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France et politique française - Page 3156

  • Les régimes ayant tenté de se substituer aux familles portaient tous la marque du totalitarisme

    Dans son éditorial de Ouest-France, Jeanne Emmanuelle Hutin s'élève contre l'atteinte à la liberté scolaire :

    "Rappelons ce qu'elles ont vu passer en peu de temps : la théorie du genre et le militantisme d'associations tentant d'influencer les programmes scolaires ; la suppression du latin et du grec et, pour la rentrée prochaine, l'introduction de l'arabe dès les petites classes parmi les langues vivantes. [...] Ajoutons, la suppression quasi totale des classes européennes et les nouveaux programmes scolaires... Tout cela donne à beaucoup l'impression d'une marche forcée vers une société multiculturelle. Les familles le vivent d'autant plus mal que cela se fait en catimini, sans débat véritable, au fil des lois et des décrets. Mais surtout, elles s'inquiètent de voir que la conscience de leurs enfants est le lieu de cette bataille. Or, l'État se doit de respecter les consciences. Il ne peut instrumentaliser l'Éducation pour les orienter.

    Alors comment s'étonner que le projet de soumettre l'ouverture d'écoles hors-contrat à une autorisation de l'État ne provoque la levée de bouclier de ceux qui sont attachés à la liberté des familles de choisir le mode d'éducation de leurs enfants ? Le motif invoqué de cette réforme est la lutte contre la radicalisation. Si elle est nécessaire, elle ne peut se faire à « n'importe quel prix et certainement pas à celui de la liberté d'enseignement. Le système actuel de déclaration, pleinement appliqué, et si besoin renforcé, répond d'ores et déjà aux exigences légitimes de contrôle par l'État. Il n'y a donc pas lieu de réformer dans l'empressement et par un biais inapproprié des questions aussi importantes », écrivait le cardinal Jean-Pierre Ricard, président du Conseil pour l'enseignement catholique. 

    «C'est une atteinte fondamentale à la liberté constitutionnelle d'enseigner », écrivait Guillaume Drago, professeur de droit à Assas. C'est aussi une perte pour le pays. Car, de Montessori à Espérance Banlieue, ces écoles proposent souvent des pédagogies alternatives qui permettent d'importantes avancées en ce domaine, rappellent des députés de l'Ouest.

    Qu'adviendra-t-il ? Plus l'État semblera prendre, à travers l'école, le monopole de la formation des jeunes consciences, plus les familles iront ailleurs. Leur liberté n'est-elle pas de transmettre à leurs enfants les repères pour se conduire et avancer dans la vie ? Les régimes ayant tenté de se substituer aux familles portaient tous la marque du totalitarisme non de la Démocratie. Il faut donc faire preuve de discernement pour résoudre les problèmes d'aujourd'hui sans empiéter sur laliberté des familles."

    Michel Janva

  • FCPE : Fédération communiste des parents d’élèves ?

    La FCPE a fait le choix de publier une brève sur la Fête de l’Humanité !
    La FCPE (Fédération des conseils de parents d’élèves) est la principale fédération de parents de l’enseignement public. Elle se présente comme apolitique, comme ce devrait en effet être le cas d’une fédération de parents d’élèves.

    Pourtant, dans le dernier numéro de La Revue des parents (n° 406, juin 2016), on trouve à la page 31 un article promotionnel pour la Fête de l’Humanité, le quotidien du Parti communiste.

