
« Aucune féministe de gauche n’est venue me parler. » (Une certaine idée, média des Républicains, 20/12/2023). Depuis plusieurs jours, Claire, violée par un clandestin dans le hall de son immeuble, écume les plateaux de télévision pour alerter sur l’insécurité et dénoncer la non-exécution des OQTF (obligation de quitter le territoire français) dont elle est victime. Mais au lieu de recevoir un plein et entier soutien de la communauté féministe, pourtant si prompte à s’indigner de la « culture du viol », la jeune femme se heurte à un mur de silence. En cause, sans nul doute, l’origine centrafricaine et la situation irrégulière de l’agresseur présumé qui empêchent les féministes de compatir avec Claire…