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France et politique française - Page 3158

  • Nouvelle dégradation de l’accès aux soins médicaux pour les Français

    FRANCE (NOVOpress avecle Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Alors que fin 2010, un sondage montrait qu’un tiers des Français avaient durablement renoncé à se soigner, la dernière étude de l’UFC‑Que choisir, intitulée La fracture sanitaire s’aggrave, montre une nouvelle dégradation, « spectaculaire » note l’association, des conditions sanitaires de nos compatriotes.Jusqu’à 20 millions d’entre eux vivent actuellement dans des territoires où l’offre libérale de soins est insuffisante, principalement dans les zones rurales.

    Préoccupante pour les généralistes, la situation est carrément critique en ce qui concerne les spécialistes. Aux problèmes liés à l’éloignement géographique, s’ajoutent en effet pour ces derniers celui des dépassements d’honoraires. L’offre au tarif de la Sécurité sociale est actuellement très insuffisante pour couvrir les besoins, souligne UFC‑Que Choisir.

    « Entre 2012 et 2016, l’accès géographique aux médecins généralistes (à moins de 30 minutes du domicile) s’est dégradé pour plus du quart de la population. Pire, l’accès aux médecins spécialistes a diminué pour 38 % des Français en ce qui concerne les ophtalmologistes, 40 % pour les pédiatres et même 59 % de la population pour l’accès aux gynécologues. La situation est encore plus alarmante pour les spécialistes au tarif de la sécurité sociale, dont l’offre a reculé pour plus de la moitié des usagers, quelle que soit la spécialité étudiée. »

    L’UFC-Que Choisir ajoute :

    « Selon les spécialités, ce sont entre 14,6 millions (pour les généralistes) et 21,1 millions (pour les pédiatres) d’usagers qui vivent dans un territoire où l’offre de soins libérale est notoirement insuffisante, principalement dans les zones rurales et montagneuses. Mais à ces déserts médicaux des champs, il faut ajouter les déserts médicaux des villes, qui eux sont financiers. Car lorsque l’on cherche à se soigner sans dépassement d’honoraires, c’est plus de 8 Français sur 10 qui n’ont pas suffisamment d’ophtalmologistes ou de gynécologues autour de chez eux ! »

    Le gouvernement socialiste préfère dépenser un milliard d’euros pour l’Aide Médicale d’Etat, réservée aux clandestins, plutôt que de venir en aide à la France périphérique.

    http://fr.novopress.info/

  • Regard sur l'actu #29 : L'échec des zadistes à Notre-Dame-des-Landes

    Dimanche soir le verdict tombait : 55% des électeurs de Loire-Atlantique se déclaraient favorables au nouvel aéroport de NDDL. Ce résultat qui peut sembler surprenant, traduit l'autisme des d'activistes qui se sont emparés du sujet.

    Un référendum, pourquoi faire ?

    Le recours au référendum local a paru être la seule solution pour en terminer avec ce conflit de territoire autour d'un grand projet d'aménagement. L'expression populaire sert ici de caution aux actions des politiques qui défendent le projet en coopération avec Vinci. Mais les « zadistes » qui occupent le site contestent la légitimité de ce referendum. D'une certaine manière, ils sont pris à leur propre piège, eux qui réclament souvent une démocratie directe et une démocratie plus locale, découvrent que le recours au referendum n'est pas la panacée. Avec le Brexit, le referendum est paré de toutes les vertus, alors qu'à NDDL, il devient suspect de toutes les tares.

    Avec NDDL, ce résultat permettra à Manuel Valls que de demander aux zadistes de respecter l'expression populaire. Ce qui n'empêchera aucune association d'introduire un énième recours pour s'opposer au projet. Quitte à agacer encore plus les habitants... Mais ce résultat peut tout de même poser question, car si l'aéroport est un projet local, il est bel et bien destiné au rayonnement global de l'aire urbaine nantaise. Il y a donc une contradiction apparente à demander en local si on est d'accord avec un projet global qui aura aussi un impact sur le territoire français dans son ensemble et sur le trafic aérien international. Partant de là, on est bien dans le « glocal », cette tendance à passer du global au local en faisant fi des échelles intermédiaires. Et qu'est-ce que le « local » quant on voit des hordes d'étudiants débouler des facs vétustes des grandes métropoles pour se confronter à des riverains qui ont une approche différente de la situation ? Si à NDDL les riverains semblent hostiles à l'aéroport (en raison des nuisances, le fameux NIMBY), à Sivens, les agriculteurs locaux étaient pour beaucoup favorables au projet de barrage. Conflits et montée aux extrêmes...

