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France et politique française - Page 3272

  • 2017, un coup pour rien ? C’est bien parti pour !

    Marine Le Pen ne saurait emporter l’adhésion tant qu’elle n’aura pas fait du FN un parti de droite capable de fédérer une majorité.

    Chaque article au sujet du Front national publié sur Boulevard Voltaire entraîne une cascade de réactions, dont une minorité intéressante, comme si donner son opinion sur un parti politique s’apparentait à une trahison ou à une erreur de communication. Saluons la tribune de Louis Aliot qui, en réponse à un dernier papier sur l’hommage à Jeanne d’Arc, a exprimé une position plus nuancée que celle relatée par la presse à propos des déclarations de Florian Philippot, même s’il est dommage que cette annonce n’ait pas été effectuée par le même Louis Aliot.

    Boulevard Voltaire est un espace de libre expression : n’en déplaise à de nombreux commentateurs, le site n’a pas vocation à devenir le porte-parole d’un parti, fût-il national. Chacun est libre d’y exprimer son opinion, y compris celles qui déplaisent. Il arrive – peut-être pas assez souvent, hélas – que des plumes « de gauche » y apportent un éclairage différent, sans compter les excellents billets d’un Philippe Bilger, qui n’est pas vraiment catalogué comme un suppôt de Marine Le Pen.

    Si le thème suscite tant de réactions, n’est-ce pas parce que, confusément, la plupart de ceux qui nous lisent ressentent une immense frustration en constatant, mois après mois, que l’aspiration de nombreux Français à l’éclosion d’un mouvement de droite populaire débouche sur un vide abyssal ? Un mouvement conservateur sur les questions de société, favorable à une liberté économique bien tempérée – qui n’a rien à voir avec le libéralisme débridé et destructeur prôné par les libéraux -, souverainiste et conscient de l’urgence identitaire ? Ce mouvement existe dans les débats d’idées, il se manifeste largement dans les colonnes de la presse libre, mais sa traduction politique est inexistante.

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  • Calais : Le Drian ordonne la mise à la retraite du général Piquemal pour opposition à l’immigration clandestine

    Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense socialiste et membre du Grand Orient de France, a ordonné la mise à la retraite du général 4 étoiles Christian Piquemal, ancien commandant de la Légion Étrangère.

    Les Échos rapportent :

    Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a demandé que le général Christian Piquemal, ancien patron de la Légion étrangère poursuivi pour participation à une manifestation anti-migrants interdite, soit mis à la retraite. Le ministre a saisi l’armée de Terre afin qu’un conseil de discipline exclut le gradé.

    Jean-Yves Le Drian, fils d’un père communiste de Lorient, membre du club oligarchique “Le Siècle”et fervent soutien de l’Otan, avait déjà procédé à la purge idéologique de l’école Saint-Cyr Coëtquidan. Il avait fait exclure le professeur africaniste Bernard Lugan, en raison de ses idées non conformes avec l’idéologie socialo-marxiste (lire ici).

    Le Drian est également lié à la politique de soutien aux djihadistes en Syrie aux côtés des services de renseignement saoudiens. Il avait reçu l’architecte du djihadisme international, le prince Bandar Ben Sultan, en 2013 à l’Hôtel de Brienne (lire ici). Le Drian est particulièrement impliqué dans les contrats d’armement négociés entre le Parti Socialiste Français et la dictature wahhabite des Al Saoud.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Il y a plusieurs centaines de milliers d’électeurs de droite qui ne reçoivent guère que du mépris et de l’indifférence

    Lu Le Garsmeur a été interrogé par Stanislas Monclar dans Présent du 2 mars, à propos des Cahiers de l'Indépendance. Extrait :

    "[...] Il y a dans notre pays plusieurs centaines de milliers d’électeurs de droite qui ne reçoivent guère que du mépris de leurs représentants Les Républicains, et de l’indifférence de la part du Front national. Une situation d’autant plus surprenante qu’ils fournissent bon nombre de cadres du public comme du privé, qu’ils sont de plus en plus soudés contre le déclin national et les atteintes communautaristes à la personne et qu’ils ont, ma foi, bien autant d’idées que Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé !

    Notre trimestriel vise d’abord à leur offrir des articles de qualité, et à coaguler les oppositions au socialisme décivilisateur et paupérisant. La seconde série de ces Cahiers ‒ qui paraissent à nouveau depuis juillet 2015 ‒ accueille ainsi dans ses colonnes des publicistes, des activistes, des universitaires et des parlementaires ; des étudiants comme des retraités ; des actifs, surtout ; et cette belle jeunesse de France acharnée à défendre la vie, la famille et les libertés. Celle qui n’est d’aucune gauche car elle est éprise à la fois de responsabilité, d’initiative et d’ordre. Bref, nos lecteurs votent sans modération, mais pas sans discernement !