    Un lecteur qui s’en étonnait s’est vu adresser la réponse suivante :

    "La FCPE a fait le choix de publier une brève sur la Fête de l’Humanité, car celle-ci a notamment pour objectif de sauver le journal qui est aujourd’hui en péril.
    De par les valeurs humanistes et progressistes qu’elle défend depuis sa création – solidarité, égalité, vivre ensemble et engagement collectif –, la FCPE ne peut qu’apporter son soutien au journal l’Humanité, dont la survie est aujourd’hui menacée par sa volonté de préserver coûte que coûte son indépendance financière. Un combat à saluer et évidemment nécessaire pour le pluralisme de la presse française.
    L’Huma, qui se fait l’écho des mouvements sociaux, citoyens, syndicaux, culturels de notre époque, est donc un précieux outil pour que nos enfants soient les citoyens libres et éclairés de demain. »

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  • Le PS annule son université d’été devant « les risques de violences »

    Elle devait se tenir fin août à Nantes. Mais le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis craint des actions violentes de la part des militants d’extrême-gauche, très mobilisés en Bretagne.

    http://www.contre-info.com/le-ps-annule-son-universite-dete-devant-les-risques-de-violences#more-42368

  • Une université d’été pour les jeunes patriotes !

     

    La formation est essentielle pour comprendre le monde qui nous entoure. Et il est difficile et périlleux de se la procurer soi-même.

    Or, le mouvement Renouveau français (une organisation politique sérieuse, avec d’excellentes idées) propose sa traditionnelle Université d’été (où règnent moralité et bonne ambiance), qui pourra légitimement intéresser certains de nos jeunes lecteurs (ou des lecteurs connaissant des jeunes) :

    visuudt2016

    « Le programme sera riche et des personnalités qualifiées interviendront (auteurs, conférenciers, etc., tels que Marion Sigaut, Thibaut de Chassey…). Participation de délégations étrangères. »

    Une bonne occasion de franchir le cap du virtuel, de rencontrer d’autres jeunes partageant les mêmes aspirations, et de profiter d’une formation politique et historique de qualité !

    Détails en cliquant ici.

    http://www.contre-info.com/

  • De César à Trump : petite histoire du «populisme»

    Après le Brexit, les mots «peuple», «populisme» et «référendum» font florès. Retour avec l'historien Christophe de Voogd sur ces mots polysémiques et souvent paradoxaux.
    Docteur en Histoire, ancien élève de l'École normale supérieure, Christophe de Voogd enseigne à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris et collabore au blog de la Fondapol: Trop libre.
     Depuis le référendum britannique sur le Brexit, le mot peuple est dans toutes les bouches. Certains le prononcent avec mépris tandis que d'autres s'en revendiquent. Mais au fond, qu'est-ce que «le peuple»?
    Vaste sujet et vaste débat qui occupe la pensée politique depuis la «démo-cratie» athénienne! Impossible donc ici de donner du «peuple» une définition consensuelle. Mais on peut relever trois usages principaux du mot: son sens sociologique, désignant les classes les moins fortunées de la société, la moitié de la population qui se situe en dessous du revenu médian pour prendre un critère simple. Ensuite son sens dans la philosophique politique: l'ensemble des citoyens en tant qu'impliqués dans l'exercice du pouvoir (démocratie antique) ou dans sa source (démocratie moderne). Un troisième sens, médiatique celui-là, semble se dessiner avec l'équivalence croissante peuple/opinion publique. Dernier usage enfin: dans le débat public lui-même où le «peuple» est invoqué comme ressource politique par de nombreux acteurs. C'est ce que j'appellerai l'usage polémique du mot qui remonte sans doute en France à la dialectique de Sieyès du Tiers-Etat contre les ordres «privilégiés», qui hante toutes les grandes crises de notre histoire et qui bat à nouveau son plein de nos jours. Polémique d'autant plus furieuse et confuse que justement l'on ne parle pas du même «peuple», et à dessein: voyez comment le gouvernement et la CGT s'écharpent sur la «démocratie» dont ils prétendent être l'un et l'autre le champion. 