    Les zadistes, coupés du monde

    « Quiconque se met à fréquenter les milieux radicaux s’étonne d’abord du hiatus qui règne entre leurs discours et leurs pratiques, entre leurs ambitions et leur isolement. Ils semblent comme voués à une sorte d’auto-sabordage permanent. On ne tarde pas à comprendre qu’ils ne sont pas occupés à construire une réelle force révolutionnaire, mais à entretenir une course à la radicalité qui se suffit à elle-même – et qui se livre indifféremment sur le terrain de l’action directe, du féminisme ou de l’écologie. »

    Comité Invisible, A nos amis, pp. 144-145

    Cet extrait de l'opuscule A nos amis résume en grande partie ce dont il est question. Alors que les ZAD réunissaient à l'origine paysans, associatifs, étudiants et radicaux, elles se sont progressivement resserrées autour d'une poignée de radicaux parmi les radicaux faisant la chasse à tout ce qui n'est pas suffisamment comme eux et s'opposant frontalement à certains riverains. Les ZAD ont aussi servies d'abris à un grand nombre de marginaux et de pseudo-anarchistes et n'ont pas sues apparaître pour ce qu'elles devaient être : des espaces d'autonomie populaire pour tous les citoyens. Des espaces d'échange, de débat et d'autogestion a-politique. Car partout la seule préoccupation demeure l'intransigeance. Dans cette folle montée aux extrêmes avec les autorités, personne n'est sorti gagnant, ni les zadistes, ni les riverains, ni les autorités. A Sivens, cela aura coûté la vie à Rémy Fraisse.

    Le refus de la jonction

    Parmi les stratégies perdantes, une nous semble évidemment importante car elle a concernée directement certains de nos camarades : le refus de recevoir des militants sincères des milieux catholiques, identitaires et souverainistes. Militants LMPT chassés, militants du MAS dénoncés, FN considéré comme illégitime à parler d'écologie, le zadiste aura refoulé toutes les tentatives de jonction, perçues comme de l'infiltration ou de la récupération, et aura voulu garder pour lui sa petite lutte égotique pour l'écologie telle qu'il l'imagine. Pourtant le seul moyen de vaincre était sur un combat ponctuel d'accepter tout le monde. Les militants classés par le système à « l'extrême-droite » n'étaient pas venus à NDDL ou à Sivens pour parler immigration ou islamisation, mais pour parler décroissance, relocalisation, territoire, économie solidaire, microcrédit, etc... Le rejet de toute forme de discussion sous prétexte qu'il y a des gens « avec qui on ne discute pas » est un des éléments clef de l'échec des zadistes.

    Le FN par exemple s'est positionné contre l'aéroport de NDDL, une position qui vient d'un travail de fond et d'une véritable révolution en terme de paradigme pour le mouvement. Révolution attestée par le travail des députés européens qui combattent contre les lobbies (Monsanto), contre le Traité transatlantique, pour la défense des abeilles ou même contre les baleiniers japonais. Le FN aurait pu être une arme dans ce combat et la victoire au referendum serait passée par la mobilisation de ses électeurs, peu enclin à se déplacer habituellement sur ce type de sujet.

    L'ultra-gauche ou la religion en politique

    Ce qui manque à l'ultra-gauche c'est une dose de machiavélisme. En raisonnant « politique » on accepte certains compromis, mais si on raisonne « religion » et qu'on fait de la doctrine un dogme, alors on court au désastre. Il n'y a que chez eux qu'on écrit des livres pour savoir si on doit dialoguer avec « l'ennemi » ... Le militant d'ultra-gauche est un véritable ayatollah de la doctrine embourbé dans des mythes sclérosants comme « le soulèvement populaire », « la grève générale » ou le non moins célèbre « antifascisme ».

    Alors que la ZAD esquisse un retour au réel et une réflexion en phase avec l'actualité, dans la pratique, le militant agit toujours selon des paradigmes datés (exactement comme dans l'ultra-droite, d'ailleurs). En effet les conflits pour le territoire obligent à réviser totalement la vulgate marxiste, car les combats territoriaux sont par définition interclassistes. La colère populaire (et populiste) est aujourd'hui celle des classes moyennes en voie de paupérisation. Dans sa recherche fantasmée d'un néo-prolétariat métissé, l'ultra-gauche passe totalement à coté des réalités sociologiques et géographiques de l'Occident. Pire encore, comme à Calais où les No Borders sont détestés par une population souvent frappée par un chômage endémique et qui se sent abandonnée par les autorités, elle devient une arme des forces capitalistes et même, parfois, des mouvements islamistes (comme l'illustre certaines unions incestueuses au prétexte de la lutte pour la Palestine ou contre « l'exclusion » dans les banlieues). L'influence de l'ultra-gauche états-unienne des années soixante qui a transféré la lutte des classes du terrain économique vers le terrain de la société (contre l'homme hétérosexuel blanc) n'y est pas pour rien (on songera au combat pour les minorités ethniques, à un certain féminisme, au gender, …). L'ultra-gauche a été intégralement digérée par la post-modernité et même son écologie est post-moderne. C'est à dire qu'elle a tenté de déconstruire une vision de la nature forgée par la pensée occidentale depuis l'Antiquité pour faire de la nature une sorte de nouvel absolu. Mais poussé à son paroxysme, cette optique conduit paradoxalement à envisager une nature qui n' a plus rien de naturel, une nature fantasmée, hors-sol, globale, qui n'a précisément plus rien de naturel, c'est à dire qu'on évacue certaines dimensions propre à la nature comme la hiérarchie, la prédation ou le territoire au profit d'une prétendue coopération entre espèces qui est précisément une manifestation de l'anthropomorphisme et de l'anthropisation du monde. C'est ce qui donne entre autre l'antispécisme et le végétalisme (ou veganisme) et certaines délires New Age.

