
Samedi en fin d’après-midi, il se trouvait dans une voiture circulant dans les rues du quartier de la Petite-Hollande, à Montbéliard. (…) l’un des occupants n’avait pas accroché sa ceinture de sécurité.
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Samedi en fin d’après-midi, il se trouvait dans une voiture circulant dans les rues du quartier de la Petite-Hollande, à Montbéliard. (…) l’un des occupants n’avait pas accroché sa ceinture de sécurité.
Cette histoire de fin du tarif réglementé du gaz est assez hallucinante et parce que l’histoire est taquine, elle tombe au pire moment avec la guerre en Ukraine et une immense volatilité des prix du gaz.
Mais encore plus surréaliste est le titre de cet article d’Orange Actu source ici
« La fin du tarif réglementé du gaz inquiète, voici les conséquences si vous en bénéficiez » !
Quel bonheur est le vôtre, cher propriétaire ou locataire d’une chaudière à gaz, vous allez bénéficier de la fin du tarif réglementé, mais quelle chance est la vôtre mon ami !
Tout le monde déteste Libération! En une semaine, David L’épée a réuni la somme nécessaire pour contre-attaquer avec l’aide d’un avocat et en finir avec les méthodes d’intimidation de Nicolas Massol, Maxime Macé et Pierre Plottu. Il témoigne.
Ce 21 mai 2023, un colloque d’hommage à Dominique Venner a été scandaleusement interdit par un arrêté ignominieux. Un arrêté publié de manière si tardive qu’un référé liberté – qui aurait certainement autorisé l’hommage – n’était pas possible. La police a donc empêché physiquement la tenue de cet hommage à l’une des grandes figures intellectuelles de la droite française et européenne. Un scandale absolu qui démontre à quel point notre famille de pensée, aussi divisée soit-elle parfois sur certains sujets, est bien l’ennemie principale du pouvoir. Retour sur cet acte dictatorial et ignoble avec un texte de Camille Galic.
Bernard Germain
Nous sommes à Villers-Saint-Paul, dans l’Oise (60). Plus précisément sur le parking du super marché. Un peu à l’écart on voit deux véhicules camping-car, mais plus petits. Entre les deux véhicules, sur la place libre, des enfants jouent. Ils sont cinq. À côté deux adultes. Un homme et une femme. Ce doit être les parents. Mais que font-ils là ? ... On dirait qu’ils ont élu domicile à cet endroit. Il se trouve que c’est exactement cela.
Oui, en France, en 2023, une famille avec 5 enfants vit sur un parking de supermarché. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que le père a perdu son emploi. En dans la foulée ils ont du quitter leur logement car il était le seul à travailler, la mère s’occupant de ses 5 enfants.
Depuis, le mari a retrouvé un emploi. Il est chauffeur de bus. Donc il peut payer un logement. Sauf qu’il n’y en a pas. Un couple avec 5 enfants, on ne peut pas les loger dans un studio. Et les grands appartements sont rares et surtout... ces parents ne sont pas prioritaires.
M. Charles de Courson est de toute évidence l’homme de l’heure, l’homme de la situation présente. Il est l’un de ceux qui ont dénoncé avec le plus de fermeté l’imposture des « 64 ans ». Le choix de la vérité et l’absence d’esbroufe et d’obséquiosité, le refus de la courtisanerie qui le caractérisent apportent une bouffée d’oxygène dans l’étouffoir politique actuel. Entré en dissidence contre les magouilles destinées à bâillonner la représentation parlementaire (article 47, 40, 49-3, de nouveau article 40), il parle de l’urgence de contrer une « dérive autoritaire« . Mais est-ce vraiment la meilleure formule? L’autorité, d’où dérive le mot autoritaire, peut être une valeur positive. En effet elle suppose une adhésion, en accord dans les profondeur du pays. L’autorité n’est jamais jupitérienne, verticale ou à sens unique. Elle n’existe pas sans la confiance. Autorité et confiance sont comme les deux faces d’une pièce de monnaie. [Je te suis et non je t’obéis, parce que je te fais confiance]. La société actuelle a besoin d’autorité – impliquant la confiance – et non d’autocratie. Or ce qui se passe aujourd’hui ne relève pas de l’autorité, mais d’autre chose: autoritarisme, autocratie sont des mots mieux adaptés. Une caste de petits marquis hors sol, ivres d’eux-mêmes, qui s’estiment (à tort) plus intelligents et plus éclairés que les autres, détenteurs du savoir et de la lumière, prétend soumettre une Nation, un peuple en lui imposant et en trichant des normes qu’il refuse à 80 ou 90%. Il ne les refuse pas par paresse ou par refus de l’effort, comme le prétendent les petits marquis – dont beaucoup n’ont jamais travaillé -, mais parce qu’il les juge inefficaces, inutiles et injustes – avec raison. La logique de ce processus est tout le contraire de l’autorité – supposant la confiance. Elle relève de l’autoritarisme absurde ou de l’autocratie débile qui conduit à la désintégration et au désastre.
MT
Chronique de Paysan Savoyard (n° 299 – Mai 2023)
Pour nous Français de souche européenne, pour nous les Blancs, en ce premier quart du vingt-et-unième siècle, les raisons de désespérer sont nombreuses et accablantes.
Le cadre de vie et les structures publiques sont profondément dégradés, qu’il s’agisse du système de santé, de l’école, des paysages et du patrimoine naturel, du logement, de l’emploi, du secteur industriel, de la sphère publique, de la défense, des finances publiques, des prélèvements obligatoires, du niveau de vie ou de la délinquance (voir cette chronique).
La société elle-même est en pleine décadence. Ses principales institutions sont écroulées ou en voie de l’être : la famille, la religion, le travail, la culture et les règles de comportement (voir cette chronique). De même le sentiment d’appartenance à une quelconque patrie a presque disparu.
A l’origine, le Danemark, ce petit pays de 5 millions d’habitants, était l’un des plus accueillants d’Europe en matière d’immigration. Avec la Suède qui est en train de revoir, elle aussi, sa politique migratoire. Quelques années plus tard, en raison des dégâts sociaux que provoque cette immigration, le pays a fait marche arrière et n’a pas fait dans la dentelle, elle est drastique. Sa politique anti-migratoire est mise en œuvre, non pas par un régime fasciste, mais les gouvernements sociaux-démocrates, à l’image de sa première ministre, Mette Frederiksen. Cotti, Marleix, Retailleau en rêvent…
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Source : Journal du dimanche, 21/5/2023
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2023/05/21/immigration-l-exemple-danois-6444116.html
Au collège Émile Combes à Bordeaux, lundi, le menu de la cantine présente un sauté de bœuf halal. Une connotation religieuse qui suscite une vive inquiétude chez certains parents d’élèves. Le mouvement Parents vigilants de la Gironde, fondé par Reconquête ! en 2022, alerte sur la politisation des enfants dans l’assiette.
Émile Combes (1835-1921), homme politique français, a mené a une politique très anticléricale, qui aboutira en 1905 à la loi de séparation des Églises et de l’État et à l’instauration de la laïcité dans les établissements scolaires. [NDLR]