la fin annoncée du monopole de la télévision indique que les Français vont de nouveau choisir la source de leurs informations afin de sortir du politiquement correct et de la pensée unique. La diversification de l'offre, avec la TNT et internet, permet désormais d'avoir des donc de cloches différents, ce qui ne plaît pas à certains médias, jaloux de leur monopole. Quand l'information était détenue par l'ORTF les élites hurlaient à la dictature, mais détenue par Drahi et Bergé, on vante son pluralisme !
-
LES SANGLOTS LONGS DES PHOTOS CHOCS
Pieter Kerstens
Depuis des décennies, les journalistes de tout bord et les photographes chassant le sensationnel nous ont proposé une pléthore de clichés abominables destinés à faire pleurer Margot et influencer son jugement.
Kim, Omayra, Elian, Angélica, Loubna, Léonarda, Aylan, etc…
Publier en « scoop » des photos de fillettes et de garçons blessés ou décédés relève de la manipulation des esprits pour conduire l’opinion vers une attitude plus « souple » ou mieux encore, afin de créer une réelle adhésion au but recherché. C’est bien P.Robert, photographe de guerre, qui avait déclaré : « La dictature de l’émotion permet de faire l’économie des vraies questions. »
Notre devoir de mémoire nous rappelle la photo de Pham Thi Kim Phùc (Viet-Canadienne), 9 ans brûlée au napalm le 8 juin 1972, courant dans les rues dévastées du village de Trang Bang, à 60 kilomètres de Saïgon. Ce cliché de Nick Ut fera le tour du monde et vaudra à son auteur d’obtenir le prix Pulitzer.
L’opinion mondiale était ainsi préparée à accueillir les futurs boat people…
Puis, en 1985, une télévision colombienne diffusa durant 60 heures un reportage montrant l’agonie de Omayra Sanchez, 13 ans, prisonnière de la boue du volcan Nevado del Ruiz et sa lutte contre la mort filmée en direct…
Exploiter l’innocence des enfants est crapuleux. Politiser et utiliser comme moyen de chantage des situations impliquant des mineurs est une ignominie. J’en veux pour exemple ce que j’ai vécu à La Havane le 12 juin 2000 : une manifestation monstre regroupant plus de 500.000 enfants et étudiants des écoles, lycées et universités de la seule province de la capitale, pour réclamer le retour d’Elian Gonzales.
Cette histoire fit le tour du monde, occupa la presse internationale pendant plusieurs mois et finalement le fils pu retrouver son père à Cuba, lequel refusa à plusieurs reprises l’asile politique offert par les USA. Par ailleurs les tribunaux fédéraux américains lui avaient aussi donné raison et ordonné le rapatriement de l’enfant dans sa ville natale de Matanzas.
Plus, encore plus et toujours plus d’invasions migratoires.
Durant l’été 2007, les lobbies immigrationniste n’ont pas chômé et en Belgique, la saga de la petite équatorienne Angélica avait fait pleurer Margot dans sa chaumière durant des semaines et provoqué une crise diplomatique imbécile. Comment une mère sud-américaine et sa fille avaient-elles pu vivre durant 5 ans à quelques kilomètres de la Capitale de l’Europe, sans visa, sans titre de séjour et totalement hors-la-loi ?
Essayez donc de faire la même chose en Suisse, au Qatar, aux Seychelles, en Chine, au Mali ou à Cuba.
Une telle situation était évidemment la conséquence du laxisme et de la décadence de gouvernements successifs, manipulés par les pressions et le chantage permanent des sectes droits-de-l’hommiste et des ennemis de l’identité et de la civilisation européenne.
Depuis Maastricht en 1999 (Traité qui allait nous amener le mieux-vivre et le bien-être permanent) et les accords de Schengen, nos frontières sont devenues de vraies passoires et année après année, les saisies de cocaïne, de cannabis et autres drogues ou produits de contrefaçons ne cessent d’exploser !
Nous avons été les témoins d’un afflux sans cesse grandissant d’individus jeunes, masculins et en bonne santé, amenés chez nous par des filières mafieuses qui se livrent à la « traite humaine » en surfant sur la vague émotionnelle et la sensiblerie des populations européennes soumises au poids des mots et au choc des photos !