    Une écologie authentiquement citoyenne

    Une écologie authentiquement citoyenne est une écologie qu'on ne laisse surtout pas aux militants de l'écologie politique ou aux militants tout court. Parmi les principaux succès de l'écologie citoyenne, il y a évidemment certaines associations locales véritablement apolitiques ou les initiatives économiques de petits producteurs (AMAP, coopératives, magasins de producteurs). Cela nous amène à revoir ce qu'est le citoyen. Le citoyen est un acteur du territoire qui possède des droits et des devoirs. Jusque là, c'est assez simple. Le citoyen est l'antithèse du militant, car le citoyen est acteur d'une communauté humaine réelle là où le militant n'en constitue qu'une portion sur des critères essentiellement idéologiques et constituant progressivement une tribu avec ses codes incompréhensibles. Or la Cité n'est pas une idéologie au sens moderne, c'est une façon d'être au monde qui est incarnée et transmise et non diffusée par une quelconque propagande. Là où le citoyen agit, le militant spécule. Les militants ne sont, sauf cas exceptionnel, jamais des acteurs de leur territoire. La plupart des zadistes de Sivens étaient des étudiants toulousains qui au lieu d'organiser un système de distribution de panier de producteurs dans leur baraquement étudiant ce sont piqués d'aller jouer à la révolution au fin fond du Tarn. Or aucune lutte ne peut réellement être déconnectée du lieu où on habite, c'est ce qu'illustrent les blocages. Et comme le militant est surtout bon pour spéculer, il doit trouver les outils adaptés pour faire passer ses idées, et non son idéologie, vers le citoyen, qui lui agit. A NDDL, le combat consistait à faire prendre conscience à la population, comme dans le cas des LGV, que l'aéroport était inutile, qu'il y aurait des nuisances multiples, que cela n'aurait pas les effets économiques attendus, etc... Il fallait parler de tout sauf d'idéologie et ne surtout pas agir comme un bande de marginaux gauchistes.

    NDDL traduit donc la faillite complète de l'ultra-gauche militante qui aura entraînée dans sa chute une lutte légitime contre un grand projet inutile. Le gouvernement a bien compris qu'il pouvait manipuler autant que possible l'ultra-gauche pour faire capoter toutes les luttes sociales et écologiques. Il faut rendre le combat pour les territoires aux acteurs du territoire, les citoyens. Car ils sont les seuls à pouvoir agir légitimement sur leur lieu de vie. Le révolutionnaire doit entrer en synergie avec les citoyens et incarner avec eux la lutte tout en aidant à lui donner une forme. Tout le contraire des gauchistes, en somme.

    Jean / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2016/06/30/regard-sur-l-actu-29-l-echec-des-zadistes-a-nddl-5820328.html

  • Immigration, la catastrophe. Que faire ? (1/3) Le choc des faits

  • Rama Yade : cachons ces « Français de souche » que nous ne saurions voir

    N’en déplaise à Rama Yade, et peut-être à son époux, les Français dits de souche existent.

    Rama Yade, candidate surprise à la présidence de la République, est représentée par un superbe dessin en couverture du dernier numéro du magazine Charles, sous-titré Racisme et Politique. En exergue, une citation de l’ancien secrétaire d’État des Affaires étrangères et des Droits de l’homme du deuxième gouvernement de François Fillon :« Les Français de souche n’existent pas. »
     
    Certes, Rama Yade est coutumière des approximations, des déclarations à l’emporte-pièce et des anachronismes. Mais il fallait tout de même oser affirmer pareille sottise. Un peu comme s’il me prenait subitement l’envie de déclarer que la France n’était qu’un énième « hoax de l’extrême droite », que Charles de Gaulle avait été inventé par l’imagination fertile de ces esprits paranoïaques qui propagent des théories complotistes ou que Rama Yade provenait d’une souche enracinée en Aveyron depuis le XIe siècle après Jésus-Christ. J’aurais tort, et on me le ferait remarquer.
     