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  • Grandes manœuvres pour grande mosquée

    Depuis la fin de l’année 2015, si riche en assassinats perpétrés, sur le sol français, par des musulmans à l’encontre de citoyens français, le gouvernement algérien, par son ministre des Affaires religieuses, réclame la pleine souveraineté sur la grande mosquée de Paris qu’il subventionne puissamment.
    À ce titre, on peut imaginer que les Saoudiens, Qataris, turcs et autres évergètes exotiques, vont prochainement réclamer leur « livre de chair », en l’occurrence la souveraineté sur les mosquées dont ils financent l’érection et le fonctionnement. Ce qui fait un plaisant contraste avec la propriété des églises et cathédrales françaises, que l’État français a nationalisées par la Loi de juillet-décembre 1905, faisant du même coup de la France un pays « neutre » au plan des religions et des cultes.
    Il est peu probable que nos dévoués politiciens, encore maîtres de l’État durant quelques mois, fassent voter une loi sur un sujet aussi explosif, avant d’importantes échéances électorales, même si le parti qui a (encore) les apparences du Pouvoir semble très désireux de recevoir des dons d’émirs et de roitelets généreux en pétrodollars… encore qu’avec ces gens-là, il ne faille pas toujours se fier au simple bon sens.
    Il peut donc paraître utile de rappeler au Peuple souverain l’article 53 du Titre VI de la Constitution de la Ve République, en date du 4 octobre 1958, un article ni révoqué ni amendé depuis lors. Le Titre VI est intitulé : Des traités et accords internationaux. L’art. 53 stipule : « Les accords relatifs à l’organisation internationale… qui comportent cession… de territoire ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi… Nulle cession n’est valable sans le consentement des populations intéressées ».
    En clair, le gouvernement est obligé de demander 1 : l’avis du Parlement, pour l’établissement d’une loi 2 : le consentement de la population… et l’on se moque absolument de celui des musulmans en tant que tels, étant donné que l’État est NEUTRE en matière de culte. C’est donc l’avis du PEUPLE SOUVERAIN en sa totalité que nos brillants maîtres doivent solliciter et seul le peuple souverain peut accorder ou refuser cette cession d’une partie du territoire national.
    En outre, quel est l’individu assez niais pour ne pas comprendre qu’une fois devenues aussi inviolables qu’une ambassade, les mosquées de souveraineté algérienne, tunisienne, marocaine, saoudienne, qatari, turque etc… deviendront non seulement des asiles pour terroristes et criminels de la Oumma, mais aussi des centres d’endoctrinement et de formation à la guerre civile… déjà, des mosquées corses servent de salles de sports de combat.
    Une grave question se pose : jusqu’où allons-nous descendre dans l’abjection et le reniement de nos valeurs et de notre histoire ?

    Docteur Bernard Plouvier Synthese Nationale :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyZVFpkylzDPrsdrZ.shtml

  • Du carton plein d’Orlando à la loi Travail : Michel Foucault présent ! par Thierry DUROLLE

    À la fin des années soixante et au début des années soixante-dix, la désormais célèbre « Nouvelle Droite » se postait en première ligne du combat des idées. Ses animateurs avaient compris toute l’importance d’un tel combat mais surtout le fruit de ses victoires. En effet, le camp d’en face qui avait, comme souvent à l’époque, un coup d’avance, comptait une pléthore de penseurs et théoriciens ayant pignon sur rue.« Putain » de Saint Foucault. Archéologie d’un fétiche de François Bousquet, rédacteur en chef-adjoint de la revue Éléments, dans une démarche quasi-« zemourienne » de « déconstruire les déconstructeurs » s’attaque à l’un des penseurs les plus représentatifs de la gauche libérale-libertaire en la personne de Michel Foucault.

