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France et politique française - Page 3502

  • Chiffres du chômage : un « trompe l’oeil » pour l’opposition

    Les réactions politiques se sont succédées après l’annonce des chiffres du chômage pour juillet. S’ils affichent une légère baisse de 1.900 personnes en catégorie A, ces chiffres ne parviennent pas à convaincre l’opposition de l’action du gouvernement.

    Avec 1.900 chômeurs de catégorie A en moins pour le mois de juillet, le gouvernement n’a pas tardé à se féliciter d’avoir désormais « stabilisé » le chômage. Un constat loin d’être partagé par la classe politique, et notamment l’opposition qui attaque des chiffres trop faibles pour pouvoir s’en satisfaire.

    Du côté du parti Les Républicains (LR), ces chiffres ne sont pas à saluer, bien au contraire. L’ex-UMP pointe notamment dans son communiqué que « même si le chômage en catégorie A est en légère baisse, sans surprise, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A, B et C est à nouveau en hausse. Il a ainsi augmenté de 0,3% pour le seul mois de juillet », affirment d’une seule voix Gérard Cherpion, secrétaire national Les Républicains au Travail et l’Emploi, et Eric Woerth, délégué général au projet LR. « Plutôt que de lutter efficacement contre le chômage, le gouvernement tente par tous moyens de le faire baisser artificiellement (...) La lutte contre le chômage mérite de vraies réponses, que le gouvernement, à ce jour n’a toujours pas donné », estime le parti mené par Nicolas Sarkozy.

    Côté Front-National, c’est son vice-président Florian Philippot qui a réagi sur Twitter, en dénonçant une « indécente autosatisfaction » du gouvernement.

    Florian Philippot:

    15 100 chômeurs de plus catégories A,B,C en juillet.Indécente autosatisfaction d'un gouvernement qui applique sottement les dogmes européens

    Un « léger répit » de courte durée

    Au centre, c’est le président du groupe UDI à l’Assemblée nationale Philippe Vigier qui s’est exprimé, attaquant « Un léger répit en trompe-l’oeil ». Dans un communiqué, le parti centriste appelle à une réforme profonde du marché du travail et pointe « l’inertie et la passivité du président de la République, du gouvernement et de la majorité, symbolisée par la démission de François Rebsamen, manifestement plus préoccupé par son avenir personnel que par celui des Françaises et des Français ». Pour le parti de François Bayrou, ces attitudes « sont inquiétantes et inacceptables ».

    Le PS a quant à lui exprimé sans surprise son soutien au gouvernement, avec un tweet de Bruno Leroux, le président du groupe à l’Assemblée.

    Bruno Le Roux :

    La stabilisation du chômage appelle la mobilisation générale. Croissance, confiance, investissement et réformes pour un recul durable

    Le Medef croit à l'inversion de la courbe du chômage

    Seule consolation pour le gouvernement, le Medef semble croire à sa promesse de l’inversion de la courbe du chômage pour 2016. Malgré les derniers discours de son président Pierre Gattaz, appelant l'exécutif à « passer aux actes » , le vice-président du syndical patronal Geoffroy Roux de Bézieux, a jugé mercredi « possible » une inversion de la courbe du chômage en 2016, en raison des  « signes encourageants » sur le front économique.

    « On peut espérer qu’en 2016, cette courbe qui devait s’inverser en 2012 s’inverse pour de vrai », a-t-il déclaré sur BFMTV, interrogé sur les chiffres du chômage au mois de juillet. C’est « possible car il y a des vents favorables externes. C’est l’euro, c’est les prix du pétrole, c’est les taux d’intérêts. On est objectivement dans une période où les astres sont alignés », a poursuivi le vice-président de la principale organisation patronale.

    Ce soutien surprise du gouvernement devrait être bien accueilli, au moment où le Premier ministre Manuel Valls a appelé à des réformes plus importantes et rapides .

    source : Les Echos :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuupyVpFFyIgAWWODt.shtml

  • Najat Vallaud-Belkacem assassine l’école publique française

    Elle ne hait pas la France, elle la nie. Elle ne hait pas notre histoire, elle pense qu’elle est finie. Jamais, depuis qu’elle est ministre, Najat Vallaud-Belkacem n’a parlé de l’apprentissage, de la transmission des savoirs, et même des savoirs.