    Pour justifier son assertion, Rama Yade brode une argumentation assez perverse jouant sur deux tableaux : le registre victimaire habituel et un républicanisme abstrait aussi insipide que bourré de clichés. Elle affirme notamment qu’il « n’y a pas de droit du sang » en France, ce qui est parfaitement inexact.

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  • I-MEDIA S03E22 Brexit sectarisme des journalistes

  • La république du mensonge statistique

    Nous avons tous ouï-dire que l'Ancien Régime était tombé du fait de son incapacité à équilibrer la dépense publique. Certains croient même pouvoir écrire tel un Piketty que la révolution de 1789 aurait institué d'un coup de baguette magique, un impôt juste, équitable et rationnel. La création à jet continu ces dernières années de fiscalités innovantes et discrètes prouve d'ailleurs de ce point de vue qu'on n'arrêtera jamais le progrès.

    Le leitmotiv de la propagande gouvernementale va répétant que ça va mieux. Bientôt, si quelques rayons du soleil s'enhardissent à apparaître d'ici le mois d'août le gouvernement prétendra, que, sans vouloir s'en vanter il revendique à son bénéfice le retour du beau temps tout en mettant, bien sûr les pluies diluviennes du printemps au passif de la droite et de la finance internationale.

    Voici en effet ce qu'a déclaré le président que le monde ne nous envie pas au quotidienLes Échos en date de ce 30 juin : "Il y a bien une reprise en France et un début d'inversion de la courbe du chômage. C'est un fait indiscutable."

    Souvenons-nous que cette hypothèse improbable était présentée depuis le départ comme la condition d'une candidature du président sortant. L'affirmation qu'elle se serait réalisée ne doit donc être considérée ni comme innocente ni comme fortuite. Au moment où son impopularité bat tous les records de la Cinquième république, le successeur d'Armand Fallières et d'Albert Lebrun nous annonce qu'il va se représenter en 2017.

    Et il poursuit : "Notre croissance sera supérieure à 1,6 % cette année, ce qui nous permettra de créer au moins 200 000 emplois." Certes ces chiffres optimistes, annoncés au milieu de l'année, restent inférieurs à eux de la zone euro, mais de cela il ne tire pas argument. Il se contente d'intérioriser la fameuse règle de Winston Churchill : "Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même trafiquées".

    Il concède seulement, qu'en effet, au 31 décembre, ses prévisions pourraient se trouver contrariées. Ce sera la faute des autres, bien entendu : "Le Brexit aura surtout un impact défavorable pour le Royaume-Uni et c'est par le biais d'une éventuelle récession outre-Manche qu'il peut y avoir un risque pour la zone euro et pour la France."

    Dans un article intitulé : "Exit l’Europe d’autrefois", Le Monde écrit ainsi ce 30 juin :"Pour certains, c’est une tragédie. Pour d’autres, l’opportunité de repartir sur de nouvelles bases. Le vote britannique en faveur du leave, survenu jeudi 23 juin, a fait l’effet d’un coup de tonnerre sur le Vieux Continent. Il a déjoué tous les pronostics, ceux des marchés, des bookmakers et des dirigeants européens"

    Hollande, lui, reste imperturbable, bovin. Il ne se laisse pas impressionner. Il se félicite même de l'argument électoral à venir : "si ça va moins bien que prévu (au lieu de "ça va mieux"), c'est la faute au Brexit"

    De même d'ailleurs ne s'était-il pas ému le 29 juin de la publication du rapport annuel de la Cour des comptes sur la situation et les perspectives des finances publiques.

    Il apparaît pourtant qu'au moment de l'établissement de ce rapport, 5 milliards de promesses 2016 de Hollande n'étaient pas "financées". S'y sont ajoutées cette semaine les deux dispositions tendant à financer sur fonds publics à concurrence de 0,4 milliard le tarif unique du Pass Navigo et de 0,6 milliard le surcroît de dépense résultant de la réforme régionale. Depuis, Hollande annonce, par ailleurs, une "réduction des impôts"de 2 milliards au profit des "classes moyennes". Et nous n'en sommes qu'au milieu de l'année.

    Comment ce personnage ose-t-il laisser son ministre des Finances et ancien camarade de chambrée prétendre qu'il se rapproche de la convergence monétaire qu'il fixe à 3 % de déficit ?

    http://www.insolent.fr/

  • Najat Valaud-Belkacem rallume la guerre scolaire

    Le ministre de l'Éducation dite nationale, Najat Valaud-Belkacem, rallume la guerre scolaire, en s'en prenant, cette fois, aux écoles hors contrat et à l'éducation à domicile : les établissements hors contrat devraient, dès la rentrée 2017, être soumis à un régime d'autorisation préalable d'ouverture, et non plus à un simple signalement aux autorités après ouverture ; quant à l'enseignement à domicile, il serait plus étroitement contrôlé, les parents pouvant être soumis à des contrôles écrits ou oraux de la part des rectorats.