    L’influence de Michel Foucault est considérable bien qu’elle s’exerce principalement dans le domaine du sociétal : comment ne pas penser au lobby LGBT, à la théorie du genre ou à la défense des minorités lorsque l’on parle du chef de file de la « French Theory » ? On ne sait plus si Foucault et son œuvre sont le reflet de la société actuelle ou si c’est la société actuelle qui est le reflet de l’homme et son œuvre. Ce dernier est sujet à une véritable fascination de la part de certains : un « putain » de saint pour les uns, un « putain » de damné pour les autres, à commencer par l’intéressé lui-même… Instable, changeant, toujours sur la brèche, l’homme fut comme au centre d’un vortex à l’allure de chaos primordial : « Le sens flotte sans accrocher au réel, victime de sa propre entropie. Cela s’appelle le chaos. Le jeune Foucault y succomba. » Dans son esprit tout est chamboulé, tout est renversé, inversé; la seule norme c’est l’anomie, serait-on tenté de croire. « Au moment où l’ethnologie allait chercher aux antipodes de l’Autre de la rationalité occidentale, lui le découvrait dans les asiles et les maisons d’arrêt. L’Autre, le Tout Autre, l’altérité radicale – le rebut de la société, dans lequel il célébrait le retour du refoulé dionysiaque. » Cet univers où se mêle surveillance et punition, est « de l’ordre de la névrose obsessionnelle » chez Foucault. Son leitmotiv ? « Jouir sans entraves mais le corps entravé » comme le formule si bien François Bousquet.

    L’auteur de Surveiller et Punir effectua par la suite un virage néo-libéral, « sujet si sensible qu’elle donnera naissance, après sa mort, à un courant négationniste parmi ses disciples ». Ce tournant néo-libéral coïncide chez Foucault avec sa période « américaine » où il écumera les bars queer de San Francisco. Émerveillé par le pays de l’Oncle Sam, « un Nouveau Monde qui ne brûle plus ses sorcières, mais les transforme en stars hollywoodiennes ». Son évolution est en réalité somme toute logique : la détestation des limites est l’axiome indépassable du libéralisme, qu’il soit économique ou sociétale. Les limites, « il les détruit toutes, au rouleau compresseur de la dérégulation, inexorablement. Peu importe qu’elle affranchisse les plus riches de leurs obligations ». Ainsi  éprouve-t-il « une phobie pour le Léviathan étatique ». En fin de compte le libéralisme pour Foucault « se présente comme le plus prometteur des chantiers : terra incognitaexpérimentale et bouillon de culture hostile à tout encadrement, toute restriction, tout principe de précaution »; il lui offre sur un plateau d’argent « une promesse d’atomisation sociale, d’insécurité culturelle, de désordre. Entropie et chaos – il ne pouvait rêver mieux. Foucault retrouve dans ce système et ces vertus de “ destruction créatrice ” schumpétérienne l’équivalent économique du travail de destruction-déconstruction qu’il mène dans le champ philosophique. Un mélange détonnant débridée, de déconstructionnisme échevelé et de constructivisme forcené ».

    Comprendre l’œuvre de Foucault constituera une aide précieuse lorsqu’il faudra opérer à l’autopsie du monde dans lequel nous vivons. Nous pouvons cependant observer les dégâts qu’elle a déjà provoqués, mais aussi les levées de boucliers salutaires. Ce pamphlet est un pavé de plus balancé à la gueule des rejetons de Foucault, mais un pavé en marbre de luxe, taillé avec précision, aérodynamique et qui ne manque pas sa cible. François Bousquet, nous le savions déjà, est quelqu’un de grand talent; son style est un véritable régale. Il n’est ni  prétentieux, ni timide mais toujours limpide, concis, et subtil. Une prose d’escrimeur. On se régale certes, mais on apprend aussi beaucoup de choses sur cet homme complexe que fut Michel Foucault. « Putain » de Saint Foucault. Archéologie d’un fétiche est aussi efficace qu’un AR-15, plus facile à dissimuler en boîte de nuit et tout aussi puissant, voire plus !

    Thierry Durolle

    • François Bousquet, « Putain » de Saint Foucault. Archéologie d’un fétiche, Éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2016, 105 p., 15 €.

    http://www.europemaxima.com/

  • Le GUD refait surface sur la toile...

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    Le Groupe Union Défense (syndicat des étudiants nationalistes) vient de lancer son nouveau site d'information. Un site bien fait et respectueux de l'esthétisme maison... Vous pouvez le consulter en cliquant ici.

     

  • Lundi 4 juillet, contre la célébration du Ramadan à la Mairie de Paris : RASSEMBLEMENT A 19 H AU TROCADERO

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    En savoir plus cliquez ici

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/