    « La conception du paradis est au fond plus infernale que celle de l’enfer. L’hypothèse d’une félicité parfaite est plus désespérante que celle d’un tourment sans relâche, puisque nous sommes destinés à n’y jamais atteindre », écrivit un jour Gustave Flaubert à Louise Collet. Ainsi en est-il du rêve de Najat Vallaud-Belkacem, son utopie sera le cimetière de ses ambitions. En souhaitant créer un paradis éducatif d’obédience sociétaliste, tout à fait inatteignable – en plus d’être dangereux -, elle a parachevé le travail de ses prédécesseurs de « droite » et acté la destruction de l’école de la République.

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  • Hollande et l'emploi : toujours autant de chômeurs

    Aucune amélioration sur le front du chômage. 

    Chom

    Lahire

  • Maurice Allais et le coût de l'immigration

    Peu de domaines ont fait l’objet d’autant de désinformation que l’immigration. Maurice Allais, seul prix Nobel d’économie français, a remis les pendules à l’heure dans un ouvrage paru en 2002, Nouveaux Combats pour l’Europe, 1995-2002 : Un aveuglement suicidaire. Pour une autre Europe. Voici des extraits (pages 52 et 53) de cet ouvrage sans concession. Trois points méritent particulièrement de retenir l’attention :
    -l’extension des allocations familiales aux étrangers est dénuée de sens commun ;
    -il n’y a pas de travail que les Français ne veulent pas faire, il y a des travaux qu’ils ne veulent pas faire à un certain prix ;
    -l’immigration a un coût élevé en termes d’infrastructures d’accueil.

    Polémia
    « Il faut mettre fin à l’inconscience totale qui a caractérisé jusqu’ici la politique d’immigration de la France.
    L’extension des allocations familiales aux étrangers est dénuée de sens commun
    Ainsi les allocations familiales ont été créées à l’origine avec un seul objectif : enrayer autant que possible l’insuffisance de la natalité française. Etendre dès lors ce droit aux travailleurs étrangers et à leurs familles, en général prolifiques, est dénué de tout sens commun. On ne saurait mieux faire pour attirer artificiellement les étrangers en France.
    Dans un pays où la polygamie est illégale, le cas des familles d’immigrés ayant plusieurs femmes et dix à vingt enfants à charge bénéficiant de tous les avantages sociaux, en particulier des avantages de logement, est purement et simplement inadmissible, alors que l’équilibre financier de la Sécurité Sociale est dangereusement compromis. L’absurdité atteint ici un niveau insupportable.
    Il n’y a pas de travail que les Français ne veulent pas faire, il y a des travaux qu’ils ne veulent pas faire à un certain prix.
    Il est faux de soutenir que les Français ne veulent plus exécuter de travaux pénibles. Ce qui est vrai, c’est qu’ils ne veulent plus les faire aux salaires réels qui sont pratiqués. L’immigration massive de main-d’œuvre étrangère n’a fait que déprimer les salaires français correspondant aux travaux les plus pénibles et qu’elle n’a fait que rendre plus difficile la solution des problèmes sociaux.
    Les raisonnements économiques sur l’immigration sont ici généralement tout à fait superficiels. C’est un fait que dans les différents pays, le capital national reproductible est de l’ordre de quatre fois le revenu national. Il en résulte que lorsqu’un travailleur immigré supplémentaire arrive, il faudra finalement pour réaliser les infrastructures nécessaires (logements, hôpitaux, écoles, universités, infrastructures de toutes sortes, installations industrielles, etc.…) une épargne supplémentaire égale à quatre fois le salaire annuel de ce travailleur. Si ce travailleur arrive avec une femme et trois enfants, l’épargne supplémentaire nécessaire représentera suivant les cas, dix à vingt fois le salaire annuel de ce travailleur, ce qui manifestement représente pour l’économie une charge très difficile à supporter. »
    L’immigration a un coût élevé en termes d’infrastructures d’accueil
     « C’est là une circonstance tout à fait négligée et qui explique les difficultés rencontrées par un pays comme la France dont les infrastructures sont tout à fait insuffisantes au regard de l’immigration massive et tout à fait déraisonnable qu’elle a admise et même favorisée depuis les années soixante, et qu’elle continue à admettre aujourd’hui. En fait ce sont les Français qui supportent presque totalement la charge directe et indirecte de cette insuffisance des infrastructures.
    Autant une immigration modérée peut être considérée comme avantageuse et souhaitable, autant l’immigration démesurée et déraisonnable qui s’est constatée en France constitue par ses conséquences de toutes sortes un insupportable fardeau. Une immigration excessive sape les fondements mêmes de la cohésion du corps social, condition majeure d’un fonctionnement efficace et équitable des l’économie de marchés. »
    Maurice Allais
    Extraits de :
    Nouveaux Combats pour l’Europe, 1995-2002 : Un aveuglement suicidaire. Pour une autre Europe,(pages 52 et 53), éditions Clément Juglar, septembre 2002, 502 p.. 
    (relevés le 24/12/2009)
    Correspondance Polémia, 31/12/2009
    Les intertitres sont de la rédaction
    Polémia a souvent fait référence aux travaux de Maurice Allais. Il sera loisible au lecteur de rechercher les articles par le moteur de recherche en affichant : Maurice Allais.
    Voir principalement :
    http://www.polemia.com/article.php?id=2616
    http://www.polemia.com/article.php?id=1855
    http://www.polemia.com/article.php?id=1650
    http://www.polemia.com/article.php?id=642