    Pour le ministre, il s' agit officiellement d'empêcher que ces formes d'enseignement soient l'occasion d'un « repli communautaire » et favorisent la radicalisation des jeunes de religion islamique. Mais la vérité est que le gouvernement, ayant vu d'un bien mauvais œil la progression de l'éducation à domicile depuis 2014, date de l'introduction de la théorie du genre à l'école (de 19 000 enfants à 25 000 actuellement !), veut relancer le combat laïciste et reprendre en mains tous les enfants français. II s'agit donc d'une mesure éminemment liberticide que la dame ministre entend imposer par ordonnances afin d'aller vite et d'esquiver tout débat parlementaire.

    Les parents sont donc réellement agressés et dresseront sans doute une levée de boucliers qui ne manquera pas de faire du bruit. Ils ne se laisseront pas déposséder de leurs droits et de leurs devoirs concernant leurs enfants, dont ils sont, par nature, responsables devant Dieu et devant les hommes. L'on risque fort de voir réapparaître le climat irrespirable des années 1981 à 1984. La république a besoin de se retremper périodiquement dans ses sources terroristes...

    Rapt d’enfants

    Les socialistes n'ont rien appris ni rien oublié depuis le fameux plan dit Lange-vin-Wallon de 1947. Ce texte d'inspiration communiste était très clair : « Ce sont, les services dépendant du ministère de l'Éducation nationale qui ont en charge les responsabilités de l'enseignement et de l’éducation à tous les niveaux et sous tous les aspects... C'est à l'Éducation nationale qu'incombe la mission de l'éducation pour tous les enfants. »

    Voilà pourquoi la république socialo-communiste doit être considérée comme une vaste entreprise de rapt d'enfants !

    Tapis dans l'ombre et piaffant de n'être pas encore au pouvoir, les socialistes ont fortement influencé la politique scolaire sous la IVe république et au début de la V. Ils étaient déjà dans la place au ministère de la rue de Grenelle, et les ministres fantoches, prétendus de droite, ne manifestaient aucune volonté d'échapper à leur influence, si bien que la loi Debré du 31 décembre 1959, établissant un semblant de paix scolaire par le régime des contrats, s'en ressentit : Charles De Gaulle avait trop besoin du soutien de la gauche pour perpétrer son mauvais coup contre l'Algérie française...

    Mais les socialistes, sentant que le pouvoir allait un jour tomber dans leurs mains comme un fruit mûr, multipliaient alors les textes annonçant leur volonté de rallumer la guerre scolaire. Dans le Plan socialiste de l'Éducation, Louis Mexandeau, futur ministre des PTT de François Mitterrand, disait vouloir utiliser le système éducatif « pour la stratégie de rupture avec le capitalisme », afin qu'il soit « un lieu privilégié  d'apprentissage de la démocratie autogestionnaire », une « école de front de classe », un « facteur d'émancipation et de contestation » et, comme tel, « se trouvant en convergence avec la classe révolutionnaire antagoniste de la classe dirigeante, [il sera] l'un des terrains et l'un des enjeux de la lutte des classes. » Et il ajoutait : « les socialistes refusent un dualisme scolaire qui consacrerait l'installation permanente de deux systèmes parallèles et concurrents, tous deux financés par l'État. » C'était très clair : on pouvait deviner à quelle sauce allaient être mangés les enfants français, avant même l'âge de six ans, sacrifiés sur l'autel de l'idéologie officielle.

    Les socialistes fauteurs de guerres scolaires

    L'on vit dès l'arrivée à l'Elysée de François Mitterrand en 1981 que les socialistes étaient bien décidés à appliquer leur programme d'assassinat de l'école libre. Ils rallumèrent sciemment, et farouchement, la guerre scolaire, sans même venir offrir à leurs adversaires l'honneur de tirer les premiers.

    Le parti socialiste était, et est toujours, un parti essentiellement et intrinsèquement éducateur. Il agit et agira toujours au nom d'une vision de l'homme et visera toujours à une refonte de l'homme et de la société. Pour réussir, il importe moins à ce parti de résoudre la crise économique, ou le problème du chômage, que d'amener les Français à se débarrasser de l'idée même d'un destin personnel, d'un salut personnel, d'une finalité que chacun accomplit au sein de sa famille, de sa profession, d'une responsabilité propre à chacun. Le socialisme réduit l'homme à sa seule fonction sociale, à sa seule dimension économique, il supprime tout ce qui relie l'homme personnellement à quelque chose de plus haut que l'organisation rationnelle et égalitaire des biens d'ici-bas. Quiconque refuse de se laisser ainsi réduire est un ennemi de classe, un bourgeois...