    Car malgré les aspirations des électeurs, les boutiquiers des campagnes électorales et autres commis d’organisations partisanes tiennent encore les murs de la baraque branlante. Contre ce clanisme qui n’a rien de traditionnel, les Cahiers imposent la coopération et la convergence. Que les politiques parlent avec les universitaires, les libéraux avec les patriotes, et qu’apparaisse ainsi en creux, dans toute sa cohérence et son potentiel de succès électoral, ce réalisme français qui fonde notre humanisme et que la situation de la France nous commande de reconvoquer rapidement. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le 53e Salon International de l’Agriculture ne changera rien à la grande faillite du monde paysan

    Loup Mautin, agriculteur en Normandie, écrit dans Nouvelles de France :

    "Le grand rendez-vous agrico-médiatique annuel vient de fermer ses portes au parc des expositions de Paris. A l’heure du bilan, c’est le sentiment d’une immense occasion ratée qui prédomine. Nous avons vu les banderoles et les t-shirts, nous avons entendus les sifflets et les invectives, nous avons assisté au chahut des éleveurs sur le stand du ministère de l’agriculture, nous avons attendu le commissaire Phil HOGAN à la porte de sa voiture fuyant les lieux, mais tout cela nous laisse sur notre faim.

    Vitrine artificielle d’un monde pourtant bien réel, le 53e Salon International de l’Agriculture ne changera rien à la grande faillite du monde paysan. 40% des exploitations françaises connaissent des difficultés financières et nombreuses sont celles qui disparaitront avant la fin de l’année… probablement sans bruit, mais avec leurs drames et leurs souffrances.

    Il s’agit là d’un monde que nous connaissons bien et que nous aimons.

    Ce sont les paysans du bout des chemins, ceux qui commencent tôt et finissent tard, les pieds dans la boue, les mains gelées et qui ne sont pas allés à Paris. D’ailleurs ils ne vont jamais à la capitale et en sont fiers. Ils ont bien le temps de s’arrêter quelques instants pour boire un café ou rendre un service mais leur travail les préoccupe. Les vêlages, la traite, les travaux des champs sont la priorité. Leur labeur les passionne même s’ils savent que tout cela ne rapporte rien en ce moment. Il faut pourtant tenir comme l’ont fait avant eux leurs parents et leurs grands-parents. Ils ne sont pas dépensiers et possèdent bien quelques économies accumulées lors des bonnes années, mais cette fois la crise est sérieuse. Ils ne le savent pas, mais ils ont été sacrifiés. Alors, ils disparaîtront car leur modèle a été jugé obsolète par l’UE. La lenteur des cycles naturels repoussera l’échéance et fera traîner la fin mais elle sera inéluctable. Contraints et forcés, ils éprouveront alors la honte car ils considèreront cette liquidation comme leur échec. Ils souffriront de la publicité qui en sera faite car à la campagne tout se voit et tout se sait, mais ils ne diront rien.

    Les raisons de cette faillite sont connues. Elles tiennent, surtout, à l’implosion du modèle agricole français qui a perdu toutes ses protections au profit de la concurrence libre et non faussée du grand marché mondial sans frontières, sans régulation, sans quotas, promue par la commission européenne. Son modèle? Les usines agricoles allemandes, avec main d’œuvre bulgare payée à la roumaine, dont les produits ont donné le coup de grâce à nos éleveurs à qui on avait pourtant assuré que les tarifs étaient imbattables.

    Il est encore temps d’éviter cet immense gâchis car la France est auto-suffisante dans de nombreuses productions et si nous protégions le marché français, que nous distribuions dans les restaurants et les cantines les produits de nos régions, nous arriverions à revaloriser nos produits.

    Protégez-nous, rendez-nous notre souveraineté !"

    Michel Janva

  • En remettant la Légion d’honneur, Hollande légitime les abominations de l’Arabie saoudite…

    Dans un communiqué publié le 4 mars par l’agence de presse saoudienne SPA, les autorités saoudiennes ont annoncé que le chef de l’Etat, François Hollande, avait remis la Légion d’honneur au prince héritier Mohammed bin Nayef bin Abdelaziz Al Saoud, lors de sa visite à Paris.

    « François Hollande a souhaité la bienvenue au prince héritier et s’est félicité des fortes relations entre le royaume d’Arabie Saoudite et la France », explique le communiqué.

    « Au terme de leur entretien, le président français a remis vendredi 4 mars à son altesse la médaille de l’ordre national de la Légion d’honneur qui est la plus haute distinction française pour tous ses efforts dans la région et dans le monde dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme », ajoute le communiqué.

