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France et politique française - Page 3438

  • Allons-nous intervenir en Libye au profit d’Al Qaïda et des Frères musulmans ?

    Source : Blog de Bernard Lugan
    En Libye, près de 300 kilomètres de littoral sont aux mains d’un Etat islamique que rien ne semble pouvoir arrêter. A partir de cette fenêtre sur la Méditerranée, des terroristes mêlés aux clandestins rebaptisés « migrants » s’infiltrent en Europe. Contrairement aux annonces de la presse internationale, les efforts désespérés de M. Bernardino Leon, Emissaire des Nations unies pour la Libye, et qui, depuis plus d’un an, cherche à obtenir un accord inter-Libyen, n’ont pas débouché sur une solution politico-militaire viable.

    Face à cette situation plus que périlleuse pour notre sécurité, une opération militaire serait donc envisagée. Or, celle à laquelle pensent nos diplomates aurait pour résultat de donner le pouvoir à des islamistes aussi dangereux que ceux de l’Etat islamique… Comme en Syrie où, si le président Poutine n’avait pas sifflé la fin de la récréation, le Quai d’Orsay voulait faire remplacer le président Assad par de « gentils démocrates » salafistes. En Libye, ce serait au profit des Frères musulmans et d’Al-Qaïda (ou de ses diverticules) que nos forces pourraient être engagées. Comme elles le furent hier à l’avantage des musulmans de Bosnie et du Kosovo…

    L’idée française serait en effet de miser sur la cité-Etat de Misrata, fief des Frères musulmans et base avancée turque en Libye. Ses milices [1] sont certes parmi les plus opérationnelles du pays, mais elles sont détestées par la plupart des tribus de Tripolitaine et de Cyrénaïque. Intervenir en appui de Misrata permettrait peut-être de freiner les forces de l’Etat islamique, mais en nous aliénant les vraies forces vives du pays.
    Ce plan envisagerait également un renforcement de la coopération avec les islamistes de Tripoli qui reçoivent actuellement des renforts jihadistes acheminés par voie aérienne depuis la Turquie. Comme si, pressé en Syrie par la Russie, le président Erdogan voulait ouvrir un second front en Libye.

    Or, et il importe de ne pas perdre de vue deux éléments essentiels :

    1) Comme notre ami-client égyptien est en guerre contre les Frères musulmans d’Egypte, l’arrivée au pouvoir de cette organisation en Libye ferait courir un danger mortel au régime du général Sissi.

    2) Aucune intervention franco-européenne ne peut se faire sans, au moins, la neutralité de l’Algérie. Or, qui commande à Alger ? Les clans qui guettent la mort du président Bouteflika pour s’emparer du pouvoir ont en effet des positions contradictoires à ce sujet. Certains sont farouchement opposés à toute intervention étrangère, d’autres l’accepteraient sous certaines conditions, cependant que ceux qui espèrent obtenir le soutien des islamistes feront tout pour torpiller une opération franco-européenne.

     

    La réalité est donc cruelle. Ce n’est pourtant pas en la niant que nous avancerons. Face au chaos libyen il n’existe en effet pas de solution miracle qui permettrait de refermer les plaies ouvertes par MM. Sarkozy et BHL.
    La solution consisterait peut-être à « renverser la table » et à changer de paradigme en oubliant les « solutions électorales » et les constructions européo-centrées fondées sur les actuels acteurs libyens. Comme rien ne pourra se faire sans les tribus, c’est donc en partie sur ces dernières que toute opération viable devrait être fondée. Autrement, dans le théâtre d’ombres libyen, nos figurants politiques ne feront que traiter avec des figurants locaux.

    Le problème de fond est que les alliances tribales sur lesquelles reposait l’ordre socio-politique libyen ont été éclatées par l’intervention franco-otanienne de 2011. Dans le vide alors créé se sont engouffrés des acteurs secondaires devenus artificiellement les maîtres du jeu. Qu’il s’agisse de Misrata, des islamistes de Tripoli et de Derna, puis ensuite de ceux de l’Etat islamique.
    Toute pacification de la Libye passe donc par :

    1) Le rééquilibrage entre les vrais acteurs tribaux et ces acteurs secondaires devenus incontournables et qu’une intervention franco-européenne aboutirait à installer seuls au pouvoir.