    Pour changer la société, il faut changer la mentalité du peuple. Il faut donc s'emparer de tout ce qui touche à la culture et mettre l'enseignement, depuis la maternelle jusqu'au supérieur, sous la dépendance du pouvoir de l'État. Si le quinquennat de François Hollande fut minable sur le plan économique et social, il aura quand même bien mérité du parti socialiste, car il aura réussi, semble-t-il, à changer les mentalités sur le mariage homosexuel, sur le divorce, sur l'école et sur mille choses qui tournent le dos à l'ordre naturel.

    Les grands ancêtres contre la famille

    Les grands ancêtres des socialistes d'aujourd'hui sont en fait les "philosophes" du XVIIIe siècle. Pour eux, il n'existait plus que l'individu seul, détaché de tout ce qui le caractérise : sa famille, son passé, sa région, son métier, sa religion. Cet individualisme forcené se dressait contre la tradition, contre le catholicisme, contre l'autorité, et même contre l'Histoire. On imaginait déjà la destruction de tous les organismes naturels - corporations, provinces, paroisses, religion - qui avaient toujours encadré l'homme et soutenu les individus ; de telles théories n'accordaient évidemment que très peu de place à la famille et au rôle de celle-ci dans la transmission des mœurs. Puisque tous les citoyens doivent se ressembler, libres et égaux, puisqu'il s'agit de les "libérer" des traditions qui créent entre eux des différences, mieux vaut que l'éducation soit confiée à l'État...

    C'est ainsi que ce siècle prétendu libérateur fut celui de l'exaltation de l'étatisme. Le rêve des philosophes était le « despotisme éclairé » et un Denis Diderot (1713-1784) écrivait à l'impératrice Catherine de Russie qu'elle devait se réserver le contrôle total de l'instruction publique. L'État devait en quelque sorte devenir directeur de conscience.

    Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) alla plus loin encore : il s'agissait de débarrasser l'individu de ses contrefaçons de civilisé. L'homme est né bon ; s'il y a des coquins, c'est parce que la civilisation, développant la propriété, donc l’égoïsme et les inégalités, a corrompu cet homme bon. Il faut donc régénérer l'individu, l'obliger à briser ses chaînes et remettre à l'État le soin de définir et de promouvoir la liberté. L'éducation aura pour but principal de développer la vertu chez l'enfant - entendez l'état de nature - et l'on trouve sous la plume de Jean-Jacques dans l’Encyclopédie : « On doit d'autant moins abandonner aux préjugés des pères l'éducation de leurs enfants qu'elle importe à l’État plus qu'aux pères. L'Éducation publique, sous les règles prescrites par le gouvernement et sous les magistrats établis par le souverain est donc une des maximes fondamentales du gouvernement légitime et populaire. »

    La croyance en un individu libre, partout égal à lui-même, ne devant rien ni à Dieu ni à la société, s'érigea vite en dogme qu'il fallait répandre comme on propage... une religion ! Et cette religion allait avoir ses dogmes définis et surveillées par une espèce de haute autorité agissant comme un clergé. Ce fut la franc-maçonnerie qui s'y employa dès la seconde partie du siècle, se posant comme le véritable pouvoir culturel, organisant ses universités et ses sociétés de conférences où, évidemment, étaient débattues les questions relatives à l'éducation.

    Puis, après 1789, vint le temps des discours grandiloquents. Sous la Constituante et sous la Législative, l'enseignement fut totalement désorganisé. Arriva alors la Convention qui créa un comité de vingt-quatre membres pour s'atteler à une « tâche éducative » : en firent partie des ennemis de la religion comme le chimiste Antoine-François Fourcroy (1755-1809) qui rêvait de réaliser le vœu de Voltaire « d'écraser l'Infâme », ou Anacharsis Cloots (1755-1794), un Prussien qui se déclarait « l'ennemi personnel de Jésus-Christ », ce qui n'était pas se prendre pour n'importe qui et qui ne l'empêcha pas de passer à la guillotine ! On entendit aussi cette phrase "inspirée" de Rabaut-Saint-Etienne (1743-1793), ce pasteur nîmois qui avait été l'un des principaux rédacteurs de la Déclaration des Droits de l'Homme : « L'enfant qui n'est pas encore né appartient déjà à la Patrie » (sic).

    Robespierre eut aussi des idées sur le sujet : « Les enfants sont la propriété de l'Etat, les parents n'en sont que les dépositaires. » (sic) Et de préconiser de mettre tous les enfants à l'école de l'État de cinq à quinze ans pour les garçons, de cinq à onze ans pour les filles. Mais l'œuvre éducative de la Convention fut lamentable et bien vite instituteur fut synonyme d'ivrogne, car on en trouvait rarement qui sussent lire.