Il faut avoir vécu et constaté l’empressement des touristes obèses de la plage de Corralejo à Ténériffe à apporter de l’eau, des casse-croûtes et des couvertures aux africains débarquant de leurs pateras (équipées de 2 moteurs 100cv Yamaha, de GPS, de nourrices de carburant et de paniers de fruits, au départ de Saint-Louis du Sénégal, ndlr) pour le croire !
Et quelles furent les arrière-pensées des instigateurs de la photo du cadavre du petit Aylan, prise sur une plage de Bodrum en Turquie, au printemps 2015, anticipant un tsunami d’immigrés déferlant en Europe ?
-
Corruption des élus : L’action Française dénonce « Vos fraudes sont nos impôts ! »
-
L'hypocrisie du Syndicat de la Magistrature
Le Syndicat de la Magistrature a dénoncé hier :
"Les manœuvres de déstabilisation de la justice, elles, ne connaissent pas de trêve ! La version polie parle de « retenue » ou de « pause » tandis que la version outrancière recycle, dans un discours plaqué, le « gouvernement des juges », les « cabales d’Etat » et fantasme les atteintes à la séparation des pouvoirs. Ceux qui les invoquent se croient autorisés à détourner à leur profit les principes démocratiques, non sans les dégrader sévèrement.
Rétifs à l’égalité devant la loi, certains membres de la classe politique prétendent se construire une immunité pénale et c’est par l’intimidation qu’ils veulent l’imposer. Que l’autorité judiciaire ose faire son travail, enquêter sur les infractions à la loi pénale qui lui ont été dénoncées, constitue pour eux un crime de lèse-candidat.
Au mépris affiché pour la justice viennent de s’ajouter des menaces édifiantes : après avoir refusé de se rendre à sa convocation, Marine Le Pen promet, si elle accédait au pouvoir, de demander des comptes aux policiers et aux juges en guise de représailles.
En démocratie, la loi est la même pour tous et l’autorité judiciaire est chargée de son application, en toute indépendance, dans le respect des règles procédurales et des droits de la défense. N’en déplaise à certains, la séparation des pouvoirs n’est pas l’impunité organisée au profit des élus et de ceux qui aspirent à l’être.
Ces attaques délétères contre la justice et la démocratie doivent cesser : il est grand temps que la retenue change de camp."
Sic. En matière de retenue, le Syndicat de la Magistrature a sans doute oublié son « mur des cons », sur lequel sont affichées, dans le local du SM, les photos de diverses personnalités publiques - hommes politiques, intellectuels ou journalistes, majoritairement de droite - de hauts magistrats ou de syndicalistes policiers. On y trouve également des photos de divers parents de victimes, dont le père d'Anne-Lorraine Schmitt, violée et tuée par un récidiviste. Le 17 février 2014, la présidente du Syndicat de la magistrature, Françoise Martres, est mise en examen pour injures publiques. En septembre 2015, elle est renvoyée devant la justice pour « injures publiques ». Elle se pourvoit en cassation contre cette décision. Le 29 novembre 2016, la Cour de cassation rejette son pourvoi.
-
Politique et éco n°124 avec Yves-Marie Adeline - France : la guerre intérieure aura-t-elle lieu ?
-
Patriotes contre mondialistes
L’opposition traditionnelle entre droite et gauche est-elle obsolète ? Elle semble aujourd’hui faire place à une confrontation entre patriotes et mondialistes, symbolisée par l’affrontement entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron.
Emmanuel Berl considérait jadis l'opposition politique entre droite et gauche comme « la distinction de beaucoup la plus vivifiante pour la masse de l'électorat français ». Alain de Benoist, dans son livre Le Moment populiste, estime qu'aujourd'hui, cette contradiction est « en passe de perdre une grande partie de sa signification ». Or, les deux personnalités que les sondages placent en tête au premier tour de l'élection présidentielle, Marine Le Pen et Emmanuel Macron, partagent tous deux cette analyse.
En 2014, la candidate Front national avait déjà annoncé « la fin de la bipolarisation de la vie politique », à laquelle elle considère, comme elle l’a dit le 9 février sur France 2, que s'est substituée la confrontation entre patriotes et mondialistes.