    2) La levée du mandat d’arrêt international lancé contre Saïf al-islam Kadhafi qui est le seul actuellement en situation de pouvoir reconstituer les alliances tribales libyennes (voir mon communiqué en date du 24 septembre 2015).

    Très modestement, il faut bien voir que ce sont là des mesures de long terme. Or, dans l’immédiat, il est urgent de bloquer la progression de l’Etat islamique tout en coupant le flot migratoire partant essentiellement des zones tenues par ceux que nos diplomates considèrent déjà comme nos « alliés », à savoir les islamistes de Tripoli et les Frères musulmans de Misrata…
    Alors, oui à une intervention, mais à la condition de ne pas la lancer à la légère.

    Bernard Lugan

    [1] Ce sont elles qui lynchèrent le colonel Kadhafi.

    http://fr.novopress.info/194106/allons-intervenir-en-libye-au-profit-dal-qaida-freres-musulmans/#more-194106

  • Zemmour, Onfray et les autres, ces suppôts du réel : La « réaction » est en marche

    Eric Guéguen dans Causeur : une réflexion pertinente et fine sur la gauche, la droite, la réaction, les politiques et les médias. Une réflexion politique et métapolitique dont nous conseillons la lecture ...     

    egueguen.jpg« La gauche est une route rectiligne, dédaignant le paysage. La réaction est un chemin qui serpente entre les collines. » Dans cette phrase de Nicolás Gómez Dávila, la « gauche » est à entendre comme le « progrès », et ce dernier comme inconditionnel. Quant à la « réaction », l’auteur s’y référait constamment en lieu et place du mot « droite », déprécié par les réflexes marchands qui peu à peu s’y sont rattachés. Hostiles aussi bien au socialisme qu’au capitalisme ou à la démocratie d’opinion, les aphorismes de Gómez Dávila feraient aujourd’hui bondir le landerneau du prêt-à-penser. Néanmoins, sa formule lapidaire mise en exergue nous instruit parfaitement de ce qui, d’un point de vue idéologique, est en train de se passer aujourd’hui en France : un retour de bâton.

    À entendre Léa Salamé, les réactionnaires sont partout, on n’entend qu’eux, il n’y en a que pour eux. Elle en veut pour preuve les couvertures d’hebdomadaires sur lesquelles on peut voir régulièrement Finkielkraut, Zemmour, Onfray. Mais également Onfray, Zemmour et Finkielkraut. Ainsi que Zemmour, Finkielkraut et même Onfray. C’est dire ! Franchement Léa, la « réaction », combien de divisions ? De plus en plus chez les petites gens, très certainement, et il faudra vite expliquer pourquoi. Mais combien de généraux ? Et surtout, Léa, combien en face ? Combien d’universitaires, d’auteurs, d’éditeurs ? Combien de journalistes et de présentateurs télé ? Combien de chanteurs et de bateleurs en tous genres ? Combien d’acteurs, de producteurs, de scénaristes ? Combien de professeurs et d’instituteurs ? Combien d’entre eux sont dévoués corps et âme et ouvertement à l’idée du Bien qu’on impose aux Français depuis un demi-siècle ? Et dans la classe politique, combien de « réacs » ? On nous assure maintenant que Nadine Morano en est. Est-ce bien sérieux ? Parlons de son cas une minute puisque c’est un lièvre que Mademoiselle Salamé et son nouveau complice Yann Moix ont eux-mêmes levé.