    Les conventionnels affirmaient que l'enseignement était libre en France, mais la guillotine était là pour expliquer comment cela devait s'entendre. Dame Valaud-Belkacem ose, comme eux, déclarer que ses mesures contre l'école hors contrat et contre l'école à domicile respectent la liberté d'enseignement. Le mensonge est, cette fois, beaucoup trop gros pour dissuader les familles de se mobiliser...

    Michel Fromentoux Rivarol du 16 juin 2016

  • Julien Sanchez : « On peut bien vivre dans une ville Front national »

     FRANCE (NOVOpress) : Maire de Beaucaire (Gard), Julien Sanchez le clame dans un entretien accordé au quotidien Présent : « On peut bien vivre dans une ville Front national. » Le jeune maire FN explique : « Encore maintenant avant chaque élection, on l’a vu aux régionales, les politiques et les médias nous disent que si le Front national l’emporte ça va être l’apocalypse, qu’il n’y aura plus de relations économiques etc. C’est ce qui avait été dit sur nos villes. Aujourd’hui, chacun peut venir constater à Beaucaire que les entreprises ne sont pas parties, au contraire certaines s’y installent. On ouvre de nouveaux commerces, beaucoup de gens viennent participer à nos festivités, découvrir la ville, une ville d’art et d’histoire qui possède un secteur sauvegardé avec des bâtiments superbes. Nous prouvons chaque jour que nos adversaires ont tort. Le Front national a le souci de la bonne gestion, le souci de bien faire dans le sens de l’intérêt général et du bien commun. »

    Propos d’un maire fier de son bilan ? Pas seulement. En 2014, Julien Sanchez avait été élu maire de la ville dans une quadrangulaire, avec 39,81 % des voix. Un an et demi plus tard, aux régionales de décembre dernier, la liste FN conduite par Louis Aliot y est arrivée très largement en tête du premier tour avec le score incroyable de 59,68 % ! Et dans l’intervalle, au printemps 2015, les électeurs du canton de Beaucaire avaient élu deux conseillers départementaux FN, qui avaient recueilli 59,70 % des voix au second tour.

    Julien Sanchez prendra la parole le 9 juillet prochain aux BBR Grand Sud, au Pontet (Vaucluse), en compagnie de Marion Maréchal-Le Pen, Gilbert Collard, Louis Aliot, David Rachline, Stéphane Ravier, Philippe de Beauregard, Joris Hébrard, les principales figures du Front national dans le Sud.

    BBR Grand Sud

     

    http://fr.novopress.info/202201/julien-sanchez-on-bien-vivre-ville-front-national/

  • Trop c’est trop!

    Un nouveau record d’impopularité battu par François Hollande. Selon la dernière enquête TNS Sofres pour Le Figaro Magazine,  la cote du président de la République est tombée à seulement 12% d’opinions favorables. En novembre 2014 déjà, invité de TF1,  François Hollande avait juré la main sur le cœur, sur l’air du « je vous ai compris » qu’il était hors de question de procéder à une nouvelle augmentation d’impôts d’ici à la fin de son quinquennat : « A partir de l’année prochaine, il n’y aura pas d’impôt supplémentaire sur qui que ce soit. » « Il y a un moment où la classe moyenne ne peut plus accepter de hausse d’impôts. J’en prends l’engagement ! »

    Pourtant le refrain du « ça va mieux », les promesses et les annonces de baisses d’impôts, en direction notamment des traditionnels bataillons de l’électorat de gauche que sont les enseignants et les fonctionnaires (pour combien de temps?) ne suffisent plus. Dans son entretien accordé aux Echos  et publié hier,  le champion du PS, qui se voulait combatif, déterminé comme doit l’être un chef d’Etat briguant un second mandat, affirme que la « reprise » et le « début d’inversion de la courbe du chômage » sont « un fait indiscutable. »

    Il suppute comme très probable en 2017 « une baisse supplémentaire d’impôt sur les ménages »  d’environ « 2 milliards d’euros« , idéalement pour soulager « les classes moyennes » matraquées, emblématiques du ras-le-bol fiscal du pays. Last but not least, a-t-il dit encore, « le quantum des 41 milliards d’allègements de prélèvements prévus par le Pacte de responsabilité sera intégralement respecté », « le taux de l’impôt sur les sociétés « sera en baisse pour les PME et une mesure d’allègement sera prévue pour les artisans qui ne bénéficient pas du Cice« .

    En réalité, François Hollande délègue à d’autres le soin d’annoncer la création d’une nouvelle taxe qui a pour objectif de ponctionner annuellement 600 millions d’euros dans la poche des contribuables Français, ménages et entreprises. Ce nouvel impôt a été baptisé Taxe Spéciale d’Equipement Régional (TSER) et sa création nécessitera la saisie prochaine du Parlement par l’Etat, dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances de 2017. Cette « Taxe spéciale » a pour  objet avoué de  financer le développement économique et l’accompagnement des PME. L’Association des régions de France (ARF) l’a annoncé lundi par un communiqué, après avoir cosigné avec le gouvernement l’Acte II de la plateforme Etat-Régions, qui comprend la création de cette TSER.

