
Dans le discours tissé par l’extrême gauche, la mort du petit Aymen, 14 ans, fauché par une voiture, était le fait de ces fameuses « milices d’extrême droite » (qui n’étaient que quelques dizaines sur le territoire national, d’après l’AFP). « Dans plusieurs grandes villes de France, hier, l’extrême droite a commis des ratonnades en attaquant des supporters de l’équipe du Maroc, jusqu’à aboutir à la mort d’un jeune garçon », tweetait notamment la députée LFI des Hauts-de-Seine Elsa Faucillon. Pourtant, la mort du petit Aymen n’a strictement rien à voir avec l’extrême droite. On vous explique.