En avril 2016, Emmanuel Macron avait lui aussi récusé cette fracture gauche-droite, en pratiquant le double discours qui le caractérise : « Je suis de gauche, j'assume d'où je viens. Mais je veux fonder une offre politique progressiste, car le vrai clivage aujourd'hui, il est entre les progressistes et les conservateurs, plus qu'entre la gauche et la droite. (...) Ce n'est donc pas "ni droite, ni gauche" mais et "droite, et gauche" car nous devons rassembler toutes les bonnes volontés autour d'un projet commun. »
« En marche ! », donc, vers ce mystérieux projet, qui pour l'instant ne contient rien de précis, hormis les ambitions d'Emmanuel Macron. Trader impénitent, celui que les instituts de sondage placent en deuxième position au premier tour de la présidentielle vend des mots qui n'ont pas plus de réalité que l'économie irréelle qui a fait sa fortune. Ainsi, lorsqu'il déclare, le 14 février lors d'un déplacement en Algérie, que sa colonisation fut un « crime contre l'humanité » : curieux « crime », en vérité, dont il avouait pourtant en novembre dernier qu'il avait permis « l'émergence d'un État, de richesses, de classes moyennes... ». Mais le banquier en attend un retour sur investissement que ne dirait-on pas pour « draguer » les électeurs français d'origine immigrée, fut-ce au risque de jeter de l'huile sur les feux allumés au même moment dans les banlieues ? Le même motif explique les propos qu'il a tenus le 4 février lors d'une réunion publique à Lyon « Il n'y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse. » On aurait cru entendre l'ancien ministre de l'identité nationale de Nicolas Sarkozy, Eric Besson, en 2010 à La Courneuve.
Des mots contre les maux
Macron a des intérêts, pas de convictions. Avec le même aplomb, il fait semblant de regretter - lui que soutient Pierre Berger ! - qu'une partie de la France ait été humiliée lors du vote de la loi Taubira sur le pseudo « mariage pour tous » affirme, au Puy du fou, n'être pas socialiste, après avoir été secrétaire général de l'Elysée et ministre sous Hollande ou tente-t-il, lors des fêtes de Jeanne d'Arc à Orléans, de récupérer la Pucelle - ce qui ne l'empêche pas, le 10 janvier, de prononcer un discours en anglais à Berlin, en plaidant devant un public allemand pour un « Schenghen renforcé ».
Macron ressemble en réalité à Cauchon plutôt qu'à Jeanne... Il n'existe que par ce qu'il représente et qui le porte le mondialisme et les puissances d'argent qui ont partie liée avec le mondialisme, dont le gérant associé de la banque Rothschild est le féal. À cet égard, il est symbolique et significatif qu'il ait fait appel, pour animer sa campagne présidentielle, à Bernard Mourad, ancien de la banque d'affaires Morgan Stanley et proche collaborateur de l'affairiste franco-maroco-israélien Patrick Drahi. Macron est le candidat de la haute finance internationale, libre-échangiste favorable au CETA (cet équivalent canadien du calamiteux TAFTA), partisan de l'immigration et de la politique d'ouverture aux migrants d'Angela Merkel pour des raisons d’ « opportunité économique », dût-on l'imposer au peuple français « Ce n'est pas un sujet sur lequel on doit gouverner aux sondages », déclare-t-il en septembre 2015, lors d'une visite en Israël. « L'histoire a montré que quand on suit parfois la volonté des peuples, surtout dans des moments difficiles, on se trompe. »
Marine Le Pen voit juste, la présidentielle de 2017 n'oppose pas tant la droite à la gauche que les patriotes aux mondialistes. Mais comme le système financier dont il est le produit, Macron ressemble à la statue du songe de Nabuchodonosor cet homme d'argent a une tête d'or, mais des pieds d'argile.
Hervé Bizien monde&vie 23 février 2017
-
La Manif Pour Tous humiliée : le coup de gueule de Ludo
-
Marine Le Pen remporterait la Présidence au second tour selon un dernier sondage – Les VRAIS chiffres dévoilés
Si les élections présidentielles du second tour avaient lieu aujourd’hui, Marine Le Pen serait élue Présidente de la République! Le sondage Kantar Sofres Onepoint, en dépit de l’habile manipulation des chiffres du Figaro aujourd’hui lundi, révèle donc une montée fulgurante de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle, qui lui ouvre tous les espoirs à deux mois du scrutin définitif. Et cela en dépit d’une campagne médiatico-judiciaire hystérique! Mais examinons les chiffres du sondeur, habillement maquillés dans l’article du Figaro publié ce jour:
Le Figaro, entièrement gagné à la gauche caviar et immigrationniste en faveur de Macron, titre pompeusement aujourd’hui: « Sondage : Le Pen et Macron en tête au premier tour de la présidentielle, Fillon distancé ». De la pure manipulation de chiffres!