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2618

  • Ni Mistral, ni Rafale… mais tempête sur l’Élysée

    « Le dossier est clos », tranchait l’Elysée le 5 août après la décision de ne pas livrer à la Russie deux navires dont la commande s’était élevée à 1,2 milliard d’euros. Tel n’était pas l’avis de Présent (voir Présent du 8 août) qui, outre l’incalculable perte de crédit frappant désormais, et sans doute durablement, nos industries d’armement, s’interrogeait sur « le montant exact de l’ardoise » laissée par le refus de vente des Mistral.

    Sans doute informé par un ponte de la Direction des constructions navales (DCNS) constructrice des deux porte-hélicoptères et furieuse du mauvais coup qui lui a été porté, Le Canard enchaîné vient de répondre à la question : plus de 2 milliards d’euros. Au remboursement à Moscou des arrhes déjà versés (896 millions d’euros), il faudra en effet ajouter ceux des « frais engagés pour aménager le port de Vladivostok afin d’accueillir les nouveaux navires », de « l’adaptation en version maritime des 32 hélicoptères K52 emmenés par les navires », ainsi que « la formation de 400 marins russes pendant un an et demi ». Soit 300 millions d’euros. Mais il faudra aussi dédommager la DCNS (350 millions d’euros environ), « dérussifier » les navires en les adaptant aux normes de l’OTAN (200 millions) et continuer à assurer jusqu’à leur revente – éventuelle – le gardiennage et la maintenance, évalués à un million par jour, des Mistral à quai dans le port de Saint-Nazaire. Alors que l’argent manque si cruellement pour secourir les agriculteurs et les entreprises touchées par la crise, la servilité de Paris face au diktat de Washington va donc nous coûter 2 milliards d’euros. Et il y a encore plus grave : avant de reprendre sa parole, la France aurait en effet effectué un transfert de technologie par la transmission de 150.000 pages de spécifications techniques à la Russie… qui a donc maintenant tous les éléments en main pour construire des clones du Mistral ! Comme on sait, un malheur n’arrive jamais seul.

    En même temps que Paris et Moscou arrivaient au « meilleur accord possible » (cf. l’inénarrable Le Drian dont on espère que, probable tête de liste socialiste aux régionales en Bretagne, il paiera cher sa complicité dans cette dilapidation des deniers publics), le premier ministre indien Narendra Modi, qu’un Hollande épanoui avait reçu avec faste à Paris en avril dernier, lançait le 3 août sa bombe à fragmentation : réflexion faite, il « annulait » le fabuleux contrat de 22 milliards d’euros pour 126 Rafale envisagé avec Dassault, ces bijoux étant décidément trop chers et trop sophistiqués (voir Présent du 5 août). L’aviation indienne ayant cependant un besoin urgent de renouveler sa flotte, quels appareils seront donc choisis à la place ? Sans doute des… Mig-35 russes, auxquels ses pilotes sont habitués ! Vladimir Poutine n’est pas seulement un pêcheur et chasseur émérite. C’est aussi un judoka et un redoutable joueur d’échecs, sachant anticiper les coups. Le contraire du paltoquet Hollande à l’éternel sourire de ravi de la crèche, qui vient de s’auto-infliger le pire désastre de son quinquennat.

    Camille Galic, 16/08/2015

    Source : Présent

    http://www.polemia.com/ni-mistral-ni-rafale-mais-tempete-sur-lelysee/

  • Marion Maréchal-Le Pen invitée à l’université d’été de la Sainte Baume organisée par Mgr Rey, voilà qui défrise les médias…

    7775153557_la-deputee-frontiste-marion-marechal-le-pen-lors-d-une-conference-de-presse-dans-la-ville-du-pontet-le-18-octobre-2014-300x200.jpgLa presse – y compris celle dite chrétienne mais missionnée pour subvertir l’Eglise de l’intérieur – s’étonne, voire s’offusque, que Marion Maréchal-Le Pen, député, soit invitée au même titre que des élus d’autres partis, à intervenir lors de la 5e édition des universités d’été de la Sainte Baume organisées par Mgr Rey et dont le thème de cette année est « médias et vérité ».