    Déjà le lundi 21 septembre 2015, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU avait nommé l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite auprès des Nations unies, M. Faisal Trad, à la tête de son Comité consultatif, lequel est notamment chargé « de sélectionner les rapporteurs en charge de thématiques précises comme les camps de travail en Corée du Nord ou les violences faites aux femmes », ainsi que le rapporte l’ONG UN Watch. D’ailleurs, l’Académie saoudienne d’éducation prend son rôle très au sérieux puisqu’elle vient de lancer un cycle de conférences autour de la question « La femme est-elle un être humain ? ». Pour répondre aux nombreuses réactions enflammées sur les réseaux sociaux, l’Académie précise sur son compte Facebook que ce thème de conférence doit être interprété de la manière suivante : soit la femme est à un niveau élevé, soit à un niveau moyen, soit à un bas niveau. Malheureusement, beaucoup ont commencé à interpréter l’intitulé en limitant la compréhension au niveau bas de la femme — notre mère, épouse, sœur ou fille… alors que l’intitulé n’osait pas rabaisser le rôle de la femme. » Malgré ces explications et les efforts de l’Académie, les réseaux sociaux ont été inondés de divers slogans et appels sous le hashtag #femme_être_humain. La conférence, prévue le 1er mars 2016, a été annulée.

    Mais voilà, plutôt que de s’indigner devant cette tentative de l’Arabie de dénaturer et limiter la notion même des Droits de l’Homme, le président français a reçu en toute discrétion vendredi 4 mars le prince Mohammed bin Nayef bin Abdelaziz Al Saoud, prince héritier d’Arabie saoudite, également vice-président du Conseil des ministres et ministre de l’Intérieur. Le site internet de l’Elysée mentionne bien cet entretien, mais a semble-t-il « oublié » de préciser que suite à cet entretien, François Hollande a remis à son altesse la médaille de l’ordre national de la Légion d’honneur qui est la plus haute distinction française pour tous ses efforts dans la région et dans le monde dans la lutte contre le terrorisme et l’extrêmisme.

    C’est le moment de rappeler que l’Arabie Saoudite est l’un des premiers pays au monde par le nombre de peines de mort prononcées par la justice conforme à la Charia. La moitié des exécutions concerne des affaires de stupéfiants, mais outre les meurtres et les viols, la peine capitale s’applique également à l’adultère et à l’apostasie. Alors, il faut croire que Hollande a considéré que tout cela méritait bien une médaille… et vous ?

    Sources :

    https://infocomnet.wordpress.com/2016/03/06/en-remettant-la-legion-dhonneur-hollande-legitime-les-abominations-de-larabie-saoudite/

    https://francais.rt.com/

    http://www.atlantico.fr/

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/en-remettant-la-legion-d-honneur-178508

  • Vers l'AMGOT ?

    Nous sommes au bord du précipice dans tous les domaines, comme nous l'étions en 1940 dans le domaine militaire. Mais cette faillite militaire était aussi le symptôme de la faillite politique d'un pays qui n'arrivait pas à se reconstituer après le traumatisme de la Grande Guerre. La France aujourd'hui n'a même pas cette excuse puisque sa dernière grosse secousse globale a été la grande fête de 1968. Chacun sent bien qu'un jour ou l'autre il va y avoir un affrontement dans notre pays et ce ne sera pas simplement pour reprendre un territoire toujours confisqué par les zadistes de Notre-Dame-des-Landes malgré plus de cent cinquante décisions de justice. Il faudra alors choisir entre la casse et la capitulation. Ces perspectives, encore aggravées par les attentats terroristes, ne sont pas réjouissantes et on comprend que la plupart préfère ne pas y penser... (Maître Soulez Larivière pour le Huffington Post en cliquant ici¹)

    La République d'Autruche vit ses dernières années. Elle navigue de capitulation en capitulation. A la moindre émeute, elle passe sous la table et négocie, sauf dans la révolte des poussettes de la Manif pour tous où il fut jugé sans danger par le Chef de la Police d'affronter avec toute la brutalité d'usage les familles et les vieux qui étaient venus marcher à Paris contre le pouvoir gay. Mais à Strasbourg contre l'OTAN, à Nantes contre l'aéroport du Grand Ouest, à Sivens contre l'étang, à Rennes contre Vinci et les banques, à Calais contre les No Borders, on enfume juste un peu et finalement on attrape trois boiteux faciles à agripper quand ce n'est pas un général en retraite au porte-voix, paumé au sein d'une manifestation statique à 150 pèlerins.
    Comme le suggère Me Soulez Larivière, chacun voit bien que la montée des périls en tout genre va déclencher une réaction populaire à défaut d'intervention définitive de l'Etat. De fait, on va passer de la colère rampante à la colère bruyante puis à l'ouverture du feu. C'est ainsi que meurent les régimes foireux, par les fourches et les faux jadis, par l'artillerie de chasse aujourd'hui. Revenons aux périls :
    - le premier est l'affaissement continu de l'école publique. Le seuil que les lycéens doivent franchir entre la sortie du secondaire et l'entrée à l'université ou aux grandes écoles est de plus en plus haut. Les dirigeants se gargarisent d'éléments de langage et de pédagogie tordue sous la direction aujourd'hui d'une jolie moukhère échappée du bled, qui succède à des agrégés sinon de grands professeurs ou chercheurs, parce qu'un prince républicain obsédé de "nouveauté" en a décidé ainsi. Voir ses enfants échouer sur les plages du chômage de masse ne va pas diminuer le ressentiment populaire quand on nous explique qu'il faut les mettre maintenant en formation après qu'ils aient passé une douzaine d'années à l'école !