    Nadine Morano est une habituée des plateaux nocturnes de Laurent Ruquier. Du moins l’était-elle encore récemment. Bien qu’elle n’ait pas inventé le jeu de quilles, peut-on sincèrement imaginer une seule seconde que ses derniers propos tenus dans On n’est pas couché aient consisté à affirmer que la France avait vocation à demeurer un pays de race blanche ? Les yeux dans les yeux, et sans croiser les doigts sous la table, est-ce seulement envisageable ? Non, sauf à penser qu’elle ait voulu, ce soir-là, se suicider médiatiquement, précisément parce que l’anti-progressisme ne fait pas la pluie et le beau temps dans les médias. Car il est évident que les « commissaires aux idées propres » (Taguieff) appointés par Monsieur Ruquier ne pouvaient laisser passer un tel « dérapage »… qu’ils ont par ailleurs pour tâche de provoquer. Au moins est-ce pratique pour le patron : il n’a pas à leur jeter d’os à ronger, ils se servent directement sur la bête. Quand on a des idées en vent contraire et que l’on n’est pas préparé à aller au combat pour les défendre, on ne va surtout pas chez Ruquier, même pour un livre à vendre. À moins, bien sûr, que le fiasco induit fasse partie de la stratégie de l’éditeur : faire le buzz coûte que coûte.

    Le cas Morano est révélateur de la standardisation des propos dans les médias de grande écoute. Il ne s’agit nullement d’une offensive « réactionnaire » encouragée voire orchestrée en sous-main par un méchant de service. Il s’agit au contraire d’une chape de plomb sémantique qui ne parvient plus à contenir tout le réel. Celui-ci dégouline, et c’est parce qu’il dégouline que des gens regardent encore les émissions de Laurent Ruquier le samedi soir – que l’intéressé en soit informé. C’est parce que l’on peut encore y glaner quelques vérités pas bonnes à dire que son talk-show attire le chaland. De la même manière, c’est parce que les susmentionnés Zemmour, Onfray et Finkielkraut font vendre du papier à nos pucelles effarouchées qu’une bonne partie de la presse politique survit. Certains ont beau jeu, après cela, de déplorer que le seul romancier français connu et reconnu à l’étranger – Michel Houellebecq – soit lui-même un pisse-froid réactionnaire ; ils seront toujours les premiers à le promouvoir.

    C’est là que le bât blesse. Chez Taddeï l’autre jour, Eugénie Bastié informait l’oracle Attali du grand retour du Réel, de son débordement disais-je plus haut. C’est inéluctable, et ils seront nombreux ceux qui, bientôt, ne pourront plus parader, gesticuler pour ne rien dire et ergoter sur l’emploi de mots que le bon peuple est ou n’est pas en mesure de comprendre. Il leur faudra alors lâcher d’une main ce à quoi ils tiennent le moins pour s’agripper à ce qu’ils revendiquent le plus. Il leur faudra choisir entre un vieux corpus féérique et doctrinaire, et l’appât du gain relativement à la demande. Ils devront accepter que leurs chimères ne puissent plus abuser qui que ce soit et qu’elles basculent dans le folklore le plus insignifiant. Ou alors ils devront retourner leur veste afin de donner au peuple ce qu’il demande et, à nouveau, retrouver sa confiance. Et ses deniers. Autrement dit faire non seulement avec Zemmour, mais avec tous les Zemmour en puissance, c’est-à-dire tous les citoyens français qui, de gauche ou de droite, de bonne ou de mauvaise foi, de propos réfléchis, nuancés ou rentre-dedans décryptent le monde chaque jour sur le web pendant que des intellectuels organiques se servent mutuellement la soupe dans les médias aseptisés.

    Alors oui, le vent tourne et la parole se délie à la base. Et comme dans ce pays tout fonctionne à la majorité, le haut du panier tremble à l’idée que la pensée « nauséabonde », rompue aux techniques putassières du progrès de commande, enrôle à son tour des majorités. Le progrès n’a plus la cote et il l’a bien cherché. À trop prendre les gens pour des demeurés, ses sectateurs ont ménagé une autoroute à la « réaction ». C’est elle qui vient désormais, tout le monde l’a compris. Et la partie se jouera entre réactionnaires, opposant d’inévitables extrémistes aux modérés d’entre eux. Sans oublier, bien sûr, de farouches « partisans du réel » qui s’ignorent. En effet, qu’elle assume ou non le qualificatif, toute personne se reconnaissant dans les propos liminaires de Gómez Dávila est, de fait, « réactionnaire ». Bienvenue au club.  