    Les mêmes journalistes n’émettent aucune critique à la présence de Valérie Boyer, député Les Républicains (ex-UMP), ou de Simon Renucci, député-maire d’Ajaccio sous l’étiquette Corse Social-Démocrate et ex-PS,  à cette université d’été.

    Selon ces journalistes, habituellement très attachés à la « démocratie », il y aurait donc les bons et les mauvais élus, pour ne pas dire les bons et les mauvais électeurs.

    Certes, c’est bien la première fois qu’un élu du Front National est invité à participer à cette université d’été. Mais n’était-il pas temps, justement, que les évêques de France admettent que le FN fait bel et bien partie du paysage politique au même titre que Les Républicains et le PS et qu’il est peut-être des trois le moins éloigné de la doctrine catholique, même si son évolution liée à son actuelle direction va plutôt hélas dans le sens contraire.

    L’Abbé Guitton, responsable de l’Observatoire socio politique du diocèse de Toulon-Fréjus, en charge de l’organisation de ces universités avec les Dominicains de la Sainte Baume et en partenariat avec Famille Chrétienne et Liberté Politique, a déclaré à l’ « Obs » : « Ça ne nous parait pas incongru de l’inviter, dans le Var le FN représente jusqu’à 40% des électeurs! ».

    Le père dominicain François Régis Delcourt, coorganisateur, précise : « On a pris Marion, pas Marine, ni Jean-Marie, ni Philippot ! Elle est aussi un peu dans une certaine marge du parti. Son discours fait réfléchir. Elle a l’air assez mesuré, sur l’immigration et sur d’autres questions. Elle prône la distance par rapport à son parti. C’est une personnalité intelligente. »

    Signe des temps, l’abbé Grosjean pourrait suivre et inviter un élu FN à son université Acteurs d’Avenir. Entre pragmatisme et opportunisme…

    http://www.medias-presse.info/marion-marechal-le-pen-invitee-a-luniversite-dete-de-la-sainte-baume-organisee-par-mgr-rey-voila-qui-defrise-les-medias/37561

  • Les médias en servitude : quand Polémia met la médiaklatura en examen

    Polémia poursuit son travail d’analyse du phénomène médiatique. AprèsLa tyrannie médiatique, le Dictionnaire de novlangue et le Dictionnaire de la réinformation, voici Les médias en servitude. Il s’agit d’une étude serrée de la médiaklatura, cette centaine d’hommes et de femmes qui donnent le la à l’opinion, cette sainte alliance du trotskysme de salles de rédaction et du capitalisme financier. Voici l’avant-propos de cet ouvrage. 

    En principe la France est une démocratie.

    Le suffrage y est libre. Le suffrage, sans doute, mais en est-il de même de l’information des électeurs?

    Assurément non ! Les médias asservissent et ils sont eux-mêmes asservis aux grandes puissances financières.

    Derrière une façade de diversité, les grands médias scénarisent l’actualité selon la même grille de lecture, celle de l’idéologie unique qu’ils partagent : laisser-fairisme et libre-échangisme économique, cosmopolitisme et sans-frontiérisme, rupture de la tradition et révolution des mœurs. C’est la sainte alliance du trotskysme de salles de rédaction et du capitalisme financier. L’union des milliardaires et de la médiaklatura.

    Le propos peut paraître polémique. Mais les faits accumulés dans cette étude, réalisée avec la collaboration de Claude Lorne, montrent, hélas, comment un tout petit nombre d’hommes a accaparé le contrôle des grands médias français.

    Voici quels sont les acteurs majeurs de cette prise de pouvoir sur les esprits :

    – les banques : cinq d’entre elles siègent au conseil d’administration de Bouygues, propriétaire de TF1 ; Rothschild contrôle Libération ; Lazard siège au Monde ; et le Crédit Agricole et le Crédit Mutuel se partagent la Presse quotidienne régionale (la PQR) à l’est d’une ligne Amiens/Marseille ;

    – l’industrie du luxe et les grandes fortunes : Bernard Arnault, Serge Dassault, François Pinault, Martin Bouygues, Vincent Bolloré, Arnaud Lagardère, Claude Bébéar sont omniprésents;

    – les grandes agences de communication et de publicité : Euro RSCG de Stéphane Fouks et Publicis de Maurice Lévy sont au cœur des stratégies d’influence adossées à de puissants budgets ;

    – les paladins de « l’antiracisme » : Louis Schweitzer (la Halde), Pierre Bergé (SOS-Racisme), Bernard-Henri Lévy donnent le ton ;

    – les grands éditocrates : Erik Israelewicz, Laurent Joffrin, Nicolas Demorand, Denis Olivennes ont un rôle clé, celui d’assurer la cohérence entre les bailleurs de fonds et les soutiers de l’information.

