France et politique française - Page 469
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La journaliste Nelly Daynac attaquée et traitée de suprémaciste blanche simplement pour avoir vécu enfant en Nouvelle-Calédonie: « Le simple fait d’être née blanche là-bas fait de moi une coupable »
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Après la « question juive » de funeste mémoire, la « question antisémitisme » de funeste actualité
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Une tentative d’incendie de la synagogue de Rouen a été évité de justesse ; encore une fois – une fois de plus – l’incendiaire était un étranger dont sa mise sous OQTF n’était pas la première de ses préoccupations : la société française est-elle en train de se résoudre à un « vivre ensemble » avec de telles « malchances pour la France », comme vous les nommez ? Est-ce forcément une fatalité pour certains ?
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Saint-Étienne (42) : un chauffeur de bus frappé au visage parce qu’il avait refusé de s’arrêter entre deux arrêts. De moins en moins de candidats pour les lignes « sensibles »
Ce n’est pas la première fois cette année : un chauffeur de bus a été agressé ce vendredi 17 mai à Saint-Étienne (Loire) dans le quartier de la Cotonne. C’est un jeune de 20 ans qui est à l’origine de l’attaque. Il a été arrêté et devra s’expliquer ce dimanche après-midi. Les raisons de ce passage à l’acte remontent quelques minutes plus tôt, quand ce jeune homme demande au conducteur de monter dans le bus entre deux arrêts. Ce que refuse le conducteur, il est alors dans son droit.
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[Chronique] Nouvelle-Calédonie : répétition générale ?
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De l’exemplarité gaulliste
Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a défrayé la chronique avec ses notes de frais qui ont atteint 50 700 euros en 2023. Déplacements, goûts de luxe pour les hôtels et les voyages en classe affaires, tout y passe, venant en plus d’un salaire déjà confortable pour des ex-directeur de BNP Paribas.
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SAUVER LA CIVILISATION EUROPÉENNE EN BRISANT LA (DÉ)CONSTRUCTION EUROPÉENNE !
Les élections européennes auront une portée cruciale cette année. Elles seront pour beaucoup de Français l’occasion d’un vote national en même temps qu’européen. Macron n’a été réélu en 2020 que par défaut comme l’a prouvé l’absence de majorité présidentielle aux élections législatives qui ont suivi. Cette fois le rejet de cet accident de l’histoire est sans risque. Les sondages annoncent donc une débâcle macroniste, une montée spectaculaire en faveur de la droite nationale, et une résurrection du parti socialiste. On peut alors penser que le mirage centriste qui a trompé les Français en 2017 va se dissiper pour faire apparaître un paysage plus réaliste.
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Dans le Pacifique, la France n’a pas d’amis
Regis Le Sommier
Gérald Darmanin l’assure : « l’Azerbaïdjan, ce n’est pas un fantasme, c’est une réalité. » Le ministre français accuse « une partie des indépendatistes » d’avoir « fait un deal » avec la dictature d’Ilham Aliyev. Bakou réfute : « Nous démentons tout lien entre les leaders de la lutte pour la liberté calédonienne et l’Azerbaïdjan », affirme l’Azerbaïdjan, voyant dans les propos du ministre « une campagne de calomnie » dirigée par Paris. Gérald Darmanin n’a pas tort pourtant. Les faits sont là. D’abord dans les manifestations, où le drapeau de l’Azerbaïdjan a été brandi à de nombreuses reprises à côté de la bannière du FLNKS. Étrange, lorsqu’on réalise que Bakou se trouve à 14 000 kilomètres de Nouméa... Ensuite, par les déplacements – trois au moins –, d’une délégation de représentants des peuples autochtones à Istanbul, pour assister le 1er mars dernier à une conférence tous frais payés, selon les services de renseignement français, sur la décolonisation. Car derrière l’Azerbaïdjan, il y a bien sûr la Turquie...
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DONNONS UN AVENIR AUX ENFANTS BLANCS - Le Forum du PdF (avec Thomas Joly & Laurence)
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Huit ministres de l’Intérieur de l’UE demandent à la Commission européenne de réévaluer la situation en Syrie afin de permettre le retour des migrants dans leur pays. La France ne s’y est pas associée
Huit ministres de l’Intérieur européens (Autriche, République tchèque, Chypre, Danemark, Grèce, Italie, Malte et Pologne) demandent à la Commission européenne de réévaluer la situation en Syrie pour permettre un retour volontaire des réfugiés dans leur pays, treize ans après le début de la guerre civile.
A trois semaines des élections européennes, les initiatives se multiplient en matière de politique migratoire. Après l’Appel des Quinze, une coalition de quinze Etats réclamant une externalisation de la politique migratoire de l’UE dans des pays tiers, ce sont huit ministres de l’Intérieur européens qui ont déclaré vendredi que la situation en Syrie devrait être réévaluée pour permettre le retour volontaire des réfugiés syriens dans leur pays d’origine.
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Colloque antifa : Street Press au secours de l’Europe libérale