    Autre mensonge gouvernemental débusqué par une étude de UFC Que Choisir, malgré les fanfaronnades de Marisol Touraine, les discours lénifiants du ministère de la Santé, la fracture sanitaire ne cesse de s’étendre. Nos compatriotes subissent depuis 2012 une constante dégradation de l’offre de soin sous le double effet d’une progression des déserts médicaux et de la généralisation des dépassements d’honoraires. 

    Selon Que Choisir lesdits dépassements ont continué à croître depuis 2012. « Alors que l’inflation sur la période n’a pas été supérieure à 1%, le tarif moyen d’une consultation a progressé de 3,2% chez les généralistes, de 3,5% chez les ophtalmologistes, de 5% pour les gynécologues, et même de 8% pour les pédiatres. »  « Dès lors que l’on souhaiterait se soigner au tarif de la sécurité sociale, ce sont plus de 8 Français sur 10 qui manquent de gynécologues et d’ophtalmologistes sans dépassements d’honoraires à moins de quarante-cinq minutes de leur domicile. »

    D’après cette même étude, un Français sur quatre à des difficultés « d’accès géographique » aux médecins généralistes, un sur trois à des spécialistes comme les gynécologues, les , ophtalmologistes, les pédiatres. « En quatre ans, 27% des Français ont vu leur accès géographique aux généralistes reculer, et jusqu’à 59% pour les gynécologues», toutes choses qui matérialisent signe l’échec gravissime des politiques pour inciter les médecins à s’installer dans les déserts médicaux. »  A fortiori souligne Bruno Gollnisch, quand un numerus clausus imbécile bride le nombre des médecins français diplômés au profit de disciples d’Esculape étrangers, venant de pays où les besoins en médecins sont encore plus criants  que chez nous…

    L’Etat a d’autres priorités plus urgentes (?) là encore avec l’argent des contribuables. L’Afp rapporte ainsi « une instruction aux préfets » mentionnant qu’il entend « créer 3.000 places d’hébergement supplémentaires dans les CAO (centres d’accueil et d’orientation) » pour les migrants.« L’objectif est d’atteindre un parc total de 5.000 places de CAO réparties sur tout le territoire, et ce dans les délais les plus rapides, et au plus tard fin septembre, souligne cette instruction du 29 juin signée par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve et sa collègue du Logement Emmanuelle Cosse (…). »  « Selon la circulaire, les préfets pourront, si nécessaire, réquisitionner des bâtiments ou faire installer des structures modulaires sur des terrains disponibles« .

     « Mais ces 3.000 places ne sont qu’une partie de l’effort consenti, puisque le texte évoque par ailleurs la création de 5.000 places  supplémentaires au titre de l’ATSA (Accueil temporaire-Service de l’asile, qui relève de l’hébergement d’urgence). En juin 2015, le gouvernement avait déjà annoncé la création de plus de 10.000 places d’hébergement supplémentaires pour les migrants … sans préjuger des initiatives d’élus locaux comme le maire de Paris Anne Hidalgo qui  a décidé de créer de son côté un centre humanitaire d’accueil pour les migrants, qui devrait ouvrir en septembre, et dont la localisation reste soigneusement tue jusqu’à présent ».

    En début d’année le 21e rapport de la Fondation Abbé Pierre, structure, faut-il le préciser, qui ne remet pas en cause le bien fondé de la poursuite d’une politique d’immigration massive, expliquait dans son chapitre consacré à « la lutte contre la ségrégation urbaine » que les vœux exprimés par Manuel Valls en janvier 2015, après la tuerie dans les locaux de Charlie hebdo, visant à favoriser « la mixité sociale » (comprendre disséminer, disperser l’immigration) étaient légitimes. Mais « à condition de ne pas pénaliser les ménages modestes, comme c’est encore trop souvent le cas. Pour la Fondation, les ménages pauvres ne doivent pas faire les frais de la politique de mixité sociale. » Ces politiques doivent pouvoir dessiner un « socle républicain » capable de dépasser les contradictions entre mixité et droit au logement. »

    Il est en évidemment très légitime affirme Bruno Gollnisch, dans un pays comme la France qui, selon la Fondation Abbé Pierre compte 3,8 millions de mal logés et 12 millions de personnes touchées par la crise du logement, de ne pas pénaliser plus avant les ménages modestes. Mais en prenant le problème dans le bons sens. C’est-à-dire en stoppant toute immigration massive, en refoulant  tous les immigrés illégaux, en privilégiant en tout et partout les Français d’abord sur notre sol; c’est comme cela que l’on renforcera « le socle » de la  République Française.

    http://gollnisch.com/2016/07/01/trop-cest-trop/