    En tout une centaine d’hommes dirige la machinerie qui règne sur les esprits. Il n’y a pas de chef d’orchestre clandestin. Mais tous ou presque participent au lieu de pouvoir le plus sélect de la classe dirigeante française : le Club Le Siècle. Cette classe dirigeante française n’a plus aujourd’hui ni vision nationale ni conscience européenne et n’est plus que la section française de la Superclasse mondiale (SCM).

    Notre société est de plus en plus exigeante en matière de transparence. Cette transparence doit aussi s’appliquer aux médias : leurs auditeurs et leurs lecteurs, qui sont aussi des électeurs, doivent savoir d’où ils parlent pour connaître les arrière-plans financiers, commerciaux, idéologiques ou communautaires qui structurent leurs prises de position et qui expliquent la disparition de tout véritable esprit critique.

    Ecartant toute polémique inutile, Polémia se borne à rassembler des faits. Des faits qui éclairent d’une lumière vive la médiaklatura.

    Voici un ouvrage à lire en se rendant sur le PDF (cliquer ici). En raison de l’immense documentation, réunie par Claude Lorne, qui a permis d’en faire une véritable banque de données,Les médias en servitude peut être commandé (15 € franco de port) à :

    Polémia, 60 ter rue Jean-Jacques Rousseau, 92500 Rueil-Malmaison

    Polémia, 9/02/2012

    http://www.polemia.com/les-medias-en-servitude-quand-polemia-met-la-mediaklatura-en-examen/

  • Les socialistes refusent de lutter contre le djihadisme !

    Des 4 vérités : 

    "La France a, à nouveau, échappé de peu à un attentat meurtrier, qui aurait été perpétré avec des moyens dérisoires, puisqu’il s’agissait « simplement » d’un homme armé tirant à la kalachnikov dans un train. L’issue ayant été heureuse, tous les commentateurs se congratulent, encensent les héros et poussent un soupir de soulagement.

    Mais rien n’est résolu. Au con­traire, les mêmes événements risquent de se reproduire à brève échéance – et la chance ne sera pas toujours avec nous. Deux facteurs, au moins, pourraient être traités facilement par un gouvernement désireux de s’opposer au terrorisme, au lieu de flatter démagogiquement diverses clientèles électorales.

    Tout d’abord, arrêtons de con­damner systématiquement les personnes qui s’opposent physiquement aux criminels. La situation est, en effet, paradoxale. Aujourd’hui, on fête les héros qui ont empêché le drame ; mais, si le tireur avait été éborgné dans la bagarre, lesdits héros seraient en garde en vue et menacés de condamnation judiciaire – comme tant de nos compatriotes qui ont refusé de se laisser faire.

    Par ailleurs, rien ne nous impose de garder en liberté des centaines de fanatiques. Une bonne partie de ces personnes, parfaitement identifiées par les services anti-terroristes, pourrait être expulsée (puisque beaucoup des prédicateurs radicaux sont étrangers) et une autre partie pourrait être internée. Car, n’en déplaise à M. Cazeneuve, promouvoir la « guerre sainte » est bel et bien un délit.

    Là aussi, la situation est paradoxale... (suite).

    Lahire

  • Les beaufs se rebiffent

    Nos équipes dirigeantes essayent péniblement de donner le change et vont donner à comprendre (officines aux ordres) qu’elles pourchasseront le crime dans toute ses variantes ! Mais si, c’est juré !

    J’ai fait, cette nuit, un vilain cauchemar. La caste dirigeante était diplômée de tout grâce à mai 68 et à son système génial des équivalences généralisées de diplômes.

    N’avons-nous pas, à la tête du pays, un brillant cerveau diplômé à la fois d’HEC (mais incapable d’articuler une action sensée relevant de son diplôme d’équivalence), de Sciences Po Paris (avant le tristement célèbre Descoings… sombres !), et naturellement de l’ENA (lui permettant ensuite de promouvoir au mérite… d’avoir joué dans la même cour de récréation de la rue de l’Université) ?

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