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Retrouvez chaque vendredi le meilleur des perles politiques de la semaine !
Comme pour tous les événements très codifiés, il y a, tous les 14 Juillet, des variations sur un thème imposé.
La France aime son armée : c'est même la seule démocratie du monde dont la fête nationale est couronnée par un défilé militaire.
Les gauchistes enragent : c'est tant mieux. Eva Joly, éphémère candidate écolo à la présidentielle, avait proposé autrefois (il y a une éternité) qu'un défilé de lycéens et de travailleurs sociaux remplace cette démonstration de puissance : un silence gêné avait accueilli cette ébouriffante suggestion. Michel Audiard, lui, dans l'excellent Vive la France, exposait une convaincante vision de Marianne : la République est une fille libérée mais qui « aime les militaires », comme la grande-duchesse de Gerolstein dans l'air éponyme d'Offenbach. D'où ce besoin, récurrent chez elle, de se réfugier dans les bras d'un officier quand les choses tournent mal.
Nous avons eu le plaisir de rencontrer un jeune homme décrié par les médias de grands chemins, le procureur de la République et les politicards locaux. Donc, probablement une jeune personne de 28 ans plutôt sympathique, et surtout courageuse. Merci à Jean-Eudes Gannat de nous avoir accordé quelques minutes, dans un contexte surchargé pour lui.
Riposte Laïque : Pouvez-vous d’abord vous présenter à nos lecteurs ?
Jean-Eudes Gannat : Je suis militant catholique et identitaire, impliqué dans diverses initiatives ces dernières années. Je suis l’un des fondateurs de l’Alvarium, dissous en 2021, et du Mouvement Chouan, plateforme régionale en cours de lancement, de ceux qui refusent de voir le Grand Ouest devenir une terre envahie et précarisée comme les autres.
Le chauffard, qui roulait à contre-sens, a tenté de percuter un agent. Il est toujours en fuite et activement recherché.
Un chauffard, qui roulait à contre sens sur la N12, au volant d’une voiture de marque Audi, a refusé d’obtempérer à un contrôle de police, à Elancourt, dans les Yvelines, ce mercredi 12 juillet, selon nos informations.
Héberger un migrant mineur exilé pour quelques jours ou plusieurs mois. A Nantes ils seraient une quinzaine de migrants mineurs, pas reconnus comme tel par l’Etat et le département ce qui fait qu’ils n’ont pas de prise en charge spécifique. Pour leur éviter de dormir dans la rue certains nantais se sont réunis en collectif et hébergent plusieurs de ces réfugiés majoritairement africains dans leur domicile. Ces hébergeurs solidaires cherchent d’autres volontaires pour accueillir ces mineurs isolés. Nous sommes allé au sein d’une de ces familles qui héberge un jeune guinéen pour voir comment s’organise leur quotidien.