    - le deuxième est la constitution de fiefs communautaires qui prospèrent au vu et au su de l'Etat sans réaction. Des territoires entiers de la république sont stérilisés des valeurs françaises et il n'est pas loin le jour où la règle démocratique les détachera juste avant que les étrangers n'y instaure leur loi. Si les pouvoirs s'en accommoderont probablement, les citoyens cernés ou en bordure pourraient bien se bunkériser et former des chaînes de résistance pour protéger simplement leurs biens et leurs ressources. Tuera-t-on un jour pour son potager ? Il nous faudrait un Jules Moch², nous avons monsieur Cazeneuve et son petit téléphone.
    - le troisième est la Dette abyssale de la République dont le service est à la merci d'une remontée des taux internationaux de prise en pension des bons du Trésor. Déjà premier poste budgétaire, ce service augmenté depuis l'étranger peut bouffer littéralement toutes les prestations sociales nécessaires comme les pensions de retraite (voir la Grèce, l'Espagne...). La faillite conduira le pouvoir, confronté à sa propre banqueroute, à séquestrer l'argent des ménages par la confiscation de l'assurance-vie, des livrets, et plus s'il en faut encore. Alors ce sera l'insurrection fiscale que promettait Raymond Barre sans l'avoir connue, et les petits épargnants en colère chercheront à qui la faute.
    S'il y a de nombreux motifs d'endettement dont le clientélisme démocratique latin, la faute décisive gît sur les députés qui ont voté les déficits budgétaires demandés par le gouvernement, année après année, pour régler le fonctionnement courant du pays. Dans une démocratie représentative, le souverain maître de la République est le législateur, le parlementaire. Il en a les honneurs... ET les responsabilités. Ceux qui auront tout perdu par leur faute risquent bien de les brancher en nombre !
    -le quatrième péril n'en est peut-être pas un s'il finit par consumer le déclin : c'est la perte complète de souveraineté de ce pays. L'affaissement économique et mental de la nation ne peut soutenir longtemps une souveraineté artificielle. La moitié des lois proviennent de Bruxelles et Strasbourg, la grande majorité des normes aussi, la monnaie est partie, nos armées ramenées au format d'un défilé ne sont plus autonomes en logistique et munitions, notre diplomatie est de l'eau tiède faute de gaz sous la marmite, notre économie est impactée en profondeur par les groupes mondiaux qui gèrent à leur profit les marchés de denrées et matières. Et pour couronner le tout, nos avis ne sont écoutés par personne, si encore on prend la peine de mettre l'écouteur de traduction au Forum de Davos quand parle un ministre français.
    Cette grande vulnérabilité laisse ouverte la porte d'une intervention extérieure en cas d'évolution politique non souhaitée par les enceintes décisionnaires qui comptent. L'étranger (mais un autre cette fois) viendra faire sa loi chez nous. Nouvel AMGOT³ ? Quelque soit le nom, il s'agira de curatelle internationale. Et il en sera fini du Coq de France.
    Alors, saura-t-on rebâtir en neuf sur des bases assainies en tenant compte une bonne fois pour toutes de l'impasse démocratique ?
    Je nous le demande.

    Note (1) : le lien en clair sur le Huff est [http://www.huffingtonpost.fr/daniel-soulez-lariviere/crise-pouvoir-greve_b_9374296.html]
    Par ailleurs Me Soulez Larivière a sa page dans la Wikipedia ici.

    Note (2) : Jules Moch, ministre à poigne de la Quatrième République ayant réprimé les grandes grèves de 1947 et 1948.

    Note (3) : Allied Military Government of Occupied Territories, gouvernement allié des territoires européens libérés de la Seconde Guerre mondiale pour y organiser le retour de la démocratie. Grâce au général De Gaulle la France en réchappa et put ainsi mettre des communistes à de nombreux postes-clés du Gouvernement provisoire et à la tête de grands groupes nationalisés comme les Charbonnages.

    http://royalartillerie.blogspot.fr/