    Eric Guéguen

    auteur du Miroir des Peuples (Perspectives libres, 2015).

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Régionales : le FN, nouveau bénéficiaire du mode de scrutin

    Le tripartisme. C'était jusqu'à présent une simple figure de rhétorique. Avec ces régionales, cela devient une réalité électorale.

    S'il serait imprudent de déduire le résultat des élections des chiffres des sondages, l'enquête réalisée par BVA sur l'ensemble des régions métropolitaines continentales donne la photographie d'une France divisée en trois blocs ayant chacun une réelle implantation nationale. Le Front national reste inférieur aux blocs gauche et droite (28 % au second tour contre 36 %), mais la bataille, désormais, se joue à trois.

    Non seulement parce que le FN sera présent au second tour dans toutes les régions, contre une moitié seulement en 2010, mais aussi parce qu'il ne joue plus un simple rôle de figurant ou d'arbitre. Dans les régions où il est le plus «faible», la Bretagne et les Pays de la Loire, il est à 18 % au premier tour. Et dans leurs régions de force, gauche (en Bretagne), droite (en Pays de la Loire) et FN (en Nord-Pas-de-Calais-Picardie) sont au même niveau (45-46 %).

    Ce tripartisme à l'échelle nationale a plusieurs conséquences. Il met plus bas le seuil de victoire. Il n'existe - d'après BVA - de majorité absolue nulle part, alors qu'il y en avait eu 16 sur 22 en 2010. Dans cinq régions, la liste gagnante serait en dessous de la barre des 40 %. Ce qui veut dire aussi que des bascules peuvent se produire plus facilement. La droite est donnée gagnante dans 7 régions, mais son avance sur le second est inférieure ou égale à quatre points dans 5 d'entre elles.

    La bataille des régionales aura bien lieu

    Le Front national arrive en tête dans deux régions, mais il n'est qu'à quatre points des Républicains dans le Grand Est. Dans trois régions (Est, Bourgogne, Franche-Comté, Normandie), les trois blocs se tiennent dans une fourchette de six points. Il s'en faut de peu - la marge d'erreur des sondages, l'évolution de la campagne - pour que l'ordre d'arrivée, et donc l'identité du vainqueur, soit modifié. Conclusion: la bataille des régionales aura bien lieu alors que son issue semblait connue d'avance.

    Le mode de scrutin actuel avait été instauré après une précédente percée du FN, en 1998. Jusque-là, les régionales avaient lieu à la proportionnelle intégrale. Une prime en sièges avait alors été instaurée pour garantir une majorité absolue à la liste arrivée en tête. Ce qui évacuait aussi toute pression du parti lepéniste qui arrivait partout en troisième position (même en Paca ou dans le Nord). Avec un FN s'approchant de la barre des 30 % au niveau national et donc en mesure de l'emporter dans plusieurs régions, le mode de scrutin lui devient favorable, car il lui garantira à son tour des majorités absolues en sièges là où il arrivera en tête en voix.

    La proportionnelle fait le jeu du FN, a-t-on longtemps dit, en lui permettant d'entrer dans les assemblées (nationales ou locales) tandis que le scrutin majoritaire ou le scrutin mixte avec prime majoritaire (comme aux régionales) lui bloquait l'accès au pouvoir. À partir du moment où le Front national tend à faire jeu égal avec les coalitions de gauche et de droite, c'est l'inverse qui se produit. Faute d'alliés, la proportionnelle le condamne à rester minoritaire. Alors qu'en étant simplement le plus gros des trois tiers, il peut gagner aujourd'hui des régions et demain des députés en grand nombre.