Examinons LES RÉSULTATS RÉELS de ce sondage, publiés par l’institut de sondage lui-même:
Premier schéma: quelque soit le cas de figure: Macron ou Fillon, la candidate souverainiste augmente spectaculairement son score au deuxième tour :
Ainsi que le montre ce schéma du sondeur, Marine atteindrait 45% des voix (+ 7 points) contre 55% à Fillon (-5%), se rapprochant encore un peu plus de la barre des 50%. Et elle atteindrait le score de 42% (+ 7 points) face à Macron 58% (-7 points). Mais ces chiffres sont encore sous-estimés pour Marine Le Pen, ainsi que le révèle plus bas le deuxième schéma.
Parce que, d’une part, Macron n’a que peu de chances d’être au second tour face à Marine
Le Figaro, comme tous les médias mainstream sous influence, aimerait bien que Marine se retrouve face à Macron parce que celui-ci, au second tour, serait, selon eux, davantage susceptible de lui faire barrage! ILLUSION! En réalité suivant ce sondage, Macron n’a que peu de chances de se retrouver au second tour face à Marine Le Pen.
Second schéma: Les chiffres réels de ce schéma du sondeur augmentent, en réalité, considérablement le score de Marine Le Pen. En effet 78% des sondés en faveur de Marine sont sûrs de leur choix, alors que seulement 58% des sondés en faveur de Fillon sont sûrs de leur choix et SEULEMENT 54% des sondés en faveur de Macron sont sûrs de leur choix.
Observez bien le schéma du sondeur qui révèle la réalité des chiffres!
La Baudruche Macron se dégonfle
Mais où les magouilles du Figaro sont les plus criantes c’est sur la baudruche Macron: SEULEMENT 54% des sondés sont sûr de leur choix en sa faveur, ce qui réduit considérablement le score de Macron au premier comme au second tour qu’en l’état actuel de ce sondage il a peu de chance d’atteindre. Et ce qui fait de François Fillon avec ses 58% de votes sûrs en sa faveur, le probable adversaire perdant de Marine Le Pen au second tour. Mais Fillon ou Macron, ce serait Marine qui l’emporterait selon ce sondage.
Manifestement plus personne ne croit les Journaux télévisés, ni la presse de la haute finance!
Les chiffres du sondage donnés par Le Figaro qui l’a commandé, ne précisent pas le taux de votes sûrs pour chaque candidat au second tour. Un « oubli » qui manifeste probablement de mauvais taux pour Emmanuel Macron et un bon taux pour Marine Le Pen. La sûreté des votes qui sont régulièrement autour de 80% en faveur de Marine Le Pen au second tour à travers tous les sondages, sont au contraire beaucoup plus volatiles au second tour pour Emmanuel Macron, ce qui ne ferait que renforcer encore le socle positif des électeurs en faveur de la candidate frontiste. Mais en ne nous en tenant qu’aux chiffres du premier tour, les seuls publiés par le Figaro qui se trouvent dans le schéma ci-dessus, avec 20% d’électeurs sûrs en plus, Marine Le Pen devrait aisément flirter avec les 50% nécessaires pour être élue, d’autant plus qu’un certain nombre d’électeurs volatiles de François Fillon et même d’électeurs égarés de Macron, devraient venir consolider l’électorat de Marine Le Pen.
Conclusion: Marine a toutes les chances de rentrer à l’Elysée en mai prochain!
Ainsi, n’en déplaise au Figaro, aux hyènes de l’information, et aux manigances de François Hollande avec le Syndicat de la Magistrature, si les élections présidentielles du second tour avaient lieu aujourd’hui, Marine Le Pen serait élue Présidente de la République! Ce sondage en pleine tempête judiciaro-médiatique contre Marine Le Pen révèle donc une montée fulgurante de Marine au second tour de la présidentielle qui lui ouvre tous les espoirs à deux mois du scrutin définitif.
emiliedefresne@medias-presse.info
-
Hollande, ce Mickey ! - Journal du lundi 27 février 2017