À la suite du non-lieu à poursuivre prononcé par les juges d’instruction en faveur des gendarmes accusés d’être responsable du jeune homme de 24 ans, le collectif « La Vérité pour Adama », a appelé à une nouvelle mobilisation à Paris. Un rassemblement sur une place quasi vide qui donnait en tout point l’impression d’un chant du cygne.
France et politique française - Page 467
-
Pour sa dernière mobilisation, le collectif “Vérité pour Adama” fait un flop
-
La France repart à l’assaut de la réforme du marché européen de l’électricité… et va se heurter à l’Allemagne
Je vous invite à lire cet article du site Euractiv intitulé « Agnès Pannier-Runacher « confiante » sur la réforme du marché européen de l’électricité ».
C’est un festival de fausses bonnes idées et d’imagination de nouvelles usines à gaz encore plus complexes qu’avant avec des histoires de CFD, de contrat à long terme pour les grosses entreprises avec un gouvernement qui veut faire rentrer des ronds dans des carrés sans succès évidemment.
La solution est simple. Il suffit d’envoyer promener ce marché européen de l’énergie, mais la France est bien trop faible politiquement pour s’y résoudre.
-
Abaya : les dangers de l’islamo-centrisme médiatique
La polémique autour de l’interdiction de l’abaya dans les établissements publics – ces vêtements traditionnels musulmans pour femmes – est LA polémique de la rentrée. Et l’embrasement politico-médiatique a inspiré les contributeurs de Polémia. Avant de découvrir un texte de Michel Geoffroy, voici celui de Pierre Boisguilbert qui, comme à son habitude, n’a pas peur de secouer le cocotier ! Pour lui, cette focalisation sur des thèmes islamiques pourrait bien être très dangereuse…
-
Agressions, violences, couteaux : un week-end ordinaire en France, en 2023
-
KB : “cette demoiselle dit la vérité sur le harcèlement de rue”
https://www.fdesouche.com/2023/09/05/kb-cette-demoiselle-dit-la-verite-sur-le-harcelement-de-rue/
-
Rentrée scolaire : Le ministre de l'Education nationale annonce que 298 élèves se sont présentées en abaya, 67 ont été renvoyées chez elles
Alors que le port de l'abaya (et du qami) est désormais interdit dans les établissements français, le ministre de l'Education nationale Gabriel Attal a annoncé que 298 élèves se sont présentées en portant cet habit lors du premier jour de classe de la rentrée scolaire. Après une approche axée sur le dialogue et la pédagogie, la majorité des élèves a obtempéré, mais 67 auraient refusé de se plier à la nouvelle règle. Selon le ministre, ces élèves ont été renvoyées chez elles, et leurs cas seront réévalués dans les jours à venir pour voir si elles se conforment à l'interdiction.
Lien permanent Catégories : France et politique française, immigration, islamisme, lobby 0 commentaire -
Immigration : l’extraordinaire et tardive conversion de Gérard Larcher
-
La souveraineté devant la question du métissage ?
-
Démographie et civilisation : Comment meurt une civilisation
De Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique :
Une fois encore les chiffres de la natalité française du premier semestre 2023 ont été en baisse : – 7% par rapport à la même période de l’année précédente. Le chiffre des décès : 313 000, approche désormais de celui des naissances : 314 400. Cette situation n’inquiète pas le « Mozart de la finance », sans enfant, qui préside aux destinées de notre pays puisqu’il a une solution : l’immigration, affirmant, contre toute vérité historique, que la France a toujours été une terre d’immigration. Les travaux de Jacques Dupâquier ont pourtant définitivement démontré que la France ne devint une terre d’immigration qu’à partir du milieu du XIXème siècle. Décidément l’arrogance d’Emmanuel Macron n’est surpassée que par son ignorance !
-
Une baisse des taxes sur les carburants en France est inenvisageable, déclare Bruno Le Maire
Face à l'escalade des prix du carburant en France, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a écarté toute possibilité de baisse des taxes sur ce dernier. Invité sur BFM dimanche, il a jugé qu'une telle mesure serait financièrement insoutenable pour l'État. Il a spécifiquement rejeté la proposition de Xavier Bertrand, président du conseil régional des Hauts-de-France, qui avait suggéré une réduction de 15 à 20 centimes d'euros par litre à la pompe. Selon Le Maire, une telle mesure coûterait 12 milliards d'euros au budget de l'État et serait "ni responsable, ni cohérente".