    Guillaume Tabard

    source : Le Figaro ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuVyZVVuEGKhshghN.shtml

  • 7 novembre : Manifestation contre le chaos migratoire

    Un homme s'est levé en Europe pour dire Non à cette entreprise suicidaire qui vise au fond à modifier les grands équilibres culturels et ethniques de l'Europe : Viktor Orban, premier ministre de Hongrie, qui se bat courageusement pour défendre la souveraineté de son pays, préserver l'identité magyare et endiguer la déferlante migratoire.
    Le SIEL appelle tous les Français à se rassembler le 7 novembre prochain à 15 heures devant l'ambassade de Hongrie à Paris pour témoigner de notre soutien à l'esprit de résistance du peuple hongrois qui à valeur d'exemple pour toute l'Europe.

    Michel Janva

  • Discussions sur la politique française et la liberté d’expression avec Maître Bonneau et Yvan Benedetti


    Discussions sur la politique française et la… par LaPravdaCH

    Joseph Navratil s’est entretenu pour LaPravda.ch avec Maître Pierre-Marie Bonneau et Yvan Benedetti lors de leur passage à Genève au sujet notamment des « interdits internet », la loi Fabius-Gayssot, la persécution des mouvements nationalistes et l’affaire dite « du détail » de JMLP.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • [Bordeaux] L’AF Bordeaux entame avec succès une nouvelle année de formation

    L’AF Bordeaux entame avec succès une nouvelle année de formation. Les premiers cercles d’étude ont abordé des sujets aussi divers que l’histoire de l’antifascisme, les non-conformistes de l’entre-deux-guerres et hier soir les racines antiques de la monarchie française.

    Toi aussi, viens te former auprès de tes camarades pour préparer le combat de demain !

    "Des opinions vraies doivent se trouver en l’homme, opinions qui, une fois réveillées par une interrogation, deviennent des connaissances." Platon. Ménon.

    "La politique a pour fin non pas la connaissance mais l’action." Aristote, Ethique à Nicomaque.

     
  • Calais : les CRS ont l’interdiction de patrouiller dans le secteur musulman du camp de migrants

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    UNSA POLICE

    L’UNSA POLICE demande le droit de retrait des CRS qui sont en patrouille dans la NEW JUNGLE.

    Actuellement, ce sont 6 patrouilles de 2 fonctionnaires qui doivent sécuriser le site. INACCEPTABLE POUR L’UNSA POLICE L’organisation tactique des CRS n’est pas respectée.

    Ce matin, les consignes orales du GOP CALAIS, sont de ne pas patrouiller dans le secteur MUSULMAN !!! À quel TITRE, pour quels motifs ?

    L’UNSA POLICE rappelle qu’actuellement nos collègues ne sont pas équipés en matériel de protection adéquat.

    Résultat : 1 collègue de la 23 a contracté, le 21/10, la gale dans le cadre de cette mission.

    L’UNSA POLICE vous défendra et mettra l’administration face à ses responsabilités.

  • Devenez bénévoles pour la Marche pour la Vie du 24 janvier 2016

    La Marche pour la Vie recrute toutes les bonnes volontés. Cécile Edelcommunique :

    "Le 28 septembre, madame Touraine annonçait cette journée comme journée mondiale du droit à l'avortement.

    Nous avons immédiatement réagi et continuons de répondre à cette attaque en organisant une grande campagne de sensibilisation au Droit à la Vie

    Notre seconde réponse au gouvernement sera de marcher nombreux le 24 janvier 2016 dans les rues de Paris et faire de cette journée, la journée de l'enfant à naître.

    Pour faire de la Marche pour la Vie une réussite, nous recrutons toutes les bonnes volontés."

    Pour savoir comment aider, c'est ici.

    Deviens_benevole

    Philippe Carhon

  • Ils défendent leur village

    Une cinquantaine de jeunes refusent l'installation de 160 Roms dans le village de Saint-Genis-les-Ollières imposée par le préfet du Rhône Michel Delpuech. Une manifestation de la population a déjà rassemblé 1 000 personnes vendredi :

    "Pour s’opposer au souhait du préfet, des habitants et commerçants se sont réunis vendredi dernier à l’entrée du site pour s’opposer à la venue des familles Roms (...)"

    Les jeunes identitaires ont pris le relais ce matin :

    Sans-titre

    Philippe Carhon